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Pourquoi il n'y a pas de surgelés type Picard aux Etats-Unis?

C’est la question que tout Français qui vient d’emménager dans son nouvel appartement américain se pose à l’heure du dîner: mais pourquoi n’y a-t-il pas de Picard, ou l’équivalent ici?

Non pas qu’il n’y ait pas de surgelés aux Etats-Unis, c’est même le premier marché mondial (plus de 40 milliards de dollars par an). Mais espérer un bon petit plat cuisiné à se réchauffer en rentrant chez soi est un rêve d’expat inasouvi… Pourquoi donc? Problème de perception du consommateur répondent les experts. En bref, aux Etats-Unis, surgelé équivaut à “junk food”.

Du coup, c’est une catégorie très sensible au prix, explique Yves Coléon, consultant français installé à New York, fondateur de Transmark Partners. Il y a vingt ans, lorsque je travaillais chez General Food, nous avions dépensé beaucoup d’argent à essayer de concevoir des surgelés de qualité, poissons par exemple, mais ça n’a jamais marché. Les Américains n’étaient pas prêts à payer plus pour des surgelés!

L’image du surgelé est vraiment mauvaise ici, renchérit Bob Goldin, vice-président de Technomic, consultant pour l’industrie agro-alimentaire. Et les distributeurs n’arrangent pas les choses: pour tenter de vendre leur surgelés, ils font des promotions, ce qui renforce encore la perception négative des consommateurs“. Résultat, le surgelé est plutôt sur le déclin (sa part de marché baisse ces dernières années).

Une autre particularité américaine a aussi sans doute joué contre le surgelé ‘haut de gamme’ aux Etats-Unis: la culture du “take out”. L’habitant de Manhattan moyen par exemple mange hors de chez lui ou commande en livraison à domicile “5 soirs par semaine“, et dépense pour ce faire plus de $1.000 par mois en moyenne! Qui veut encore faire l’effort colossal de réchauffer un plat préparé surgelé quand pour le même prix, ou moins cher, on peut commander en “delivery”?

Même le secteur des desserts, très dynamique par le passé “ne connait plus la même croissance“, constate Bob Goldin. Et si certaines chaînes, comme Trader’s Joe (dont les propriétaires sont Allemands), se sont fait une réputation dans le surgelé de qualité, “c’est une niche minuscule, dit l’expert, qui n’empêchera pas le surgelé de continuer à décliner aux Etats-Unis“.

"Boule et Bill" chez les Américains

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Tout commence à la SPA. Un jeune cocker se morfond dans sa cage. Il ne trouve pas les maîtres de ses rêves. Soudain, apparaît un petit garçon, aussi roux que lui. Qui se ressemble s’assemble : c’est le coup de foudre. Pour Boule et Bill, c’est le début d’une grande amitié. Pour les parents, c’est le début des ennuis… Et c’est parti pour une grande aventure en famille !

Divertissement familial décomplexé, “Boule et Bill” est un des films français les plus populaires de 2013. Avec deux millions d’entrées, il se place même devant “Wolverine” au Box Office ! A voir à  New York et Los Angeles à partir du 8 novembre. Le film est réalisé par deux amis, Alexandre Charlot et Franck Magnier, qui se sont rencontrés aux “Guignols” de Canal+. Les deux compères ne sont pas des amateurs. Parmi leurs scénarios, “Astérix aux Jeux Olympiques” de Thomas Langmann ou encore “Bienvenue chez les Chtis”. “On voulait faire un film de chiens comme Beethoven et quand les producteurs nous ont proposé le scénario, ça a résonné“, explique Franck Magnier.

Avec “Boule et Bill”, les réalisateurs désiraient retrouver “des choses de notre enfance dans les années 70”  et, comme Alexandre Charlot le précise, “avec le parfum de la bédé“. Au casting, on retrouve le “bankable” Franck Dubosc et la talentueuse Marina Foïs, qui jouent les parents de “Boule” (Charles Crombez), ainsi que trois chiens qui se sont succédé pour interpréter Bill. Le film recrée avec succès la France des Trente Glorieuses, avec ses progrès sociaux et son héritage soixante-huitard.

Le film prend ses distances avec les personnages de Jean Roba. Les essentiels sont bien sûr conservés mais les fans seront probablement troublés par les choix de mise en scène. Le film se focalise par exemple sur les parents de Boule, plutôt que sur l’enfant et son toutou. Un parti-pris qui n’a pas échappé à la critique, qui ne fut pas tendre avec le film. “Adapter une B.D n’est pas assez noble en France, les critiques arrivent avec des préjugés“, se défend Franck Magnier. “Franck Dubosc était déçu que l’on ne remarque pas son changement de jeu“, ajoute Alexandre Charlot.

Le résultat est un film soigné esthétiquement. Dans les réussites, saluons Franck Dubosc, surprenant de sérieux. Boule et Bill est un divertissement résolument familial qui doit être considéré comme tel. Fort du succès du film, les deux amis préparent une suite, avec “un vrai méchant“. Ils le promettent: le deuxième “Boule et Bill” sera plus axé sur Boule et son chien. De quoi calmer les puristes.

Proust décortiqué à NYU

Proust, sa vie et son œuvre, seront passés au crible par Charles Dantzig le 18 novembre à la Maison Française de NYU.

Cet auteur, poète, essayiste et traducteur est familier de Marcel Proust. Charles Dantzig lui a en effet déjà consacré tout un ouvrage : Le grand livre de Proust. Ce titulaire du Grand Prix Jean Giono et auteur d‘Il n’y a pas d’Indochine (Grasset, 1995 – œuvre composée de 25 histoires courtes, chacune se déroulant dans une ville différente, parmi lesquelles New York, Le Caire, Athènes, Lisbonne, Lille et Strasbourg) proposera donc au public une approche intime de ce poids lourd de la littérature française, permettant à tous, à travers des anecdotes, de découvrir la vie, la carrière et les ouvrages de Proust.

Conférence à suivre en français.

Crédits : famousauthors.org

Une soirée Beaujolais près de chez vous

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Tradition oblige, c’est le troisième jeudi de novembre – à savoir le 21 – que sortira en France le Beaujolais Nouveau. Le lancement de ce vin, populaire aussi chez l’Oncle Sam, sera également célébré outre-Atlantique.

Les chambres de commerce franco-américaines à travers les Etats-Unis se mobilisent  pour l’occasion. Ainsi les antennes locales de la Nouvelle-Orléans,  New York,  San Diego, San Francisco, Denver, Philadelphie et de 13 autres villes organiseront des soirées mettant ce grand cru à l’honneur, en partenariat avec d’autres acteurs locaux. Tous ces événements se produiront les 21 et 22 novembre. Parmi les villes concernées :

New York : Gallery Carré d’Artistes, 241 Bleecker Street, NY 10014, le 21 novembre de 18h à 20h

Washington : 4101 Reservoir Road, NW – Washington, D.C. 20007, le 22 novembre, de 20h à 23h

Tampa : Duncan McClellan Gallery, 2342 Emerson Ave S, St Petersburg, FL 33712, le 22 novembre de 18h à 21h30

Dallas : Irving Convention Center at Las Colinas, 500 W Las Colinas Blvd, Irving, TX 75039, le 22 novembre, de 19h à 21h30

Houston : JW Marriott, 5150 Westheimer Rd, Houston, TX 77056, le 21 novembre, de 18h30 à 22h

San Francisco : Terra & Mer Gallery, 511 Harrison Street, San Francisco CA 94105,le 22 novembre, de 19h à minuit

Ce vin produit depuis 1951 dans la région du Rhône jouit aujourd’hui d’une renommée mondiale, sa sortie étant l’événement œnologique de la fin d’année!

Crédits : flickr

Isabel Marant s'invite chez H&M

H&M maîtrise toujours à la perfection la communication autour de ses opérations de co-branding, et la nouvelle collaboration avec Isabel Marant ne fait pas exception à la règle.

Depuis quelques mois, H&M distille au compte-goutte les informations sur la collection capsule “Isabel Marant pour H&M”, qui sera disponible le 14 novembre en ligne et dans certaines boutiques du réseau H&M.

A quelques jours du lancement, la marque a mis en ligne une page spécialement dédiée à cette opération, avec notamment une horloge compte à rebours (l’excitation des foules est palpable…) et un règlement intitulé “How to shop” long comme le bras.

Car, préparez-vous, “Isabel Marant pour H&M” pourrait bien ressembler au parcours du combattant ! H&M prévoit un gros succès donc des files d’attente (info ou intox ? Difficile de le savoir avant le jour J mais cette collaboration fait plutôt le buzz sur internet). Le volume de vos achats sera limité à quatre exemplaires par article en boutique, un sur le site de vente en ligne H&M. Et les 420 premiers clients arrivés en boutique auront un temps limité pour faire leurs achats (le magasin constituera des groupes de 30 personnes et chaque groupe aura 15 mn montre en main…). Une fois que ces 420 premiers clients seront passés à la caisse, le shopping deviendra libre (si tant est qu’il reste quelque chose en rayon).

Après de longues semaines de silence, la chaîne a enfin divulgué les magasins sélectionnés qui proposeront cette ligne de produits. La liste est en ligne dans la rubrique “Store Locator”. L’opération débutera à 8h en boutique et à midi (EST) sur internet.

La collection comprend des produits femme, homme et enfant. Les modèles sont présentés avec les prix ici. Côté féminin : boots frangés, gilets en grosse maille, imprimés ethniques… On retrouve bien les codes de la créatrice. Quant à la collection masculine, c’est une première pour la Maison. Mettez donc vos réveils jeudi matin et bonne chance !

Le Bilboquet rebondit sur la 60e rue

Il est à la tête d’un restaurant au nom prestigieux, avec des investisseurs richissimes et célèbres et pourtant…

Et pourtant Philippe Delgrange est nostalgique de son ancien Bilboquet, le restaurant de poche qui pendant 27 ans, au 25 East 63rd Street, a joué au St Tropez de l’Upper East Side, où millionnaires, stars et starlettes se côtoyaient pour manger le fameux poulet cajun servi par un personnel à l’enthousiasme très français…

“C’était un bijou incroyable ce restaurant”, soupire le restaurateur. Seulement voilà, il a fallu le fermer: le propriétaire de l’immeuble a refusé de renouveler le bail. Alors Philippe Delgrange râle: “ici tout le monde s’en fout, c’est pognon, pognon. Je ne suis pas le premier: quand la Goulue a fermé c’est passé inaperçu! Et même quand Elaine -Elaine!- a fermé (NLR: après le décès de la légendaire propriétaire Elaine Kaufman), personne n’a repris”.

Bref, tout fout le camp. Mais le Bilboquet, lui, reste: malgré la nostalgie du patron et “ce monde de plus en plus vulgaire”, Philippe Delgrange a rouvert (fin octobre) un Bilboquet bis, à trois “blocs” de l’ancien, au rez-de-chaussée du FIAF (French Institute Alliance Française). L’endroit est trois fois plus grand (100 places contre 35 auparavant) et né sous le signe de l’argent. Philippe Delgrange, 61 ans, a désormais trois investisseurs: le milliardaire Ron Perelman, le musicien Eric Clapton, et le promoteur immobilier Steve Witkoff. “C’étaient des clients, ils se sont battus pour que je garde le restaurant lorsque le propriétaire des murs de l’ancien nous a mis dehors”.

Clapton fréquente le restaurant depuis vingt ans. La relation avec Ron Perelman a elle été plus chaotique: elle a commencé par une plainte en justice de la part du milliardaire, qui se plaignait des nuisances occasionnées par les très bruyants et chantants clients du Bilboquet, voisin de sa townhouse. Les deux hommes se sont plus tard réconciliés, au point que Perelman a même tenté de racheter le building de l’ancien Bilboquet pour sauver le restaurant. Faute d’avoir pu le faire, il est donc devenu investisseur dans le nouveau.

Et alors il a fallu recréer un endroit qui soit le Bilboquet, c’est ça qui a été difficile”, soupire le restaurateur. La tâche est revenue à la décoratrice Carolina von Humboldt. Assise à côté de Philippe Delgrange, à une des tables qu’elle a dessinées et fait faire sur mesure en France, elle sourit quand le patron explique qu’il change beaucoup d’avis et reconnait qu’il n’est “pas facile”. “On s’est beaucoup engueulés, dit-elle, mais ce qui comptait le plus pour lui c’était de ne pas faire des choses qui ne “fassent” pas Bilboquet. »

Le fameux bar en étain, centre de l’ancien établissement, a été refait sur le même modèle “mais en beaucoup plus grand”. Les lampes chinées chez des antiquaires “à travers le monde”.

Alors content le patron? “L’endroit a la possibilité d’être spécial… On verra”. On ne pourra pas lui reprocher de faire dans la langue de bois marketing. Mais il s’en fiche: “le Bilboquet ça n’a jamais été une réussite financière. C’était autre chose, une bande de copains, un groupe de gens qui se mettaient au diapason. Au Bilboquet viennent les gens les plus riches, les gens les plus connus, mais je ne laissais pas rentrer tout le monde. Il n’y avait pas d’enseigne, on ne répondait pas au téléphone. C’était autre chose”.

Voilà ce qui le tracasse le patron: “l’esprit Bilboquet” va-t-il résister au déménagement, et surtout à la pression? “Le loyer est énorme ici, c’est ça le problème. Il faut être fou pour se lancer dans un truc comme ça. Il faut qu’on fasse 8 millions de chiffre d’affaires annuel pour payer les factures…” Le patron-copain-chef-de-bande est devenu, malgré lui, un entrepreneur. Deux autres établissements à l’enseigne Bilboquet ont ouvert, à Dallas et à Sao Paulo, au Brésil. Un autre est en préparation à Atlanta. “Maintenant, si vous n’avez qu’un seul restaurant, vous ne tenez pas”…

Quand la France devient l'héroïne des Faucons américains

John Kerry et les responsables français ont beau assurer que les Français ne sont pas la cause de l’échec des négociations sur le nucléaire iranien, tout le monde est persuadé du contraire. Et surtout les opposants à Barack Obama, qui s’en félicitent.
Le tweet est signé John McCain:

C’est sobre, simple, efficace… John McCain et avec lui les Faucons américains sont en admiration devant la politique étrangère de la France, du Mali à la Syrie, en passant, donc par l’Iran.
Allié habituel de McCain, Lindsay Graham, sénateur également, a lui lancé un  “Thank God for France,” sur CNN, avant d’ajouter que les Français “deviennent de très bons leaders” au Moyen-Orient:

 
Pour ne pas être en reste, le Wall Street Journal publie un éditorial, signé lui aussi “Vive la France” et s’en étrangle presque: “Nous n’aurions jamais pensé dire cela mais Dieu merci pour l’exceptionnalisme français!
 
 

Johnny Hallyday en tournée aux Etats-Unis en 2014

(AFP-Relaxnews) Johnny Hallyday effectuera une tournée de deux mois aux Etats-Unis au printemps 2014.

La star française se produira dans des villes où il n’a jamais chanté comme Austin, Dallas, Miami et Chicago, et retournera également dans des villes qu’il connaît comme New York ou Nashville.

Les dates précises n’ont pas été communiquées.

Credit: Fadeichev Sergei/ABACAUSA.COM

Les gagnants du concours Brussels Airlines sont…

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Le moment est arrivé. Parmi les centaines d’entre vous qui ont participé au concours organisé par Brussels Airlines et French Morning pour gagner deux allers-retours New York-Europe, les deux vainqueurs ont été tirés au sort.
Tous les participants ont, comme nous leur avions poliment demandé, pollué la messagerie de éclairé cinq de leurs amis en leur faisant découvrir l’inimitable newsletter de French Morning. A tous nous sommes éternellement reconnaissant. Mais il fallait deux gagnants, qui emportent donc chacun deux billets pour la destination européenne de leur choix. Les voici:
-Sophie Holubinka
-Blandine Baudin
Félicitations à toutes les deux de la part de French Morning et Brussels Airlines.
 
 

Le combat de Madi pour sauver son cours de français au lycée

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C’est un appel à l’aide que la rédaction de French Morning a reçu il y a quelques jours de la part de Madi Ross, une étudiante de la Marlboro Central School District.

L’élève de seconde, en plein apprentissage du français, tente de lutter grâce à une pétition contre la suppression des cours donnés dans la langue de Molière. “Malheureusement la class va couper parce que du budget“, nous dit-elle dans son message Facebook.

Il faut revenir quelques mois en arrière pour comprendre comment cette école s’est vue dans l’obligation de prendre des mesures drastiques quant au vote de son budget 2013-2014. Le district de Marlboro, dans l’État de New York, a connu une année 2012 extrêmement difficile. L’une de ses entreprises majeures -Dygeny, qui disposait d’une centrale électrique dans la région – a fait faillite, entraînant avec elle le district dans une galère financière. Les aides de l’État (4,2 millions de dollars en plus des 10,9 traditionnellement alloués) bien que conséquentes n’ont toutefois pas permis d’épargner tous les secteurs concernés par ces restrictions budgétaires.

La Marlboro Central School District se voit dans l’obligation de supprimer un certain nombre de cours parmi lesquels des cours de français. Contactée par la rédaction, l’école justifie ce choix « Il y a un manque d’intérêt pour cette langue. Les étudiants se dirigent aujourd’hui vers l’apprentissage de l’espagnol, du mandarin ou de l’arabe », ce qui révolte Madi Ross, bien déterminée à conserver son cours de français. Cette dernière explique : « L’école souhaite stopper ce cours parce que peu de personnes y prennent part (120 sur l’école). Je pense que s’ils voulaient vraiment conserver ce cours de français ils feraient ce qu’il faut pour ». Cette jeune passionnée justifie sa pétition : « Si l’école voit grâce à elle que le français est important pour les élèves, je veux croire qu’ils conserveront ces cours ». Si Madi gagne son combat French Morning propose de l’inclure d’office dans la prochaine promotion de la légion d’honneur…

Crédit : flickr.com/photos/whizzer

Cold Water Classic, la vague des champions

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Comme chaque années le Cold Water Classic réuni les meilleurs surfeurs du monde pour une compétition dantesque.
L’édition 2013 du Cold Water Classic réunit les 16 plus grands surfeurs sur le spot de Steamer Lane à Santa Cruz. À la clef pour le vainqueur  une année de sponsoring de la marque d’équipement sportif O’Neill partenaire de l’évènement, ainsi qu’une place pour les championnats du monde. La compétition innove cette année  dans la sélection des sportifs avec quatre surfeurs choisis par le public sur Internet. Parmi les 16 deux sont locaux, Shaun Burns et Noi Kaulokukui originaire de Hawai. Ce sont les favoris de l’épreuve et les chouchous du public.
Le Steamer Lane est un spot emblématique depuis les années 30, ses grosses vagues ont fait sa réputation et Surfer Magazine a élu Santa Cruz la « number one surf town » des Etats-Unis !
 
 
Crédit photo: O’Neill

L'Alliance Française de San Francisco met Gainsbourg à l'honneur

Serge Gainsbourg est à l’honneur à l’Alliance Française de San Francisco. Le biopic, Gainsbourg vie héroïque, y sera diffusé le mardi 12 novembre à 18h45.
Ce film, écrit et réalisé par Johann Sfar en 2010 retrace la vie de cette légende du cinéma et de la chanson française. Il propose ainsi au spectateur d’entrer dans l’univers de Gainsbarre, de son enfance lors de la montée du nazisme à sa mort en 1991. Adulé par les critiques et récompensé lors de nombreux festivals, Gainsbourg vie héroïque donnera également au spectateur l’occasion de découvrir l’excellent Eric Elmosnino, dans le rôle de Serge Gainsbourg.
Le film sera diffusé en français et sous-titré en anglais.
Crédits : thefilmstage.com/