Le ciel captive. Le peintre Franck Bailleul l’a capturé à sa manière, sur ses toiles.
Il présente ses oeuvres jusqu’au mardi 17 janvier au Pacific Design Center de Los Angeles. « Charles Cohen, le propriétaire du bâtiment, adore ce que fait Franck Bailleul. Il a décidé de lui attribuer son propre espace à durée indéterminée » , commente Valérie Maxwell, directrice de la galerie Varola.
L’exposition « From the sky, the earth, a scrap, a passing shape and a spider’s web » compte 18 oeuvres, dans lesquels l’artiste joue sur la dialectique ombre-lumière, transparence-opacité. Cette histoire d’amour avec l’immensité n’est pas nouvelle. Franck Bailleul a hérité de la passion de son père pour l’art. Dès l’âge de 8 ans, il développe une prédilection pour les peintures flamande et hollandaise du XVIe et XVIIe siècles, qui ont en commun l’omniprésence du ciel.