(Article Partenaire) Le Lyceum Kennedy vous ouvre ses portes. L’établissement franco-américain de Manhattan et du Westchester organise une série de journées portes-ouvertes sur ses deux campus d’octobre à janvier (dates et inscriptions ici) en préparation de la rentrée 2016-2017.
Pendant la visite, les parents pourront découvrir les locaux de l’école, ses programmes pédagogiques et extra-scolaires. Enseignants, parents, élèves et administrateurs seront disponibles pour répondre aux questions et partager leur expérience.
Depuis son ouverture en 1964, le Lyceum Kennedy est l’une des écoles bilingues les plus reconnues de New York et propose une éducation bilingue rigoureuse au sein d’une communauté multiculturelle. Au total, plus de 250 élèves sont scolarisés de la Maternelle au Lycée sur ses trois campus (celui du Westchester dans la commune d’Ardsley et deux campus pour le Collège /Lycée et la Maternelle/l’Élémentaire sur la 43ème rue et la 2nd avenue à Manhattan ).
L’école, homologuée par l’Education Nationale et par le Board of Regents de l’Etat de New York, prépare aux examens français et américains (ELA, math test, Regents, AP, New York State High School Diploma).Elle est l’une des seules écoles à proposer un programme diplômant d “IB”. Le diplôme d’IB (Baccalauréat International), préparé en Première et Terminale, est totallement bilingue Français Anglais au Lyceum Kennedy. Programme académique d’éducation rigoureux et équilibré, l’IB s’adresse aux étudiants à la recherche d’une éducation de première qualité les préparant à devenir des citoyens du monde responsables.
Portes-ouvertes:
Inscriptions ici
Campus de Manhattan (225 East 43rd Street):
22 OCTOBRE (17H30 – 19H00); 18 NOVEMBRE (9H00 – 11H00); 2 DÉCEMBRE (17H30 – 19H00); 16 DÉCEMBRE (9H00 – 11H00)
Campus d’Ardsley (1 Cross Road):
19 NOVEMBRE (10H00 – MIDI); 9 DÉCEMBRE (10H00 – MIDI); 7 JANVIER (10H00 – MIDI)
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Portes-ouvertes au Lyceum Kennedy à New York et Ardsley
Louis Lévy, fils d'écrivain et restaurateur à New York
Quand il avait 15 ans, Louis Lévy avait un “plan de vie” : réaliser des films, puis, vers 40 ans, “ouvrir un restaurant avec des copains”. “Finalement, les choses se sont inversées, je commence par le restaurant”, constate le jeune homme de 25 ans, fils de l’écrivain Marc Lévy, lui aussi résident new-yorkais.
Le restaurant s’appelle Mimi, et ses copains, Evan, Daniel, et Camila. Le doyen est âgé de 27 ans. “Ce qui m’attire dans la restauration, c’est ce coté un peu idéalisé où après la fin du repas, on reste pendant des heures avec des amis à refaire le monde autour d’une table”, raconte Louis Levy, assis sur une banquette en velours nuit de son restaurant, qui ouvre vendredi 9 octobre à Greenwich Village.
Il imagine Mimi comme “une scène” où chaque soir se jouerait un épisode nouveau. Pour lui, faire tourner un restaurant, c’est presque comme tourner un film, ou monter une pièce de théâtre : il faut coordonner une équipe, “faire en sorte que tout soit impeccable à un instant précis” dans un décor et une ambiance étudiée, raconte le souriant Louis Lévy, passionné de cinéma et de photographie.
Travelling arrière : Louis Lévy, qui a grandi entre Paris et Londres, s’installe à New York il y a six ans, peu après son père. Après des études d’histoire et de photo à la Parsons School, il a secondé pendant un an le propriétaire du restaurant Café Gitane, à New York, avant de décider de monter le sien avec trois amis. “On a fait une petite levée de fonds, on a un peu emprunté, nos familles nous ont aidés. On a aussi un ami qui a remporté un tournoi de poker et qui nous a donné un coup de main.”
Le décor de Mimi est moderne-rétro, avec du marbre au mur, des lustres en forme de boules métalliques, et un grand bar au milieu de la pièce. Sur la carte, des plats français, des choses “simples et bonnes”, assure Louis Lévy, qui recommande le tartare de veau, le gratin aux endives, les moules au vin blanc ou le fondant au chocolat avec de la glace au lait de chèvre.
Les plats ont été élaborés par une jeune cheffe américaine. “On lui a laissé carte blanche, sauf pour le baba au rhum, parce que c’est mon dessert préféré. Et aussi le poulet à la moutarde. C’est un clin d’œil à mon père, car quand on vivait à Londres, c’était en pleine crise de la vache folle, et pendant trois ans on a mangé du poulet tous les soirs, on a dû manger une ferme entière !”, se souvient Louis Lévy.
Le restaurant sera pour le moment ouvert uniquement le soir, et Louis Lévy prévoit d’y passer la plupart de ses soirées, pour accueillir les gens et les placer. “Ensuite, on prévoit aussi d’ouvrir le week-end pour le brunch, puis pour le déjeuner.”
Marc Lévy a déjà diné chez Mimi la semaine dernière avec sa femme Pauline et leur fils de cinq ans, lors d’une soirée de pré-ouverture. “Il m’a dit que cela lui avait beaucoup plu. Mais j’espère qu’il ne dit pas cela parce que c’est mon père !”, dit Louis Lévy. “Je crois qu’il aime bien l’idée, ouvrir un restaurant, c’est quelque chose qu’il aurait aimé faire quand il était plus jeune. Et puis, il est très bon cuisinier”, poursuit-il. Son père, qui habite le quartier, risque en tout cas souvent d’y passer. “Il est obsédé par l’idée de venir pour se faire son café.”
Discussion avec le cuisinier Jacques Pépin, le 12 octobre à San Rafael
Le chef français Jacques Pépin, star de plusieurs émissions culinaires américaines, sera à San Rafael lundi 12 octobre pour parler et dédicacer son nouveau livre de cuisine Jacques Pépin, heart & soul in the kitchen.
A 79 ans, Jacques Pépin est un chef hors du commun. Il a été le cuisinier de Charles de Gaulle pendant plusieurs années. En 1959, il arrive aux États-Unis et travaille pour divers restaurants, puis débute une carrière à la télévision en proposant des émissions de cuisine sur la chaîne PBS.
Dans son dernier livre, il prend un tournant plus intime en confiant des recettes personnelles qu’il prépare pour sa famille et ses amis.
Il conversera avec Tyler Florence, une cheffe qui anime plusieurs émissions de cuisine et a écrit douze livres de cuisine.
Le 14 octobre, des airs de Ravel et de Berlioz à Berkeley
Venez célébrer la fin de l’été en écoutant le Boléro de Ravel et les Nuits d’été de Berlioz. Ces oeuvres seront reprises par le Berkeley Symphony à l’université de Berkeley, le mercredi 14 octobre.
Ce concert ouvrira la saison 2015-2106 du Berkeley Synphony. La jeune chef d’orchestre Joana Carneiro dirigera l’ensemble. La soprano canadienne Simone Osborne ouvrira le concert en interprétant Nuits d’été de Berlioz, accompagnée par l’orchestre.
Par la suite, l’ensemble interprètera pour la première fois sur la côte ouest la nouvelle symphonie de la compositrice finlandaise Kaija Saariaho, intitulée Laterna Magica.
Le concert sera suivi d’un diner.
La "Montpellier Tech" en visite au Texas
Les start-up de Montpellier veulent leur part du gateau américain. Une délégation de startups montpelliéraines, emmenée par l’entrepreneur français Ludovic Charbonnel visite actuellement les “Silicon Hills” de la capitale du Texas, où se trouve le siège social de Dell, implanté à Montpellier, avant de se diriger vers New York ce week-end.
Participent à la visite: quatorze jeunes pousses, dont Plussh, spécialisée dans le streaming de vidéos haute définition sans sacade ni coupure, Nelis ou encore I A.M UP. Au programme: un accompagnement par le French American Business Council of Austin, des visites d’entreprises comme la success story française d’Austin LDR Spine, des présentations de leurs projets dans différents accélérateurs de la capitale du Texas, des soirées de networking… Un véritable « accélérateur éphémère », résume Ludovic Charbonnel.
« Les projets qui participent à ce voyage s’adressent tous à un marché global. Mais pour beaucoup, c’est la première fois aux Etats-Unis. Il était donc temps de chercher des interlocuteurs dans le pays et d’y venir présenter nos idées » , explique Ludovic Charbonnel, qui est venu plusieurs fois aux Etats-Unis.
Suivi par ses pairs, Ludovic Charbonnel, créateur de la plateforme d’experts accessible sur plusieurs écrans à la fois ServicesYou, a également été très vite été suivi par la branche Développpement économique de la communauté d’agglomération de Montpellier, qui a pris en charge environ la moitié du coût du séjour. Pour Ludovic Charbonnel, « c’est une autre force des Français que de pouvoir bénéficier du soutien des pouvoirs publics ».
Pique-nique franco-suisse près de Houston
C’est le moment de sortir la nappe à carreaux et le panier de victuailles. La Swiss American Society organise un pique-nique à Brazos Bend State Park, Needville (sud de Houston), le dimanche 11 octobre. Houston Accueil y participera aussi.
Rendez-vous près du pavillon d’Elm Lake à midi pour ce rendez-vous franco-suisse. Les organisateurs demandent aux convives d’apporter leur propre viande à griller et un plat à partager, ainsi que des transats, des jumelles pour observer les alligators et les oiseaux du lac, et “beaucoup d’eau” .
Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans. RSVP avant le 9 octobre. Les alligators ne sont pas les bienvenus.
Du fromage et du "food art" à New York
De la nourriture et de la nourriture de l’esprit. Le French Cheese Board, espace dédié à la promotion du fromage français sur la 35eme rue, organise une exposition de “food art” (l’art à base de nourriture) du 9 au 15 octobre.
Les œuvres alimentaires montrées sont signées Dorothée Selz, une artiste connue dans l’univers du “food art” pour ses arrangements colorés de produits (comme les pains multicolores en photo) et ses impressionnantes installations comestibles.
Gratuit.
Sarah Abitbol brise la glace à Miami
Après avoir remporté dix titres nationaux et une médaille de bronze aux mondiaux de 2000 en danse, la patineuse française Sarah Abitbol poursuit sa reconversion sous le soleil de Miami.
Enfant, elle y venait presque chaque année visiter sa famille paternelle. Il y a quatre ans, elle fait une demande de carte verte mention sportif de haut niveau avec son partenaire sur glace, qui fut aussi son compagnon dans la vie, Stéphane Bernadis. Le couple de sportifs est resté très proche. Chacun a refait sa vie, mais c’est ensemble qu’ils ont envisagé de poursuivre leurs carrières outre-Atlantique.
Les deux familles déménagent donc et deviennent voisins. Le patineur ouvre un restaurant, le Montefiore à Miami Beach. Sarah Abitbol, qui avait monté une troupe de danse sur glace en France, effectue la navette dans un premier temps, puis elle se concentre sur son projet : monter un dîner spectacle sur glace à Miami. « Pas dans une patinoire car il fait vraiment trop froid pour les spectateurs. » Ce concept de divertissement serait inédit en Floride, mais pour l’instant elle n’a pas encore trouvé le lieu idéal.
Un spectacle de danse en couple en décembre
La vie à Miami a ses avantages, surtout pour une patineuse. “Sortir de la patinoire en plein hiver sans enfiler un bonnet et filer à la plage, c’est formidable!” Ici, elle propose son expertise aux clubs de patinage et c’est celui de Pembroke Pines qui lui propose ses premiers élèves. « Vu mon parcours, je peux tout corriger. J’ai été entraînée par les meilleurs et aujourd’hui j’apporte ma touche personnelle. Je m’occupe aussi parfois des petits. On sait rapidement si un enfant de 5 ou 6 ans a du potentiel. Ce club n’a pas de danseurs en couple alors je commence à observer les plus jeunes pour voir lesquels pourraient former un petit couple. »
Les méthodes d’entraînement et infrastructures diffèrent de celles connues par Sarah Abitbol en France. Elle envisage aussi de co-organiser des stages d’été avec des sportifs de l’Hexagone. « En France, on est toujours à la recherche de créneaux libres dans les patinoires. Certains clubs ici proposent trois patinoires en un seul lieu… »
L’arrivée de cette sportive au palmarès doré s’est rapidement su dans la communauté française de Miami. Sarah Abitbol a déjà été contactée par de nombreuses familles de Coconut Grove et Miami Beach pour entraîner leurs enfants. Mais pour des questions de réglementations, elle est attachée par une exclusivité à Pembroke Pines. Elle ne baisse pas les bras. « C’est frustrant, je ne peux pas m’empêcher de penser que je passe peut être à côté d’une graine de champion ! »
En attendant, elle peaufine le spectacle de danse en couple qu’elle donnera à Pembroke Pines le 5 décembre avec son époux, patineur lui aussi.
Une course avec vue sur l'océan le 10 octobre
Une marque de fast food qui sponsorise une course. Ça peut prêter à sourire. C’est pourtant le concept de la Burger King Beach Run, dont la 3eme édition aura lieu le samedi 10 octobre à Miami Beach.
Il n’est pas trop tard pour s’inscrire. Il vous en coûtera 40 dollars le jour de la course (tarif adulte) et 30 en ligne. La course, qui propose deux itinéraires (son traditionnel 5 km et cette année un 10 km), commence et se termine sur Beach Road et 8th St, en passant par Washington Avenue, 21st St et le Boardwalk pour une petite foulée en bordure d’océan. Les inscriptions ouvrent à 6am et la course commence à 7:30am.
Soirée "Waterloo" à Coral Gables
Waterloo n’a pas été la période la plus glorieuse de l’Histoire de France. Le centre de langues Società Dante Alighieri propose de se replonger dans la grande bataille de 1815, ce 16 octobre.
Cette “soirée Waterloo” commencera par une présentation par Jean-Paul Guis, de l’Archidiocèse de Miami, et se poursuivra par la projection de “Vauban”, le film sur ce ministre de Louis XIV, connu pour ses forteresses.
Evènement gratuit mais les donations sont les bienvenues.
Laurent, le nouveau café d'un Normand fou de croissants
A cinq heures, tous les matins, c’est le même rituel. Laurent Triqueneaux se tient devant ses fourneaux, prêt à produire quelque 2000 croissants croustillants. “Tout est frais, fait à la main, et la farine est bio !”, affirme le propriétaire de Laurent’s Le Coffee Shop, un café-boulangerie qui vient d’ouvrir à Los Angeles sur Washington Boulevard, à Culver City.
Sur les présentoirs, outre les croissants, on trouve d’autres douceurs françaises (croissants aux amandes, pains au chocolat ou aux raisins, gaufres, tartes) mais aussi des quiches et des sandwiches-baguette pour le déjeuner.
“Certaines des recettes, comme celles de la pâte à tarte ou du pain perdu, me viennent de ma famille et sont uniques”, explique Laurent Triqueneaux. “Petit, je passais beaucoup de temps dans la cuisine, avec ma grand-mère pied-noir. J’ai grandi dans le couscous et les tajines”, confie ce Normand élevé à la ferme, entouré de poules et de lapins.
Des étoiles hollywoodiennes aux croissants
Pendant longtemps, la cuisine est restée une simple passion pour Laurent Triqueneaux. Cet ancien juriste, venu aux Etats-Unis par amour il y a près de 30 ans, a eu plusieurs vies avant de se lancer dans la restauration. Il a d’abord été journaliste people à Hollywood. Puis coach sportif.
“Un jour, la salle de sport où je travaillais a brutalement fermé. Il fallait vite que je retrouve quelque chose. Comme j’étais plutôt doué pour les quiches et les tartes, j’ai tenté ma chance au Farmer’s market de Culver City. Je me revois encore chargeant ma décapotable avec ma glacière et mon parasol !” Son stand rencontre très vite un gros succès, à tel point qu’il se met à enchaîner les marchés de la région.
“J’ai ensuite eu l’idée de me lancer dans les croissants. A l’époque, personne n’en vendait. Seul problème: je n’en avais jamais fait ! Au début, ça a été un désastre. J’ai gâché des centaines de kilos de farine et de beurre. Finalement, en tâtonnant, je suis parvenu à faire de très bons croissants.” Le résultat est très réussi: de vraies viennoiseries à la française croustillantes, mais ni trop grasses, ni trop sucrées.
Des produits frais du ranch à Temecula
Après les marchés, Laurent Triqueneaux a ouvert successivement trois restaurants (Café Laurent, The Woods et Bistro Laurent, aujourd’hui fermés). A l’approche de la retraite, il a eu envie de recentrer son activité autour de la boulangerie, avec Laurent Le Coffee Shop.

En plus de cette nouvelle enseigne, il est aussi présent dans huit farmer’s markets et fournit douze gros clients, du Lycée Français de Los Angeles à Tanners, le plus vieux coffee-shop de Culver City, en passant par le chocolatier Lady Chocolatt.
“Avec mon partenaire, nous allons aussi ouvrir une autre boulangerie dans la vieille ville de Temecula, sur 4th street”, précise Laurent Triqueneaux. “J’y ai acheté un ranch il y a quelques années et je suis tombé amoureux de la région. Nous y faisons pousser des avocats, des citrons, des pommes, des fruits de la passion et nous y élevons des poules. Cela nous permet d’approvisionner régulièrement Le Coffee Shop en produits frais de la ferme.” De la Normandie à la Californie, la boucle est bouclée.