Michel Gondry, réalisateur de “Eternal sunshine of the spotless mind”, sera à Fordham University pour une masterclass le 5 octobre, au lendemain de la sortie de son dernier film “Microbe et Gasoil” aux États-Unis.
Après avoir réalisé plusieurs clips vidéo pour de grands artistes tels que Bjork, Radiohead et Kylie Minogue, il se lance dans la réalisation de films. “Eternal sunshine of the spotless mind” est un de ses grands succès, il lui vaut de remporter l’oscar du meilleur scénario original en 2005. Depuis, il a réalisé plusieurs films, salués par la critique tels que “L’écume des jours” et un documentaire “Conversations animées avec Noam Chomsky”.
“Microbe et Gasoil” raconte les aventures de deux ados mis à l’écart au collège. Voyant les vacances d’été qui arrivent et ayant envie de fuir leurs familles, les deux collégiens vont décider de créer leur propre voiture et partir pour une escapade autour de la France.
Une masterclass avec Michel Gondry à New York
28 millions de dollars pour la start-up franco-américaine PeopleDoc
Chez PeopleDoc, ce jeudi soir, c’est “grosse soirée”. “On va fêter ca, forcémment”, raconte Jonathan Benhamou, joint par téléphone, depuis la France.
Mercredi 30 septembre, PeopleDoc, sa start-up spécialisée dans la digitalisation de documents RH, a annoncé une levée de fonds de 28 millions de dollars, menée par le fonds parisien Eurazeo. L’année dernière, au mois de mai, PeopleDoc avait déjà levé 17,5 millions de dollars, auprès d’Accel Partners. Avec ce nouveau tour de table, PeopleDoc enregistre un financement de 50 millions de dollars depuis sa création. Bref, c’est du lourd.
Jonathan Benhamou, l’un des deux co-fondateurs, vit habituellement à New York – la start-up y a ouvert un bureau en janvier 2014. Il est rentré à Paris pour l’occasion. “C’est une somme énorme, qui va nous permettre d’accélérer notre développement et de devenir l’un des acteurs RH au niveau mondial”, dit-il.
Après la France et les Etats-Unis, PeopleDoc va étendre son implantation dans d’autres pays : l’Angleterre, le Canada, puis l’Asie, raconte Jonathan Benhamou. “On va aussi doubler nos objectifs en termes de recherche et développement, et accélérer notre recherche de nouveaux clients.” Des recrutements sont prévus aussi bien à Paris qu’à New York.
L’entreprise emploie actuellement 110 personnes, dont trente aux Etats-Unis. Parmi ses 400 clients, figurent des poids lourds comme American Express, Match.com, Vinci ou Daily Motion. PeopleDoc affirme que ses logiciels sont utilisés par 1,5 million de salariés.
Le Québec met le cap sur Houston
A peine installé au numéro 1155 de Dairy Ashford, dans l’Energy Corridor, le réseau international d’implantation d’entreprises québécoises Expansion Québec accueillait déjà une première société de la Belle province désireuse de se développer dans la région.
« Nous discutions depuis quelque temps avec l’entreprise d’unités de travail et de cabinets modulaires Metalia, en plein essor international, et puis ça s’est fait vite. Les attachés commerciaux qui accompagneront les entreprises que nous domicilions n’arriveront que début novembre », indique Dominic Viénot, le Franco-Canadien qui coordonne la création de cette antenne du Québec à Houston depuis le bureau Expansion Québec de Californie du Nord, à San Mateo.
Mais au-delà de la domiciliation et de la location de bureaux, il s’agit bien de « former un guichet unique » de soutien au développement d’affaires et d’implantation au Texas, « premier Etat exportateur des Etats-Unis ». « Et cela passe aussi par l’entraide mutuelle avec le Consulat du Canada à Dallas », estime Dominic Viénot.
« Jusqu’à présent, les entreprises du Québec désireuses de se développer au Texas étaient soutenues depuis Atlanta », indique le dirigeant. Le Québec reconnaît désormais son « premier partenaire commercial aux Etats-Unis » à sa juste valeur, à savoir un volume total d’échanges de 11,5 milliards de dollars canadiens (soit plus de 8,5 milliards de dollars états-uniens) annuels. Le Texas est aussi « notre deuxième marché d’exportation en importance, avec un sommet de 3,6 milliards de dollars canadiens (soient près de 2,7 milliards de dollars états-uniens) en 2014 », indique un communiqué du ministère de l’Economie du Québec. Mais « le recensement des entreprises québécoises au Texas est encore en cours », indique Dominic Viénot, qui cherche à recruter un responsable administratif pour l’assister dans son travail au Texas.
« A terme, on organisera, dans notre espace pouvant héberger des pitchs de startups ou encore des séances de réseautage, des rassemblements d’entreprises québécoises comme ceux qu’on organise en Californie afin de faciliter l’échange d’expériences et de bonnes pratiques », prévoit le Franco-Canadien. Le dirigeant sera à Houston les 5, 6 et 7 novembre pour faciliter l’arrivée des conseillers en développement d’affaires et se tient déjà tout prêt à réseauter.
Des films et des cinéastes français au New York Film Festival
Les francophiles new-yorkais vont en avoir pour leur argent. Pour sa 53eme édition, le New York Film Festival présente une belle panoplie de films français. Les festivités cinématographiques auront lieu jusqu’au 11 octobre.
Parmi les premières américaines proposées pendant le festival, ne ratez pas “Les Cowboys” de Thomas Bidegain, sur la quête obsessionnelle d’un père pour sa fille disparue. Il sera projeté les 1 et 2 octobre.
Autre première: “Microbe et Gasoline” de Michel Gondry. “Microbe et Gasoil” raconte les aventures de deux ados mis à l’écart au collège. Voyant les vacances d’été qui arrivent et ayant envie de fuir leurs familles, les deux collégiens vont décider de créer leur propre voiture et partir pour une escapade autour de la France. Michel Gondry viendra présenter le film en personne le 4 octobre.
Enfin, comment ne pas mentionner “The Measure of a man” (“La loi du marché”), qui a valu à Vincent Lindon d’être applaudi par la critique pour son rôle d’un chômeur qui subit des humiliations quotidiennes ordinaires dans sa recherche d’emploi. Les 7 et 8 octobre.
Autres films (cliquer sur le titre pour plus d’infos):
A SoHo, le restaurant Cocotte s'offre une petite soeur
Après le succès de son restaurant Cocotte, ouvert en 2012, Sébastien Pourrat a décidé de créer « Petite Cocotte », sa voisine et petite sœur. Un bar café à l’espagnole où l’on vient aussi bien prendre le café le matin que déjeuner ou prendre un verre après le travail autour de tapas.
Après avoir mené de front des études de droit et le cours Florent, Sébastien Pourrat a tout plaqué pour s’adonner à sa vraie passion : la cuisine. « Souvent, mes amis me demandaient de cuisiner pour eux parce qu’ils savaient que j’aimais ça ».
Originaire de la région de Bordeaux, il se lance dans le milieu de la restauration à Paris, puis décide de venir à New York : « Ma femme y travaillait déjà et je me disais que c’était une ville où il était ennuyeux d’être touriste. Quand je voyais les gens courir dans la rue, j’avais envie de courir avec eux».
En ouvrant Cocotte – « c’est comme ça que j’appelle ma femme, on dit beaucoup ‘cocotte’ dans le Sud Ouest » – il se lance dans l’inconnu. Mais Sébastien Pourrat s’accroche et travaille d’arrache pied. Avec un ami architecte du Sud Ouest, il conçoit son restaurant en étant autant attaché à la décoration qu’à sa future carte. « Je suis autodidacte, j’aime créer des choses qui me ressemblent que ce soit la déco ou le menu ».
L’idée de Petite Cocotte lui vient il y a un an. « Petite Cocotte se trouve dans le même bâtiment que Cocotte. Depuis que je suis arrivé, il est abandonné et je me suis dis que cela serait sympa de faire quelque chose dedans. »
Il décrit ce café bar comme le négatif de Cocotte. « Cocotte est en noir et blanc. A Petite Cocotte, on retrouve de la couleur. Il y a des carreaux ciment d’Aix-en-Provence colorés. J’ai les mêmes carreaux mais en noir et blanc de l’autre côté ».
Avec Petite Cocotte, « je voulais faire une place de vie, comme les petits bars à Tapas en Espagne où l’on va prendre le café le matin et boire des coups le soir. J’aimais l’idée de la continuité sur la journée. Ce n’est pas une identité ici » , explique le restaurateur.
A Petite Cocotte, on prend son croissant avec un café le matin, un sandwich le midi et des tapas originaux le soir. Au menu, on retrouve les traditionnels gaspacho et jambon espagnol mais aussi du poulet à l’armagnac, du confit de canard, accompagné d’un bon verre de vin ou d’un cocktail.
Sébastien Pourrat a encore plein de projets en tête. En ce moment, il conçoit des lunch box pour les professionnels de la tech à New York. Avec son associé, ils feront don d’un dollar par box à plusieurs écoles de Brooklyn pour permettre aux enfants d’avoir accès à la technologie.
Les Ballets Jazz de Montréal sur la scène du Lycée Français
Des danseurs des Ballets Jazz de Montréal viendront danser sur la scène du théâtre Raymond Kabbaz, au Lycée Francais de Los Angeles, le 7 et 8 octobre.
Ils interprèteront des extraits de chorégraphies de Benjamin Millepied, Barak Marshall, Wen Wei Wang ou Cayetano Soto.
La compagnie des Ballets Jazz de Montréal, fondée en 1972 et dirigée par Louis Robitaille, a donné des milliers de représentations partout dans le monde depuis sa création. Une valeur sûre dans le monde de la danse jazz et contemporaine, connue pour ses spectacles exigeants et accessibles.
7 choses à faire lors des French Weeks Miami 2015
Tournoi de tennis, expositions, business, cinéma: l’édition 2015 des French Weeks promet d’être chargée si l’on en croit le programme provisoire révélé par la chambre de commerce franco-américaine de Miami, organisatrice de l’évènement depuis son lancement il y a huit ans. Attention: certains évènements ne sont pas encore ouverts aux réservations, mais devraient l’être dans les tous prochains jours, selon la directrice de la chambre Pascale Villet.
Les festivités commenceront le jeudi 29 octobre par une réception au consulat et se termineront le 12 novembre au restaurant de Miami Beach Plethore et Balthazar. Entre temps, il y aura presque un évènement par jour. On vous en a sélectionné sept, mais pour une liste complète, consultez le programme.
A noter qu’un pass French Weeks sera proposé sur le site de l’évènement pour 150 dollars pour les membres de la FACC et 260 dollars pour les non-membres. Il donnera accès aux réceptions d’ouverture et de clôture ainsi qu’à plusieurs évènements organisés pendant cette semaine tricolore.
7. Du vin!
“French Food and wine imports into the US: business an technical experts”, c’est le nom un poil technique de cette table-ronde qui aura lieu le 30 octobre. Elle explorera les contraintes règlementaires sur l’importation de produits français aux Etats-Unis, en présence de responsables douaniers américains et d’acteurs de l’import. Lieu à confirmer. Tickets ici
6. Cosmétique
Une autre table-ronde aura lieu, le lundi 9 novembre, sur le thème de la cosmétique environnementale. Alban Muller, fondateur de la marque du même nom et précurseur dans le domaine, y participera. Lieu à confirmer.
5. Implantation Forum
Un rendez-vous utile pour les entrepreneurs qui souhaitent se lancer en Floride. Démarré l’an dernier, il consiste en des conférences matinales sur les pièges à éviter pour réussir son implantation, et, dans l’après-midi, une série de rencontres avec des experts (avocats d’affaires, d’immigration, expert santé, agents immobilier, branding…). Il aura lieu le 10 novembre.
4. Une expo sur les Américaines qui ont reconstruit la France
French Morning vous en parlait il y a quelques semaines. Cette exposition, qui vaut le détour, retrace les aventures d’Anne Morgan et de son groupe de courageuses femmes américaines parties reconstruire la France après la 1ere Guerre Mondiale. Une conférence sur ces Américains méconnues aura lieu le jeudi 5 novembre. Coral Gables Museum, 285 Aragon Avenue. Coral Gables. Infos ici
3. Les étudiants de FIU parlent de la France
Un panel d’étudiants de FIU partis en France parleront de leur perception du pays avant et après leur voyage. Ils ont visité Angers, les Alpes, Lyon, Paris, Strasbourg et le Mont Saint-Michel. Le consul général Philippe Letrilliart en est l’invité d’honneur. Gratuit. RSVP avant le 23 octobre à [email protected]. Le 29 octobre, 2-4pm. FIU Modesto Maidique Campus. Infos ici
2. La Petite Fair
Un rassemblement de marques françaises spécialisées dans les accessoires, la mode et la déco. Cet évènement gratuit sera marqué par un “Fashion Show” . Le mercredi 11 novembre. Lieu à confirmer.
1. French Night au Fort Lauderdale International Film Festival
Plusieurs films français seront programmés lors de ce festival international, mais un seul sera mis en avant lors d’une soirée française, le 7 novembre: “Les Pères Noël”, un court-métrage d’Emmanuelle Michelet avec Julia Piaton, Bruno Sanches, Fanie Zanini, Alex Lutz et Tom Dingler. Une récéption suivra la projection au Cinema Paradiso. Site ici
La chanteuse du printemps arabe à New York et en Californie
Chanteuse star du printemps arabe, Emel Mathlouthi entame une petite tournée aux Etats-Unis. Elle se produira le 1er octobre à Los Angeles, le 12 octobre à New York et le 16 octobre à San Francisco.
La Tunisienne Emel Mathlouthi s’est fait connaître lors du printemps arabe avec sa chanson “Kelmit Horra”, qui signifie “ma parole est libre”. Sa voix envoûtante a séduit les révolutionnaires qui reprenaient sa chanson dans les rue de Tunis. Le morceau devint rapidement l’hymne de la révolution tunisienne.
Emel Mathlouthi compose et écrit elle même ses morceaux, qui sont empreint de son engagement politique. Son style est unique, il mélange les genres des influences du Moyen-Orient au rock et à l’électro.
L'Edito, le nouveau départ d'un Top Chef à Miami Beach
Christophe Bibard s’est fait connaître du public français en 2011 en quittant ses fourneaux pour participer à l’émission télé Top Chef. Deux ans plus tard, il mettait ses couteaux dans un sac et traversait l’Atlantique. Aujourd’hui, accompagné par son épouse Hanane, il ouvre l’Edito, son premier restaurant à Miami Beach.
Christophe et Hanane Bibard sont arrivés jeunes mariés. Un visa de touriste de trois mois en poche et des projets plein la tête. « Il y a quelques années, mon fils avait eu l’idée de visiter Miami. J’ai découvert la ville grâce à lui puis je suis revenu avec des copains et j’ai sérieusement réfléchi à une installation. J’en ai vite parlé à Hanane. »
Dès la première semaine, ils affichent complet
Pendant trois mois, ils multiplient les contacts et déposent une demande de visa de prospection – six mois renouvelables. Pas encore investisseurs, mais prêts à sauter le pas. Ils ont tout vendu avant de venir. Une semaine avant l’expiration du visa, ils trouvent le local. Un défi en soi. Une ancienne cafétéria qui n’a jamais vraiment tourné, au rez-de-chaussée d’une tour de Miami Beach. « Le board de la résidence était sceptique, jusqu’à ce qu’on les convie à un déjeuner test. »
Le décor caribéen de la cafétéria laisse place à un atmosphère cosy. L’Edito est né. Dès la première semaine, ils affichent complet. Depuis, les résidents reviennent et le bouche-à-oreille fait son œuvre. Aujourd’hui la moitié de la clientèle provient de l’extérieur. « Nous proposons une cuisine internationale, mais notre carte reste marquée par la gastronomie française. »
“Je travaille mes produits”
Quatre fois par semaine, Christophe Bibard fait son marché. « J’ai adapté ma cuisine. Je n’importe pas de produits français, ça multiplierait par quatre les coûts. Je ne pars pas non plus sur de grosses quantités car je choisis du frais uniquement. Je travaille mes produits et je les sers. Les clients comprennent très bien. Ils apprécient notre démarche. » En revanche, ils sont parfois étonnés du montant de l’addition. « Plusieurs nous ont dit que nos prix n’étaient pas assez élevés. Mais on n’est pas là pour les assommer sous prétexte qu’il s’agit de cuisine française. Je suis seul derrière les fourneaux et Hanane gère la salle. Les charges sont donc limitées. »
De nouveau dans Top Chef?
Il existe un menu à 18,99 dollars, mais la plupart des clients font leur choix à la carte et s’en sortent pour 25 à 30 dollars avec une entrée, un plat et un dessert. L’ancien Top Chef met un soin particulier à dresser ses assiettes. « On mange d’abord avec les yeux. La présentation, ce n’est vraiment pas une préoccupation américaine. »
Si l’envie d’un bœuf bourguignon vous tenaille, vous savez où aller. Ce restaurant est probablement la première étape d’une longue série. Le couple réfléchit déjà à lancer un traiteur « à la française ». Loin d’avoir été refroidi par son expérience de candidat en France, Christophe Bibard surveille aussi les prochains castings de la version américaine.
A Los Angeles, un hommage loufoque aux films X des années 80
Le film décalé À la recherche de l’Ultra-Sex débarque à Los Angeles avec ses deux réalisateurs, pour une projection spéciale et gratuite, le 3 octobre. Nicolas Charlet et Bruno Lavaine, auteurs des “messages à caractère informatif”, programme court de Canal +, ont réalisé ce film.
À la recherche de l’Ultra-Sex rend hommage aux films pornographiques des années 1980. Comme dans leur programme court, les deux réalisateurs mêlent dans leur film 60 extraits de films classés X, qu’ils ont remontés et doublés. Le résultat est hilarant plein de scènes loufoques et de brushing improbables.
Laissez vos enfants à la maison pour la projection !
Patrick Jean, le roi du court-métrage, à Miami
Vous connaissez probablement “Pixels”, ce film d’animation où le monde est attaqué par des personnages de jeux d’arcade – et qui a été vu plus d’un million de fois en 24h. Ou encore “Motorville”, un court-métrage saisissant où un carte de Google maps se transforme en être humain (ci-dessous).
Leur point commun: ils sont signés Patrick Jean. Le travail du Français fait l’objet d‘une rétrospective le jeudi 1er octobre au Bill Cosford Cinema à l’université de Miami, qui comprendra la projection de travaux inédits en 3D et ses projets commerciaux notamment. Il participera également à un atelier prévu à O Cinéma le 3 octobre. L’occasion de découvrir ce créateur, passé de sensation sur la plateforme Vimeo à réalisateur distingué bien connu à Hollywood. L’initiative est organisée par le promoteur de cinéma indépendant FilmGate avec le soutien du consulat de France à Miami.
Éloize fait son cirque magique à Miami
Mélanger les arts du cirque au break dance, tel est le pari de Cirque Éloize. La troupe revient à Miami pour cinq représentations entre le 8 et le 11 octobre.
Depuis 1993, cette compagnie ne cesse d’impressionner par son originalité. Elle compte à son actif près de 4.000 représentations dans 440 villes et 40 pays. Son désir: créer un cirque plus moderne. La troupe mélange les genres, allant des arts du cirque à la musique, en passant par la danse et le théâtre urbain. Dans leur show “iD”, qui explore l’anonymat de la ville et les comportements urbains, les artistes, qui couvrent 13 disciplines différentes, se livrent à d’impressionnantes acrobaties, mélangées à des pas de break dance et de hip hop, dans un décor reconstituant le coeur d’une ville.