C’est la reprise pour le Stade Breton. L’équipe de foot, fondée en 1956, se targue d’être la seule équipe française à évoluer à onze contre onze de septembre à juin dans un championnat homologué par la fédération américaine. Elle joue tous les dimanches.
Elle organise dimanche 30 août (11am) une séance de détection sur le terrain 71 de Randall’s Island. Niveaux recherchés: Divison Honneur Régionale/ Promotion Honneur/ Division Supérieure Régionale. Le premier match aura lieu le 20 septembre.
Foot: le Stade Breton recrute
Un petit-déjeuner pour les nouveaux expatriés à Miami
Bien connue à Miami, et bien pratique pour les nouveaux arrivants, l’association Miami Accueil s’occupe depuis 1994 de faciliter l’installation et l’insertion des nouveaux expatriés français et francophones à Miami.
Le jeudi 10 septembre à partir de 10 am, l’association organise son traditionnel petit-déjeuner de rentrée afin d’accueillir les nouveaux membres, de les présenter aux anciens et de parler des projets du groupe, qui propose plusieurs ateliers et activités (cuisine, sorties, golf, zumba…). Le repas aura lieu à la résidence consulaire à Coral Gables.
La Francophone Charter School d'Oakland fait sa première rentrée
Certains enfants se sont déjà fait des copains, d’autres ont du mal à quitter les bras de leur maman…
Nous sommes bien un premier jour d’école. Cartables sur le dos, tous découvrent, lundi, les classes colorées et fraîchement rénovées de la Francophone Charter School d’Oakland.
Comme il se doit, les cinq professeurs (quatre francophones et un anglophone) sont là pour accueillir les élèves et rassurer les parents. Il faut dire que ce n’est pas une rentrée comme les autres : ici, les enfants âgés entre 5 et 10 ans vont apprendre le français, une langue dont ils ne connaissent souvent pas un seul mot.
“Important d’être bilingue”
« Il y a beaucoup de travail à faire » reconnait Mathilde Touchais, professeur en charge de la classe de TK (transitional kindergarten). Mais pour cette Française arrivée il y a tout juste trois semaines aux Etats-Unis, pas de panique : « On ne parle qu’en français mais au début on fait beaucoup de choses de la vie quotidienne comme se laver les mains, ranger le matériel dans la classe… Ce sont des choses très concrètes donc les mots viennent tout seul. Les enfants apprennent à les dire simplement ou en chantant ».
Pour sa part, Sage, 4 ans, semble fin prête. Il faut dire qu’elle est déjà capable de se présenter en français, une petite avance qu’elle doit à son papa originaire de Côte d’Ivoire. Rissa Hernandez – sa maman – est ravie. Elle tenait à voir sa fille dans ce genre d’établissement : « Je crois que c’est important d’être bilingue. Ca va être nouveau pour elle mais elle est intelligente et c’est l’âge parfait pour apprendre».
120 inscrits
Les mêmes raisons ont poussé Meziane et Gigi Kechabia, un couple d’Algériens, à inscrire leur fille Inès. « J’étais moi-même parent volontaire pour faire connaitre l’école, confie le père. On a toujours voulu que notre fille parle français car on parle berbère à la maison. Il y a d’autres écoles bilingues ici mais elles coûtent vraiment trop cher et on ne pouvait pas se le permettre. Alors, dès qu’on a entendu parler de cette école, on a sauté sur l’occasion ». Une belle opportunité dont devrait également profiter à son tour la petite sœur d’Inès, dès l’année prochaine.
Une fois les petits confiés à leur professeur, les parents ont été invités à partager un café et quelques mots avec les directeurs de l’école. Renae Waneka a tenu à remercier tout le monde, heureuse de voir se concrétiser ce qui n’était qu’un projet il y a trois ans.
Cette maman de deux petites filles ne peut en effet que se réjouir du chemin parcouru : « On a eu cette idée en 2012 avec d’autres parents en voyant s’ouvrir l’école à charte franco-américaine de Santa Rosa. On voulait faire la même chose mais côté East Bay ! Aujourd’hui nous avons des classes qui vont du TK au 3rd grade. Nous comptons 120 élèves, nous avions pour but d’en avoir un maximum de 130… On n’est donc pas loin du compte !»
Vivre New York: l'Upper East Side, entre poussettes et "old money"
Le “silk stocking district” (quartier des bas de soie), comme il est parfois surnommé, est plus divers qu’il n’y paraît.
Bien sûr, il y a l’Upper East Side des millionnaires. Tom Wolfe, dans Le Bûcher des vanités, a décrit les us et coutumes de cette petite société : riches héritiers, loups de Wall Street, magnats de l’industrie, et autres représentants de la « old money » peuplent les immeubles ultra-chics de Park Avenue, ou les hôtels particuliers qui s’alignent entre Madison et la 5ème avenue. Au milieu, Madison Avenue est l’avenue Montaigne de New York, où sont installées toutes les grandes maisons du luxe. Dans ce royaume de l’argent et de la démesure, l’appartement de l’Ambassadeur de France à l’ONU, sur Park Avenue, est parti pour l’année dernière pour 70 millions de dollars.
Passées ces trois artères, s’ouvre, vers l’est, un autre Upper East Side. Celui des cadres supérieurs, des couples atteignant le fameux « salaire à six chiffres » (le revenu annuel moyen d’un foyer de l’Upper East Side est de 107 000 $), des retraités aisés. Celui des pressings, des salons de beauté, des restaurants japonais ou italiens de quartier. Celui des petites rues transversales ombragées, avec leurs « brownstones » comme à Brooklyn. Celui des tours résidentielles années 80 d’une trentaine d’étages, avec leurs portiers, gardiens, parkings, salles de gym et piscines intégrées.
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Cet Upper East Side est avant tout un quartier de familles. Au milieu des poussettes, il n’est pas rare d’entendre des bribes de français. « UES » est en effet le quartier de prédilection des familles d’expatriés, en raison de la présence du Lycée Français de New York (qui commence en maternelle). Le Consulat de France, la librairie française Albertine, l’Alliance française y sont aussi basés.
« Le Lycée, c’est la raison numéro un pour laquelle nous sommes venus ici. On n’a pas réfléchi à aller ailleurs. Avec des enfants, c’est bien. Il y a Central Park, des musées… », énumère Virginie, la quarantaine, arrivée à New York avec son mari, banquier, et ses trois filles. « C’est sûr que ce n’est pas trendy, cela manque de restos branchés. C’est un quartier classique, BCBG, et il y a un taux démesuré de femmes refaites. Mais c’est calme le week-end, bien plus que dans le bas de la ville. Ces grands condo tout confort sont parfaits pour des familles. Et puis, côté commerces, nourriture et supermarchés, c’est l’idéal », remarque Delphine, débarquée avec ses enfants et son mari, qui travaille pour une grosse entreprise française à New York.
Si l’UES pâtit auprès des jeunes d’une image coincée (plus que l’Upper West Side, moins conservateur), le nord-est du quartier, appelé Yorkville, connaît une vraie renaissance – notamment car les loyers y sont désormais moins chers que dans East Village ou Williamsburg. Plusieurs adresses y ont ouvert ces derniers temps – comme le bar à cocktails Seamstress, ou le pub gothique The Auction House.
Vous l’avez déjà vu dans… “Breakfast at Tiffany’s” de Blake Edwards, “Manhattan” et d’autres films de Woody Allen, “Kramer contre Kramer”, de Robert Benton, “Le Diable s’habille en Prada”, de David Frankel, la série “Gossip Girl”.
Si c’était un quartier parisien : le 8ème arrondissement le long de Central Park, le 16ème puis le 15ème à mesure que l’on se dirige vers l’est.
Points négatifs : Le quartier n’est pas très cool et évolue lentement. Il est desservi par une seule ligne de métro, saturée aux heures de pointe. La construction d’une nouvelle ligne de métro (jusqu’à fin 2016) sur la 2e Avenue rend le secteur bruyant et encombré. Contrairement à Upper West Side, il n’y a pas d’école publique proposant un programme bilingue en français.
Article paru dans le guide « Vivre New York » réalisé par Le Point et French Morning en 2014, réactualisé en mai 2015.
San Antonio fête l'accordéon
A vos agendas! Le festival international de l’accordéon aura lieu le 12 septembre à la Villita de San Antonio. Ne vous attendez pas à une ambiance “allez viens boir un petit coup à la maison”. Ce festival gratuit se targue d’avoir une programmation de très haute qualité, avec des artistes venus du monde entier.
Depuis sa création, il a accueilli plus de 150 ensembles et est devenu l’un des grands rendez-vous musicaux du Sud-Ouest. La palette de styles représentés lors de l’édition 2015 se veut large: du bal musette parisien au rock celtique en passant par le folk balkanique. On ne se doute pas de tout ce que l’on peut faire avec un accordéon.
Des maisons étonnantes vous ouvrent leurs portes à LA
Los Angeles a des maisons étonnantes. Certaines vous ouvrent exceptionnellement leurs portes le samedi 12 septembre lors de visites organisées par la compagnie Modern House Tours.
Situées en bordure d’océan à Venice, Santa Monica, ou encore Hermosa Beach, ces habitations ont toutes le point commun d’être des petits bijoux d’architecture moderne. Quatre maisons seront ouvertes aux public dans le cadre de ce LA Beach Cities Modern Home Tour 2015, qui aura lieu de 11am à 5pm. Les maisons sont visitables dans l’ordre que vous souhaitez. Les tickets sont en vente.
Manger du chocolat pour la bonne cause à San Francisco
Fontaine de chocolat, forêt noire, ou tablette de chocolat blanc, noir ou au lait… tout le monde à ses préférences. Les 12 et 13 septembre, le chocolatier Ghirardelli organise son festival du chocolat 2015 à Ghirardelli Square.
Au cours de ce week-end placé sous le signe du cacao, 50 professionnels du chocolat vous feront déguster certaines de leurs délicieuses fabrications. Démonstrations de chefs locaux, dégustation vins-desserts, concours de gobage de glace: plusieurs animations sont prévues pendant ces deux jours. L’intégralité des bénéfices sera reversée à une ONG, Project Open Hand, qui livre des repas et des aliments aux personnes atteintes du Sida.
Thalys: les trois "héros" américains reçoivent la Légion d'honneur
François Hollande a décerné, lundi, la Légion d’honneur aux trois Américains Alek Skarlatos, Anthony Sandler et Spencer Stone – mais également au Britannique Chris Norman – qui ont maîtrisé le terroriste présumé Ayoub El-Khazzani dans le Thalys Amsterdam-Paris vendredi dernier.
Lors d’une cérémonie, le président a salué le “courage” des quatre hommes qui ont réussi à empêcher l’homme armé d’une kalachnikov de commettre un possible massacre. Alek Skarlatos et Spencer Stone, deux militaires, étaient en vacances en Europe avec leur ami quand ils sont intervenus.
“Depuis vendredi, les Français admirent votre courage, le sang-froid dont vous avez fait preuve, la solidarité qui vous a permis, à mains nues – je dis bien à mains nues – de maîtriser un individu surarmé et prêt à tout” a déclaré le chef de l’État français, selon l’AFP. Barack Obama a par ailleurs salué “l’acte héroïque” des trois hommes.
Mathieu Amalric monte sur les planches à New York
Il l’avait dit dès décembre à French Morning: Mathieu Amalric sera de retour aux Etats-Unis cet automne pour deux dates (le mercredi 4 novembre et le jeudi 5 novembre) pour jouer la pièce Le Moral des Ménages de Stéphanie Cléau, adaptée du roman d’Eric Reinhardt (prix Renaudot des lycéens notamment). Les représentations auront lieu au FIAF.
Au côté d’Anne-Laure Tondu, il joue le rôle de Manuel Carsen, un anti-héros qui déclare son amour aux femmes qui l’entourent pour ne pas ressembler à son père. La pièce, et ce rôle de quarantenaire obscur en pleine crise existentielle, lui ont valu les dithyrambes de la critique en France. C’est la première fois que la pièce est jouée aux Etats-Unis, et la première fois que Mathieu Amalric (connu aux Etats-Unis pour son rôle dans “Le scaphandre et le papillon” et celui du méchant dans le James Bond “Quantum of Solace”) monte sur les planches américaines.
A noter que le FIAF et le centre cinématographique Anthology Film Archives organisent du 3 novembre au 15 décembre une rétrospective de films dans lesquels Mathieu Amalric a joué ou qu’il a réalisés. Mathieu Amalric viendra au FIAF le 3 novembre donner le coup d’envoi de cette série de projections hebdomadaires avec son film “La Chambre Bleue”.
A Brooklyn, une Française dans les légumes
“Notre spécificité, c’est qu’on fait de l’ultra-local”, affirme Carmen Bouyer. Cette artiste française, en résidence chez Pioneer Works à Red Hook (Brooklyn), a lancé mi-juillet une Amap (“CSA” pour “Community Supported Agriculture” en anglais) qui permet à tous ses membres de récupérer chaque semaine un panier de légumes bio.
La particularité de ces concombres, choux et courgettes ? Ils sont à peine récoltés, à peine vendus. Tous sont en effet issus d’une ferme urbaine située à quelques centaines de mètres, dans un ancien terrain de baseball reconverti en champ, “juste devant Ikea”, explique Carmen Bouyer.
Tous les jeudis, de 5:30 à 8:30 pm, une trentaine de personnes viennent dans le joli jardin de Pioneer Works chercher leur carton rempli de tomates, basilic, kale, navets, betteraves, courgettes… “Il y a aussi des légumes un peu moins connus comme du kohlrabi [chou-rave, ndlr], des herbes un peu sauvages qui peuvent servir à faire des salades”, détaille Carmen Bouyer.
Les membres, essentiellement des résidents de Red Hook (l’Amap est ouverte à tous), se sont engagés pour deux mois et ont payé en avance, selon le principe en vigueur. Le prix est raisonnable : 130 dollars les neuf semaines, pour deux personnes.
Carmen Bouyer, qui vit depuis le mois de juin à New York, n’est pas une novice en la matière. Ce projet fait partie de son métier. Diplômée en design des Arts Déco, cette artiste de 27 ans travaille à l’intersection de l’art contemporain et des nouvelles formes d’agriculture urbaine et collaborative.
“Je m’intéresse à la façon dont l’art contemporain peut accompagner de manière créative et poétique la transition vers une agriculture durable. A Paris, j’ai mis en place une Amap aux Arts déco, et aussi un marché pop-up de trois mois au Palais de Tokyo”, explique-t-elle.
L’Amap doit durer jusqu’à l’automne, et devrait reprendre ensuite à la fin du printemps. “La ferme avec laquelle on travaille ne produit pas assez pendant l’hiver, mais on réfléchit à faire un partenariat avec une autre ferme pour continuer l’Amap.” Affaire à suivre.
Cycloramic, l'app qui séduit Steve Wozniak et Shark Tank
La nuit de Noël 2012, Steve Wozniak, co-fondateur d’Apple, écrit à Bruno François pour le féliciter et lui transmet une vidéo de lui-même dans sa cuisine prise avec Cycloramic. « C’était pour moi, incroyable ! Le plus beau des cadeaux» s’exclame le Français.
Cycloramic, c’est cette app pour iPhone lancée par Bruno François, PDG de la start-up Egos Ventures à Atlanta, en 2012. Sacrée « Pogie Awards for the Brightest Ideas of 2012 » par le New York Times, Cycloramic est la première et la seule application faisant tourner, grâce à ses vibrations et sans support, l’iPhone 5 sur lui-même pour prendre une vidéo à 360 degrés.
La rotation de l’iPhone, posé debout sur une surface plate, peut être programmée pour réaliser trois tours et la vidéo est enregistrée directement dans la mémoire. « Aujourd’hui, l’application existe également pour les iPhones 6. Ils tournent de la même manière mais posés sur le socle du chargeur», précise Bruno François.
Présentée sur Shark Tank
Présentée par le jeune entrepreneur, dans l’émission d’ABC Shark Tank du 31 janvier 2014, l’app a généré une levée de fonds de 500.000 dollars et a été téléchargée 200.000 fois durant la diffusion de l’émission (cliquez ci-dessous):
http://dai.ly/x1bltre
Ingénieur en aérospatial et diplômé d’un master en informatique, Bruno François fonde Egos Venture en 2012. Il l’intègre dans l’Advanced Technology Development Center, un centre de recherche « incubateur » pour jeunes start-ups. « Lancer ma société et créer des applications pour Apple étaient mon rêve », raconte-t-il.
“Créer une application unique”
« Je ne souhaitais pas gagner de l’argent mais créer une application unique. Je m’étais fixé une année pour l’inventer et vivre de ma start-up. Un challenge moral mais aussi une réalité financière. En décembre 2012, juste avant que mon délai ne soit écoulé, je n’avais toujours rien de concret. Je me suis assis devant l’iphone 5 et je l’ai analysé d’un point de vue physique, flash, volume et vibrations. Au début, je voulais le faire avancer et puis, on a constaté qu’il tournait en rond… En trois jours, mon stagiaire et moi avons conçu Cycloramic et demandé l’approbation de l’Apple Store. Nous l’avons obtenue et les téléchargements ont commencé. »
Aujourd’hui, Cycloramic a été téléchargée 15 millions de fois dans le monde. Egos Ventures propose sept applications, dont l’innovante « Selfie 360 », et développe des projets relatifs à l’imagerie en 3D et à la réalité augmentée. « Les « Apps » permettent de tester les tendances technologiques des consommateurs. Cela permet de créer une interface plus complexe que l’on peut vendre à un opérateur majeur. Et c’est là que nous en sommes» .
Serge Betsen veut lancer un tournoi de rugby à New York
“Je suis heureux de découvrir cette ville, les gens, l’énergie, le bruit, les lumières…” Serge Betsen est arrivé depuis moins de 24 heures à New York – pour la première fois de sa vie – mais il est déjà sous le charme.
Pourtant, l’ex-rugbyman français ne reste pas longtemps. Après avoir commenté, samedi après-midi, le test match France-Angleterre (remporté 25-20 par les tricolores) au restaurant de Chelsea OCabanon devant un petit contingent de Français (et un courageux Britannique), il prendra dimanche la direction de Washington DC pour coacher les rugbymen du Virginia Military Institute (VMI).
Tournoi à New York
L’ex Biarrot, qui a fondé la Serge Betsen Academy pour faciliter la réinsertion de jeunes Camerounais à travers le rugby, a profité de son passage pour visiter des sites pour accueillir un tournoi de rugby qu’il veut monter pour “Bastille Day” 2016, avec l’aide de la société JustOui.
L’événement aurait lieu juste avant les Jeux Olympiques de Rio, qui comporteront une épreuve de rugby à sept pour la première fois depuis 1924.
Brooklyn Bridge Park et Randall’s Island sont envisagés pour le moment pour accueillir ce tournoi qui rassemblerait des équipes françaises et américaines de rugby à sept.
Le sportif, reconverti en consultant d’entreprises, veut croire qu’un tel tournoi peut trouver son public dans “un pays qui découvre le rugby” . Il indique qu’il sera de retour à New York pour rencontrer de potentiels partenaires.