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Catimini souffle un vent d'exotisme sur les Etats-Unis

(Article partenaire) Catimini a, semble-t-il, le vent américain en poupe. La marque aux imprimés fantaisistes– qui a fêté en 2012 son 40eme anniversaire– place 2015 sous le signe du déploiement et entreprend l’ouverture de quatre nouveaux points de vente aux Etats-Unis dans les six prochains mois (voir ci-contre). Un coup d’accélérateur qui lui permet de se poser en référence sur le marché américain du prêt-à-porter haut de gamme pour enfants.
Beyonce, Jessica Alba, ou encore le top model Alessandra Ambrosio y habillent leur progéniture. Un bon indicateur de tendance, à en croire les chiffres, puisque la marque française – déjà présente à San Francisco (Valley Fair), Los Angeles (Beverly Hills et South Coast Plaza), Miami (Aventura et Sawgrass) et Desert Hill (près de Palm Springs), vient d’ouvrir en mai deux nouveaux points de vente à Seattle et Las Vegas. Catimini vient, entre autres, d’obtenir son droit d’entrée au prestigieux outlet de Woodbury dans le New Jersey, où la marque sera présente avant la fin de l’année.
Un déploiement qu’Anne Mousson-Lestang , directrice du groupe Zannier USA auquel appartient Catimini, attribue au “rapprochement du public vers les codes de la marque, depuis une quinzaine d’années”. Loin des couleurs sobres et pastel traditionnellement attribuées aux enfants, Catimini véhicule, depuis sa création en 1972 par le couple de voyageurs Paul et Monique Salmon, des valeurs de métissage et de cosmopolitisme.
A travers des collections à thèmes – “Spirit”, “Sportswear”, “Urban Global Mix” ou encore “Couture-dandy” – la marque s’est développée sur un créneau qui mixe les tendances et les cultures, tout en préservant un style fortement identitaire, joyeux et coloré. Une tendance “hippie-chic” qui trouve un nouveau souffle aujourd’hui. “Catimini a été la première marque à développer des imprimés spécifiques et colorés pour les enfants, explique Anne Mousson-Lestang, pour qui “les gens retrouvent aujourd’hui en Catimini le voyage qu’ils ont fait ou qu’ils aimeraient faire”. 
Des tenues joyeuses et originales que la marque présentera lors de Best of France fin septembre – un évènement qui présente à Times Square ce que la France fait de mieux, le temps d’un week end –  et dont Catimini assurera, avec les autres marques du groupe Zannier, le volet “enfants”.
Et s’il n’est pas “mainstream”, le style gai et fantaisiste de Catimini s’accorde à une “nouvelle façon de vivre son rapport à l’argent” selon la directrice du groupe Zannier USA. “Au XXIème siècle, les gens aisés ne se sentent plus obligés d’investir dans des marques à logo, et préfèrent les marques plus gaies, plus naturelles, qui ont des racines fortes, explique-t-elle, il y a de vraies émotions derrière”. Pour autant, Catimini se maintient dans un positionnement volontairement haut-de-gamme, avec des prix – 100 dollars en moyenne pour une robe – supérieurs à ceux des marques grand public.
Si Catimini s’adresse d’avantage aux 2-12 ans, la marque a considérablement développé la partie nouveaux-nés ces dernières années “car aujourd’hui, on n’hésite plus à offrir des cadeaux de naissance plus originaux et colorés”. Prochain défi : “étoffer la gamme pour garçons et accessoires, selon les mêmes codes”. 
La boutique en ligne: Catimini USA
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Nos neuf rooftops préférés à New York

Il y aurait, à New York, près de 100 rooftops. Chics ou décontractés, branchés ou avec une vue époustouflante : on vous en a sélectionné neuf pour tous les goûts, qui valent le tour d’ascenseur. Et non, le 230 Fifth Avenue, repaire des touristes, n’y figure pas.
9. B 54, au Hyatt Times Square
La vue depuis ce rooftop est superbe, et pour cause: B 54, située  au 54eme étage du Hyatt Times Square, est le rooftop le plus élevé de la ville. Depuis sa petite terrasse, on voit les lumières de Times Square lecher les façades des gratte-ciel de Midtown et le Chrysler se dresser fièrement. L’endroit, que nous avions visité à son ouverture, se veut très chic. Il a fait appel à la mixologiste Julie Reiner (Flatiron Lounge, Pegu Club, Cover Club) pour créer des cocktails à base de produits locaux, de saison ou “maison”, comme des jus de fruits frais ou des sirops de lavande ou de grenadine. Seul bemol: les prix aussi donnent le vertige. B54 Rootop Lounge, 135 W. 45th St. Site ici
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8. The Press Lounge, à l’hôtel Ink 48
Si l’on va au Press Lounge, c’est avant tout pour la vue, véritablement spectaculaire, qui vaut l’expédition dans Hell’s Kitchen. Car contrairement à beaucoup d’autres rooftops, la perspective, dans cette partie de la ville, est complètement dégagée. La terrasse, avec canapés et fauteuils en osier, est très grande et peut accueillir des groupes. Ambiance lounge, très classique. L’addition est salée, et on boit sa coupe de prosecco dans des verres à pied en plastique. Chemises très recommandées pour ces messieurs. Les shorts et les tongs font demi-tour à l’entrée. The Press Lounge, at Ink48, 653 11th Avenue, Ink48. Site ici.  
PressLounge
7. Upstairs, au Kimberly
Ce rooftop est parfait pour aller boire un verre après une journée de travail. Chemise et chaussures fermées de rigueur s’il vous plait. Installez vous dans les grands et beaux fauteuils sous les petites guirlandes. A votre gauche, des financiers, des diplomates… A votre droite, des clients du Waldorf Astoria, situé juste à côté. Mais ici, la star, c’est le Chrysler Building, que vous pouvez admirer à loisir. Parfois, un DJ fait l’animation. Ambiance lounge et sophistiquée. Prix en phase avec la clientèle. Upstairs, The Kimberly Hotel, 145 East 50th Street NYC. Site ici.
Kimberly Upstairs
6. The Refinery rooftop
Pas très haut mais tout mignon, ce roof plein de plantes vous permettra de profiter d’une pleine vue sur l’Empire State. Les trois espaces – ouvert, couvert et semi-couvert- s’enchaînent dans une ambiance très américaine, avec une véranda aux airs de patio. On retrouve les fameuses briques rouges, les arcades et les petites guirlandes: classique mais efficace. Les mojitos sont généreux. Rooftop Terrace at The Refinery Hotel – 63W 38th Street. Site ici.
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5. Jimmy, at The James NY
On aime bien cette terrasse de SoHo, au sommet de l’hôtel James New York. Pas trop haute (18ème étage), avec une piscine au centre et des chaises longues, elle offre une belle vue dégagée sur le sud de Manhattan. Ambiance branchée, chic et décontractée, déco design très inspirée des années 70, et cocktails soignés, comme le Grilled Pineapple Mojito (rhum, ananas grillé, citron vert, menthe) ou le Baby Bird, avec du gin, de la chartreuse, du thym et du Saint Germain. Jimmy, at the James New York, 15 Thompson St. Site ici.
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4. The Jane
Ceux qui n’ont pas pu entrer au Bain se rabattent souvent ce roof, tout proche. Pourtant, cette terrasse, qui a ouvert ses portes au public en mai 2014, n’a rien d’un second choix. La vue sur l’Hudson est superbe, et permet de profiter à fond du coucher de soleil. Le bâtiment vaut aussi le détour : le Jane est un vieil hôtel de briques rouges entièrement rénové il y a quelques années, avec une belle déco rétro. L’endroit était jadis une auberge de jeunesse, repaire des artistes de Greenwich Village. The Jane, 113 Jane St. Site ici.
TheJane
3. Le Bain
Branché, design, plein de beautiful people aux looks pointus et décontractés : Le Bain, c’est hype. Le bar est situé à l’intérieur du Standard, l’hôtel sur pilotis qui enjambe la High Line, très inspiré par Le Corbusier. Seul problème, il y a souvent du monde sur la petite terrasse en gazon synthétique, et le week-end, il faut souvent faire la queue sur le trottoir avant de monter admirer la vue sur Wall Street. Mieux vaux donc y aller en semaine, et en journée. Curiosité : la terrasse comporte un stand de crêpes. Les toilettes, vitrées de haut en bas, sont légendaires. Le Bain, The Standard High Line, 848 Washington Street. Site ici.
Le Bain
2. Rooftop Bar, Pod 39 
Briques rouges, grandes arches, petites tables colorées, guirlandes lumineuses et bières à prix abordable : l’ambiance est décontractée et festive au Pod 39, un hôtel qui vise une clientèle jeune. On se croirait presque dans le bar d’une auberge de jeunesse. Mieux venir tôt pour être sûr de pouvoir rentrer. Le roof offre une vue sur Lower Manhattan et l’Empire State Building. Petit plus : le restaurant de l’hôtel propose des frites maison et du guacamole. Rooftop Bar, Pod 39 Hotel. 145 East 39th St. Site ici.
POD
1. The Ides, at the Wythe Hotel
Un classique de Brooklyn, et sans doute la terrasse la plus haute de Williamsburg. La vue sur Manhattan est magnifique: on embrasse d’un coup d’oeil toute la skyline, face à l’East River. Le week-end, il y a du monde, mais en semaine vous pourrez souvent profiter tranquillement de la terrasse et des délicieux cocktails. Une valeur sûre, élégante et de bon goût. The Ides, Wythe Hotel, 80 Wythe Avenue, Williamsburg, Brooklyn. Site ici.
Whyte
 

L'équipe de France de New York recrute

La Cosmos Copa, coupe du monde amateur à l’échelle de New York, approche. Et comme chaque année, l’équipe de France NYC cherche des joueurs.
Une séance de détection, ouverte aux Français de New York, aura lieu le mercredi 27 mai à 6pm à Randall’s Island Field 84 (près du pont piéton). Il ne faut pas avoir peur du ballon: le tournoi est physique. L’équipe de France cherche des joueurs de niveau minimum Division d’honneur. Il suffit de se présenter au terrain pour participer.
La formation de Zohair Ghenania, fondateur de la PSG Academy NYC, avait été sacrée championne de la compétition en 2013 et s’était hissée en finale en 2014 mais avait perdu face à la Gambie. Le tournoi 2015 se déroulera du 4 juillet au 2 août (finale).

Pierre Huyghe explore le temps sur le toit du Met

Chaque printemps depuis trois ans, l’installation d’un artiste prend ses quartiers sur la terrasse du Met. Cette année, c’est au tour du designer et plasticien français Pierre Huyghe de montrer son travail.
Pour son projet, “Rite Passage”, l’artiste, qui a obtenu en 2010 le convoité prix de l’artiste contemporain de l’année du Smithsonian, a ouvert le sol de la terrasse et placé, au centre, un curieux aquarium aux vitres opaques. Lorsqu’on y regarde de plus près, les dalles arrachées du sol ne l’ont pas  été par hasard. Sous la fine couche d’eau et de graviers qui s’est déposée dans les surfaces creuses, on découvre du schiste de Manhattan, sur lequel la ville a été bâtie. Explorant ainsi le thème du temps et de l’évolution, Pierre Huygue expose ici une roche vieille de 450 millions d’années ayant servi de principale fondation aux  buildings qui dominent l’horizon depuis la terrasse du Met.
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L’aquarium non plus n’est pas anodin. Par un système basé sur une technologie à cristaux liquides, les surfaces floues et opaques du dispositif se transforment alternativement en vitres transparentes, et laissent alors entrevoir un écosystème où flottent blocs rocheux et espèces aquatiques. Les roches en question ont été formées par du magma issu du cœur de la planète, tandis que certaines espèces arpentant l’aquarium n’ont pas évolué depuis plusieurs millions d’années. Une belle fresque du temps à voir au Met jusqu’au 1er novembre.

L'Afterworks est de retour

Les vétérans de la vie nocturne new-yorkaise (c’est-à-dire ceux qui sont ici depuis plus d’un an) se souviennent avec émotion de L’Afterworks, des soirées “chic & fun”.
Evan Woodhouse, l’Américain qui il y a quelques années a repris ces soirées des deux Français qui les avaient créées, promet “un rooftop différent par semaine pour des soirées exclusives”.
Ce jeudi 21 mai, cela commence donc par Hudson Terrace, sur le Rooftop Garden Lounge. Le champagne est servi gratuitement de 8 à 9 pm, ainsi que des hors d’oeuvres.
L’Afterworks est gratuit sur réservation ($20 sans réservation).
Des tickets pour le spectacle de Gad Elmaleh (au Beacon Theater le 16 juin) seront à gagner par tirage au sort.
Réservations et plus d’infos

Un bon plan pour aller au San Francisco Symphony

Musique Maestro ! Lorsque l’Alliance Française s’associe à la San Francisco Symphony, cela donne l'”Alliance Française Night At the Symphony”. De quoi s’agit-il ? De cinq concerts de musique classique au San Francisco Symphony (du mercredi 27 mai au dimanche 31 mai, à 2pm ou 8pm), proposés exceptionnellement à un tarif de -25% par l’Alliance Française, en suivant le lien qui figure sur leur page.
Les concerts se feront sous la direction du chef d’orchestre suisse Charles Dutoit. Les musiciens interpréteront “Tableaux d’une Exposition”, une oeuvre écrite par Moussorgski et rendue célèbre par l’orchestration par Maurice Ravel.
Le violoncelliste français Gautier Capuçon, invité spécial de l’événement, interprétera le Cello Concerto du compositeur anglais William Elgar.

Projection gratuite de "L'Elu" à Brooklyn

Un conseiller municipal d’une commune de 300 habitants veut convaincre les habitants de voter pour lui. Il s’adresse à eux (et à nous) face caméra. Ce film d’Aurélien Grèzes met en perspective l’artifice de la mise en scène politique grâce à une autre caméra, filmant en même temps sous un angle différent. Jeu de miroir, dédoublement des images où chacun perd peu à peu ses repères…
À travers ce film, projeté gratuitement mercredi 27 mai à la FiveMyles Gallery, Aurélien Grèzes tente de remplir un espace hybride, entre le documentaire et la fiction, questionnnant les notions de réalité, de regard et de perception.
La séance est en accès libre, à 7pm.

Miami sur terrain Glissant

En 2011, la sphère intellectuelle internationale, et française, perdait l’un de ses grands auteurs, l’écrivain martiniquais francophone Edouard Glissant, dont une partie des travaux explore l’idée de « poésie relationnelle ». L’exposition « Poetics of relation », nommé d’après le livre du même nom, lui rendra hommage, du vendredi 29 mai au dimanche 18 octobre, au Perez Art Museum de Miami (PAMM).
Dans son livre Poetics of relation, l’auteur martiniquais et penseur du “Tout-Monde” explore les particularités de la pensée caribéenne, pour exposer sa vision d’un monde global en constante mutation. L’exposition, qui s’appuie sur plusieurs supports (photos, vidéo…) s’inscrit dans cette lignée.
En explorant les sensibilités et le point de vue d’artistes dont les travaux portent sur l’héritage du colonialisme et de l’émigration, “Poetics of relation” dépasse l’idée de la nationalité pour entrevoir une éventuelle connection au delà des frontières culturelles.
Parmis les artistes exposés : Hurvin Anderson (Grande-Bretagne, Jamaïque), Yto Barrada (France, Maroc), Tony Capellan (République Dominicaine), Zarina Bhimji (Ouganda, UK), Ledelle Moe (Afrique du Sud, USA), Xaviera Simmons (USA).
 
 

Valéry Giscard d'Estaing à New York pour parler d'Europe

Mise à jour: les inscriptions sont closes
L’ancien président français sera à New York le 5 juin pour donner une conférence sur l’intégration européenne.
La conférence, gratuite, aura lieu au Consulat de France dans le cadre des “Conférences 934”. Valéry Giscard d’Estaing parlera de l’état de l’Union européenne, un an après des élections marquées par l’abstention et la montée des partis eurosceptiques, et partagera son diagnostic des obstacles politiques sur le chemin de l’intégration. Problématique qu’il aborde dans son livre Europa, la dernière chance de l’Europe (Last chance for Europe) sorti en 2014.
Membre de l’académie française et du conseil constitutionnel, l’ancien président, dont le mandat a été marqué par des avancées importantes dans la construction européenne (création du Conseil européen, élection des députés européens au suffrage universel direct…), est resté actif sur le plan européen. Surnommé en 2002 par The Economist “le chef d’orchestre de l’Europe”, il multiplie les interventions dans les medias pour alerter l’opinion sur les risques de dislocation de l’Union européenne.

Nouvelle soirée Speak Easy pour améliorer votre anglais (or improve your French)

C’est le deuxième et déjà presque une tradition franco-new yorkaise: le Speak Easy de French Morning revient le mardi 26 mai, à Flute Gramercy.
Le principe est simple: la moitié des participants est de langue maternelle française, l’autre moitié de langue anglaise. Le format est celui du “speed dating”: des paires sont formées par les organisateurs.
Les sept premières minutes de conversation se passent en anglais, les sept suivantes en français. Puis on change de partenaire. Au total, cinq sessions de quatorze minutes se succèdent.
L’objectif est de donner aux “anglos” et aux “francos” l’occasion d’améliorer leurs compétences linguistiques, mais surtout d’échanger et d’apprendre à se connaître (et plus si affinités…).
Cette deuxième édition a lieu chez nos amis de Flute Gramercy (40 East 20th Street) de 6:30 pm à 8:30pm. Le prix du ticket ($29) comprend un cocktail ainsi que des hors d’oeuvre.
Places limitées, réservez dès maintenant:

"L'homme du hasard" de Yasmina Reza passe à Los Angeles

Un compartiment de train entre Paris et Francfort, et dedans, un homme et une femme. Lui est écrivain, tandis qu’elle lit l’un de ses romans. Telle est le situation hasardeuse et singulière de “L’homme du hasard”, la pièce de Yasmina Reza mise en scène P.K. Ziainia au Two Roads Theater de Los Angeles. Après ce trajet, sur le quai à Francfort, que se passera-t-il ?
Yasmina Reza est une écrivaine française, révélée au grand public par sa pièce “Art” en 1994. Sa pièce “L’homme du hasard” est produite pour la première fois en 1995 à Paris. Elle est régulièrement jouée depuis en France mais aussi à l’étranger, notamment en anglais.
Le Two Roads Theater est un petit théâtre de 60 places, situé dans le quartier de Tujunga Village.

Une rencontre avec Alexandre Mars à New York

Alexandre Mars est le créateur d’Epic, une fondation qui récolte des dons pour des associations humanitaires et informe les donateurs de la manière dont sont utilisés leurs fonds.
Le 4 juin, il participera au rendez-vous “Meet the Entrepreneur” de la French American Chamber of Commerce (FACC) de New York, au cabinet Winston & Strawn. Il évoquera son expérience de multi-entrepreneur et fournira des conseils à ceux qui cherchent à se lancer. Acteur incontournable dans le domaine du mobile et de la publicité pendant plus de 20 ans, Alexandre Mars est le papa de l’agence Phonevalley et du système de gestion de medias sociaux ScrOOn, vendus respectivement au groupe Publicis et Blackberry.
Son nouveau bébé, Epic, emploie dix personnes. French Morning l’avait rencontré en mars pour en parler.
Un cocktail suivra l’intervention.