Accueil Blog Page 1072

Tartine et Chocolat revient habiller les petits new-yorkais

Il fut un temps où Tartine et Chocolat avait six magasins aux Etats-Unis, dont deux à New York, sur Madison et Park Avenue. C’était au début des années 2000, et tous ont fermé. La marque de vêtements pour enfants BCBG, créée en 1977 par Catherine Painvin, a depuis été rachetée, en 2005, par le groupe Zannier. Un empire qui possède aussi les marques Catimini, Lili Gaufrette, Z et Absorba.
Après s’être focalisée sur la Russie, l’Asie et le Moyen-Orient, Emilie Zannier, la patronne du groupe, souhaite désormais accélérer le développement de Tartine et Chocolat aux Etats-Unis. Actuellement, le marché américain ne représente que 7 à 8 % des ventes de la marque (qui réalise un chiffre d’affaires de 38 millions d’euros, dont les deux-tiers à l’export). “Les Etats-Unis ne sont pas le territoire que nous avons développé en premier. Mais maintenant, nous nous estimons prêts”, affirme Emilie Zannier, rencontrée à l’occasion d’un de ses passages à New York.
Actuellement, la marque n’est vendue que dans quelques grands magasins de luxe, mais bientôt, elle devrait disposer de sa propre boutique à New York. Zannier recherche le bon emplacement. Peut-être dans l’Upper East Side. Ou plus au sud, vers Tribeca. A priori pour 2016.
“Le problème, c’est que sur Madison Avenue, les loyers sont devenus fous !”, remarque Emilie Zannier. D’ailleurs, la boutique Catimini de Madison Avenue a fermé il y a quelques mois pour cette raison – Catimini devrait rouvrir prochainement à un autre endroit, probablement downtown.
Si Tartine et Chocolat mise sur l’élégance à la française, son côté chic, des belles matières et son bon goût pour séduire les parents américains, elle devra faire face à de sérieux concurrents. Bonpoint, une marque française qui se positionne sur le même créneau que Tartine et Chocolat, a ouvert quatre magasins à New York ces derniers temps.
En attendant leur prochaine arrivée, Tartine et Chocolat peut déjà compter aux Etats-Unis sur des ambassadrices de choix. Les enfants de Sarah Jessica Parker, de Jessica Alba, et de Beyonce ont été vus avec des vêtements de chez Tartine et Chocolat.
 

Les start-up françaises et la tentation d'Austin

0

On connait la Silicon Valley sur la Côte Ouest, la Silicon Alley à New York. Mais depuis une vingtaine d’années il faut aussi compter avec les Silicon Hills du Centre du Texas, où des poids lourds comme Apple, Dell, Google, IBM, Facebook et Freescale Semiconductors ont élu domicile et où des startups comme RetailMeNot (coupons) ou HomeAway (location de vacances) ont grandi.
De Hong Kong à Dublin en passant par Santiago du Chili, le pôle technologique d’Austin est donc extrêmement sollicité. Et si les Français sont encore en train de placer leurs pions, ils sont déjà bien positionnés par rapport à d’autres pays. « La France est la cinquième source d’investissements étrangers directs au Texas », notait en effet Liz Wiley, la présidente du French American Business Council of Austin lors d’une présentation de l’écosystème austinite au French Tech Club pendant South by Southwest Interactive, en mars. « Trente-deux projets français représentant 5 % du total des investissements directs étrangers ont été enregistrés entre 2009 et 2013. »
Si la première startup internationale ayant élu domicile au sein de l’incubateur et accélérateur emblématique d’Austin Capital Factory est norvégienne (Kahoot!). Et que l’International Accelerator officiellement lancé par un Grec l’an dernier dans l’Ouest d’Austin reste surtout tourné vers son pays d’origine,  la scène digitale austinite devrait s’internationaliser rapidement. Capital Factory vient de lancer un programme, Touchdown, à destination des porteurs de projets innovants étrangers et la ville d’Austin a mis sur pied un programme de développement économique international.
Lors de leur passage à Austin pour South by Southwest, plusieurs startupeurs français ont manifesté leur intérêt pour Austin. « Moi qui suis un ancien d’IBM et suis venu à Austinà plusieurs reprises, je suis très tenté par la ville, maintenant que nous réfléchissons à créer une filiale aux Etats-Unis, qui sont notre premier marché », a ainsi déclaré le patron Catopsys, Daniel Duhaubout, venu presenter son expérience de réalité virtuelle Immersis.
Ayant passé une partie de son enfance à Houston, le nouveau PDG d’origine mexicaine de la plateforme de narration interactive RacontR Greg Sierra a également des raisons personnelles de s’intéresser au Texas. Mais ces deux startupeurs français reconnaissent avant tout le pôle technologique que représentent les Silicon Hills texanes, ses nombreux accélérateurs et réseaux de financement de projets innovants.
« Nous pensions nous implanter à New York, car c’est là que se trouvent la plupart des médias américains, mais en plus d’une scène technologique montante, Austin possède des studios de cinéma majeurs, et c’est la capitale mondiale de la musique live, donc c’est une ville mixte, proche de l’Amérique Latine, qui monte beaucoup dans notre domaine. Elle n’est pas trop en décalage horaire par rapport à la France et elle est à taille humaine», raconte Greg Sierra.
Pour l’heure, ce dernier n’a pas sauté le pas, mais il reste intéressé. Et ce ne sont pas 330 jours d’ensoleillement par an et un coût de la vie bien inférieur à ceux de San Francisco et New York qui vont le dissuader.

Français d'Austin, soutenez la France à l'Eurovision

0

En 2015, il n’y a pas de coupe d’Europe de foot. Mais il y a mieux: l’Eurovision! Français d’Austin, vous aurez l’occasion de montrer votre soutien à la candidate de la France, Lisa Angell.
Vous avez rendez-vous le samedi 23 mai à la Russian House pour une séance de visionnage en direct du grand show musical européen. Le rendez-vous est organisé par la chambre de commerce suédo-américaine du Texas. Histoire de ne pas venir complètement en touriste, sachez que Lisa Angell chantera “N’oubliez Pas une chanson d’ “espoir, de paix, de courage et de solidarité” selon la présentation. En 2011, Patrick Sébastien a écrit et produit des chansons pour son premier album et elle a rejoint en 2013 les chanteurs récurrents de l’émission de télévision “Les Chansons d’abord” présentée par la chanteuse Natasha Saint-Pier sur France 3.
Quarante pays participent à l’Eurovision de la chanson. L’Australie est invitée cette année. A Austin, les festivités commencent à 2pm. Venez avec votre drapeau et votre mauvaise foi.
 
 

Flux Art Fair s'installe à Harlem

C’est une première à Harlem ! La Flux Art Fair tiendra sa première édition harlémite du jeudi 14 au dimanche 17 mai, au sein de l’emblématique Corn Exchange Building, pour mettre en valeur la scène culturelle locale.
Fondée par la New-Yorkaise Leanne Stella dans le prolongement de la manifestation artistique Art in Flux, la Flux Art Fair de Harlem expose des artistes locaux et internationaux. La première édition affiche un beau palmarès : près de 50 artistes représentant une douzaine de pays exposeront sur le thème “l’artiste du XIXème siècle est un nomade”. Parmi eux, figurent la photographe française Capucine Bourcart et l’illustratrice Danielle Siegelbaum. 
La Flux Art Fair aura lieu durant la FRIEZE International Arts week, qui rassemblera du jeudi 14 au dimanche 17 mai certaines des plus grandes galeries d’art contemporain au monde, à Randall’s Island Park.

Des Français à WantedDesign

Pour son 5ème anniversaire, WantedDesign voit les choses en grand. Créé en 2011 par Odile Hainaut et Claire Pijoulat, la grande foire du design aux Etats-Unis et à l’international ouvre une plateforme à Brooklyn, du samedi 9 au mardi 19 mai, tandis que l’édition WantedDesign Manhattan aura lieu du vendredi 15 au lundi 18 mai.
Située au Terminal Stores Landmark Building dans West Chelsea, la plateforme WantedDesign Manhattan sert de lieu de rencontre entre les designers du monde entier. Cette année, plus de 100 exposants, dont prés de 70 internationaux, présenteront leurs travaux lors du traditionnel forum de lancement, mais aussi au cours de conférences et d’ateliers spéciaux.
La nouvelle plateforme WantedDesign Brooklyn, à Industry City dans Sunset Park, présentera de nombreuses installations grandeur nature – dont celle de la designer française Stephanie Marin – des ateliers organisés par des écoles de design et des boutiques éphémères. Une présentation sera notamment donnée par l’école française de design ENSCI les ateliers, en partenariat avec l’Ambassade de France.
L’événement aura lieu de pair avec le Parsons Festival, qui présente les travaux d’étudiants de l’école de design du mercredi 13 au vendredi 22 mai. Dans la même optique, le Design Forum, le 19 mai, portera sur les nouveaux challenges et les évolutions dans l’enseignement du design. De 9:30 am à 5 pm, les participants pourront assister à des rencontres organisées avec certains spécialistes, dont le designer français et ancien étudiant de l’ENSCI Christopher Santerre.
Le programme détaillé ici

Petit Pot, grand business ?

A côté des dizaines de yaourts à la grecque des rayons frais des supermarchés, un nouveau venu tente de s’imposer depuis quelques mois à San Francisco. Son nom: Petit Pot. Son look: un petit pot en verre recouvert d’un couvercle orange.
A l’intérieur, une crème à la vanille, au chocolat, au citron ou encore au caramel salé, recouverte de chantilly. On dirait un dessert bien de chez nous et pour cause, ce sont deux Français de San Francisco qui sont derrière la marque Petit Pot.
Pierre Coeurdeuil et Maxime Pouvreau sont originaires du sud de la France. Le premier a une formation d’ingénieur agroalimentaire, le second est chef pâtissier. Ils sont arrivés aux Etats-Unis il y a quelques années.
Maxime Pouvreau a d’abord été pâtissier dans des restaurants de la baie (Coi, Radius), et en 2013, décide de lancer un business de déjeuners en bocaux – un concept emprunté à un restaurant parisien. Il remarque que ses crèmes desserts emportent le plus de succès auprès de ses clients, et décide d’abandonner les produits salés afin de se concentrer sur les petits pots. Le concept était né.
Maxime Pouvreau travaille sur les emballage de ses produits, et se rend compte que le petit pot rustique en terre ne parle pas vraiment aux Américains, qui préfèrent les pots en verre, plus modernes. Très vite, le travail s’accumule et Maxime Pouvreau propose l’été dernier à Pierre Coeurdeuil, qui travaillait alors dans une entreprise spécialisée dans le e-marketing, de le rejoindre.
Petit Pot CitronAujourd’hui, Petit Pot compte trois employés, et deux stagiaires. L’équipe produit 2 000 pots par semaine et fournit une cinquantaine de magasins. Parmi eux, des chaines de supermarchés haute-gamme, telle que Whole Foods, Andronico’s ou Rainbow Grocery. Leurs pots sont aussi vendus sur le site Grubmarket, à quatre dollars l’unité.
Les crèmes desserts des deux compères ont peu de concurrence sur le marché américain. « Le concept de dessert gourmet n’existe pas ici, pourtant les gens aiment le sucré ! Il fallait combler un manque », explique Maxime Pouvreau. Selon les deux jeunes hommes, San Francisco est l’endroit parfait pour lancer ce type de business. « Les gens sont ouverts, éduqués, aiment bien manger et surtout ont de l’argent. C’est une clientèle idéale pour nous, affirme Pierre Coeurdeuil. Il y a également une véritable culture de l’entrepreneuriat local. »
Signe encourageant pour leur futur, le mois dernier, les deux associés ont réussi à se verser leur premier salaire.

Daniel Berrebi lance les premiers ferries entre Miami et Cuba

C’est un gros coup pour l’armateur français basé à Miami: sa société Baja Ferries est la première à avoir obtenu une licence du gouvernement américain pour opérer une liaison entre Miami et Cuba.
Descendant d’une famille d’armateurs tunisiens, Daniel Berrebi est installé aux Etats-Unis depuis des années. Associé à des actionnaires mexicains, il opère des liaisons de ferries aux Etats-Unis et au Mexique. Depuis dix ans, explique-t-il à French Morning, il travaillait sur le dossier qui vient d’aboutir avec cette autorisation du gouvernement américain, qui intervient dans le cadre du réchauffement des relations diplomatiques entre les deux pays, scellé par la poignée de mains historique entre Barack Obama et Raul Castro en avril. La société prévoit d’investir 100 millions de dollars pour des liaisons quotidiennes entre le continent et l’île.
Dans cette interview, Daniel Berrebi se dit par ailleurs très confiant dans l’autre dossier qui l’occupe en ce moment, celui de la reprise de la SNCM, en liquidation judicaire. Une interview exclusive de French Morning lors du Symposium des CCE de Miami:

Maison & Objet prend ses quartiers à Miami

Miami accueillait déjà plusieurs grandes manifestations internationales comme Art Basel Miami Beach, Design Miami ou encore le Boat Show. Elle peut désormais ajouter Maison & Objet Americas à son palmarès. La foire française prend ses quartiers en ville pour la première fois du 12 au 15 mai. Certes, ce salon ne peut pas rivaliser avec les plus grands mais avec 11.000 visiteurs pré-enregistrés, les organisateurs pensent que les débuts sont encourageants.
Créé en 1995, Maison & Objet Paris est le plus grand salon de design et de décoration au monde et accueille 160.000 visiteurs sur deux éditions annuelles. Alors pourquoi Miami ? Philippe Chomat, directeur de la communication du groupe, explique que Miami, en tant que “porte des Amériques, est la ville idéale pour aborder le marché latino-américain et américain pour des exposants avides de travailler dans ces régions. ”
“Nous espérons aider les exposants à trouver leur public ici, à Miami. Evidemment nous serons vigilants sur le professionnalisme et la qualité des produits exposés afin de garantir un événement réussi” , poursuit-il.
Après seulement quelques heures d’ouverture, les Brésiliens et les Mexicains avaient franchi en masse la porte du Miami Beach Convention Center, même si dans la langue française dominait dans les allées.
Sophie-Agathe Rémy, de la societe Zephyr & Co, explique avoir déjà eu de nombreux contacts avec des prospects d’Amérique latine. « Des boutiques et des designers américains nous ont déjà demandé d’envoyer des échantillons de nos produits. Nous sommes assez enthousiastes pour ce premier jour! »
Philippe Chamat et les organisateurs ont été enchantés de l’accueil de la ville de Miami Beach, la chambre de commerce de Miami Beach et les différentes institutions. « Il est vrai que nous voulons créer des liens forts avec Miami notamment à travers de projets dans la ville. Nous souhaitons vraiment fédérer autour de Maison&Objet les différents acteurs locaux. Nous sommes là pour montrer à la ville que nous pouvons leur apporter quelque chose, loin des clichés subis depuis plusieurs décennies. »
La foire de Miami est encore de taille moyenne (300 exposants contre les 3.000 à Paris venus des quatre coins du monde mais surtout de France). Elle est le résultat de partenariats appuyés avec le tout nouveau Miami Design District ou encore Miami Ironside – nouveau lieu bobo de l’art et du design – le célèbre Dcota (Design Center of the Americas) présent à Miami depuis 30 ans, et avec le Miami Museum Month qui permet aux visiteurs munis d’un ticket de rentrer gratuitement dans tous les musées de Miami pendant tout le mois de mai.
Plus de photos (credit: Sophie Blachet):

La Bretagne en road trip musical aux US

C’est l’histoire de deux cultures qu’a priori tout sépare. Des musiciens traditionnels bretons et des musiciens garifunas – dont la population vit aujourd’hui en Amérique centrale – ont choisi de s’unir au sein du collectif Breizh Amerika pour faire connaître et célèbrer leur culture aux Etats-Unis, à travers la musique.
Composé de quatre musiciens bretons et trois musiciens garifunas, le collectif musical démarrera la  tournée “Breizh on the road” le jeudi 14 mai au Meridian 23 de New York, et jouera à Rochester, Cleveland, Chicago, Santa Fe et Albuquerque.
Le projet “Breizh America” a été lancée par deux Bretons : le président de l’association Breizh Amerika Charles Kergaravat et le directeur artistique du collectif Armel An Hejer, également musicien au sein du groupe. “C’est un vrai discours culturel qui s’est engagé entre nous et les musiciens garifunas” explique Armel An Hejer, pour qui “il existe beaucoup de points communs entre les deux musiques d’une part, mais aussi au niveau des mentalités sous-jacentes. Ce sont deux peuples qui ont vécu certaines choses dans leur histoire, comme la liberté difficilement retrouvée par les Garifunas, et la liberté politique perdue pour les Bretons.”
Dans cette collaboration, les sept musiciens interpréteront des morceaux basés sur un mix des genres musicaux. Côté Bretons, on jouera le “Kan Ha Diskan” – “chant et déchant” – dont la forme en chant alterné est exclusivement bretonne. Une technique musicale peu connue mais qui, selon Armel An Hejer, devrait faire son effet en Amérique. ” La musique bretonne a très peu eu l’occasion de tourner aux Etats-Unis, malgré une forte immigration bretonne, mais on s’est rendu compte qu’à l’étranger les gens sont très sensibles à cette façon de chanter, ça développe une énorme énergie” explique-t-il.
La tournée est réalisée dans le cadre de la Fête de la Bretagne 2015, qui se tiendra du samedi 16 au lundi 25 mai. L’évènement, organisé autour de la fête traditionnelle de la Saint Yves avec le soutien de la région, célèbre la culture bretonne avec des concerts, festivités, et soirées culturelles dans le monde entier.
 

Miami Beach plonge dans les coulisses de Dior

Le documentaire de Frédéric Cheng « Dior and I » , tourné dans les coulisses de la Maison Dior, sort le 15 mai à la Miami Beach Cinematheque.
Il nous plonge dans le quotidien de Raf Simons, bombardé responsable de la haute-couture de Dior seulement huit semaines avant le grand défilé automne-hiver 2012 en lieu et place de John Galliano, viré pour avoir tenu des propos antisémites. Pour le rien arranger, Simons, un Belge qui a commencé comme designer dans le meuble, n’avait pas évolué jusqu’alors dans la haute-couture.
Le réalisateur français, qui a co-produit « Valentino: le dernier empereur » et co-réalisé « The Eye Has to Travel » sur l’ancienne rédactrice-en-chef de Vogue Diana Vreeland, a glané plus de 270 heures d’images. Depuis le moment où il rencontre son équipe dans les ateliers de Dior, on voit le designer en pleine préparation du show, entre moments de stress et de doutes et des instants de légèreté. Le documentaire a été applaudi par la critique. C’est le premier film que Frédéric Cheng réalise seul.

Soleil, luxe et quiche au crabe: les Français de Miami sur M6

Les Français de Miami sont sur M6. Le magazine d’information 66 Minutes est parti à la rencontre de quelques Gaulois qui vivent le rêve américain “sous le soleil de Miami” , faisant au passage une belle publicité pour la ville. Un peu tiré par les cheveux? A vous de juger.
http://youtu.be/k82hTsqZKgg

"La liste de mes envies", le 21 mai à Los Angeles

Jocelyne Guerbette, le nom ne vous dit rien ? La petite mercière d’Arras, heureuse gagnante de 18 millions d’euros à la loterie et héroïne du best-seller de Grégoire Delacourt “La liste de mes envies” a déjà séduit plus de 320 000 lecteurs. L’histoire a été adaptée au cinéma en 2013 par Didier le Pêcheur.
L’Alliance Française de Los Angeles fera une projection de ce film le 21 mai à 7.30 pm.
Jocelyne Guerbette, mercière à Arras, mène une vie simple. Son quotidien bascule lorsque celle-ci remporte la cagnotte du loto. Entre réaliser ses plus grands rêves et préserver cette vie qu’elle affectionne, Jocelyne Guerbette va devoir choisir.
Le livre sera en vente à l’Alliance Française (gratuit pour les membres).