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De la philo jusqu'à l'aube à New York

Voulons-nous vraiment être égaux?” , “la vie intellectuelle doit-elle être ennuyeuse?” . La Grosse Pomme va philosopher toute la nuit, du vendredi 24 au samedi 25 avril. Après Londres en 2013 et Berlin en 2014, la “Nuit de la philosophie” traverse l’Atlantique pour la première fois depuis son lancement à Paris par la philosophe Mériam Korichi. Et devient “A Night of Philosophy” .
Au programme, 12 heures de veillée nocturne en présence d’une soixantaine de philosophes, auteurs et chercheurs. De 7 pm à 7am, les visiteurs auront ainsi l’occasion d’assister à des lectures (d’une durée de 20 minutes chacune) et des conférences, mais aussi des projections et douze performances artistiques, sur fond de “discothèque philosophique” . Ce marathon de la pensée abordera plusieurs thématiques intellectuelles et artistiques importantes de notre époque, comme l’égalité, la liberté d’expression et la religion notamment.
Les festivités philosophiques se tiendront dans les locaux des Services culturels de l’Ambassade de France, organisateurs de l’évènement, et au Ukrainian Institute of America voisin. Café et croissants gratuits seront servis pendant la soirée.
 

Débattez avec Jacques Attali à New York

French Morning organise ce mardi 14 avril (6:30 pm) une conférence-débat avec Jacques Attali.
L’économiste a lancé récemment un appel pour la constitution d’un “programme électoral” en vue de la présidentielle de 2017. Dans French Morning il a notamment fait appel aux Français de l’étranger et à leurs idées. « Là où ils habitent, ou ont habité, ils ont remarqué des modes de gouvernement, des législations, des formes politiques, culturelles, sociales (…) qui peuvent êtres des idées importables en France » a-t-il confié lors d’un entretien exclusif.
A l’invitation de French Morning, il sera ce mardi 14 avril à Fordham University (campus du Lincoln Center, Law school, lecture classroom 3-04) pour présenter son projet “France 2022” et débattre avec vous de ses idées pour que le débat de 2017 “ne s’enlise pas dans une querelle de personnes” . “France 2022” est un projet participatif dans lequel les citoyens sont invités à formuler des propositions dans différents domaines (la société, l’économie, les territoires, l’environnement, la France dans le Monde).
L’entrée est gratuite mais la réservation est obligatoire:
UPDATE: Le nombre maximum d’auditeurs est désormais atteint. Nous ne pouvons plus accepter de nouvelles inscriptions.
 

Maison Harlem après l'incendie: "On va rouvrir"

On va rouvrir, mais on ne sait pas quand pour le moment” . Samuel Thiam a les mains dans le cambouis en ce jeudi matin. Le copropriétaire de Maison Harlem tente de remettre son restaurant sur les rails, plus d’un mois après avoir été touché par un incendie.
Les causes de l’incendie ne sont pas connues  – il s’est déclaré dans le bâtiment qui abrite le restaurant, selon Samuel Thiam. S’il n’a fait aucune victime, il a endommagé la cuisine de Maison Harlem ainsi que sa salle à manger. “Des banquettes ont été brûlées. Les fenêtres ont été cassées par les pompiers. On a eu de gros dégâts. Il fallait refaire l’intégralité du restaurant. Ce n’est pas juste un coup de pinceau ou un morceau de contreplaqué à ajouter” .
Cela a été six semaines assez stressantes, reconnait Samuel Thiam, qui a ouvert Maison Harlem en 2012 avec le chef Romain Bonnans. C’est un endroit qui marche très bien. On est l’épicentre de la culture française à Harlem” .  Heureusement, il peut compter sur une “bonne assurance” et le soutien du voisinage. “Les voisins nous envoient des messages, ils nous disent: ‘on vous attend’ , ‘on a faim’ ! 
Ils retrouveront, en tout cas, le même restaurant qu’ils ont laissé. Samuel Thiam veut reconstruire l’espace à l’identique. Il vient de se faire livrer des exemplaires du journal Le Monde, datés du jour de sa naissance, qui tapisseront les murs. “Aujourd’hui, 90% du restaurant est refait, indique-t-il. Il nous reste deux-trois petites bricoles et des petits travaux à réaliser” .
Mais il ne se risque pas à donner une date de réouverture précise. “Le staff sera prêt le 15 avril. Mais c’est une question de rallumage du gaz. Ça peut prendre une semaine comme un mois” . Il donne déjà rendez-vous aux voisins pour la célébration du 14-Juillet. Comme l’an dernier, le restaurant entend bloquer une section de la 127ème rue et sortir les boules de pétanque. Tout le monde trinquera certainement deux fois plus.

Belle sélection française au Festival International du Film de San Francisco

Si vous n’avez pas bien suivi les sorties cinéma en France, voici une manière de se rattraper. Le Festival International du Film de San Francisco, qui se tiendra du 23 avril au 7 mai, fait la part belle aux films français, avec des oeuvres ayant reçu les meilleures critiques au cours de ces derniers mois.
Les places sont en vente en ligne dès maintenant.
Parmi la sélection, on peut signaler “Une nouvelle amie” (“The new girlfriend”) de François Ozon (le 24 et 26 avril), avec Romain Duris, Anais Demoustier et Isid Le Besco. Le film raconte comment Claire, qui vient de perdre sa meilleure amie, se rapproche du mari de celle-ci et découvre d’étranges vérités sur lui.
Egalement au programme, “Vincent n’a pas d’écailles” (“Vincent”), présenté le 1er mai, le 4 et le 7. Ce film de Thomas Salvador raconte l’histoire extraordinaire d’un homme doté de pouvoirs magiques au contact de l’eau, qui tombe amoureux d’une jeune femme. Le film, qualifié de petit bijou esthétique, a été acclamé par la critique, en particulier par Les Inrockuptibles ou Les Cahiers du Cinéma (et a obtenu le Grand Prix du Jury au Festival du film indépendant de Bordeaux).
Le Festival organisera aussi une projection du “Yves Saint-Laurent” de Bertrand Bonello (le 26 avril), avec Gaspard Ulliel dans le rôle titre, et qui raconte une tranche de la vie du couturier. Le film a été nommé dix fois aux Césars en 2015.
Le film “Fidelio, l’odyssée d’Alice” (“Fidelio: Alice’s Odyssey”) raconte quant à lui la vie d’une jeune femme qui travaille sur un cargo, et sa difficulté à trouver sa place dans un monde d’hommes (le 30 avril et le 2 mai). Réalisé par Lucie Borleteau, il a gagné le prix de la presse au Festival de cinéma européen des Arcs.
Le film français “Loin des hommes” (“Far from men”) est présenté comme un néo-western adapté d’une nouvelle de Camus, qui se déroule pendant la guerre d’Algérie. Viggo Mortensen est l’un des acteurs.
Enfin, vous pourrez voir le long-métrage  “Eden” (le 30 avril et le 1er mai) de la jeune réalistarice Mia Hansen-Love. Ce film revient sur l’émergence de la French Touch (musique électro) à Paris à la fin des années 90, et il est inspiré de la vie de son frère.

Le French Classical Music Festival a besoin de vous

Lancé par l’Alliance française de la Silicon Valley, le French Classical Music Festival a rassemblé près de 300 personnes sur deux jours pour sa première édition l’an dernier. Il revient en juin mais demande votre aide cette fois-ci.
Les organisateurs viennent de lancer une campagne de crowdfunding sur la plateforme Indiegogo. Objectif: lever 5.000 dollars pour financer ce festival qui met à l’honneur des artistes français et franco-américains ainsi que des œuvres de compositeurs français.
La campagne est ouverte jusqu’à la fin du mois d’avril. “Nous voulons faire un festival qui tient la route, lancer l’aventure de la musique classique, explique Max Bouchard, président de l’Alliance française. Il n’y avait pas de festival de musique classique française ici alors qu’il y a beaucoup de concerts organisés par des associations locales, des écoles et des universités, et de nombreux artistes talentueux. On a eu beaucoup de musiciens l’an dernier et ils voulaient tous revenir “.
Lors de la première édition, initiée par le chef d’orchestre Mark Starr et la flûtiste française Isabelle Chapuis, le public a pu entendre des compositions de Maurice Ravel, Francis Poulenc, Gabriel Fauré et Edith Piaf, jouées par le groupe de musique de chambre Ensemble San Francisco. Plusieurs artistes français et américains s’étaient également produits pendant l’évènement.
En 2015, deux concerts sont prévus sur deux jours, toujours avec les musiciens d’Ensemble San Francisco et plusieurs artistes-invités locaux. Ils joueront des chefs-d’œuvre de Poulenc, Messiaen et Ravel notamment. “On va avoir des musiciens extraordinaires, des prodiges“, s’exclame Max Bouchard. Les performances auront lieu les vendredi 19 et samedi 27 juin au Tateuchi Recital Hall de la Community School of Music and Arts à Mountain View. Les fonds récoltés permettront de financer la salle, les musiciens et la publicité.

Au Disposable Film Festival, le ciné en mode débrouille

Parce que chacun de nous cache un potentiel talent de réalisateur, le Disposable Film Festival met, chaque année depuis 2007, les films amateurs à l’honneur. Le festival, “l’un des plus cools au monde” selon MovieMaker Magazine, tiendra sa 8ème édition à San Francisco du jeudi 9 au dimanche 12 avril.
Téléphones portables, webcams, appareils photos, ou même Google Glass, tout est permis à l’exeption du matériel professionnel. L’objectif ? Célébrer la démocratisation du cinéma et libérer la créativité d’une nouvelle génération de réalisateurs.
L’événement présentera une sélection de courts-métrages, séquences spéciales, panels et autres ateliers à San Francisco, avant de projeter certaines de ses trouvailles dans plusieurs villes du monde.
Parmi elles, le dernier court-métrage du réalisateur Tristan Pope (récompensé d’un Emmy Award pour son travail sur l’épisode de South Park “Make Love, Not Warcraft”), “Romance in NYC” tourné entièrement avec un iPhone 6 et financé par financement participatif.
Un atelier sera également donné le dimanche 12 avril à 2:00 pm par Rebecca Lando sur “les secrets du crowdfunding”, pour aider les réalisateurs en herbe à lancer leur campagne de financement participatif.
Le programme : 
Jeudi 9 avril 2015 – The Castro Theater Mezzanine (444 Jessie St, San Francisco) 
Soirée VIP avant la projection – 6:30 pm
Projection (16 films) – 8 pm
Vendredi 10 avril – The Brick Yard (1787 Union St, San Francisco) 
Happy Hour et projection de 6 pm à 9 pm
Samedi 11 avril 
Atelier réalisation de 2 pm à 4 pm
“Farm to table diner” de 7 pm à 11 pm au Red Victorian (1665 Haight St, San Francisco)
Dimanche 12 avril
Conférence sur le cinéma engagé de 12 pm à 2 pm
Atelier sur “Les secrets du crowdfunding” avec Rebecca Lando de 2 pm à 3:30 pm.

A San Francisco, une master class sur François Truffaut

Trente ans après sa disparition, ses films continuent d’inspirer les cinéastes et cinéphiles du monde entier. Le réalisateur français François Truffaut sera mis à l’honneur vendredi 10 et samedi 11 avril à la San Francisco State University, lors d’une master class de deux jours, ouverte au public.
Celle-ci comprendra la projection de certains de ses films : “Jules et Jim” (le 10 avril), ainsi que “L’enfant sauvage”, “Le dernier métro” et “La nuit américaine” (le 11 avril). L’historien du cinéma Manfred Flügge animera ces séances.
D’abord critique pour “Les Cahiers du Cinéma” puis cinéaste plusieurs fois récompensé, François Truffaut est surtout à l’origine d’un univers nouveau dans l’art cinématographique, la Nouvelle Vague, également porté par des réalisateurs tels que Jean-Luc Godard et Jacques Rivette. Oscarisé en 1974 pour son film “La nuit américaine”, il est consacré en 1980 avec ” Le dernier métro” récompensé de dix Césars, dont celui du meilleur réalisateur.

Le docu "Dior and I" sur les coulisses de Dior sort à New York

Le documentaire de Frédéric Cheng “Dior and I” , dans les coulisses de la Maison Dior, sort au Film Forum et au Lincoln Center le vendredi 10 avril.
Le film nous plonge dans le quotidien de Raf Simons, bombardé responsable de la haute-couture de Dior seulement huit semaines avant le grand défilé automne-hiver 2012 en lieu et place de John Galliano, viré pour avoir tenu des propos antisémites. Pour le rien arranger, Simons, un Belge qui a commencé comme designer dans le meuble, n’avait pas évolué jusqu’alors dans la haute-couture.
Le réalisateur français, qui a co-produit “Valentino: le dernier empereur” et co-réalisé “The Eye Has to Travel” sur l’ancienne rédactrice-en-chef de Vogue Diana Vreeland, a glané plus de 270 heures d’images. Depuis le moment où il rencontre son équipe dans les ateliers de Dior, on voit le designer en pleine préparation du show, entre moments de stress et de doutes et des instants de légèreté. Le documentaire a été applaudi par la critique. C’est le premier film que Frédéric Cheng réalise seul.
 
 

Des Français au festival de la BD Mocca à New York

C’est l’un des rendez-vous new-yorkais incontournables des amateurs de bande-dessinée. Organisé  par la Society of Illustrators, le Mocca Arts Festival présente chaque année les nouvelles tendances et influences dans l’univers des “comics”, en saluant le travail d’artistes américains et internationaux. Cette année, l’évènement se tiendra au High Line Hotel de New York les samedi 11 et dimanche 12 avril.
Les lecteurs sont invités à rencontrer, au fil des allées, les différents artistes et découvrir leurs travaux. Pour sa 13ème édition, le festival affiche un beau palmarès d’auteurs nord-américains et étrangers. Parmi les invités d’honneur, figurent la peintre et dessinatrice américaine Aline Kominsky-Crumb, le cartooniste américain Scott McCloud ainsi que l’auteure et illustratrice américaine Raina Telgemeier.
Plusieurs Français s’ajoutent à la liste des invités internationaux, dont certains grands noms de la bande-déssinée : on retrouve ainsi la célèbre blogueuse, auteure et illustratrice Pénélope Bagieu dont la nouvelle “Cadavre exquis” va être publiée aux Etats-Unis; le dessinateur Doublebob et l’auteure et illustratrice de best-sellers Annie Goetzinger. Seront également présents l’artiste et éditeur belge Ilan Manouach, en compagnie d’Anne-Françoise Rouche, directrice du Centre d’Expression et de Créativité de Vielsalm en Belgique.
 
 

Fabien Roussel, dans les cheveux des VIP à Austin

A Austin, Fabien Roussel ne chôme pas. Ce coiffeur français est sollicité presque à chaque évènement majeur se déroulant dans la capitale texane, des X Games au Grand Prix de Formule 1, en passant par South By South West. Son créneau: les stars. Les cheveux de l’ancienne Spice Girls Geri Halliwell, ainsi que de l’acteur et réalisateur Robert Duvall et de sa femme Luciana Pedraza, venus présenter à SxSW en avant-première mondiale leur dernier film, Wild Horses, sont passés sous sa brosse ces six derniers mois.
« L’année dernière, j’ai coiffé Arianna Huffington (fondatrice du média en ligne éponyme), venue pour South by Southwest. C’était la première fois que je travaillais à l’hôtel Four Seasons », raconte le styliste français, qui a démarché tous les grands hôtels du centre-ville après son déménagement dans la capitale texane il y a trois ans. « J’ai été reçu par le concierge adjoint du Four Seasons, puis le concierge, que j’ai invité au Deseo Salon où je loue un siège, et ils m’ont fait confiance pour coiffer les personnalités. »
Après avoir géré trois salons de coiffure à Saint-Etienne et avoir été repéré par un chasseur de têtes, Fabien Roussel a fait ses armes américaines chez Julien Farel, un salon de coiffure de luxe à New York. Pendant près de dix ans, il a coiffé des mannequins et des célébrités pour des couvertures de magazines et les défilés de la New York Fashion Week.
Bien loin du tumulte new-yorkais, il a choisi de s’installer à Austin pour élever ses deux enfants avec son épouse texane. « On a une autre qualité de vie ici, avec les 330 jours d’ensoleillement par an d’Austin et un coût de la vie bien inférieur à celui de New York. » Mais il n’a pas non plus renoncé à l’activité de formation qu’il avait à New York, retournant régulièrement dans la Grosse Pomme pour le compte de la marque française de produits capillaires Phyto.
« En France, on se forme par apprentissage pendant deux ans, avant d’éventuellement enchaîner sur deux autres années de brevet professionnel, voire un brevet de maîtrise. Il n’y a rien de tel ici, aux Etats-Unis, où l’on se contente de 1.200 heures de pratique au cours de six mois de “revue”. Pour devenir de véritables stylistes, les jeunes professionnels américains gagneraient à étudier le dessin et les postures humaines. »
Sans (encore ?) se lancer dans la formation initiale, Fabien Roussel a commencé à approcher des salons texans qui pourraient bénéficier de sa spécialisation dans le coiffage des cheveux longs et les coupes glamours.
 

Ode à la Rose ouvre une boutique

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Warby Parker, BirchBox, Rent the Runway: à New York, on ne compte plus les sites d’e-commerce qui ont ouvert une boutique “physique” après avoir fait leurs preuves dans le monde virtuel.
C’est désormais le tour d’Ode à la Rose, une start-up qui vend des bouquets de roses en ligne. Lancée en 2011 par deux Français de New York, Louis Brunet et Olivier Plusquellec, la marque cherche à se différencier avec sa touche “française”, ses fleurs haut-de-gamme, ses packaging design et divers petits plus high-tech (carte de voeux virtuelle en vidéo, photo des fleurs avant la livraison, suivi du bouquet en temps réel etc).
Pour ce premier pas dans le monde du “brick-and-mortar”, les deux entrepreneurs fleuristes commencent doucement, avec un “pop up store” (comprenenez un magasin éphémère). “C’est une manière pour nous de tester l’expérience du retail. Ensuite, si l’expérience est concluante, on envisage d’ouvrir une boutique permanente”, affirme Louis Brunet.
La boutique Ode à la Rose, qui sera en activité du 8 avril au 6 juillet (avec au milieu, la fête des mères), permettra d’acheter des roses sur place, ou de passer commande pour des livraisons, via des tablettes à disposition.
Elle est située au pied de l’hôtel Roger Smith, dans un quartier ultra-passant, en plein Midtown East (sur Lexington, au coin de la 47ème rue). Pourront-ils rentabiliser l’opération avec un loyer qu’on imagine coquet pour un emplacement si convoité?
Pour Louis Brunet, l’intérêt va au-delà. “Il s’agit avant tout d’une manière de faire connaitre la marque”, note-t-il. L’expérience de voir les fleurs, de les sentir, de les toucher, devrait permettre d’attirer de nouveaux clients, affirme Louis Brunet. Dont le business continue de bien pousser : si Ode à la Rose, qui emploie six personnes, reste discret sur ses résultats, il affirme que le chiffre d’affaires de sa petite entreprise a doublé en 2014, et devrait plus que doubler en 2015.

Carte: où écouter de la musique live à New York

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Le week-end approche et, avec lui, votre “date” du vendredi soir ou la virée nocturne avec votre cousin venu de France. Dans les deux cas, soyez prêt quand ils vous demanderont à aller dans un bar de musique “live” .
Il y en a beaucoup à New York et on vous voit venir: non, nous n’avons pas listé ici tous ces bars. Seulement ceux que nous aimons. Et nous nous excusons d’avance si nous n’avons pas inclus votre favori. Mettez-le en commentaire!
Notre carte (cliquer sur le marqueur rouge pour voir le texte):