Mettez-vous sur votre 31 pour la 33ème édition de “La Soirée”, de la French American Chamber of Commerce de San Francisco, le 21 novembre à la Terra & Mer Gallery. Le thème de cette année n’est autre que le cinéma, de Hollywood à Cannes.
French Morning vous propose de gagner une paire de tickets pour la manifestation. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
Au menu: démonstrations de cuisine par des chefs de renom – avec le meilleur des produits français et californiens – tout en dégustant du bon vin, au son electro du DJ Aykut. Et profiter, bien sûr, de l’open bar !
Un concours, réservé aux étudiants en cuisine, est également organisé. Les autres pourront tenter leur chance pour gagner un voyage à Paris ou une semaine au Club Med.
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Gagnez des places pour la "Soirée" de la FACC de San Francisco
L'AFI FEST célèbre le cinéma francophone à Hollywood
Ne passez pas à côté de l’AFI FEST, un festival de cinéma gratuit, du 6 au 13 novembre. Cela se passe à Hollywood, et l’événement fait la part belle cette année aux films français et francophones.
Oubliez les sempiternels hommages au cinéma de la Nouvelle Vague. Pour sa 28ème édition, le festival projette une vingtaine de films français et francophones de 2014.
Parmi les réalisateurs, on trouve des grands noms comme des nouveaux talents. On passe ainsi de Saint Laurent de Bertrand Bonello, Mommy de Xavier Dolan et Deux jours, une nuit des frères Dardenne dans la catégorie “Special Screenings”, à Run de Philippe Lacôte dans la catégorie “New Auteurs” ou le film autobiograhique du rappeur Abd Al Malik, Qu’Allah bénisse la France dans la catégorie “Breakthrough” (Découverte).
Six films représenteront la France dans la catégorie “World Cinema”, dont Le Sel de la Terre de Wim Wenders ou Respire, deuxième réalisation de Mélanie Laurent, nommée à la semaine de la critique au dernier Festival de Cannes.
Programmé par le American Film Institute, l’AFI FEST organise également des table-rondes et des conférences qui portent aussi bien sur les films indépendants que l’évolution des studios d’animation Weta Digital, à l’origine du Hobbit ou de La Planète des Singes.
Gesaffelstein et son électro obsessionnelle à NY
Mike Lévy n’est pas le cousin de notre cher romancier à succès Marc Lévy, mais un DJ français, plus connu sous le nom Gesaffelstein.
Il sera en concert au Terminal 5, à New York, jeudi 6 novembre. Un rendez-vous à ne pas manquer pour les amateurs d’électro.
Gesaffelstein a commencé il y a six ans à produire de la musique électro. Son titre Viol se retrouve propulsé sur petit écran en 2012 grâce à des publicités. Le public découvre alors sa techno sombre, agressive et hypnotisante.
Un an plus tard, en 2013, l’artiste sort son premier album, Aleph.
Quatre fois nominé aux UK Music Video Awards et récompensé par deux awards pour son single Pursuit, le Frenchy se fait peu à peu une place dans le monde de la nuit.
Il a depuis collaboré avec Kayne West, Daft Punk, Brodinski, et plus récemment, avec le rappeur Asap Rocky.
A Mar Vista, une école primaire se mobilise pour un cursus franco-anglais
Un groupe de parents français de Mar Vista se bat pour obtenir un programme bilingue dans l’école publique.
A la Richland Avenue Elementary School de Mar Vista (un quartier de Los Angeles situé entre Santa Monica et Cheviot Hills), les enfants ont déjà la possibilité de suivre des cours de français sous forme d’activité extra-scolaire, dans les locaux de leur établissement. Mais un groupe de parents francophiles veut plus: un véritable cursus bilingue.
«L’an dernier, le Los Angeles United School District-LAUSD (ndlr: l’organisation gérant le système scolaire public de L.A) a rejeté notre demande initiale, arguant que les familles intéressées par le programme n’étaient pas encore assez nombreuses pour qu’il ait une chance de perdurer dans les années à venir » regrette Kami Turrou, une mère d’élève américaine qui souhaite que son fils puisse apprendre le français dès le plus jeune âge.
Pourtant, “de nombreuses familles francophones vivent à West L.A et dans le quartier de Venice. Nous avions déjà plus de 40 familles intéressées par le programme d’immersion à Richland !” explique de son côté Sarah Maniquis, une maman franco-américaine. “Rien que par le bouche à oreille ! Avec un peu de publicité, cela pourrait être bien plus”.
Une demande reconduite l’an prochain
Les parents de la Richland Avenue Elementary School sont d’ailleurs loin de s’avouer vaincus : «La demande d’un Dual Language French Program (cursus bilingue enseigné à 50% en français et 50% en anglais, à partir du Kindergarten) va être reconduite pour l’année scolaire 2015/2016 » souligne Kami Turrou.
C’est sous l’impulsion du directeur de l’école Gérard Granade, principal d’origine franco-basque, que l’idée de ce cursus bilingue a vu le jour. «Il est toujours à la recherche de projets innovants pour contribuer au succès de Richland et encourager de nouveaux parents à rejoindre l’école ».
L’atout de ce futur programme par rapport à ceux du LILA et du Lycée français ? « Le fait qu’il n’y a aucun frais de scolarité ! Tout le monde n’a pas les moyens de mettre ses enfants dans le privé ! Ce serait tout de même formidable que les familles de Los Angeles puissent avoir accès à de nouvelles formules d’enseignement en langue française gratuites pour leurs enfants !» estime Kami Turrou.
En attendant que le LAUSD approuve le projet des parents d’élèves de Richland, les cours de français payants, après la classe, se poursuivent cet automne. «En fonction de la demande, nous allons renouveler notre première session de huit semaines de cours » explique Florence Farenc, professeur de français à Richland et directrice de France Exchange. «Pour l’instant, nous n’avons que des élèves scolarisés à Richland mais nous sommes ouverts à l’idée d’accepter des élèves venus de l’extérieur, à la recherche de cours de français abordables».
Laurent Korcia rejoue Bartók à LA
Le violoniste Laurent Korcia fête ses 50 ans le 7 novembre. Une occasion célébrée par un concert le 14, à Los Angeles.
Le Frenchy a tenu le rôle de soliste pour les plus grands orchestres en France, de Lyon à Lille en passant par Toulouse, Bordeaux et bien d’autres villes encore. Il s’est ensuite offert quelques petits voyages dans de prestigieux orchestres suisses, russes, danois et anglais.
Un beau palmarès pour le violoniste, qui, malgré sa renommée croissante, reste fidèles aux compositeurs de ses débuts. Il choisit parfois des artistes inconnus, mais s’est surtout fait connaitre pour ses interprétations de Béla Bartók. Ses albums sont parfois des hommages aux classiques du 7ème art, parfois des interprétations de pièces de Ravel, Debussy ou Fauré. L’artiste a même consacré un album à la musique tzigane.
Cette diversité et son audace lui ont valu de nombreux prix, comme celui du Concours Paganini, et une Victoire de la Musique.
Le violoniste viendra à Los Angeles pour interpréter un solo et de la musique de chambre avec les étudiants de la Colburn Music Academy. Au programme : Bartók, Vivaldi, Ravel, Stravinsky, et bien d’autres encore…
La BD française à la rencontre des "comics" US
Depuis leur création en 2010, les Vis-à-Vis s’efforcent de mêler littérature française et américaine. Le thème pour 2014 ? La bande-dessinée.
L’événement se veut un “incubateur pour une nouvelle collaboration internationale”. Derrière cette expression peu ragoûtante, se cache un festival de BDs. Au programme, des discussions avec des auteurs français, et américains.
Ils discuteront ensemble de l’avenir du genre littéraire à Hollywood, et de ses adaptations sur petit et grand écrans. Ils reviendront sur les challenges que représentent de telles adaptations.
Parmi les auteurs, Trevor Alixopulos, qui a signé The Hot Breath of War en 2008, Arthur de Pins pour Zombillenium, le traducteur Edward Gauvin, Dan Panosian pour John Tiffany, John Pham pour Sublife, ou encore Fabien Vehlmann et son Beautiful Darkness. Il y aura aussi Jul, auteur de l’hilarant Silex and the City (en cinq volumes), et Abel Lanzac, alias Antonin Baudry, avec sa bande-dessinée Quai d’Orsay (Diplomacy en anglais), qui inspira le film éponyme.
L’évenement est gratuit et ouvert à tous, à condition de réserver pour être certain d’avoir une place.
2 dates pour (re)découvrir le "beat" de Mr. Oizo
Trois millions, c’est le nombre d’exemplaires vendus du titre Flat Beat. Et on le doit à Quentin Dupieux, plus connu sous le nom de Mr. Oizo.
Ce titre, sorti en 1999, a fait la renommée du Frenchy, et lui a même valu une nomination aux Brit Awards dans la catégorie “dance”.
Avec sa mascotte jaune Flat Eric, désormais rendue célèbre par la marque Levi’s qui l’utilisa pour une campagne publicitaire, Mr. Oizo a imposé un style bien particulier. De la house, des beats déchaînés et des paroles un brin torturées, voilà son empreinte.
L’artiste qualifie lui-même sa musique d’ “inécoutable” . Un concept pour le moins… original. Il a tout de même sorti 5 albums remplis de ce grand “n’importe quoi” . Son dernier, The Church, ne date d’ailleurs que de quelques jours.
Mr. Oizo fera la première partie de Thundercat et de Flying Lotus. Le premier, natif de la Californie, est joueur de basse. Le second, avec qui il jouera, est producteur, rappeur, et musicien électro. Le 21 novembre à San Francisco, Mr. Oizo aura la scène pour lui tout seul.
Lance Armstrong, déchu mais toujours adulé
Lance Armstrong paria? Pas pour les amateurs californiens de la petite reine, qui se pressaient lundi autour de la star déchue.
Il était venu participer à la 6e édition de la “Mike Nosco Bicycle Ride”, dans le quartier de Newbury Park, à Thousand Oaks, course de charité destinée à récolter des fonds au profit de familles de malades du cancer.
Interdit de toute compétition sportive officielle, le Texan a mis à profit cette sortie de loisirs pour enfourcher à nouveau son vélo et rejoindre un peloton de 600 coureurs amateurs, afin de parcourir plus de 125 kilomètres dans les collines plongeant vers Santa Monica. Véritable star en dépit de ses déboires, Lance Armstrong a une nouvelle fois pu constater que sa cote de popularité n’avait pas faibli.
Sitôt la ligne d’arrivée franchie, une file de supporters s’est formée à côté du camion de son équipe, afin de récolter des autographes, des photos souvenirs en compagnie du champion, ou une simple poignée de mains. L’un d’entre eux avait même effectué le déplacement avec trois maillots jaunes récupérés en France, sur lesquels Armstrong a pu apposer sa signature.
Venu soutenir la cause défendue par la course, Lance Armstrong s’est borné à évoquer le travail des organisateurs, plutôt que de s’étendre sur son actualité : “Cela faisait plusieurs années que l’on me demandait de venir participer à cette épreuve. J’étais séduit par son principe, mais mon emploi du temps ne m’avait pas permis de venir auparavant. Dès que cela a été possible, j’ai répondu présent. Mais je ne pensais pas que cela serait si dur, avec toutes ces montées sur des pentes très raides. Je n’ai plus l’habitude car je ne m’entraîne plus beaucoup. Pas plus d’une fois par semaine.”
Un détachement du monde sportif, que le Texan confirmait au moment d’évoquer son intérêt pour le cyclisme professionnel : “Je ne suis pas les résultats. De temps à autre je lis le journal ou je surfe sur internet, mais je ne regarde pas cela en particulier. La fin de ma carrière a été compliquée et j’ai tourné la page.”
Lance Armstrong s’est donc fixé de nouvelles priorités : “Passer du temps avec mes enfants, voyager et poursuivre la lutte contre le cancer.” Une bataille contre la maladie que l’intéressé mène par le biais de sa fondation, mais aussi de sa partocipation à différents événements à travers le pays, comme l’épreuve cycliste de Newbury Park.
Une visite éclair sur les routes de Californie qui lui a également permis de se rapprocher d’Hollywood, où le Texan bénéficie de nombreux soutiens. L’acteur Matthew McConaughey, oscarisé l’an passé, fait partie de ses proches et lui a récemment manifesté son amitié lors d’une interview pour GQ, tandis que Vince Vaughn et Ben Stiller l’ont contacté pour jouer dans la suite du film “Dodgeball”.
Trois jours de jazz à Miami
En novembre à Miami, c’est le “mois des Lives” ! On en profite pour faire le plein de bonne musique, avec un weekend de jazz.
Ce weekend, c’est la 7ème édition de l’Annual Sunny Isles Beach Jazz Fest. Un nom un peu longuet, derrière lequel se cachent deux jours de musique et d’ambiance chaleureuse. Le thème cette année ? “What a Wonderful World“.
Le 14, un diner musical est organisé. Au programme, Jonny Loew et Marty Kaye, autour d’un repas, ou autour d’un verre, selon votre appétit. De quoi régaler papilles et tympans…
La nuit du 15 novembre, la scène d’Heritage Park résonnera au son des voix de Brenda Alforf, LeNard Rutledge et Rochelle Lightfoot, tous trois accompagnés par le Melton Mustafa Orchestra, et par le percussioniste de renom Leon Foster Thomas. Ils interprèteront ensemble le grand classique “What a Wonderful World“.
Le dimanche 16, enfin, un brunch musical sera organisé, au quatre étoiles Trump International Beach Resort. Une belle manière de clôturer en beauté ces trois jours jazzy.
Le Festival of the Trees : une oeuvre d'arbres
Le Festival of the Trees est un événement haut en couleur qui inaugure la période des fêtes à travers de sublimes représentations d’arbres – icône de Noël par excellence. Une soirée unique qui réunit les agents immobiliers, artistes, architectes et designers les plus influents de Miami. Rendez-vous le 20 novembre !
Organisé par le Florida International University’s College of Architecture + Arts, le festival attire chaque année 600 participants, selon le doyen, Brian Schriner. L’événement est devenu une tradition dans le sud de la Floride, vingt-huit ans après son lancement. Les arbres, créés par des designers locaux et internationaux, ainsi que les étudiants et anciens du FIU, célèbrent les formes, la lumière, les couleurs et la poésie de la saison.
Le thème de cette 28ème édition, “Design GPS: Global Prismatic Spectrum”, renvoie à la diversité des matériaux qu’ont pu utiliser les créateurs pour créer des oeuvres à la fois originales et spectaculaires. Des oeuvres qui seront attribuées au plus offrant lors d’une vente aux enchères. Il pourra alors s’en servir comme décoration de Noël.
Les bénéfices de la vente aux enchères permettront de financer des bourses et des voyages scolaires à destination des jeunes talents du FIU.
Eclair de génie va foudroyer New York
C’est la tactique de la guerre éclair. Après l‘ouverture d’Eclair Bakery (Midtown East), et celle, fin novembre, des Jardins de la Duchesse (dans le Lower East Side), une nouvelle pâtisserie française dédiée aux éclairs va se lancer à New York.
Et pas n’importe laquelle : celle-ci sera une antenne d’Eclair de génie de Christophe Adam, star de la pâtisserie française, qui a remis ce gâteau rétro en vogue à Paris. Arrivée prévue au printemps 2015 à SoHo.
Ancien chef pâtissier chez Fauchon, spécialisé dans ce gâteau long depuis 2002, ce Breton a ouvert sa boutique dédiée aux éclairs en décembre 2012 à Paris. Le succès a été foudroyant – à peine deux ans plus tard, il compte cinq enseignes, dans le Marais, le quartier de l’Opéra, la place des Victoires, Odéon et Passy.
“Au total, j’emploie 50 personnes, alors qu’on était deux il y a deux ans, nous dit-il, lors d’une interview téléphonique. Par exemple, pour l’événement Chococtober, on a vendu 11.000 éclairs en cinq jours. On en fabrique quotidiennement entre 1.500 et 5.000, et certaines boutiques en écoulent 1.200 par jour.”
Au mois d’octobre, il a ouvert un Eclair de Génie au Japon, et la prochaine ville sur la carte est donc New York. “Cela fait très longtemps que j’ai envie de venir. J’adore cette ville, et si j’avais à refaire ma vie, je commencerais par New York”, dit ce quadra, qui trouve la concurrence avec les autres spécialistes des éclairs “plutôt saine”.
“Mais New York est un marché difficile, risqué, où les gens connaissent la gastronomie. Il ne faut pas se planter.” D’autant qu’Eclair de Génie a de grands projets pour les Etats-Unis. “On ne va pas se contenter d’une seule boutique. Mon objectif est de lancer une marque internationale.”
Pour ses débuts américains, Christophe Adam a choisi le quartier de SoHo “car c’est celui qui ressemble le plus au Marais, là où on a commencé”. Il ne sera donc pas loin de la pâtisserie de Dominique Ansel, qu’il connait bien. “Il était l’un de mes sous-chefs chez Fauchon”, glisse-t-il, avant d’ajouter, malin : “la queue qu’il a devant sa pâtisserie à New York, j’ai la même à Paris”.
A New York, le succès du maitre sera-t-il à l’image de celui de son élève ? Ce qui est certain, c’est que comme Dominique Ansel, Christophe Adam n’a pas peur du marketing : création en permanence de nouveautés (trois ou quatre créations par mois), utilisation des réseaux sociaux, plan com’ bien rodé…
“Bien entendu, nous adapterons notre gamme au marché américain. Comme au Japon, la moitié des éclairs seront des modèles internationaux, et les autres seront spécifiques aux goûts locaux – comme le beurre de cacahuète. J’ai d’ailleurs préféré recruter un chef américain, qu’on va former en France”, poursuit Christophe Adam, qui récite ses cinq commandements des éclairs : “ultra-frais, très bons, très beaux, et très minutieux”. A voir si les New-Yorkais auront le coup de foudre.
Un championnat de planche à voile à Miami
Voilà un championnat qui ne manque pas d’air… Le Miami Slalom Windsurfing Open 2014 revient dès vendredi, pour sa 8ème édition.
Le championnat durera trois jours, du 7 au 9 novembre. Il aura lieu sur Virginia Key. Et si vous n’avez pas d’hélicoptère à votre disposition, rassurez-vous, vous pourrez voir les planches à voile depuis la plage. Chaque jour, auront lieu de 3 à 7 courses par catégorie (les skippers sont classés par âge, sexe ou catégorie de planche).
Les compétiteurs devront effectuer soit le slalom classique, soit le super slalom. Si dans la première course, ils seront portés par le vent qui soufflera dans leur dos, pour la seconde en revanche, ils devront composer tantôt avec ce vent de dos, tantôt avec un vent de face. Courage, moussaillons.
Programme complet :
Le 7 novembre
9-11h : inscriptions et petit-déjeuner – 11h30 : briefing pour les compétiteurs – 12h00 : premier départ possible -17h50 : dernier départ possible
Le 8 novembre
9h00 : petit-déjeuner – 9h30 : briefing pour les compétiteurs – 10h30 : premier départ possible – 17h50 : dernier départ possible
Le 9 novembre
9h : petit-déjeuner – 9h30 : breefing pour les compétiteurs -10h30 : premier départ possible – 15h50 : dernier départ possible – 16h30 : cérémonie de remise des récompenses