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Vente privée Bonpoint à New York

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La marque de vêtements de luxe pour enfants Bonpoint organise une vente privée. Sera proposée à la vente la collection d’hiver, ainsi que la collection d’automne.
La vente aura lieu les 22 et 23 octobre à New York, à partir de 9h. Pas besoin d’être un VIP pour pouvoir venir profiter des réductions jusqu’à moins 60% sur les vêtements fille et garçon : l’entrée est ouverte à tous. Il y en aura pour presque tous les âges, du nouveau-né au pré-adolescent.
Rendez-vous au Metropolitan Pavillon pour rhabiller vos chérubins pour l’hiver. Cols claudines, mocassins et petits trench se disputeront la vedette sur les portants. C’est là la marque de fabrique de Bonpoint : des pièces un brin BCBG, et preppy à souhait.
 

Yelle et Yann Tiersen au Fun Fun Fun Festival d'Austin

Le Fun Fun Fun Festival d’Austin fête déjà sa neuvième année, avec trois jours de concerts. Sur scène, Wiz Khalifa, Nas, Alt-J, mais aussi deux Frenchy…
Il y aura d’abord l’électrique Yelle, et sa pop déjantée. Avec deux albums à son compteur, Pop Up et Safari Disco Club, la Française a imposé son style, avec des mélodies entraînantes et des paroles franches et décalées. Un concentré de fraicheur en quelques notes. Elle jouera le 7 novembre, sur la Blue Stage.
Dans un tout autre style, Yann Tiersen sera aussi présent. Ceux qui ont vu Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain connaissent déjà ses mélodies rétro pour pianos, qui vous rendent mélancoliques en un instant. Depuis le film, le breton s’est tissé une belle carrière, et a sorti quelques albums. Il sera sur l’Orange Stage le 8 novembre, et c’est un rendez-vous que les grands nostalgiques ne doivent rater pour rien au monde. Ou presque.

A LA, un ciné-sciences sur le ventre, "notre deuxième cerveau"

Si vous vous demandez pourquoi le stress fait mal au ventre, et pourquoi l’amour vous y donne des papillons, ne ratez pas le prochain Ciné-sciences de l’Alliance française de Los Angeles.
Sera projeté le 6 novembre à 18h15 « Le ventre, notre deuxième cerveau », de Cécile Denjean. Le documentaire nous montre comment fonctionnent les quelques deux cents millions de neurones qui se cachent derrière notre nombril. Une mécanique bien huilée, qui nous aide à la digestion, mais aussi, à gérer nos émotions. Saviez-vous par exemple que des bactéries présentes dans notre ventre pouvaient nous rendre timides ?
Les récentes études sur ce cerveau entérique ont ouvert de nouvelles perspectives, notamment d’un point de vue thérapeutique. Certaines maladies comme Parkinson, pourraient naître dans notre ventre… En s’intéressant à ces neurones, on pourrait être capables de détecter la maladie bien plus tôt.
La projection sera suivie d’un Q&A avec le professeur Yvette Tache, de l’école de médecine UCLA Geffen.

"Truffaut, mon père, était comme chez lui à Hollywood"

A l’occasion du 30ème anniversaire de la disparition de François Truffaut, sa fille Laura, a raconté à French Morning les liens très spéciaux qui unissaient le célèbre réalisateur à Los Angeles.

Des 400 coups à La Peau douce, en passant par Baisers Volés, François Truffaut a filmé avec passion la capitale parisienne où il est né le 6 février 1932. Mais ce que le public sait moins, c’est que Los Angeles occupait également une place spéciale dans le cœur du réalisateur, disparu il y a 30 ans, le 21 octobre 1984.

« Mon père se sentait comme chez lui à Hollywood. Sans doute parce qu’il s’agissait de la capitale mondiale du cinéma. Il y était dans son élément, entouré d’autres passionnés» raconte sa fille aînée Laura Truffaut, qui vit depuis plus de 30 ans à Berkeley, en Californie. « Alors qu’à Paris, il ne sortait pas beaucoup, à Los Angeles, il aimait se rendre dans les soirées hollywoodiennes, dans lesquelles il nous a plusieurs fois emmenées ma sœur et moi, lors de vacances d’été que nous passions ensemble en Californie».

L’intérêt que porte Truffaut à Hollywood est réciproque : figure emblématique de la Nouvelle Vague française, le réalisateur est d’abord remarqué par les milieux cinéphiles new-yorkais dans les années 60. «Lorsque mon père a remporté l’Oscar du meilleur film étranger en 1974, pour La Nuit Américaine, il s’est mis à recevoir de très nombreuses propositions d’Hollywood» raconte sa fille. « En France, l’Oscar est passé quasi-inaperçu dans les médias, car l’événement a coïncidé avec la mort du président Pompidou ! Mais mon père était heureux : pour lui, cette reconnaissance signifiait que des portes pouvaient potentiellement s’ouvrir aux Etats-Unis, lui permettant notamment de financer de nouveaux films».

Le réalisateur français passe alors davantage de temps à Hollywood. «Après nos premières vacances californiennes, mon père m’a soutenue dans mon choix d’entamer des études de littérature à Berkeley. Lorsqu’il venait à Los Angeles, j’en profitais pour descendre le voir » se souvient sa fille.

De “Bonnie and Clyde” à Spielberg

A L.A, Truffaut a ses habitudes. « Il conduisait et savait extrêmement bien se repérer dans la ville. Il aimait passer du temps dans les librairies d’occasion et fréquentait les cinémas de Westwood. Il séjournait souvent au Beverly Hills Hotel et aimait y lire des scénarios, au bord de la piscine, mais n’y aurait jamais trempé un orteil ! A Los Angeles, il avait aussi son cercle d’amis proches, comme le réalisateur Jean Renoir et sa femme Dido. Un été, nous avons loué une maison dans les collines, non loin de chez eux, dans Benedict Canyon. Mon père avait aussi une petite équipe qui veillait sur lui composée entre autre d’un avocat et d’un agent, Rupert Allan, (qui s’occupait aussi de Grace Kelly)».

Mais Truffaut n’acceptera jamais aucune proposition de travail à Hollywood. « Il envisageait les Etats-Unis avec prudence. Il avait déjà été un peu refroidi par son expérience avec Fahrenheit 451 (première production européenne d’Universal Studios), qu’il avait tourné en Angleterre, après avoir d’ailleurs refusé une autre proposition américaine en 1967 : « Bonnie and Clyde ! ». Outre l’anglais qu’il maîtrise mal, Truffaut se méfie des méthodes des studios hollywoodiens. « Mon père tenait beaucoup à sa liberté de réalisateur et se méfiait de l’ingérence des studios qui disposaient du final cut».

Le tournage du film de Steven Spielberg « Rencontres du Troisième Type », dans lequel le réalisateur américain offre à Truffaut le rôle du Professeur Lacombe en 1977, ne fait que confirmer ses doutes : « Il a été troublé par la lourdeur de la hiérarchie sur les tournages et le poids des syndicats » note Laura Truffaut. Le réalisateur porte également un regard parfois critique sur le cinéma hollywoodien de la fin des années 70. « Il n’aimait pas le côté moralisateur, consensuel et un peu trop simpliste de certaines réalisations, comme « Kramer contre Kramer » : il s’en moquait en les qualifiant avec humour de films de Conseil d’Administration!».

Patrick Bruel à LA: gagnez des places

Le beau gosse chanteur/acteur/joueur de poker est en ville.
Patrick Bruel est en concert au Orpheum Theatre le 8 novembre. French Morning vous offre une paire de tickets pour le show, au cours duquel la star chantera ses propres morceaux et des reprises de Billy Joel et Stevie Wonder notamment.
Les gagnants seront tirés au sort. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
Le chanteur est une vraie machine à tubes (“Rien ne s’efface”, “Marre de cette nana-là”, “Casser la voix”, “Place des grands hommes”…). Ce n’est pas la première fois que Patrick Bruel joue aux Etats-Unis, pays où il s’est construit comme artiste, comme il l’a raconté à French Morning.
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Un sapin-sex toy bien épineux

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La place Vendôme, « l’un des plus beaux endroits historiques de Paris » selon Gawker, a accueilli un étrange visiteur vert sur ses pavés la semaine dernière, en prélude à la foire d’art FIAC: une étrange installation en forme de “plug anal”, à côté de la Colonne Vendôme, érigée par Napoléon. Un sacré choc des cultures qui n’a pas plu à tout le monde. Ce sapin / sex toy a déclenché de nombreuses critiques au sein des milieux catholiques conservateurs. L’artiste américain qui en est à l’origine,  Paul McCarthy, a été agressé et son oeuvre saccagée par des inconnus. Il a décidé de ne pas la réinstaller.
Cet épisode, qui a passionné la presse internationale, a trouvé écho aux Etats-Unis. Gawker ne comprend pas comment une telle chose peut se produire à Paris, « refuge pour les artistes du monde entier» et considère que les Français sont “coincés“. “Les Français n’ont pas aimé la Tour Eiffel non plus“, ajoute le site dans son article, avant le retrait de l’oeuvre.
Coincés“, c’est également l’adjectif utilisé par New York Mag pour qualifier les critiques parisiens de ce sapin ambigu. Le retrait de ce sex toy géant est une honte pour la France selon le New York Mag, et aurait même rendu Paris « moins magique ». Pour sa part, le site FrontiersLA observe non sans ironie que c’est « un peu tôt » pour mettre « des décorations de Noël ».
Le LA Times note que l’œuvre de Paul McCarthy a beau avoir disparu de la Place Vendôme, elle subsiste sur Internet, à travers de nombreux photo-montage et détournements. “L’installation est en train de devenir un mème populaire sur Internet“, écrit la journaliste.
Le Huffington Post américain rappelle, enfin, que Paul McCarthy est un habitué des travaux controversés (Blanche Neige porno, tas d’excréments gonflables…). C’est un “enfant terrible de l’art”. “C’est de l’art, McCarthy est un artiste et la FIAC est une foire d’art”, rappelle la journaliste, qui raconte que McCarthy voit “les plugs anaux comme des sculptures de Brancusi qui, en vert, ressemblent à des sapins de Noël”. Voilà une affaire bien épineuse.
Vous reprendrez bien un peu de foie gras ?
Pour Noël donc, si vous comptiez manger du foie gras, ne lisez surtout pas l’article du site Newsweek. Vous risquerez de ne plus jamais vouloir en manger.
L’enquête tombe quelques jours après une décision de la Cour suprême de ne pas examiner une plainte visant à supprimer l’interdiction du produit en Californie. Ce qui est largement justifié selon Newsweek, car cet “emblème” de la gastronomie française ne serait rien d’autre que « de la torture en boîte ».
Les auteurs racontent leur visite d’un élevage, à Bellevue Ferme, qui visiblement ne ressemble en rien à l’idée « bucolique » qu’ils s’étaient faits du sud de la France. Néons, odeur fétide, chaleur insupportable et minuscules cages dont la seule issue est le gavage. Une pratique qui, s’il elle était exercée sur un être humain, reviendrait à « lui faire ingérer de force 20 kilos de pâtes, deux fois par jour, pendant deux semaines ».
Newsweek raconte comment ces canards deviennent « muets », « stériles », « incapables de voler », et encore bien d’autres détails sordides… Pourtant, s’étonnent-ils, lorsqu’on regarde le site internet de l’industriel, « Bellevue a l’air d’un endroit idyllique ». Newsweek se rassure un peu avec Yves Camdeborde, chef cuisinier, qui, bien qu’étant un grand amateur de foie gras, trouve que « les méthodes de production industrielle sont une honte pour la nation ». Et il n’y a qu’à lire l’intégralité de l’enquête de Newsweek pour comprendre pourquoi. Ames sensibles s’abstenir.
Du champagne dès le berceau
Qui dit “fêtes de fin d’année” dit “sapin”, “foie gras” et « champagne ». Avec modération, bien sûr. Ce serait dommage de réduire en poussière les efforts du gouvernement français qui essaye de combattre le binge-drinking, pratique qui consiste à boire de l’alcool le plus vite possible, et en grande quantité.
Les Etats-Unis, pourtant très expérimentés en la matière, s’interroge sur notre consommation d’alcool. D’abord, en France, explique Vice, « les restrictions d’âge en matière d’alcool sont plutôt souples », et « les parents sont plutôt amusés quand leur enfant de 14 ans feint d’être sophistiqué en commandant un verre de vin rouge ». Parce que de toute façon, c’est bien connu, « enfants comme adultes sirotent du champagne avec leur steak-frites ». Pire encore, « il n’y a aucune loi concernant la régulation de la consommation d’alcool dans un cadre privé », ce qui permet aux moins de 18 ans de boire plutôt facilement.
Dans ce contexte, Vice trouve plutôt « drôle » que le gouvernement veuille prendre des mesures comme « rendre les emballages des bouteilles moins jolis ». Pour le site, le problème serait bien plus profond. Et ce n’est pas le Washington Post qui dira le contraire. Les étudiants français seraient incités à « boire en grande quantité » dès la rentrée scolaire, avec les journées dites « d’intégration ». Mais pour le journal, les adolescents ne sont pas les seuls concernés. En France « les enfants [aussi] boivent du vin ».

Ilan Abehassera retrouve "la rage" de New York

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La Californie, c’est fini. Ilan Abehassera, bien connu dans le milieu des start-ups françaises aux Etats-Unis, revient à New York et lance une nouvelle société, Insensi.
Le concept, encore secret, tourne autour de la “smart home”. Il travaille actuellement sur un outil grand public, sans en dire plus. “Ce secteur est un nouvel el dorado, c’est là où il faut être aujourd’hui. C’est plus compliqué que le software, mais c’est passionnant”, affirme l’entrepreneur.
Pour lancer ce projet, Ilan Abehassera a déjà levé deux millions de dollars, auprès de trois fonds et quelques business angels, français ou américains. Il a aussi fait venir quatre ingénieurs français. La petite équipe est installée à New York depuis le mois de septembre, et leur premier prototype est attendu pour 2015.
Ilan Abehassera avait quitté New York pour Palo Alto fin 2012, lorsque sa start-up, Producteev (un logiciel de gestion de tâches) a été rachetée par Jive Software. Il était alors parti, avec son équipe de sept Français, rejoindre le siège de Jive dans la Silicon Valley.
Chez Jive (une entreprise cotée au Nasdaq de 700 employés, 150 millions de chiffre d’affaires), Ilan Abehassera a continué de développer Producteev. “Le produit a poursuivi sa croissance, on est arrivé à 1,7 million d’utilisateurs, et on a doublé la taille de l’équipe. C’était une expérience enrichissante, et à titre personnel, comme j’ai trois enfants, une maison à Palo Alto et un travail nine-to-five, c’était parfait.”
Mais l’envie de passer à autre chose le démangeait. “Producteev est entré dans une phase plus opérationnelle, moins créative. Cela faisait quelques mois que je bossais sur la suite, et dès que j’ai levé des fonds je me suis lancé. On a décidé, avec ma femme, de rentrer à New York, car dans la Silicon Valley, on peut vite s’isoler, la vie sociale est plus compliquée”, affirme-t-il, depuis les bureaux de Midtown qu’il sous-loue à son ami Matthieu Nouzareth, patron de Freshplanet.
“Et puis, si les grosses start-ups et les fonds sont dans la Valley, l’énergie de New York est imbattable. Pour moi qui doit me lever le matin avec la rage, il n’y a rien comme cette ville. Certes, dans la Valley, tout le monde a de jolies voitures, de l’argent et de belles maisons, mais le cadre de New York, l’adversité que l’on y ressent, c’est cela qui me plait. Et c’est aussi plus proche de la France, et il facile d’y faire venir des Français.”
Ilan Abehassera, qui chronique toujours l’actualité des start-ups pour le Grand journal de New York de BFM Business et la chaine Ouatch, a aussi profité de cet interlude californien (et de l’argent gagné par la vente de Producteev) pour débuter une carrière d’investisseur“Je voyais tellement de Français qui venaient me voir pour me parler de leurs projets que cela m’a donné envie d’y aller – même si financièrement, ce n’est pas la meilleure chose à faire” dit-il en souriant.
Au total, il a mis de l’argent dans vingt sociétés, principalement des start-ups lancées par des Français aux Etats-Unis – “pour des premiers tours de table”, précise-t-il. Parmi ces start-ups figurent le calendrier Sunrise (qui a levé six millions de dollars cet été), ou encore Checkr, Wit.ai, Algolia, qui ont intégré le prestigieux incubateur Y Combinator. “Maintenant, j’arrête d’en ajouter de nouvelles. Je me concentre sur Insensi.” A suivre l’année prochaine.

5 choses à savoir avant de partir en camping-car aux USA

(Article partenaire) C’est bien connu, le séjour en camping-car est une formule de voyage qui en séduit plus d’un puisqu’elle offre de nombreux avantages pour les amoureux du plein air qui apprécient avoir un certain confort.
En plus de vous permettre de dormir en plein coeur de la nature dans un véhicule tout équipé, vous avez l’opportunité de pouvoir déposer et défaire vos valises pour vous installer jusqu’à la fin de votre séjour.
Sans parler du grand avantage de pouvoir cuisiner vos repas sans avoir à manger au restaurant tous les jours ou encore celui de toujours tout avoir sous la main dans votre véritable petite maison sur roues !
Avant d’entreprendre ce type de voyage, il est bon de bien s’informer pour planifier au mieux vos vacances. Voici 5 choses à savoir avant de partir en camping-car aux USA :
1. Besoin d’un permis de conduire spécial ?
Non, seul le permis de conduire valide de votre pays d’origine est requis (permis B pour l’Europe et permis rose pour la Suisse), en plus d’un permis de conduire international.
Attention, votre permis de conduire doit absolument utiliser l’alphabet latin pour être accepté par le loueur et vous devez être âgé d’au minimum 21 ans et plus.
À la prise en charge du véhicule vous devrez présenter :

  • Votre permis de conduire
  • Le permis de conduire international
  • Votre passeport
  • Une carte de crédit à votre nom (au nom du conducteur principal) pour que l’on puisse préautoriser sur cette dernière le montant de la caution à payer en cas d’accident.

2. Au niveau de la consommation d’essence ?
Ah, ici vous pourriez avoir de bien belles surprises ! Le coût de l’essence est un élément essentiel à considérer lors de la planification de votre séjour.
On pense souvent à tort que ce type de séjour est moins coûteux que le circuit voiture + hôtels. Or, quand on compte le coût de la location de VR, le coût des sites de camping pour chaque nuitée et l’essence, on arrive souvent à un montant équivalent au circuit voiture + hôtels, voir même plus important.
Il faut savoir que plus le véhicule est grand, plus il consommera d’essence. L’idéal est de demander au loueur la consommation approximative du véhicule choisi et de faire un calcul rapide en tenant compte du nombre de kilomètres que vous pensez parcourir et du coût approximatif de l’essence au pays. Vous aurez ainsi l’heure juste sur le montant d’argent à prévoir, qui occupe souvent une place très importante dans le budget voyage.
3. Réservez suffisamment à l’avance 
N’oubliez surtout pas de réserver votre véhicule suffisamment à l’avance, surtout si vous prévoyez voyager en haute saison (juillet et août). Certaines personnes réservent même jusqu’à un an avant leurs vacances pour s’assurer d’avoir de la disponibilité et surtout, de bons prix.
Le monde de la location de camping-car est unique en soi car c’est un produit où les tarifs sont établis selon la loi de l’offre et de la demande. Moins il y a de véhicules disponibles, plus les prix sont élevés et vice versa. Il faut également savoir que ces derniers sont sujets à changement et ce, à chaque semaine.
Aussi, plus vous réservez tôt, plus vous aurez la chance de profiter de promotions intéressantes. Certains loueurs offrent des trousses de literie gratuites, des forfaits de kilométrage à rabais, le service de transfert gratuit, et bien plus encore. Réserver tôt peut donc être très payant.
4. Faut-il également réserver vos nuitées ?
Oui. Il est important de savoir qu’il est obligatoire de passer la nuit sur un site de camping avec votre véhicule.
En effet, il est strictement interdit au Canada et aux États-Unis de vous stationner où bon vous semble pour y passer la nuit et toute infraction peut être passible d’amende.
Comme vous devez vous stationner sur un site de camping pour la nuit, pourquoi ne pas en profitez pour réserver tous vos emplacements à l’avance et ce, surtout si vous pensez dormir dans les parcs nationaux ?
Les parcs nationaux disposent en général des plus beaux sites de camping et ils sont évidemment très prisés par les voyageurs.
L’idéal est donc de réserver ces derniers de 6 à 9 mois à l’avance pour vous éviter des déceptions. Vous aurez, en prime, une paix d’esprit durant toute la durée de vos vacances !
5. Attention de bien choisir votre modèle et votre loueur !
Le choix de votre modèle de camping car est primordial pour passer de belles vacances. Il faut d’abord déterminer vos besoins et sélectionner votre véhicule en conséquence. C’est souvent le nombre de voyageurs qui déterminera la grandeur de véhicule dont vous aurez besoin.
Soyez prudent lors de la sélection de la compagnie de location car bien que certains affichent des prix beaucoup plus alléchants, cela vient parfois avec de mauvaises surprises (véhicules sales, avec des bris, etc.). Informez-vous sur des forums de discussions ou des sites comme Trustpilot pour obtenir l’opinion des autres voyageurs.
Lors de vos recherches, comparez les prix chez différents loueurs de camping-car et avant de faire votre choix, portez une attention toute particulière à ce qui est inclus ou non avec le véhicule.
Pensez aux assurances et au kilométrage inclus. Y a-t-il des trousses de literies et d’équipement de cuisine incluses, est-ce que vous pouvez ajouter un GPS, y a-t-il un service de navette pour la prise en charge et la remise du véhicule, etc. Ces éléments sont tous très importants à considérer pour faire un choix éclairé.
Par Authentik USA, agence de voyage à destination spécialisée dans le voyage sur mesure aux Etats-Unis (site ici)
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Pourquoi le diesel ne carbure pas aux Etats-Unis

En 2013, 4,5% des véhicules vendus aux Etats-Unis étaient équipés d’un moteur diesel. En France, c’est plus de 70 %. Pourquoi les Américains sont-ils si réticents au diesel, c’est la question bête de la semaine.
La réponse la plus évidente est fournie par l’American Petroleum Institute: le coût. Selon l’organisation des pétroliers américains, “en septembre 2014 l’essence coûtait en moyenne 40 cts de moins par gallon que le diesel“. Première cause: les taxes. Aux Etats-Unis, le diesel est plus taxé que l’essence (environ 25% plus). C’est la situation exactement inverse à celle qui prévaut en France, où le diesel est moins taxé que l’essence. Dans l’Hexagone, cet avantage fiscal remonte aux années 1960, et visait à soutenir l’activité économique, le diesel étant à l’époque exclusivement le carburant des agriculteurs et des transporteurs routiers.
Aux Etats-Unis, la raison de la sur-taxation du diesel est à aller chercher au début des années 1980. L’administration Reagan cherche alors à financer la rénovation des autoroutes qui se dégradent. Le Congrès vote une taxe sur les poids-lourds. Mais les chauffeurs résistent, organisent une grève parfois violente (plusieurs chauffeurs non-grévistes sont visés par des tirs d’armes à feu!) et finalement obtiennent partiellement gain de cause: la taxe sur les poids-lourds est remplacée en 1984 par une taxe sur le diesel, censée prendre mieux en compte la réelle activité des entreprises.
Cette taxe fédérale est toujours en vigueur aujourd’hui (elle est de 0.244$/gallon contre seulement 0.184$ pour l’essence) et elle dispose notamment du soutien du lobby des transporteurs routiers (American Trucking Associations) qui milite même pour son augmentation afin d’assurer un financement durable des autoroutes américaines.
Mais cette sur-taxe ne représente qu’une petite partie du sur-coût du diesel. Le reste résulte de la très faible part de marché de ce carburant aux Etats-Unis: le raffinage y est donc moins répandu, et in fine plus coûteux que celui de l’essence. Bref, le diesel est plus cher parce que moins répandu et moins répandu parce que plus cher…
Il y a enfin une autre raison, plus culturelle (et qui renforce celle liée au coût): la mauvaise image du diesel aux Etats-Unis. La faute, disent tous les experts, à la Oldsmobile diesel que General Motors a tenté d’imposer à la fin des années 1970. A la suite du premier choc pétrolier, les Etats-Unis avaient commencé à adopter des normes plus sévères en matière de consommation de carburant. Une des solutions imaginées par General Motors est alors de développer des moteurs diesel, plus sobres que les moteurs à essence. Mais ils vont sans doute trop vite, la technologie choisie n’est pas au point et le modèle devient vite symbole d’échec du diesel. Il est retiré du marché en 1985 mais va ternir l’image du diesel aux Etats-Unis pour des années.
Mais le diesel marque des points depuis quelques années (plus 30 % de part de marché entre 2012 et 2013 par exemple). La cause, là encore, les nouvelles règles visant à la diminution de la consommation de carburant aux Etats-Unis. Une des manières d’atteindre l’objectif de 4,3 L/100 kms en 2025 est pour les constructeurs de pousser les moteurs diesel (associés au filtre à particules), qui émettent moins de CO2 que les moteurs à essence. Si les Américains préfèrent eux pousser les véhicules hybrides ou tout électrique, les constructeurs européens, allemands, en tête, sont devenus des prosélytes du diesel aux Etats-Unis.

Gagnez des places pour le show de Patrick Bruel à New York

Le beau gosse chanteur/acteur/joueur de poker est en ville.
Patrick Bruel est en concert au Beacon Theater le 1er novembre. French Morning vous offre une paire de tickets pour le show, au cours duquel la star chantera ses propres morceaux et des reprises de Billy Joel et Stevie Wonder notamment.
Les gagnants seront tirés au sort. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
Le chanteur est une vraie machine à tubes (“Rien ne s’efface”, “Marre de cette nana-là”, “Casser la voix”, “Place des grands hommes”…). Ce n’est pas la première fois que Patrick Bruel joue aux Etats-Unis, pays où il s’est construit comme artiste, comme il l’a raconté à French Morning.
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David Serero chante et fait rire à New York

David Serero n’a que 33 ans, mais déjà plus de 700 concerts et performances derrière lui… Un beau palmarès, que le chanteur compte enrichir à New York ces prochains mois.
Le baryton oscille entre plusieurs styles musicaux: opéra, jazz, musique populaire…  Son ambition est de démocratiser la musique. Il a d’ailleurs créé plusieurs festivals, dont le London Musical Film Festival.
2014 a été une année bien remplie pour David Serero, surtout avec son One Man Musical Show, qui l’a mené en tournée en Angleterre puis à Paris. Le chanteur, qui vient de sortir un album studio dédié aux grands classiques de Frank Sinatra, rejouera ce show, entre musique et comédie, les 29 octobre, 20 novembre, et 17 décembre au Snapple Theater sur Broadway. Spectacle en anglais.

Gagnez des tickets pour le concert de Patrick Bruel à Miami

Le beau gosse chanteur/acteur/joueur de poker est en ville.
Patrick Bruel est en concert au Fillmore Miami Beach le 30 octobre. French Morning vous offre une paire de tickets pour le show, au cours duquel la star chantera ses propres morceaux et des reprises de Billy Joel et Stevie Wonder notamment.
Les gagnants seront tirés au sort. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
Le chanteur est une vraie machine à tubes (“Rien ne s’efface”, “Marre de cette nana-là”, “Casser la voix”, “Place des grands hommes”…). Ce n’est pas la première fois que Patrick Bruel joue aux Etats-Unis, pays où il s’est construit comme artiste, comme il l’a raconté à French Morning.
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