En automne, le Festival du Film français de Sacramento reprend du service. Au programme, ce 19 octobre, histoires d’amour, musique et choux à la crème avec la diffusion de “Marius” et “Fanny” de Daniel Auteuil, ainsi que le classique “Les parapluies de Cherbourg” de Jacques Demy. Sans oublier le champagne !
“Marius” et “Fanny” (2013) sont deux films adaptés des pièces de théâtre de Marcel Pagnol, qui font partie de la trilogie marseillaise. Daniel Auteuil a notamment adapté “La Fille du puisatier” du célèbre romancier français en 2011.
“Les parapluies de Cherbourg” – et sa bande originale -, fête cette année ses cinquante ans. A l’occasion, le mini festival en diffusera une version restaurée au sein du prestigieux Crest Theater.
Le French Film Festival de Sacramento célèbre l'amour
Romain Serman, le diplomate qui aimait les entreprises
Ancien Consul général de France à San Francisco, Romain Serman reste dans la Baie pour diriger l’antenne locale de la Banque Publique d’Investissement (BPI).
Sa mission est vaste. Créée il y a tout juste un an, la BPI est une banque d’affaires et un fonds d’investissement qui a connu, en 2013, 70% de croissance avec des résultats très encourageants. Son premier bureau à l’étranger s’ouvre à San Francisco en cette fin d’année et sera suivi de près par une création à New York «Si la Côte Ouest est essentielle car nous nous focalisons d’abord sur les entrepreneurs de la Tech, les points névralgiques que sont New York et Boston sont évidemment à prendre en considération aussi», explique Romain Serman.
En tant que diplomate, il a oeuvré ces dernières années auprès des entrepreneurs français et des investisseurs américains. «Le but est de créer une vraie synergie avec la France sur ce plan. Nous avons de beaux moyens et nous allons nous en servir pour augmenter les capacités de nos entrepreneurs ici mais aussi pour faire venir des investisseurs américains en France. Il faut savoir qu’une société française qui se déploie ici est une société qui se développe en France, c’est une loi. Si le marché de la Tech est en belle révolution dans notre pays, à l’international cela ne représente encore que 3% du marché mondial alors que les Etats-Unis sont à 50%.».
Le chantier de Romain Serman est colossal, mais c’est une «vraie aventure». Rentré de France récemment pour prendre ses nouvelles fonctions, cet ancien diplomate sent une véritable émulation. «Pendant longtemps on a imaginé le monde des “start-up” comme trois étudiants dans un garage. Cette image a évolué, la Tech est désormais prise au sérieux. C’est le moment d’agir et notre idée ce n’est pas la défense, mais bien l’attaque, nous en avons les moyens. L’énergie qui existe ici peut être ré-insufflée en France où les initiatives de très grande qualité ne manquent pas. Il est temps de changer l’image que peuvent avoir les Américains du marché français et ça marche.»
A l’aide de ses moyens, la BPI qui finance, accompagne, développe et compte initier des partenariats avec des fonds d’investissements présents aux USA, veut redonner à la France et son économie ses lettres de noblesse à l’international «Les Français aussi sont des pionniers, des inventeurs, de grands explorateurs, il ne faut surtout pas perdre ça de vue. Notre mission est non seulement de le faire savoir mais aussi de les aider.»
A titre personnel, Romain Serman est heureux de revenir dans la Baie : «C’est une opportunité de rester tout en m’investissant dans quelque chose d’utile et qui a du sens pour moi.»
Michelin 2015: "Daniel" perd une étoile, Brooklyn consacré
“Nous sommes bien sûr déçus de ne pas recevoir trois étoiles Michelin cette année toutefois deux étoiles est déjà un honneur.” Daniel Boulud voit le verre à moitié plein. Son restaurant, le légendaire “Daniel” a perdu une étoile dans l’édition du Michelin New York 2015.
La seule table française du guide comptait trois étoiles depuis 2010. Une rétrogradation “difficile mais nécessaire” selon le directeur international des guides Michelin, Michael Ellis, qui regrette que le restaurant ne serve pas “de manière consistante” une nourriture à la hauteur d’un trois étoiles. Il espère néanmoins que “Daniel” regagnera l’étoile perdue et loue une cuisine “excellente qui mérite le détour“.
Trois restaurants ont quant à eux été promus à deux étoiles : “Blanca” (Bushwick) et ses plats minimalistes, “L’Aquavit” (Midtown) et sa cuisine scandinave et “Ichimura” (TriBeCA) qui revisite les sushis et sashimis. Sur les 73 restaurants proposés par le guide, neuf sont désormais classés deux étoiles.
Le guide cette année fait en effet la part belle aux restaurants situés en dehors de Manhattan – trois dans le Queens et pas moins de onze à Brooklyn.
Dix-sept petits nouveaux font leur entrée, dont deux adresses dans le Queens : “Casa Enrique” – premier établissement mexicain étoilé de Michelin – et “M. Wells Steakhouse” qui propose des spécialités franco-canadiennes.
Une soirée avec Jacques Brel
En 1978, Jacques Brel meurt subitement, à l’aube de la cinquantaine. Sa vie comme sa carrière furent courtes, mais marquèrent durablement les esprits.
Aujourd’hui encore, le Belge séduit avec sa voix, ses textes aussi, qu’André Nerman qualifie de « tour à tour drôles, poétiques, déchirants, corrosifs, toujours inspirés ». Admiratif de l’œuvre laissée derrière lui par Jacques Brel, André Nerman a créé un spectacle musical en son honneur en 2004, intitulé « Jacques Brel ou l’impossible rêve ». Après de nombreuses dates en France,, le metteur en scène a choisi d’élargir ses horizons. C’est en Californie, plus précisément à Whittier, qu’il présentera son spectacle le 9 octobre.
Au programme, le récit des rêves, joies et peines de l’artiste. Ses chansons seront réinterprétées par trois personnages, dont deux musiciens, parfois en chantant, parfois en parlant, comme pour mieux décrypter les mots de Jacques Brel.
Le spectacle a déjà été présenté aux Etats-Unis à deux reprises, en 2004 et 2006, mais aussi en Russie, au Japon, ou encore au Maroc.
Francis Perrin: "Jouer aux Etats-Unis, un rêve d'enfant"
Molière n’a décidément pas de secrets pour Francis Perrin. Comédien, metteur en scène et écrivain, il occupe les planches des théâtres comme les écrans de télévision. Après 50 ans de carrière et une nomination en 2004 au Molière du Comédien, il se souvient encore du jour où il est tombé sous le charme du « premier farceur de France »…
C’était à l’école : on lui fait lire une pièce de Molière, et de suite, il accroche. « Pas seulement pour l’auteur, dit-il, mais aussi par l’Homme exceptionnel qu’il était, celui qui a donné sa vie au théâtre ». Francis Perrin admire son dévouement, sa vocation, sa passion, son éclectisme aussi. Il a joué ses pièces à de très nombreuses reprises. Le rôle qui l’a le plus marqué, c’est d’ailleurs Scapin, qu’il a joué pas moins de… 333 fois.
“Après des années dans la peau de ce personnage, il est peut-être temps pour moi de dire adieu à ce rôle”, confie Francis Perrin. Cela ne l’empêchera pourtant pas d’en rejouer encore des extraits, qu’il connaît désormais sur le bout des doigts.
C’est donc tout naturellement que le comédien en est venu à écrire sur cet Homme qui a marqué sa carrière, mais aussi sa vie. Dans sa pièce « Molière malgré moi », Francis Perrin raconte les quinze dernières années de ce cher Jean-Baptiste Poquelin, de son arrivée à Paris, en 1658, à sa mort, survenue en 1673. Il tente d’y rétablir la vérité, sur les attaques dont il a été l’objet par exemple. Accusé d’inceste, moqué pour son homosexualité, Molière a été « victime de son succès ». Il jouera sur scène plusieurs personnages : Molière, bien sûr, mais aussi le roi Louis XIV, la troupe de comédiens, et bien d’autres encore.
Après quelques dates en France, notamment aux festivals de Carcassonne et d’Anjou, Francis Perrin viendra présenter en octobre sa pièce dans cinq grandes villes américaines. Il sera à New York le 4, à Boston les 5 et 6, à Los Angeles le 8, à San Francisco le 10, et, enfin, à Washington le 16. La pièce sera en français, mais sous-titrée en anglais.
Pour le comédien, jouer aux Etats-Unis, c’est « réaliser un rêve d’enfant à 67 ans », « l’un des plus beaux cadeaux » qu’on ait pu lui faire. Avec cette pièce, il entend faire connaître un Molière « universel », et partager le fruit de 40 et quelques années de passion et de recherches approfondies, « aux connaisseurs comme aux autres ».
Lorina, la limonade lorraine qui cartonne aux US
Et si tout n’était qu’une histoire de bouchon ? Celui des limonades Lorina serait, selon la marque, la clé de son succès aux Etats-Unis. Un bouchon à bascule à l’ancienne, que les Américains adorent.
« C’est vraiment notre image de marque. Quand nous sommes arrivés sur le marché, personne ne proposait des bouchons comme cela. C’est identifié comme quelque chose de très français », affirme Claire David, responsable du marketing de la filiale américaine de Lorina, qui compte huit personnes à Miami.
La marque française de limonades rétro, en bouteilles de verre, est en pleine expansion aux Etats-Unis. Environ 14 millions de bouteilles y ont été écoulées l’année dernière. Les ventes ont été multipliées par quatre en dix ans. Au point que les Etats-Unis représentent 40% des ventes de cette PMI de Lorraine, qui emploie 80 personnes, et a réalisé 37 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2013. « Sur le marché de la limonade importée, nous sommes les leaders aux Etats-Unis », déclare Claire David.
Aux Etats-Unis, Lorina séduit avant tout des clients relativement aisés, en particulier des femmes. « Les bouteilles de Lorina sont souvent utilisées pour des mariages, des fêtes, des baby-showers. Elles sont considérées comme une alternative à l’alcool, avec un coté chic français », poursuit-elle. « La marque est devenue très identifiée. Et pour l’anecdote, nous avons une photo de Puff Daddy qui sort de sa voiture avec une bouteille Lorina. »
L’histoire de Lorina, c’est une bonne saga à la française, qui commence en 1895 en Moselle (allemande…). Victor Geyer, limonadier de son Etat, produit et vend sa boisson sucrée depuis le petit village de Munster. Pendant la deuxième guerre mondiale, il soulage la soif des soldats alliés, et après-guerre, sa boisson à l’eau des Vosges gagne en notoriété. Mais la distribution reste limitée. La petite usine, restée dans le giron familial, est reprise en 1995 par Jean-Pierre Barjon. L’actuel PDG mise sur l’aspect retro de la marque pour la relancer, et la positionne comme une boisson haut-de-gamme. Avec succès.
En 2004, Lorina ouvre une filiale à Miami, sa seule implantation en dehors de France. Pour le marché américain, elle adapte son produit : plus de sucre, plus d’arômes, plus de couleurs. « La limonade que l’on vendait en France était transparente. Cela ne correspondait pas du tout avec l’idée que les Américains se font de la limonade. On a donc retravaillé notre produit, et lancé des limonades avec des couleurs, de nouveaux parfums »
Et c’est comme cela que Lorina a sorti aux Etats-Unis sa Pink Limonade, et sa Blood Orange Limonade aux tons acidulés – les plus gros succès. Elle reste dans le même temps fidèle à une éthique de qualité : pas de conservateurs, des arômes naturels, pas d’OGM… « La grande tendance, pour les années à venir, ce sont les produits plus naturels, avec moins de sucre. On a déjà retiré nos colorants artificiels depuis deux ans, et on poursuit dans cette direction, avec de nouvelles recettes à venir. »
Anne-Marie McDermott fait revivre Debussy à Miami
Anne-Marie McDermott est une pianiste américaine. Durant 25 années, elle a joué des concertos, des récitals, et de la musique de chambre aux quatre coins du globe.
Son répertoire varie au gré de ses envies, tantôt classique, tantôt plus contemporain. Soliste reconnue, elle a même obtenu un prix Gershwin.
Elle sera à Miami le 5 octobre pour rendre hommage à Debussy, en interprétant l’une de ses œuvres pour harpe et instruments à cordes, intitulée “Danse sacrée et Danse profane”. La pianiste n’en est pas à son coup d’essai avec Debussy, puisqu’elle a déjà enregistré un CD, regroupant l’intégralité de ses interprétations de la musique de chambre de l’artiste.
Le concert débutera à 14h, au New World Center. Après Debussy viendront les interprétations du compositeur visionnaire Robin Holloway et sa Sérénade en C (une première aux Etats-Unis). Le concert se clôturera avec le Quintet pour Piano d’Edward Elgar.
Le MFA de Houston dit "Je vous aime"
Le Museum of Fine Arts de Houston projettera “Je vous aime” (1980) de Claude Berri, dans le cadre de l’édition 2014-2015 de “Movies Houstanians Love”. En tout, 23 films de tous genres et de toutes origines ont été sélectionnés par les Houstoniens.
Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Jean-Louis Trintignant, Serge Gainsbourg et Alain Souchon sont à l’affiche de ce classique du cinéma français. Alice est une jeune femme ambitieuse qui ne voudrait aimer qu’un seul homme mais n’arrive pas à s’attacher. La veille du Nouvel An, elle invite quatre de ses anciens amants pour évoquer le passé.
Alain Souchon obtient le César du meilleur acteur dans un second rôle, et Serge Gainsbourg le César de la meilleure musique en 1981.
Bénédiction des animaux à Miami
Un drôle de défilé aura lieu à la cathédrale de la Trinité de Miami. La traditionnelle bénédiction des animaux se tiendra le 4 octobre.
Pendant cette manifestation, chacun pourra faire benir son animal de compagnie. Attendez vous à voir des chiens, des chats, mais aussi des animaux plus exotiques. Cet événement un peu particulier débutera à 16h, avec un salon qui ravira vos animaux. Au menu, des croquettes, bien sûr, mais aussi des photographes spécialisés prêts à mettre en valeur les moustaches de votre cher Patapon, et des services vétérinaires parés à toute éventualité. Clou du spectacle, « l’élection du chien le mieux habillé » ! Et pour ceux qui n’ont pas encore la chance d’avoir un animal, sachez que des organisations destinées à l’adoption seront présentes.
L’événement est ouvert à tous, et gratuit. On en ronronne déjà d’impatience…
Eminem et Lana Del Rey au festival Austin City Limits
Le festival Austin City Limits revient du 3 au 12 octobre. Fondé il y a 40 ans déjà, il est devenu une véritable institution. Il est désormais l’un des événements musicaux les plus importants des Etats-Unis, accueillant cette année encore plus de 130 artistes venus du monde entier.
Parmi eux, de grandes pointures de la musique, et un métissage des genres détonnant. Du rap à l’électro en passant par le pop-rock ou encore le jazz, les styles sont variés, et vous trouverez forcément votre bonheur parmi les artistes présents. Sont au programme: Eminem, Skrillex, Foster The People, Lana Del Rey, Beck, Iggy Azalea, bref, de grosses pointures de la musique, mais aussi des groupes en devenir.
Avec ses huit scènes, trois jours, et plus de 70 000 personnes attendues, il y aura de quoi donner un sacré coup de fouet à l’Austin’s Zilker Park, où se dérouleront les festivités … L’ambiance se voudra conviviale, entre gastronomie locale et marché d’art en plein air. Rien ne vous empêche de venir en famille. Bien au contraire d’ailleurs, puisque des activités pour les enfants seront prévues sur place pour occuper vos tendres chérubins entre les concerts…
La Femme recherche des sensations à LA
Le groupe néo-punk La Femme, auteur du tube entêtant “Sur la planche”, se produira à l’Echoplex le 23 octobre. Une vague de sensations en perspective.
Originaire de Biarritz, La Femme fait figure d’OVNI dans le paysage musical français. Depuis 2010, le groupe – dont les influences vont du Velvet Underground à Jacno en passant par le yéyé – mélange les genres musicaux, comme l’électro et la surf music, “en alliant sons de synthés et guitares anciennes“, explique Marlon Magnée, un des fondateurs.
Leur premier album, “Psycho Tropical Berlin”, sorti en avril 2013, est salué par la critique. C’est la consécration, en février 2014, lorsque le groupe biarrot remporte les Victoires de la musique 2014 dans la catégorie :album révélation de l’année”.
La Femme se produira également le 25 octobre à Santa Ana, dans le cadre du Festival Beach Goth.
Combien ça coûte un mariage à New York ?
Est-ce raisonnable de se marier à New York ? Oui… ou non. Petit guide à l’attention de ceux qui veulent dire “I do” dans la Big Apple.
1. Le mariage “business class” : 30 000 $ et au-delà
Pour Assetou Gaudissard, wedding-planner à New York Paris Connection, le coût moyen d’un mariage à New York en 2014 avoisine les 90 000 $. Un chiffre exorbitant qui comprend les prestations (lieu, photographe, fleurs, célébration du mariage, maquillage pour la mariée, nourriture, limousine) et le wedding-planner, qui à lui seul représente entre 10 et 15% du budget total.
Au Plaza – où se sont mariés Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones – , au Marriott ou au Peninsula Hotel, l’ambiance conte de fée est assurée, avec, en plus du champagne qui coule à flot, un gâteau sur mesure réalisé par des pâtissiers de renom.
Sans compter toutes les prestations évoquées ci-dessus, on arrive facilement à 400 $ par personne (pour un total de 200 invités environ), taxes exclues. Il faut ajouter à cela la location de la salle, dont les tarifs avoisinent les 10 000 $.
Envie d’une ambiance carte postale ? Optez pour un rooftop. Pour une cérémonie nocturne (de 17h à minuit environ), la location d’un rooftop dans un hôtel privatisé coûte entre 2 000 et 4 000 $. A cela il faut ajouter les prestations : au 230 Fifth, d’où l’on peut admirer le Chrysler building, il faut compter 350 $ par personne. Au bar de l’hôtel Ink 48, on peut louer seulement une partie du rooftop. La location de l’espace entier revient évidemment plus cher.
Les rooftops ouvrent généralement en début de soirée : attendez-vous donc à ce que les prix augmentent pour une cérémonie en plein jour. Oubliez en revanche le mariage sur la tête de la Statue de la Liberté : c’est interdit.
2. Le mariage “economy” : aux alentours de 5 000 $
Rien de plus classique qu’un mariage dans un parc à Manhattan ou à Brooklyn. Un permis pour se marier à Central Park coûte 25 $. A cela, il faut ajouter les prestations pour le reste de la journée de mariage (photographe, limousine, champagne, diner, etc)… “On arrive facilement à une somme comprise entre 3 000 et 3 500 $“, précise Assetou Gaudissard. Et ce, pour un petit comité.
Au printemps ou en été, le Brooklyn Botanic Garden offre un joli cadre pour un peu moins de 200 $ par personne. Et si les rooftops vous paraissent hors de prix, il y a toujours celui du Brooklyn Grange, une ferme urbaine avec vue imprenable sur Manhattan. La location est comprise entre 2 500 et 10 000 $.
3. Le mariage “low cost” : à partir de 35 $
Si vous voulez éviter de laisser votre compte épargne dans votre mariage, le City Hall fera l’affaire. C’est rapide (24 heures pour obtenir la licence de mariage) et limité à vingt personnes, dont un témoin obligatoire. Si vous habitez à New York, il vous suffira de payer 35 $ pour la licence, et 40 $ si vous habitez dans une autre ville américaine.
Après le City Hall, vous pouvez organiser une cérémonie sans permis dans la rue, sur le Brooklyn bridge, ou même dans le métro ! Jusqu’à vingt invités, c’est gratuit. Au-delà, il faudra payer 25 $.