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Combien ça coûte Halloween à New York?

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Halloween approche, et vous n’avez toujours rien à vous mettre ? Pas de panique, la rédac’ a déniché pour vous des idées de costumes, pour tous les goûts, et toutes les bourses.
 1- En first class : plus de 100$
Si épater vos amis à Halloween n’a pas de prix à vos yeux, courrez vous offrir un sublime costume d’abominable homme des neiges, à 140$ chez NY Costume. C’est doux, et surtout, ça tient chaud. Idéal si vous fêtez Halloween à l’extérieur. Pour ceux qui trouvent quand même que le blanc, c’est salissant, rien de mieux qu’un vampire dark ou une Faucheuse, à 200$ chacun, chez Abracadabra.
Et si cela ne vous suffit pas, offrez vous un joli maquillage chez Ramy Spa. Pour de fausses cicatrices et blessures, comptez 100$.
 2- En classe éco : entre 50 et 100$
Pour faire un peu d’économies, rien de tel que de louer son costume. Parce qu’entre nous, il est peu probable que vous veniez en vampire au bureau toute l’année. Sauf si vous êtes Robert Pattinson. Pour dépenser encore moins, petite astuce : en général, moins il y a de tissu, moins les déguisements sont chers. Mieux vaut alors venir en sorcière sexy (65$ la location) qu’en sorcière amish (85$), chez Abracadabra.
Quant aux messieurs, nous vous conseillons le sublime déguisement de nain maléfique, à 61$, chez Halloween Adventure.
Pour vos enfants, faites un tour chez Pottery Barn. Pour transformer votre bébé en petit dragon, il vous en coûtera tout de même 89$. Mais d’autres costumes sont plus accessibles, comme le squelette à 59$.
 3- En low-cost : entre 10 et 50$
Les costumes à moins de 50$ ne sont pas rares. Chez Rickys, on vous conseille le zombie rockeur à 45$, l’Homme sans tête à 35$, ou encore le petit chaperon rouge gothique à 43$.  Notre préféré ? La banane zombie, à 30$.
Côté maquillage, optez pour une prothèse en latex, pour avoir un joli visage de zombie (30$).
Si c’est encore un peu cher, misez sur des accessoires, comme le chapeau de sorcière à 17$ chez Rickys. Pour le même prix, NY Costumes fait une superbe cape de vampire.
 4- En mode débrouille : moins de 10$
Pour payer moins de 10$, reste la bonne vieille méthode du drap blanc, à acheter chez Ikea pour 10$. Deux trous au niveau des yeux, et hop, le tour est joué !
Pour ceux qui se sentent moins l’esprit créatif, chez Party City, on fait des masques pas chers, comme le masque Hannibal à 2$. Vous y trouverez aussi une superbe perruque avec couteau intégré  pour 4$, ou un authentique balai de sorcière à 5$.
Et, bien sûr, le meilleur pour la fin : le tutu squelette pour votre petit chihuahua, à 8$, chez Party City (à assortir avec le chapeau citrouille à 6$ pour un maximum de style).

Le chef Alain Braux signe un guide anti-OGM

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Le nouveau livre du chef français Alain Braux, GMO 101, est un guide pratique sur les dangers de la nourriture génétiquement modifiée.
Auteur de quatre livres sur l’art de cuisiner et manger sain, Alain Braux a travaillé pendant plus d’un an sur ce nouvel opus. Basé à Austin, le chef français y dénonce les conséquences négatives des OGMs sur notre environnement et système immunitaire.
Véritable cri de guerre contre le système alimentaire actuel, l’ouvrage passe en revue l’histoire des OGMs – comment ces derniers sont devenus une puissance industrielle et agricole – et fournit une liste d’ingrédients génétiquement modifiés cachés dans les aliments du quotidien.
 

Isabel Marant à moitié prix sur Gilt

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Isabel Marant débarque chez Gilt, où elle proposera une compilation de ses “must-haves”. Baskets compensées, vestes à clous ou petits pulls rouges, vous les retrouverez tous sur la boutique en ligne, dès aujourd’hui à midi pétantes.
La créatrice française a commencé par une marque spécialisée dans la maille et le jersey, « Twen », qu’elle a depuis renommée. Son style ? Simple, épuré, graphique, avec de belles matières. Classe, mais avec toujours une petite touche décalée, sportive, ethnique ou rock. Selon Gilt, elle serait « l’icône du dressing de la française cool », l’incarnation du « chic parisien ». Vous pourrez donc profiter de cette vente-flash, à des prix très avantageux (jusque -60%), pour renouer avec le French-style.

Soirée "French Alumni" à San Francisco

N’oubliez pas vos cartes de visite! L’association des Anciens des Grandes écoles et universités françaises organise sa première soirée de la saison 2014-2015 le 28 octobre dans les locaux de PRIME/ Atelier BNP Paribas.
Les organisateurs précisent que de « nombreux directeurs d’universités ou écoles françaises » seront présents à cette soirée de networking, avec bar ouvert. La soirée est ouverte à tous les anciens des Grandes Ecoles ou universités françaises, seuls ou accompagnés.
Trente dollars la place.

"La Jalousie" de Philippe Garrel au Sonoma Film Institute

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Le Sonoma Film Institute diffusera “La Jalousie” de Philippe Garrel le 31 octobre et le 2 novembre, deux mois après sa sortie nationale.
Tourné en noir et blanc, le film met en scène Louis (Louis Garrel), un acteur de théâtre qui arrive péniblement à joindre les deux bouts. Il quitte Clotilde et sa petite fille pour Claudia (Anna Mouglalis), elle-aussi comédienne, qui n’a pas tourné depuis six ans et ne trouve pas de rôle.
Convoquant son histoire personnelle, Philippe Garrel fait appel à sa famille pour incarner ses souvenirs. Inspiré d’une histoire d’amour que le père de Philippe Garrel a vécue, lorsque celui-ci était encore enfant et vivait avec sa mère, c’est le fils du réalisateur qui incarne son père, à l’âge de 30 ans. Au casting, on retrouve également Esther Garrel, soeur de Louis à l’écran comme dans la vie.
 

Le livre "coup de gueule" d'une expat' en Californie

La légende voudrait qu’au fond, les Américains aiment bien les Français, et réciproquement. Dans son livre Expat’ : une Française dans la Silicon Valley, Bernadette Theisen, ancienne présidente de l’Alliance Française de la Silicon Valley, fait part d’une autre vision.
Née à Tours, cette enseignante a “quitté la sécurité de l’emploi” en 1998 pour s’installer en Californie avec son mari américain. “Vers le Nouveau Monde, un monde nouveau” est d’ailleurs le premier chapitre de son livre, construit en cinq parties, et fruit d’un long travail d’introspection.
C’est un coup de gueule“, précise Bernadette Theisen, qui dit avoir été formée à l’école de Zemmour et Naulleau. “J’ai lu un jour l’interview d’un philosophe français qui avait passé un mois aux Etats-Unis et disait que ‘tout le monde ici connaît Alexis de Tocqueville’. Je me suis demandé : mais sur quelle planète vit-il ?” Dès son arrivée en Californie, cette citoyenne du monde a bien du mal à s’y retrouver, entre choc culturel et moeurs qui diffèrent de son éducation française.
Expat’ : une Française dans la Silicon Valley passe au crible les attitudes parfois “démesurées” des Américains, la société de “surconsommation“, la violence… Au début des années 2000, Bernadette Theisen fait face au french bashing au quotidien. Lorsque la France a décidé ne pas envahir l’Irak, les Français n’étaient pas aimés. Quand j’étais présidente de l’Alliance Française  je recevais des appels de gens qui traitaient les Français d’ordures et de lâches. C’est surtout de l’ignorance.”
Mais si Bernadette Theisen énumère ces difficultés et différences culturelles, c’est surtout pour rappeler le fait qu’elle se sent “étrangère“. “Je ne suis pas chez moi, je suis une étrangère“, écrit-elle à l’envi, laissant libre cours à une réflexion sur le statut d’expatrié. Dans les derniers chapitres, elle révèle avoir besoin de la Californie et de la France. “C’est comme avoir un père et une mère“, suggère-t-elle.
Bernadette Theisen, qui se dit quand même “chanceuse” d’avoir atterri en Californie. “J’aime le dynamisme et l’amabilité des gens ici. Cela, je ne peux pas le leur reprocher“, ajoute l’écrivain. Elle souhaite enfin, à travers son livre, envoyer un “message d’espoir aux jeunes de milieux défavorisés” qui pensent ne pas être capables de se rendre, eux aussi, dans la Silicon Valley.

Gagnez des tickets pour le concert de Rone à Brooklyn

Gagnez une paire de tickets pour le concert de Rone le 17 octobre à Glasslands (Williamsburg). Remplissez le formulaire ci-dessous. Les gagnants seront tirés au sort.
Erwan Castex alias Rone est un artiste peu ordinaire. Alliant sons électro et mélodies oniriques, sa musique transcende les genres. Il a fait son premier Olympia en octobre. En 2009, il sort son 1er album, Spanish Breakfast salué par les critiques des magazines francophones et anglophones: tandis que les Inrocks le comparent à Gui Boratto, Electronic Beats classe son album dans les 25 meilleurs de l’année. Avec Tohu Bohu (2011), il enfonce un peu plus le clou et sa notoriété dépasse alors le petit cercle des geeks d’électro. Il est, cette année là, sacré meilleur artiste français par Trax , le magazine de référence pour la musique française.
L’artiste multiplie les collaborations originales :  du violoncelliste Gaspar Claus au rappeur High Priest, en passant par le groupe The National, il ose. 
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Frantz Yvelin et la lutte des (business) classes

Il a le discours et les manières d’un entrepreneur décidé à secouer le cocotier: Frantz Yvelin, co-fondateur et PDG de La Compagnie, lancée cet été entre Paris et New York, veut être “à l’aérien ce que Free a été aux télécoms“.
Installé à l’étage d’un restaurant de midtown Manhattan, celui qui assure être “un des rares PDG de compagnie aérienne qui soit aussi un pilote” a le sourire: le taux de remplissage de son unique avion, qui relie Newark à Roissy 6 fois par semaine en “tout business” est en avance sur les prévisions. Le deuxième avion (un Boeing 757-200 comme le premier) devrait entrer en service avant Noël: “nous déciderons dans les semaines qui viennent si nous l’utiliserons pour renforcer Paris-New York ou si nous ouvrirons une nouvelle destination“.
Côté passagers, la bonne nouvelle pour la Compagnie est que les grandes entreprises représentent déjà une part significative des billets vendus: “lorsqu’elles voient un aller-retour Paris-New York en business à 6 ou 8000 dollars sur les grandes compagnies, elles ne peuvent qu’avoir envie d’essayer notre avion à 1499$!
Frantz YvelinLe “business low cost” que défend Frantz Yvelin continue de laisser sceptiques beaucoup des experts du secteur, ce qui n’entame pas son optimisme. “Entre Paris et New York, la business class représente 15% des passagers et 50 % du chiffre d’affaires: c’est là où est l’argent“. La stratégie de La Compagnie pour s’attaquer aux trois grandes alliances “qui représentent 85 % de l’offre transatlantique“: offrir le meilleur rapport qualité-prix. “Nous ne prétendons pas avoir la meilleure classe affaire du marché, mais de loin le meilleur confort au meilleur prix“.
La cabine de l’avion offre 74 sièges, inclinables à 180°, avec service à l’assiette et divertissement via une tablette Samsung.  “C’est le niveau de confort que demandent la majorité des clients de business class. Ils n’ont pas forcément besoin de plus de luxe, mais en ont assez de devoir choisir entre la douleur physique de l’éco et la douleur finançière de la business…
Le secret de la réussite, selon le PDG: “l’obsession des coûts“. “Nous faisons tourner l’entreprise avec 15 personnes au sol (57 employés au total avec les pilotes, hôtesses et stewarts), quand nous voyageons sur d’autres compagnies, c’est en éco…” Et l’exemple doit venir d’en haut: “mon salaire est à peu près la moitié de celui d’un capitaine d’Air France, 12 fois moins que celui d’Alexandre de Juniac (le PDG d’Air France). Le “low cost”, ça commence là!“.

Patrick Bruel: "Je suis très heureux de revenir"

« C’est très particulier pour moi de venir ici, c’est une ville incroyable », Patrick Bruel ne cache pas son émotion lorsqu’il parle de New York. Pas étonnant puisque le chanteur y a vécu pendant deux ans alors qu’il en avait 20. Alors, venir chanter dans la Grosse Pomme dépasse la simple excitation pour lui. « J’étais à New York, devant le Dakota Building, le soir de la mort de John Lennon » se souvient-il.
Cette période, dont il se rappelle comme une « leçon de vie fantastique », lui a aussi permis de toucher du doigt sa carrière actuelle. « J’ai pris des cours d’arts dramatiques quand j’habitais New York, et à côté, je faisais des petits boulots ». Déjà à l’époque, c’est à une carrière artistique qu’il se prédestinait : « je voulais être chanteur-acteur ». On s’en serait douté…
Aujourd’hui, Patrick Bruel a réalisé ses rêves d’ado. Le “French Bruce Springsteen” revient aux Etats-Unis pour une série de concerts. Et pas seulement à New York: Miami, Washington, Los Angeles, Houston et Boston l’attendent. Un planning chargé pour un chanteur qui ne pense pas arriver en terrain conquis. « On va voir ce qu’il va se passer avec cette tournée, comment ça peut vibrer ».
Ce n’est pas la première fois qu’il chante aux Etats-Unis. Il a visité les grandes villes des côtes. Il s’est même offert en 2011 un crochet par Las Vegas, capitale du jeu, pour un concert au Caesar’s Palace devant 1.400 personnes. Personne ne s’attendait à ce qu’il fasse salle comble.
Lors de sa tournée de novembre, il prévoit de reprendre des chansons de Billy Joel et Stevie Wonder, en anglais. Une manière de toucher le public américain, qui le connait mal. « Aux Etats-Unis mon public est essentiellement français. Sur mes concerts, il doit y avoir 20% d’Américains, dit-il. Ce que j’aime c’est qu’il y a toutes les générations à mes concerts, il y a des femmes qui étaient là il y a 20 ans, et elles sont toujours là! Il y a aussi beaucoup d’ados avec le renouvellement générationnel ».
Habitué des grandes salles – il fut fin septembre au Royal Albert Hall de Londres, son premier concert en Angleterre en 30 ans de carrière – il s’est livré récemment à un exercice tout autre : faire un concert privé en acoustique dans un appartement parisien. Le show a été retransmis sur la chaine W9: « cinq minutes avant de jouer on ne savait pas quels morceaux on allait faire » se souvient-il. L’expérience l’a beaucoup séduit, mais il refuse de privilégier une ambiance sur une autre. « Il y a la même énergie parfois, une ambiance de feu ».
Avec ses différents concerts, difficile de trouver un peu de temps pour une autre de ses activités : le poker. « J‘ai été obligé d’arrêter pour me concentrer sur ma tournée française », dit-il. Mais, il n’a pas perdu de son “poker face”. En mars dernier lors de l’épreuve LA Poker Classic du World Poker Tour, il a même atteint les finales et décroché une très bonne 4ème place. Pas mal pour un retour. « Le poker c’est mon hobby, être chanteur et acteur ça me prend beaucoup plus de temps ». Un peu de temps qu’il passera avec ses fans aux Etats-Unis en novembre. “Je suis heureux de revenir.

Une visite guidée en VF pour découvrir Downtown Dallas

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Découvrir Dallas, OK, mais c’est encore mieux quand on comprend le guide … Dallas Accueil l’a bien compris, et organise pour vous une petite visite de la ville en VF.
Chaussez vos plus belles baskets, car c’est à pied que vous errerez dans les rues de Downtown Dallas. Un guide vous expliquera tout sur les monuments, l’architecture, et les œuvres d’art que vous croiserez. Et en français s’il vous plait !
Le circuit est d’environ 6 kilomètres. La visite débutera à 9h30 à l’entrée du Dallas Museum Art, et se poursuivra jusque 13h, le jeudi 23 octobre. L’événement est aussi ouvert aux non-membres de Dallas Accueil.

"La Belle" fait escale à Austin

Le Bullock Texas State History Museum vous proposera dès le 25 octobre un véritable saut dans l’histoire des Etats-Unis, avec la découverte de La Belle.
Au XVIIème siècle, ce navire servit d’embarcation à René-Robert Cavelier, plus connu sous le pseudonyme du Sieur de la Salle. Ce dernier tentait de coloniser le nord de l’Amérique. Mais c’était sans compter les pirates et les tempêtes… Il parvint miraculeusement à débarquer au Texas, mais fut aussitôt assassiné par ses compères.
Ce n’est qu’en 1995 que La Belle a été découverte, dans la baie de Matagorda. Ses restes seront exposés à Austin aux côtés de centaines d’autres reliques, restées enfouies sous l’océan pendant plus de 300 ans. Témoins du passé, les ustensiles de cuisine, chaudrons en laiton et matériel agricole retrouvés à bord nous renseignent sur la culture européenne à l’époque.
Un film en 4D, “Shipwrecked”, vous permettra de revivre l’expédition. Une immersion plus vraie que nature : vous voilà dans la peau de Pierre Talon, qui embarqua à bord de La Belle avec sa famille. Pendant 26 minutes, vous suivrez son histoire, avec ballottements et brise marine de rigueur (mais sans le mal de mer…).

Hommage aux "Raisins de la colère" de Steinbeck

Les Joad vous manquent ? A l’occasion du 75ème anniversaire des Raisins de la colère de John Steinbeck, le National Steinbeck Center et des artistes rendent hommage au chef-d’oeuvre de la littérature américaine.
Les participants sont invités à une discussion autour de la notion de “road-trip” en présence des réalisateurs et metteurs en scène P.J. Palmer et Octavio Solis, de l’historienne Patricia Wakida et de la professeure Susan Shillinglaw, qui a écrit plusieurs livres sur Steinbeck. L’échange sera animé par le critique littéraire David L. Ulin du Los Angeles Times.
Une exposition sur la célèbre Route 66 aura également lieu, agrémentée par les travaux des artistes qui ont pris part au “Grapes of the Wrath Journey” en octobre 2013, un voyage qui retrace le parcours de la famille Joad.
Un cocktail de bienvenue est prévu.