Après l’exposition sur Toulouse-Lautrec, le MoMA continue de rendre hommage aux artistes français. Le 12 octobre, cent papiers découpés de Matisse sont mis à l’honneur. Une première pour le musée new-yorkais depuis 1961.
C’est à la fin des années quarante, à la fin de sa vie, que le peintre de “La Danse” fait du découpage son principal moyen d’expression, opérant ainsi une révolution artistique. Son travail consistait à découper des toiles peintes et agencer les morceaux de manière à obtenir des formes et des tailles variées – du végétal à l’abstrait. Un procédé que Matisse expliquait d’ailleurs par le fait de “dessiner sans la couleur“.
La créativité dont l’artiste fait preuve pendant cette période a donné lieu à des interrogations sur le statut de l’oeuvre d’art.
A l’origine, le MoMA souhaitait restaurer un des plus célèbres découpages de Matisse, “La Piscine” (1952), qui représente le salon de celui-ci, à Nice. Au centre de l’exposition, l’oeuvre n’était pas accessible au public depuis vingt ans.
Matisse en morceaux au MoMA
Photos: Austin International School fait peau neuve
Deux ans après avoir emménagé dans de nouveaux locaux, Austin International School vient d’inaugurer sa nouvelle bibliothèque et son premier laboratoire de sciences, ainsi que de nouvelles salles de classe.
“Cela a représenté un travail considérable, mais on ne s’arrête pas là, puisque dans deux ans nous poserons la fondation de notre collège, qui fera sa première rentrée dans trois ans”, a souligné le président du conseil d’administration de l’école, Barksdale English, lors de l’inauguration des nouveaux locaux, vendredi à Austin, en présence de dizaines de parents et quelques-uns des quelque 200 élèves.
A terme, le collège devrait empiéter sur l’amphithéâtre de l’école, aménagé dans l’ancienne église qui abrite l’établissement et offre de quoi accueillir sa croissance.
“Dans nos premiers locaux, la bibliothèque était littéralement une penderie”, a rappelé Christophe Bonnet, le directeur de l’école, pendant la visite des nouveaux locaux. “En emménageant dans le nouveau bâtiment, il y a deux ans, elle avait déjà quadruplé sa surface. Nous possédons aujourd’hui une véritable bibliothèque, avec un coin lecture et une salle multimédia attenante.”
Des outils essentiels pour inculquer “les valeurs de démocratie, d’ouverture et de tolérance” vantées par le consul de France à Houston, Sujiro Seam, qui avait fait le déplacement pour cette étape importante de la vie de l’établissement agréé par le ministère de l’Education nationale français.
Sénatoriales : l'UMP en tête chez les Français de l'étranger
On prend presque les mêmes et on recommence. Sans surprise, les quatre sénateurs des Français hors de France sortants ont été réélus, dimanche, lors du renouvellement partiel du Sénat qui a vu la chambre haute rebasculer à droite.
Sur les six sièges en jeu pour les Français de l’étranger, trois reviennent à l’UMP-UDI (Christophe-André Frassa, réélu, Jacy Deromedi et Olivier Cadic, élus pour la première fois), deux à la liste socialiste (Claudine Lepage et Richard Yung, réélus) et un à la liste indépendante “Les Indépendants: Innovons ensemble” (Robert Del Picchia, réélu). Les résultats complets sont ici.
Sept listes (trois politiques, quatre “indépendantes”) étaient en concurrence. Les sénateurs sont choisis au scrutin proportionnel par les conseillers et délégués consulaires, les conseillers à l’Assemblée des Français de l’étranger et les sénateurs et députés des Français de l’étranger.
Evans: votre partenaire dans vos investissements immobiliers à New York
Article partenaire. En entrant dans le bureau coquet et lumineux d’Evans, le visiteur sait immédiatement qu’il ne met pas les pieds dans une agence immobilière classique.
Ouverte depuis 2007 à Midtown West, Evans cible une clientèle d’acheteurs internationaux, désireuse de s’installer dans la Grosse Pomme ou d’investir dans la pierre new-yorkaise. Quatorze agents parlant français, italien, russe, mandarin et allemand notamment y travaillent. L’expertise de ces professionnels de l’immobilier dépasse la simple connaissance du marché de la vente et de la location à New York. Ils sont aussi bien spécialistes des réalités socio-économiques de chaque quartier que des politiques publiques new-yorkaise, d’architecture et de fiscalité. Ils sont surtout à l’écoute des clients.
“Nous sommes une petite agence qui prend soin des clients“, explique Chrystel Garipuy, une des agentes françaises d’Evans.
L’agence couvre l’ensemble de l’Etat de New York, avec une concentration particulière sur Brooklyn, Manhattan et le Queens. En plus de la recherche de logement, elle prend en charge les relations avec le bâtiment avant et après la transaction (que ce soit pour produire le crédit score ou remplacer le frigo), vous guide dans le mic-mac des démarches administratives et financières, organise des visites de quartiers et prodigue des conseils sur les services locaux (écoles, shopping, transports…). “Les agents sont des spécialistes du marché new-yorkais, mais aussi du pays d’où viennent nos clients“, insiste Karina Sagiev, qui dirige l’agence.
Evans emploie deux agents francophones. Pour sa part, Chrystel Garipuy est passée par une formation de droit en France avant de s’installer à New York et se reconvertir dans l’immobilier. “A Evans, nous sommes plus des conseillers que des brokers, indique-t-elle. Nous savons comment les quartiers fonctionnent et évoluent, comment trouver les financements… L’immobilier à New York est très vivant. Ce n’est pas un hasard si tout le monde en parle“.
Parmi ses missions: aider la clientèle française à comprendre que les pratiques immobilières sont différentes aux Etats-Unis, en particulier dans un marché aussi complexe que New York. Par exemple, certains bâtiments new-yorkais proposent une offre de services (concierge, gym…) qui souvent n’existent pas en France.
Par ailleurs, “l’encadrement légal est plus fort. Par exemple, quand on achète un appartement en France, on a un notaire, mais pas un avocat. Ici, on doit être représenté par un avocat. C’est lui qui va regarder la sante financière du bâtiment et qui va donner son feu vert pour la transaction“. D’ailleurs, ajoute-t-elle, Evans se charge de trouver un avocat pour ses clients. “Nous travaillons avec des francophones“.
Autre différence: “Les clients aux Etats-Unis travaillent avec un broker (buyer’s agent) qui va vous représenter. Il va chercher avec vous. C’est un partenariat avec le client. Il va vous aiguiller sur les professionnels qui peuvent vous aider. En France, la recherche est plus solitaire. Ici, ce système vous donne plus de chance de trouver quelque chose de bien“.
Enfin, elle les met en garde contre certains parallèles un peu hasardeux: “Certains clients comparent Montreuil à Brooklyn ou Soho au Marais. Alors que c’est complètement diffèrent“.
Demandes d’informations: Ici
————————
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Yelle: "On ne pensait pas avoir une carrière internationale"
“Très tôt, on a tourné aux Etats-Unis. On a fait une ou deux dates à New York puis on est revenu, on a fait 10 dates… s’exclame Julie Budet, la chanteuse de Yelle. Il y a vraiment eu un truc crescendo.”
Yelle, ce groupe français que les Américains ont adopté avant la France… Il sera aux Etats-Unis pour pas moins de 20 dates en octobre (voir ci-contre).
C’est après avoir achevé quelques dates au Canada lors de la promotion de leur premier album “Pop-Up” en 2007 qu’ils rencontrent un tourneur américain qui leur propose une date “test” à New York. “Il nous a fait jouer dans un petit club de 300 places. Tout de suite, il y a eu une super réponse des New-Yorkais” se souvient-elle. Les dates vont rapidement s’enchaîner.
La surprise est de taille aujourd’hui encore : “En chantant en français, on ne pensait pas avoir une carrière internationale, s’étonne la chanteuse. Aujourd’hui signer sur un label américain en étant un groupe français, c’est dingo!” C’est même “Complètement fou”, comme le titre de leur troisième album, qui sortira le 30 septembre prochain.
“Le public américain trouve notre musique très dansante, très positive. Le bouche-à-oreille sur notre live nous a aussi beaucoup aidé. Quand les Américains aiment quelque chose, ils en parlent” analyse Julie Budet. La chaîne MTV a également participé à la médiatisation de Yelle outre-Atlantique, en diffusant pendant une semaine des mini-séquences du groupe tournées à Paris avant et après chacune de leurs publicités. “Il y a eu des moments clés aussi. On a fait le festival Coachella deux fois, ce qui est plutôt rare pour un groupe français”, ajoute la chanteuse.
Chanter en anglais ? Pourquoi pas un jour si l’occasion se présente. Pour autant, pas question d’abandonner leur langue maternelle: “C’est important de garder cette langue parce qu’elle est très riche. Elle nous permet de jouer avec les mots”.
La force du groupe, c’est sa spontanéité. Seul le plaisir semble guider les choix de Julie Budet et Jean-François Perrier alias Grand Marnier, le noyau dur de Yelle. Ne rien forcer et saisir les opportunités lorsqu’elles ont du sens, tels semblent être les ingrédients du succès de Yelle aux États-Unis. “C’est une question de bon endroit, de bon moment et de bonne personne”.
C’est dans une nouvelle aventure que s’est embarqué le duo pour son troisième album. “On a été contacté par quelqu’un qui travaillait chez Ubisoft pour faire la musique d’un jeu vidéo. Après quelques rencontres, il nous a parlé d’un certain Dr Luke, qui aimait beaucoup ce qu’on faisait, alors on a commencé à parler avec lui via skype”.
Dr Luke se révèlera être l’un des plus importants producteurs américains – notamment celui de Katy Perry et de Keisha. “Complètement fou” sera enregistré à Los Angeles, avec une équipe américaine : “Un vrai bel échange entre nous tous.”
Un forum pour les entrepreneures à San Francisco
Lever des fonds pour son entreprise lorsque l’on est une femme n’est pas toujours évident. Si elles sont de plus en plus nombreuses à se lancer, seules 10% d’entre elles parviennent à trouver des investisseurs en capital-risque.
C’est là tout l’intérêt de l’International Women Entrepreneurs Forum, qui aura lieu le 2 octobre à San Francisco. L’événement rassemblera des conseillers, des entrepreneurs, et des investisseurs. Divers sujets seront abordés, sur les différentes manières de financer son entreprise, préparer son discours devant de potentiels investisseurs, les démarcher… En bref, tout pour « financer avec succès votre grande idée ».
Différents intervenantes viendront animer la discussion. Parmi elles, des business angel et des responsables de grandes et petites entreprises. Elles evoqueront différents aspects du lancement d’une entreprises, du réseautage à la levée de fonds.
Pourquoi New York s'appelle "Empire State" ?
Grâce à French Morning, vous connaissez tous l’origine du surnom de New York City, “Big Apple”. Mais qu’en est-il du surnom de l’Etat de New York, “Empire State” ? C’est la question bête de la semaine.
La réponse ne se trouve pas dans la chanson “Empire State of Mind” de Jay-Z et Alicia Keys, mais dans les livres d’histoire. Même si, encore aujourd’hui, l’origine de l’appellation fait débat parmi les spécialistes.
“L’origine du terme est enveloppé de mystère“, écrit Milton Klein, dans son livre The Empire State: The History of New York. Il explique que George Washington serait le papa de l’expression. En 1785, dans une lettre adressée au maire de New York City, James Duane, il fait référence à l’Etat de New York comme “le siège de l’Empire” (“the Seat of the Empire“). Ou encore “le chemin vers l’Empire” (“Pathway to Empire“) dans une conversation.
A cette époque, il s’agissait d’un tremplin aussi bien géographique que politique: New York, 11ème Etat à avoir ratifié la Constitution, était considéré comme la porte d’entrée de l’immense territoire américain. C’était un espace riche en ressources naturelles (eau abondante, terre fertile et exploitation forestière).
Dans History of New York State (1933-1937) – une œuvre en plusieurs volumes d’Alexander C. Flick – l’auteur explique que l’expression remonte à 1819, au moment où la population de l’Etat de New York a dépassé celle de la Virginie, mais ne cite aucune source.
Depuis, l’expression est rentrée dans les usages. Dans les années 30, l’Empire State Building, tout neuf, est le plus haut bâtiment du monde. Construit moins de trois décennies plus tard, l’Empire State Plaza à Albany – capitale de l’Etat – rassemble les bureaux du gouvernement du New York State.
Maison Kayser ouvre dans l'Upper West Side
L’Upper West Side peut ranger ses fourches et ses torches: le pain de Maison Kayser arrive. Le boulanger annonce l’ouverture d’un point de vente au 2161 Broadway (entre 76 et 77th St) le week-end du 1er novembre.
L’espace fera 186 mètres carrés et comptera quelque 48 places sous une véranda. Une terrasse pourra accueillir 20 personnes pendant les beaux jours. Le menu a été concocté par Olivier Reginensi, passé aux fourneaux du Cirque, de Daniel et d’Essex House.
C’est la première boulangerie de l’artisan français dans l’Upper West Side (la plus proche se situe à Columbus Circle). Au total, la marque a ouvert six points de vente en deux ans à New York, dans l’Upper East Side, Flatiron, Columbus Circle et Bryant Park.
"La Baie des Anges" de Jacques Démy à la SSU
L’Institut du Film de la Sonoma University proposera les 3 et 5 octobre “La Baie des Anges”, de Jacques Démy.
Le film, en noir et blanc, est sorti en 1963. Il raconte l’histoire de Jean Fournier, un jeune employé de banque que son collègue initie au jeu. Dans un casino niçois, le protagoniste fait la rencontre de la belle Jackie, portée à l’écran par Jeanne Moreau. Il tombe alors irrémédiablement sous son charme. Jackie semble heureusement éprouver à son égard les mêmes sentiments… Mais à trop vouloir jouer, Jean ne va pas tarder à se brûler les ailes, et sa passion des jetons et de la roulette va mettre en péril leur relation.
A travers cet amour passionnel et torturé, Jacques Démy dresse un quasi-documentaire sur le thème de la dépendance. En somme, un film instructif, savoureusement rétro, et une Jeanne Moreau au sommet de son art : tous les éléments semblent réunis pour que vous passiez un bon moment.
11 films français à (re)voir cet automne sur Netflix
Aux Etats-Unis, le catalogue de ce service de films et vidéos à la demande Netflix comporte une large section consacrée aux films français : environ 150 sont accessibles cet automne. Difficile de trouver une quelconque cohérence à la sélection très hétéroclite (du meilleur au pire, en passant par l’improbable). Pour vous donner des idées, voici une petite liste concoctée par la rédaction de French Morning.
11. La vie d’Adèle (Blue is the warmest color)
D’Abdellatif Kechiche, avec Léa Seydoux, Adèle Exarchopoulos (2013)
Palme d’or au festival de Cannes en 2013, l’éducation sentimentale et sensuelle d’une adolescente, dans la France d’aujourd’hui.
10. OSS 117, Le Caire nid d’espions, et Rio ne répond plus (Cairo Nest of Spies, et Lost in Rio)
De Michel Hazanavicius, avec Jean Dujardin, Bérénice Béjo (2006 et 2009)
Plus besoin de présenter Hubert Bonisseur de la Bath, agent secret nigaud, chic et chauvin au service du président René Coty.
9. Carlos
D’Olivier Assayas, avec Edgard Ramirez, Alexander Scheer (2010)
Bio-pic fascinant sur la vie de Carlos, terroriste international au cœur du « grand jeu ». Netflix propose aussi la mini-série d’Assayas associée au film.
8. Les Valseuses (Going Places)
De Bertrand Blier, avec Gérard Depardieu, Patrick Dewaere (1974)
Les péripéties de deux voyous attachants, en cavale sur les routes de France. Un grand classique.
7. Dans la maison
De François Ozon, avec Fabrice Luchini, Emmanuel Seigner (2012)
Dans la maison est un film haletant, qui raconte la relation perverse entre un professeur de français et son élève. Prix du meilleur film et du meilleur scenario au festival de Saint-Sébastien, et prix du meilleur scenario aux European Film Awards.
6. La Petite Lili
De Claude Miller, avec Nicole Garcia, Ludivine Sagnier, Julie Depardieu (2003)
Une adaptation libre de La Mouette, de Tchekhov, version Bretagne. Des attirances secrètes bouleversent un petit clan familial réuni dans une maison de l’Ile-aux-Moines.
5. 10e chambre, instants d’audience (10th district court)
De Raymond Depardon (2004)
Un film-documentaire qui raconte trois mois au sein de la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris, et filme des audiences parfois surréalistes. Le quotidien de la justice.
4. Le goût des autres (The taste of others)
D’Agnès Jaoui, avec Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri (1999)
Une comédie très “française” sur le déterminisme culturel, les étiquettes, les beaufs et les intellos. César du meilleur film et du meilleur scenario en 2001. Egalement nommé aux Oscars.
3. Merci pour le chocolat
De Claude Chabrol, avec Isabelle Huppert, Jacques Dutronc (2000)
Manipulation, trahisons et secrets de famille, sur fond d’industrie du chocolat, de musique classique et de prairies suisses. Prix Louis-Delluc.
2. Ridicule
De Patrice Leconte, avec Charles Berling, Jean Rochefort (1997)
Joutes verbales réjouissantes, courbettes et escarmouches à la cour de Versailles. César du meilleur film et du meilleur réalisateur.
1. Intouchables (The Intouchables)
D’Olivier Nakache et Eric Toledano, avec Francois Cluzet et Omar Sy (2011)
Intouchables est le deuxième plus gros succès français dans l’histoire de son box office, derrière les Ch’tis. Plus de 19 millions de spectacteurs ont suivi l’histoire de ce riche paraplégique et de son assistant noir banlieusard. A voir, au moins par curiosité.
Charlotte Gainsbourg s'installe à New York
L’actrice Charlotte Gainsbourg fait décidément beaucoup parler d’elle en cette rentrée. Outre ses trois films à l’affiche, la Française attire l’attention avec son départ pour les Etats-Unis.
Elle a en effet annoncé qu’elle partait vivre à New York. Elle en donne les raisons dans le magazine Psychologies. A 43 ans, l’actrice avait envie d’autre chose. Après la mort en décembre de sa demi-sœur, explique-t-elle, il fallait « changer d’air ».
Elle viendra avec ses trois enfants et son compagnon de longue date, l’acteur et réalisateur Yvan Attal. «J’ai envie d’être dans un environnement que je ne connais pas, où l’on ne me connaît pas et où je n’ai plus à me soucier du regard que l’on porte sur moi», a-t-elle dit à Psychologies. Ce n’est pourtant pas la première fois que Charlotte Gainsbourg vient à New York. Elle s’y est rendue comme actrice mais aussi chanteuse pour promouvoir son album IRM en 2010.
"Moulin Rouge" à San Antonio
Le McNay Art Museum de San Antonio continue à rendre hommage à Paris. Après « Paris je t’aime », c’est le film britannique « Moulin Rouge » qui sera projeté, le 5 octobre, 15h.
L’histoire se déroule à la fin du XIXème siècle, Henri de Toulouse-Lautrec, un peintre, est handicapé à cause d’une mauvaise chute dans l’escalier du château familial. Il noie sa solitude dans l’alcool et les jolies filles de Montmartre. Le Moulin Rouge, cabaret mythique, est son refuge. Le peintre, joué par José Ferrer, y rencontre les danseuses de French Cancan mais aussi toutes les vedettes qui ont marqué l’histoire du lieu. A travers ce personnage qui ne connaît pas la demi-mesure, le réalisateur John Huston dresse un portrait de la haute société à Montmartre et de ses excès.
Un peu avant la séance, est organisée une visite de l’exposition sur l’impressionnisme du XIXème siècle français. A 14h30, c’est un encas 100% Frenchy qui vous attend… Adieu popcorns, bonjour macarons !