Et si tout n’était qu’une histoire de bouchon ? Celui des limonades Lorina serait, selon la marque, la clé de son succès aux Etats-Unis. Un bouchon à bascule à l’ancienne, que les Américains adorent.
« C’est vraiment notre image de marque. Quand nous sommes arrivés sur le marché, personne ne proposait des bouchons comme cela. C’est identifié comme quelque chose de très français », affirme Claire David, responsable du marketing de la filiale américaine de Lorina, qui compte huit personnes à Miami.
La marque française de limonades rétro, en bouteilles de verre, est en pleine expansion aux Etats-Unis. Environ 14 millions de bouteilles y ont été écoulées l’année dernière. Les ventes ont été multipliées par quatre en dix ans. Au point que les Etats-Unis représentent 40% des ventes de cette PMI de Lorraine, qui emploie 80 personnes, et a réalisé 37 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2013. « Sur le marché de la limonade importée, nous sommes les leaders aux Etats-Unis », déclare Claire David.
Aux Etats-Unis, Lorina séduit avant tout des clients relativement aisés, en particulier des femmes. « Les bouteilles de Lorina sont souvent utilisées pour des mariages, des fêtes, des baby-showers. Elles sont considérées comme une alternative à l’alcool, avec un coté chic français », poursuit-elle. « La marque est devenue très identifiée. Et pour l’anecdote, nous avons une photo de Puff Daddy qui sort de sa voiture avec une bouteille Lorina. »
L’histoire de Lorina, c’est une bonne saga à la française, qui commence en 1895 en Moselle (allemande…). Victor Geyer, limonadier de son Etat, produit et vend sa boisson sucrée depuis le petit village de Munster. Pendant la deuxième guerre mondiale, il soulage la soif des soldats alliés, et après-guerre, sa boisson à l’eau des Vosges gagne en notoriété. Mais la distribution reste limitée. La petite usine, restée dans le giron familial, est reprise en 1995 par Jean-Pierre Barjon. L’actuel PDG mise sur l’aspect retro de la marque pour la relancer, et la positionne comme une boisson haut-de-gamme. Avec succès.
En 2004, Lorina ouvre une filiale à Miami, sa seule implantation en dehors de France. Pour le marché américain, elle adapte son produit : plus de sucre, plus d’arômes, plus de couleurs. « La limonade que l’on vendait en France était transparente. Cela ne correspondait pas du tout avec l’idée que les Américains se font de la limonade. On a donc retravaillé notre produit, et lancé des limonades avec des couleurs, de nouveaux parfums »
Et c’est comme cela que Lorina a sorti aux Etats-Unis sa Pink Limonade, et sa Blood Orange Limonade aux tons acidulés – les plus gros succès. Elle reste dans le même temps fidèle à une éthique de qualité : pas de conservateurs, des arômes naturels, pas d’OGM… « La grande tendance, pour les années à venir, ce sont les produits plus naturels, avec moins de sucre. On a déjà retiré nos colorants artificiels depuis deux ans, et on poursuit dans cette direction, avec de nouvelles recettes à venir. »
Lorina, la limonade lorraine qui cartonne aux US
Anne-Marie McDermott fait revivre Debussy à Miami
Anne-Marie McDermott est une pianiste américaine. Durant 25 années, elle a joué des concertos, des récitals, et de la musique de chambre aux quatre coins du globe.
Son répertoire varie au gré de ses envies, tantôt classique, tantôt plus contemporain. Soliste reconnue, elle a même obtenu un prix Gershwin.
Elle sera à Miami le 5 octobre pour rendre hommage à Debussy, en interprétant l’une de ses œuvres pour harpe et instruments à cordes, intitulée “Danse sacrée et Danse profane”. La pianiste n’en est pas à son coup d’essai avec Debussy, puisqu’elle a déjà enregistré un CD, regroupant l’intégralité de ses interprétations de la musique de chambre de l’artiste.
Le concert débutera à 14h, au New World Center. Après Debussy viendront les interprétations du compositeur visionnaire Robin Holloway et sa Sérénade en C (une première aux Etats-Unis). Le concert se clôturera avec le Quintet pour Piano d’Edward Elgar.
Le MFA de Houston dit "Je vous aime"
Le Museum of Fine Arts de Houston projettera “Je vous aime” (1980) de Claude Berri, dans le cadre de l’édition 2014-2015 de “Movies Houstanians Love”. En tout, 23 films de tous genres et de toutes origines ont été sélectionnés par les Houstoniens.
Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Jean-Louis Trintignant, Serge Gainsbourg et Alain Souchon sont à l’affiche de ce classique du cinéma français. Alice est une jeune femme ambitieuse qui ne voudrait aimer qu’un seul homme mais n’arrive pas à s’attacher. La veille du Nouvel An, elle invite quatre de ses anciens amants pour évoquer le passé.
Alain Souchon obtient le César du meilleur acteur dans un second rôle, et Serge Gainsbourg le César de la meilleure musique en 1981.
Bénédiction des animaux à Miami
Un drôle de défilé aura lieu à la cathédrale de la Trinité de Miami. La traditionnelle bénédiction des animaux se tiendra le 4 octobre.
Pendant cette manifestation, chacun pourra faire benir son animal de compagnie. Attendez vous à voir des chiens, des chats, mais aussi des animaux plus exotiques. Cet événement un peu particulier débutera à 16h, avec un salon qui ravira vos animaux. Au menu, des croquettes, bien sûr, mais aussi des photographes spécialisés prêts à mettre en valeur les moustaches de votre cher Patapon, et des services vétérinaires parés à toute éventualité. Clou du spectacle, « l’élection du chien le mieux habillé » ! Et pour ceux qui n’ont pas encore la chance d’avoir un animal, sachez que des organisations destinées à l’adoption seront présentes.
L’événement est ouvert à tous, et gratuit. On en ronronne déjà d’impatience…
Eminem et Lana Del Rey au festival Austin City Limits
Le festival Austin City Limits revient du 3 au 12 octobre. Fondé il y a 40 ans déjà, il est devenu une véritable institution. Il est désormais l’un des événements musicaux les plus importants des Etats-Unis, accueillant cette année encore plus de 130 artistes venus du monde entier.
Parmi eux, de grandes pointures de la musique, et un métissage des genres détonnant. Du rap à l’électro en passant par le pop-rock ou encore le jazz, les styles sont variés, et vous trouverez forcément votre bonheur parmi les artistes présents. Sont au programme: Eminem, Skrillex, Foster The People, Lana Del Rey, Beck, Iggy Azalea, bref, de grosses pointures de la musique, mais aussi des groupes en devenir.
Avec ses huit scènes, trois jours, et plus de 70 000 personnes attendues, il y aura de quoi donner un sacré coup de fouet à l’Austin’s Zilker Park, où se dérouleront les festivités … L’ambiance se voudra conviviale, entre gastronomie locale et marché d’art en plein air. Rien ne vous empêche de venir en famille. Bien au contraire d’ailleurs, puisque des activités pour les enfants seront prévues sur place pour occuper vos tendres chérubins entre les concerts…
La Femme recherche des sensations à LA
Le groupe néo-punk La Femme, auteur du tube entêtant “Sur la planche”, se produira à l’Echoplex le 23 octobre. Une vague de sensations en perspective.
Originaire de Biarritz, La Femme fait figure d’OVNI dans le paysage musical français. Depuis 2010, le groupe – dont les influences vont du Velvet Underground à Jacno en passant par le yéyé – mélange les genres musicaux, comme l’électro et la surf music, “en alliant sons de synthés et guitares anciennes“, explique Marlon Magnée, un des fondateurs.
Leur premier album, “Psycho Tropical Berlin”, sorti en avril 2013, est salué par la critique. C’est la consécration, en février 2014, lorsque le groupe biarrot remporte les Victoires de la musique 2014 dans la catégorie :album révélation de l’année”.
La Femme se produira également le 25 octobre à Santa Ana, dans le cadre du Festival Beach Goth.
Combien ça coûte un mariage à New York ?
Est-ce raisonnable de se marier à New York ? Oui… ou non. Petit guide à l’attention de ceux qui veulent dire “I do” dans la Big Apple.
1. Le mariage “business class” : 30 000 $ et au-delà
Pour Assetou Gaudissard, wedding-planner à New York Paris Connection, le coût moyen d’un mariage à New York en 2014 avoisine les 90 000 $. Un chiffre exorbitant qui comprend les prestations (lieu, photographe, fleurs, célébration du mariage, maquillage pour la mariée, nourriture, limousine) et le wedding-planner, qui à lui seul représente entre 10 et 15% du budget total.
Au Plaza – où se sont mariés Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones – , au Marriott ou au Peninsula Hotel, l’ambiance conte de fée est assurée, avec, en plus du champagne qui coule à flot, un gâteau sur mesure réalisé par des pâtissiers de renom.
Sans compter toutes les prestations évoquées ci-dessus, on arrive facilement à 400 $ par personne (pour un total de 200 invités environ), taxes exclues. Il faut ajouter à cela la location de la salle, dont les tarifs avoisinent les 10 000 $.
Envie d’une ambiance carte postale ? Optez pour un rooftop. Pour une cérémonie nocturne (de 17h à minuit environ), la location d’un rooftop dans un hôtel privatisé coûte entre 2 000 et 4 000 $. A cela il faut ajouter les prestations : au 230 Fifth, d’où l’on peut admirer le Chrysler building, il faut compter 350 $ par personne. Au bar de l’hôtel Ink 48, on peut louer seulement une partie du rooftop. La location de l’espace entier revient évidemment plus cher.
Les rooftops ouvrent généralement en début de soirée : attendez-vous donc à ce que les prix augmentent pour une cérémonie en plein jour. Oubliez en revanche le mariage sur la tête de la Statue de la Liberté : c’est interdit.
2. Le mariage “economy” : aux alentours de 5 000 $
Rien de plus classique qu’un mariage dans un parc à Manhattan ou à Brooklyn. Un permis pour se marier à Central Park coûte 25 $. A cela, il faut ajouter les prestations pour le reste de la journée de mariage (photographe, limousine, champagne, diner, etc)… “On arrive facilement à une somme comprise entre 3 000 et 3 500 $“, précise Assetou Gaudissard. Et ce, pour un petit comité.
Au printemps ou en été, le Brooklyn Botanic Garden offre un joli cadre pour un peu moins de 200 $ par personne. Et si les rooftops vous paraissent hors de prix, il y a toujours celui du Brooklyn Grange, une ferme urbaine avec vue imprenable sur Manhattan. La location est comprise entre 2 500 et 10 000 $.
3. Le mariage “low cost” : à partir de 35 $
Si vous voulez éviter de laisser votre compte épargne dans votre mariage, le City Hall fera l’affaire. C’est rapide (24 heures pour obtenir la licence de mariage) et limité à vingt personnes, dont un témoin obligatoire. Si vous habitez à New York, il vous suffira de payer 35 $ pour la licence, et 40 $ si vous habitez dans une autre ville américaine.
Après le City Hall, vous pouvez organiser une cérémonie sans permis dans la rue, sur le Brooklyn bridge, ou même dans le métro ! Jusqu’à vingt invités, c’est gratuit. Au-delà, il faudra payer 25 $.
Pourquoi la Californie s'appelle "Golden State" ?
La Californie ne s’appelle pas “Golden State” uniquement pour la beauté mirifique de ses couchers de soleil. Pourquoi, alors ? C’est la question bête de la semaine.
La Californie est associée à l’or depuis le XVIème siècle, au moment de sa colonisation par deux explorateurs espagnols – Ortuno Ximenez et Hernando Cortez – qui pensaient y dénicher ce métal rare. Ils avaient lu le roman de Garcia Ordonez de Montalvo, Les Exploits d’Esplandien, qui évoque une île remplie d’or nommée Calafia et aurait, par la suite, donné le nom de Californie.
En 1848, un ouvrier, James Marshall, trouve des pépites à Sacramento, neuf jours avant la fin de la guerre américano-mexicaine et la cession de la Californie aux Etats-Unis. L’état prend alors le surnom d'”El Dorado State”. Ce n’est qu’en 1968 qu’il adopte officiellement celui de “Golden State”.
L’or transparaît également au travers de la couleur jaune-orangé du pavot de Californie – très présent sur la façade pacifique – qui devient la fleur d’état en 1903.
“Golden” (doré) qualifie, au XXème siècle, la richesse de l’Etat en ressources naturelles et de son économie. Le Daily Beast explique en 2011 que la Californie s’est imposée, au siècle dernier, “comme un leader dans l’agriculture globale, l’énergie, le divertissement, la technologie.” Une distinction qui lui vaudra un autre surnom : le “Grape State”.
Pourquoi appelle-t-on le Texas le "Lone Star State" ?
Pourquoi le Texas est-il surnommé le Lone Star State ? C’est la question bête de la semaine.
Le Texas fut admis en 1845 comme le 28ème Etat membre des Etats-Unis. Son surnom, le Lone Star State, date de cette époque. Il est encore couramment utilisé aujourd’hui.
L’étoile en question n’est pas celle qu’arborent fièrement les shérifs dans Lucky Luke : elle provient du drapeau du Texas, le « National Standard of Texas », adopté en 1836.
Sur ce symbole, trois couleurs : le rouge, le bleu, et le blanc. Au beau milieu du bleu azur se dresse une étoile dorée à cinq branches. Que signifie alors cette étoile ?
En 1821, le Texas, qui était jusqu’alors une province espagnole, se retrouve sous l’égide du Mexique. Il faudra attendre 1836 pour qu’il devienne indépendant : c’est cette indépendance que l’étoile représente. Pour certains, l’étoile serait aussi le symbole d’une volonté de rejoindre les Etats-Unis. Cette union se concrétisera en 1845.
Mais ni cette fusion, ni la révision des statuts de 1879 qui fait disparaître des lois toute mention du drapeau n’entacheront le symbolisme de l’emblème. Ce drapeau, dont on ne connaît pas l’auteur, persiste de manière non-officielle, et reste très cher aux Texans.
Un troisième "The Little Door" ouvre à Brentwood
Frédéric et Nicolas Meschin étendent leur territoire. Déjà propriétaires de trois établissements à Los Angeles, dont l’inclassable “Acabar”, les deux frères viennent d’ouvrir un nouveau restaurant The Little Door, sur la 26ème rue, dans le très chic quartier de Brentwood.
“Cette fois, nous n’avons pas mis d’argent sur la table”, explique Frédéric Meschin. “Nous nous sommes associés à un jeune investisseur, Marc-Antoine Rambaud, à qui nous apportons notre savoir-faire, notre expertise, ainsi que le nom du restaurant. Sans pour autant en vendre les droits.”
Incités depuis plusieurs années à multiplier le concept de leurs établissements, les deux frères s’y étaient toujours refusé. “Nous ne voulions pas dénaturer l’esprit que nous donnons à nos restaurants. Et l’idée d’une franchise ne nous plaisait pas. Nous avons finalement trouvé un modèle économique différent : nous prenons en charge les assurances, les droits, le contenu, puis nous plaçons nos équipes – soit une cinquantaine de personnes – et le menu élaboré avec notre chef. Le reste est à la charge du partenaire de l’opération.”
Plusieurs mois ont été nécessaires avant de trouver l’emplacement idéal, même si les frères Meschin avaient une idée en tête. “Ces locaux à Brentwood nous avaient été proposés il y a six ans. Les lieux nous plaisaient, mais le loyer était fou. Finalement, quelqu’un d’autre a signé le bail au prix fort pour ouvrir un restaurant italien, alors qu’il y en 30 aux alentours. Il s’est cassé la figure, puis la crise est arrivée et les locaux sont restés vides. Nous avons donc pu le récupérer à un loyer abordable.”
Après plusieurs mois de travaux, la troisième enseigne de The Little Door a donc ouvert le 22 septembre. A l’intérieur, les moindres détails ont été étudiés pour que la clientèle se sente à son aise, derrière l’imposante porte couvrant la façade. “Rien n’existe aux alentours en terme de vie nocturne. Ici, nous n’ouvrons pour le moment que de 17h à 2h du matin. Nous avons plusieurs salles, dont une taverne à l’ambiance intimiste, pour que chacun trouve ce qu’il cherche, comme dans un riad romantique.”
Et visiblement, le concept séduit déjà. Dès le premier soir, l’acteur Jim Carrey est d’ailleurs venu s’y détendre. De quoi inciter les frères Meschin à poursuivre sur leur lancée. “Des projets sont lancés à Venice Beach, Santa Monica, Las Vegas et Miami.”
La France est-elle encore la France?
Revue de presse. Pour distinguer un Français d’un Américain, il y a trois critères : le Français fume beaucoup trop, se plaint de la nourriture outre-Atlantique (« parce que la gastronomie française, ça n’a rien à voir ») et fait toujours la grève.
Pendant sa pause (et aussi entre les pauses), le bon Français va fumer une petite cigarette. Enfin, « il allait ». Le gouvernement français serait enfin décidé à déclarer la guerre à la nicotine. Pour les Américains, qui fument beaucoup moins si l’on en croit les statistiques, cette nouvelle est jugée plutôt surprenante. Le New York Times nous en dit plus sur ces mesures destinées à faire baisser le nombre de fumeurs de 10% en cinq ans. Difficile à envisager, alors que « les précédents efforts du gouvernement français pour réduire la consommation de tabac ont été sans cesse retardés ces dernières années ».
Selon le New York Times, ces lois prévues par le gouvernement français sont étonnamment strictes, « plus encore que celles adoptées par le Parlement européen en automne dernier ». Le journal semble en tout cas plutôt sceptique quant à leur efficacité… Comme il le rappelle, « presque un tiers des adultes » en France sont des fumeurs réguliers, et « entre 2005 et 2010, cette proportion n’a fait qu’augmenter (…) malgré les hausses régulières des prix ». Le New York Times se demande en plus comment ces mesures pourraient encourager les consommateurs à arrêter de fumer, si elles s’appliquent aussi à la cigarette électronique.
Une nouvelle dure à avaler
Les mesures anti-tabac ont sans nul doute troublé les Américains. Mais alors quand il s’agit de la cuisine française, les médias s’offusquent. The Atlantic ne comprend pas pourquoi « l’amour entre les Français et le bœuf » semble mis à mal. « La gastronomie française deviendrait-elle moins française ? » s’interroge le journal… Au menu de cet article, le témoignage de Jacques Pepin, dont la mère « mangeait des steaks tous les jours », et ce, « même dans ces derniers instants ».
Après quelques conseils pour une cuisson parfaite, The Atlantic s’adonne à un hommage au steak, digne d’un éloge funèbre. Ah, il faut dire qu’il est particulièrement bon en France, ce petit morceau de viande, si bon qu’il est « presque impossible de le reproduire à l’identique à l’étranger », et qu’il est devenu « un marqueur de l’identité française ». Le journal américain semble désespéré, inquiet de ne plus jamais pouvoir croquer à pleines dents dans cette viande si tendre… Promis, on ne leur dira pas qu’en France, on met parfois du cheval à la place du bœuf.
Dernier espoir pour sauver les Français
Reste une chose que les Français n’abandonneront sans doute jamais : leur droit de grève. Entre la SNCF paralysée à cause d’une soirée crêpes trop arrosée, et les pilotes d’Air France, les journaux américains ne savent plus où donner de la tête…
Une situation visiblement impensable aux Etats-Unis. Le New York Times vise autant notre gouvernement que les pilotes. Selon le journal, il n’est pas normal que le gouvernement, qui détient tout de même 16% de la compagnie Air France-KLM « n’ait pas fait d’efforts pour montrer la France comme un pays compétitif ». Il aurait en revanche « causé le désordre concernant les plannings aériens ».
Le "Credit Score" expliqué à Houston
La Chambre de Commerce franco-américaine de Houston organisera une table ronde intitulée « understanding your credit score » le 8 octobre.
Le Credit Score, est un moyen bien Américain de mesurer votre solvabilité. Que ce soit pour un prêt ou pour louer un appartement, on vous demandera cette « note ». Il est très important de comprendre sur quels critères elle est établie.
Si vous souhaitez savoir comment ce Credit Score est calculé, et à quel point il peut déterminer vos acquisitions, cette discussion est faite pour vous. Elle aura lieu dans les locaux de la FACC de Houston le 8 octobre, à 17h30.