Et 1, et 2 et 3… Français chez les New York Red Bulls. Après Thierry Henry et Péguy Luyindula, le défenseur Damien Perrinelle rejoint le club de la ville. Les Red Bulls en ont fait l’annonce lundi.
Perrinelle, 30 ans, était en essai avec l’équipe de New York. Formé en 2011 au Sporting Club d’Amiens (National), il évolue en Ligue 2 depuis 2004, jouant tour à tour pour l’US Créteil, Clermont Foot, l’US Boulogne, puis Istres.
« Nous sommes ravis d’ajouter Damien à notre équipe après avoir validé son essai au club. C’est un défenseur polyvalent avec un bon bagage technique, il ajoutera de la profondeur à notre banc » a déclaré Andy Roxburgh, directeur sportif du club, sur le site officiel du club.
Un autre Français rejoint Henry chez les New York Red Bulls
La peinture surréaliste de Cécile Guicheteau à San Francisco
De Nantes à San Francisco, il y a bien plus qu’un pas… Que l’artiste française Cécile Guicheteau a tout de même franchi.
Le jeudi 7 août de 18h à 21h, elle prendra ses quartiers à l’Alliance française. Au menu, la présentation d’une vingtaine de ses œuvres, dont certaines inspirées de la poésie de Baudelaire, que vous pourrez admirer en dégustant un verre de vin.
Après avoir été exposé à Bologne, à Florence, ou encore au Grand Palais (Paris), son travail traverse une nouvelle fois l’Atlantique. La galerie new-yorkaise Agora, ainsi qu’une galerie de Toronto, avaient déjà mis à l’honneur sa peinture surréaliste en 2012. Avis aux amateurs d’art contemporain donc. Cécile Guicheteau sera elle-même présente pour répondre à vos questions.
Des tableaux vivants à Los Angeles
Tous les ans, le festival “Pageant of the Masters” met en scène des tableaux vivants. Grâce aux petites mains du Festival of Arts de Laguna Beach et aux jeux de lumière, les acteurs, maquillés et coiffés selon la période historique, ressemblent trait pour trait aux peintures originales.
Jusqu’au 30 août, “The Art Detective” célèbre les jeux d’énigmes et les trésors perdus. Prenez-vous pour Sherlock Holmes et cherchez les indices à travers des oeuvres d’art majeures comme “La Ronde de Nuit” de Rembrandt.
Un orchestre et un narrateur accompagnent l’intrigue.
La reconstitution historique a été popularisée en 1932 par l’artiste de vaudeville Lolita Perine, à l’occasion du premier festival d’art de Laguna Beach.
Frédéric Lefebvre aussi fait travailler sa femme
Frédéric Lefebvre fait partie des députés qui choisissent de travailler “en famille”. Dans sa “déclaration d’intérêts et d’activités” auprès de la Haute Autorité de la Transparence de la Vie Publique (HATVP), qui vient d’être rendue publique, le député des Français d’Amérique du Nord a inscrit son épouse Valérie sur la liste de ses collaborateurs.
L’élu n’est pas le seul à s’entourer de membres de sa famille dans son travail. Selon les calculs de Mediapart, l’Assemblée a rémunéré 52 épouses, 28 fils et 32 filles de députés en 2014. Au moins 20 % des députés ont rémunéré un membre de leur famille proche avec l’argent du Palais Bourbon, souligne le site d’information.
Les “emplois familiaux” ne sont pas une pratique nouvelle – ou rare – en France. Plusieurs élus de droite comme de gauche, comme Yves Jego, Claude Bartolone et Eric Raoult ont choisi d’assumer publiquement leur choix de travailler avec leur épouse ou leur enfant. Pour justifier ces collaborations, certains élus avancent, pêle-mêle, la confiance dans leur proche, le désir de lui donner une expérience parlementaire ou encore de passer du temps avec lui ou elle.
Pour d’autres encore, le retour de bâton est douloureux. En octobre, le site Mediapart révélait que la femme de l’ancien ministre Bruno Le Maire, artiste-peintre, a été rémunérée plusieurs années sur un poste de collaboratrice à temps plein sans que l’on sache exactement ce qu’elle faisait.
Frédéric Lefebvre a décidé de jouer la transparence en inscrivant il y a plusieurs mois le nom de son épouse, ancienne graphologue, sur son site comme “attachée parlementaire chargée de l’agenda, des déplacements et des permanences“.
Interrogée brièvement sur le sujet en avril lors du lancement de la campagne consulaire de la liste UMP-UFE à New York, pour lequel elle accompagnait son mari, elle avait de glissé, à propos de ces emplois familiaux: “Ça ne se dit pas mais ça se fait“.
Rien n’empêche un député de recruter sa femme ou un autre membre de sa famille. Selon le règlement de l’Assemblée, “l’élu recrute librement ses collaborateurs, licencie, fixe les conditions de travail et le salaire de son personnel, dans le respect des dispositions du code du travail.”
Seule règle concernant les emplois familiaux: dans le cadre de l’enveloppe globale prévue pour leur crédit collaborateurs (9.504 euros mensuels), chaque député ne peut pas dépenser plus de la moitié de son enveloppe pour les emplois familiaux.
Les conditions précises de l’emploi de Mme Lefebvre n’ont pas pu être vérifiées par French Morning. L’équipe parlementaire de M. Lefebvre n’a pas répondu à notre demande de commentaire.
Un Tour de France sexiste et les lunettes d'Hollande
Revue de presse. Alors que la plupart des journaux, comme le LA Times ou USA Today, se concentrent sur les performances sportives du tour de France, et notamment la victoire finale de Vincenzo Nibali, le Washington Post a choisi un angle nettement plus original.
Dans un premier article, publié en ligne sur le blog “She The People”, Joann Weiner rappelle à ses lecteurs qu’après plus de 100 ans d’existence, le Tour n’inclut toujours pas de sportives féminines dans la compétition. Si des femmes sont bien présentes lors de la course, “elles n’apparaissent sur le podium que pour donner du champagne et des fleurs aux vainqueurs masculins”. L’auteur dénonce les “vues démodées” des organisateurs, et réclame du changement. Elle trouve un appui dans les colonnes du New York Times, puisque le quotidien a également publié un article critique sur le sujet, pointant toutefois un progrès: les femmes ont obtenu leur propre course parallèle (mais largement réduite), “La Course by Le Tour de France”.
A nouveau dans le Washington Post, mais dans un tout autre registre, Marissa Payne prend pour cible les spectateurs du Tour de France, expliquant que “bon nombre d’entre eux sont connus pour être un peu bizarres”, à l’image de ceux qui se baladent à moitié nus, mais plus encore de l’homme qui a fait profiter son ours empaillé du spectacle, lors de la 18ème étape. Photo à l’appui, elle le rappelle, “il reste trois étapes, peut-être que quelqu’un va ramener un hippopotame”.
Le Masterchef du jardin d’enfant
Du côté du Wall Street Journal cette semaine, focus sur un concours de cuisine dont le vainqueur aura l’honneur de servir son plat… dans une crèche. Ce véritable Masterchef du jardin d’enfant sert alors de point de départ à une analyse profonde de l’alimentation à la frenchy.
On y apprend qu’en France, “pays obsédé par la bonne nourriture, même le repas des enfants doit être gastronomique”. Les auteurs donnent ainsi une vision bien personnelle des menus proposés aux gourmets miniatures dans les crèches, censés servir “aux enfants d’un an des mets sophistiqués comme le roquefort, le chocolat noir ou le poireau, pour les encourager à développer un palais aventureux.”
Les lunettes d’Hollande
Enfin, les lunettes les plus célèbres de l’Hexagone, ont inspiré un article au New York Times. Vanessa Friedman s’y concentre sur les réactions (largement négatives) qu’a suscité dans la presse française ce changement de style de François Hollande.
Et si ce que l’auteur appelle “l’affaire lunettes” a eu un écho conséquent, cela prouve selon elle que “l’image des hommes politiques est scrutée autant que l’est celle des femmes”. Une donnée que François Hollande n’aurait pas du négliger. Il paraît en effet étrange de choisir des lunettes danoises lorsqu’on promeut le “Made in France”, et des montures à 1.300$ lorsque l’un de ses chevaux de bataille est la taxe à 75% pour les plus aisés. Peut être, d’après Vanessa Friedman, une façon de se débarrasser des souvenirs de Valérie Trierweiler, qui avait joué un rôle primordial dans son relooking pré-campagne en 2012.
Reste que “les conseillers de M. Hollande ne sont peut-être pas si malins que ça quand il s’agit d’image”, et feraient bien de regarder de l’autre côté de l’Atlantique, et s’inspirer de spin doctors comme David Axelrod. En conclusion, la parité aurait-elle réussi à s’imposer dans au moins une facette de la vie politique ? Oui, à en croire le New York Times, qui tire de cette affaire une leçon à retenir : “En politique, un nouvel accessoire n’est jamais simplement un accessoire. C’est un symbole. Pour les hommes comme pour les femmes”.
"Lucy" de Luc Besson charme le Box office
Après une semaine décevante du côté du box office américain (6% de billets vendus en moins par rapport à l’an dernier), c’est “Lucy” de Luc Besson qui en prend les rênes. Sorti le 25 juillet aux Etats-Unis, le film de science-fiction a déjà engrangé près de 45 millions de dollars, soit 15 millions de plus que “Hercule” de Brett Ratner avec Dwayne Johnson, en deuxième position.
Quinzieme long-métrage du plus américain des cinéastes français, “Lucy” est produit par la société de Luc Besson EuropaCorp, à l’origine notamment de “Taken” 2 d’Olivier Megaton, qui a réalisé le plus gros démarrage avec 49 millions de dollars en 2012. Rappelons que “Le Cinquième Elément”, sorti en 1997, avait généré plus de 63 millions d’entrées.
“Lucy” raconte l’histoire d’une étudiante (Scarlett Johansson), qui voit ses capacités intellectuelles se développer à la suite d’un accident.
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Sur près de 150 pages d’articles pratiques et de reportages, il vous donne les clefs pour “travailler”, “s’installer” et vivre à New York au quotidien. Le tout dans le style informatif et piquant qui fait le ton de French Morning.
Apprenez notamment comment venir étudier à New York, décrocher un visa O d’artiste et travailler dans un environnement américain, comment rencontrer l’amour le vrai dans la ville du “dating” ou encore trouver le coin de New York qui vous correspond à travers des profils des quartiers new-yorkais. Bref, c’est le compagnon indispensable de tout futur New-Yorkais, ou du Français de New York arrivé il y a trois jours ou 30 ans.
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"2 Automnes, 3 Hivers" projeté à Greenpoint
Le cinéma français investit Transmitter Park (Greenpoint) vendredi 1er août dès 20h30, avec la projection du film de Sébastien Betbeder, “2 Automnes 3 Hivers”. Le long métrage sera présenté gratuitement au public dans le cadre du festival Films on the Green. En français bien sûr mais avec des sous-titres anglais.
Sortie en salles en décembre 2013, cette production réunit les acteurs Vincent Macaigne, Maud Wyler et Bastien Bouillon pour un film comique à la structure originale : pendant 1h31 alternent scènes de la vie quotidienne, et monologues des personnages principaux s’adressant aux spectateurs.
Le pitch est assez classique: on nous propose de suivre pendant 2 automnes et 3 hivers le parcours de trois trentenaires à un tournant de leur existence. Mais leurs péripéties sont un prétexte pour brosser le portrait d’une génération en plein doute, qui insuffle une note touchante au film.
La projection ayant lieu en extérieur, mieux vaut surveiller la météo avant d’organiser votre sortie!
Les Bleus de New York en finale de la Cosmos Copa
L’équipe de France conservera-t-elle son titre de championne du monde de New York? Réponse samedi. Les hommes de Zohair Ghenania ont franchi le cap des demi-finales de la Cosmos Copa en s’imposant face à l’Irlande 3-2. Auparavant, ils avaient battu le Salvador en quarts.
L’équipe, constituée de footballeurs amateurs, jouera donc son titre samedi 2 août, 15h30 au Shuart Stadium Hofstra University (Long Island), contre la Gambie. La confrontation aura lieu juste avant le match des New York Cosmos contre les Railhawks dans le cadre de la North American Soccer League.
Bons plans "dernière minute" sur NY-Paris avec La Compagnie
Avec quelques jours de retard pour cause d’agrément fédéral américain, La Compagnie a pris son envol lundi dernier au départ de Charles-de-Gaulle pour la toute première fois. La bonne nouvelle c’est que pour remplir ses avions, le nouveau venu casse ses prix en août…
Positionnée sur le secteur “tout business low cost”, la nouvelle entreprise dispose pour l’instant d’un avion, avant de passer à deux d’ici à la fin de l’année. A bord, 74 fauteuils, inclinables à 180° et service business par trois hôtesses et stewards. Une tablette Samsung Galaxy est mise à disposition pour le divertissement.
Mais c’est sur le prix qu’entend se battre la nouvelle compagnie, qui annonçait lors du lancement des tarifs inférieurs à la concurrence de 35 à 50 %, en vol direct. Promesse semble-t-il tenue, et même battue, pour le lancement en tout cas. Quelques simulations pour le mois d’août montrent que La Compagnie se situe très en dessous des tarifs business des grandes compagnies, et rivalise même avec la classe “économie” de certaines compagnies.
A titre d’exemple, un départ de New York le 6 août pour retour le 25 août vous coûtera $1377 (taxes comprises) sur La Compagnie (au tarif le plus économique, c’est-à-dire avec frais pour changement et annulation). C’est certes $300 de plus que le très économique XL Airways ($1022/personne) mais au même au même niveau que la classe “economie” d’Air France ($1355). En revanche, le nouveau venu bat les classes “Premium Economy” de British Airways ($2359) et Air France ($2433) qui offrent un peu plus d’espace qu’en économie mais pas de siège totalement inclinable.
La comparaison avec les tarifs “Business” des compagnies est encore plus flatteuse pour le nouvel arrivé: il faut compter six fois le prix ($8275 sur Air France et $8292 sur British Airways). Pour un billet pris un peu plus tard dans le mois, la différence de prix baisse considérablement, mais le rapport atteint encore 1 à 3 fin août ($3700 sur Air France pour un voyage du 18 août au 2 septembre contre toujours $1377 pour La Compagnie). La nouvelle venue ne promet pas le même confort que ses prestigieuses concurrentes, “mais le meilleur rapport qualité-prix en business” soulignait lors du lancement Peter Luethi, co-fondateur de l’entreprise. A ce prix ($1377) il faut aussi ajouter des frais de $300 pour changer le billet et de $500 pour annuler.
Enfin, pour les amoureux et tous ceux qui volent à deux, La Compagnie offre une réduction supplémentaire: l’aller-retour pour deux coûte $2014, soit $1007/personne pour un vol en business class! Ces tarifs sont valables (dans la limite des places disponibles) jusqu’au 30 août pour un trajet effectué avant le 15 septembre 2014.
Se régaler pour pas cher lors des Houston Restaurant Weeks
Depuis 2003, les Houston Restaurant Weeks reviennent chaque année charmer les papilles les plus exigeantes. Du 1er août au 1er septembre, les fins gourmets texans pourront profiter de réductions dans un grand nombre de restaurants français, italiens ou encore mexicains.
Les prix sont de 25$ le brunch, 20$ le midi, 35$ ou 45$ le soir. Il suffit de réserver dans l’un des établissements listés sur le site, en précisant que vous désirez le menu Houston Restaurant Weeks. D’autant que vous apporterez du même coup votre contribution à une bonne cause: chaque fois que vous mangez dans un restaurant, une partie des revenus est reversée à la Houston Food Bank. Un brunch permet ainsi de servir 12 repas à des personnes dans le besoin.
En 2013, l’événement avait permis de lever un chiffre record de 1.285.260$ pour l’organisation. A tout gourmand se sentant l’âme d’un philanthrope, voici une date à noter dans votre agenda!
Ces Français qui ont vu naître l'Amérique
Peu de personnes savent que des Francais ont été impliqués très tôt dans la construction de la jeune république americaine. Il y eut Lafayette bien sûr, mais pas uniquement.
Dans son dernier livre, rédigé en anglais, When the United States Spoke French, le chercheur et professeur d’histoire François de Furstenberg raconte comment cinq Français ont intégré la vie politique, économique et culturelle américaine dans les années 1790.
Le lecteur est invité à suivre le parcours de Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, le duc de La Rochefoucauld-Liancourt, Louis-Marie Vicomte de Noailles, Médéric-Louis-Élie Moreau de Saint-Méry et Constantin-François de Chasseboeuf, comte de Volney.
Leur point commun: ils idéalisaient alors la nouvelle république américaine, qui leur semblait propice à la réalisation des idéaux des Lumières. “Je les avais croisés durant mes recherches antérieures, je savais qu’ils avaient été à Philadelphie et j’étais curieux de savoir pourquoi et comment ils s’étaient retrouvés là”, raconte François de Furstenberg, qui enseigne l’Histoire à Johns Hopkins.
Lettres de recommandations à l’appui, les cinq hommes n’ont eut aucun mal à pénétrer au sein de la haute sphère américaine dès leur arrivée à Philadelphie. C’est ainsi que Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord devint très vite, l’ami intime d’Alexander Hamilton.
Les deux hommes avaient pour habitude de dîner et d’échanger, lors de ces moments, leurs idées politiques et économiques. Ces mêmes lettres permirent au Vicomte de Noailles et au Duc de Liancourt de sympathiser avec les ministres de Georges Washington et plus largement, ouvrirent les portes des salons francophiles aux cinq hommes. Cette présence dans les lieux de rencontre de l’élite américaine de l’époque, cette socialisation privilégiée et ce flirt avec les hautes sphères du pouvoir participa à rendre l’exil des Français plus doux.
Les recherches de François de Furstenberg se sont déroulées en grande partie aux États-Unis mais pas seulement. “J’ai passé le gros de mon temps dans les archives à Philadelphie mais je suis également allé à Paris, dans les archives du Quai d’Orsay et aux Archives nationales”.
De père américain et de mère française, c’est aux États-Unis, lors de ses études à la Johns Hopkins University, qu’il découvre l’histoire américaine. Aujourd’hui spécialisé dans l’histoire culturelle, politique et intellectuelle des États-Unis aux XVIIIème et XIXème siècles, son dernier livre est sorti le 14 juillet dernier, date hautement symbolique.