Après une semaine décevante du côté du box office américain (6% de billets vendus en moins par rapport à l’an dernier), c’est “Lucy” de Luc Besson qui en prend les rênes. Sorti le 25 juillet aux Etats-Unis, le film de science-fiction a déjà engrangé près de 45 millions de dollars, soit 15 millions de plus que “Hercule” de Brett Ratner avec Dwayne Johnson, en deuxième position.
Quinzieme long-métrage du plus américain des cinéastes français, “Lucy” est produit par la société de Luc Besson EuropaCorp, à l’origine notamment de “Taken” 2 d’Olivier Megaton, qui a réalisé le plus gros démarrage avec 49 millions de dollars en 2012. Rappelons que “Le Cinquième Elément”, sorti en 1997, avait généré plus de 63 millions d’entrées.
“Lucy” raconte l’histoire d’une étudiante (Scarlett Johansson), qui voit ses capacités intellectuelles se développer à la suite d’un accident.
"Lucy" de Luc Besson charme le Box office
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"2 Automnes, 3 Hivers" projeté à Greenpoint
Le cinéma français investit Transmitter Park (Greenpoint) vendredi 1er août dès 20h30, avec la projection du film de Sébastien Betbeder, “2 Automnes 3 Hivers”. Le long métrage sera présenté gratuitement au public dans le cadre du festival Films on the Green. En français bien sûr mais avec des sous-titres anglais.
Sortie en salles en décembre 2013, cette production réunit les acteurs Vincent Macaigne, Maud Wyler et Bastien Bouillon pour un film comique à la structure originale : pendant 1h31 alternent scènes de la vie quotidienne, et monologues des personnages principaux s’adressant aux spectateurs.
Le pitch est assez classique: on nous propose de suivre pendant 2 automnes et 3 hivers le parcours de trois trentenaires à un tournant de leur existence. Mais leurs péripéties sont un prétexte pour brosser le portrait d’une génération en plein doute, qui insuffle une note touchante au film.
La projection ayant lieu en extérieur, mieux vaut surveiller la météo avant d’organiser votre sortie!
Les Bleus de New York en finale de la Cosmos Copa
L’équipe de France conservera-t-elle son titre de championne du monde de New York? Réponse samedi. Les hommes de Zohair Ghenania ont franchi le cap des demi-finales de la Cosmos Copa en s’imposant face à l’Irlande 3-2. Auparavant, ils avaient battu le Salvador en quarts.
L’équipe, constituée de footballeurs amateurs, jouera donc son titre samedi 2 août, 15h30 au Shuart Stadium Hofstra University (Long Island), contre la Gambie. La confrontation aura lieu juste avant le match des New York Cosmos contre les Railhawks dans le cadre de la North American Soccer League.
Bons plans "dernière minute" sur NY-Paris avec La Compagnie
Avec quelques jours de retard pour cause d’agrément fédéral américain, La Compagnie a pris son envol lundi dernier au départ de Charles-de-Gaulle pour la toute première fois. La bonne nouvelle c’est que pour remplir ses avions, le nouveau venu casse ses prix en août…
Positionnée sur le secteur “tout business low cost”, la nouvelle entreprise dispose pour l’instant d’un avion, avant de passer à deux d’ici à la fin de l’année. A bord, 74 fauteuils, inclinables à 180° et service business par trois hôtesses et stewards. Une tablette Samsung Galaxy est mise à disposition pour le divertissement.
Mais c’est sur le prix qu’entend se battre la nouvelle compagnie, qui annonçait lors du lancement des tarifs inférieurs à la concurrence de 35 à 50 %, en vol direct. Promesse semble-t-il tenue, et même battue, pour le lancement en tout cas. Quelques simulations pour le mois d’août montrent que La Compagnie se situe très en dessous des tarifs business des grandes compagnies, et rivalise même avec la classe “économie” de certaines compagnies.
A titre d’exemple, un départ de New York le 6 août pour retour le 25 août vous coûtera $1377 (taxes comprises) sur La Compagnie (au tarif le plus économique, c’est-à-dire avec frais pour changement et annulation). C’est certes $300 de plus que le très économique XL Airways ($1022/personne) mais au même au même niveau que la classe “economie” d’Air France ($1355). En revanche, le nouveau venu bat les classes “Premium Economy” de British Airways ($2359) et Air France ($2433) qui offrent un peu plus d’espace qu’en économie mais pas de siège totalement inclinable.
La comparaison avec les tarifs “Business” des compagnies est encore plus flatteuse pour le nouvel arrivé: il faut compter six fois le prix ($8275 sur Air France et $8292 sur British Airways). Pour un billet pris un peu plus tard dans le mois, la différence de prix baisse considérablement, mais le rapport atteint encore 1 à 3 fin août ($3700 sur Air France pour un voyage du 18 août au 2 septembre contre toujours $1377 pour La Compagnie). La nouvelle venue ne promet pas le même confort que ses prestigieuses concurrentes, “mais le meilleur rapport qualité-prix en business” soulignait lors du lancement Peter Luethi, co-fondateur de l’entreprise. A ce prix ($1377) il faut aussi ajouter des frais de $300 pour changer le billet et de $500 pour annuler.
Enfin, pour les amoureux et tous ceux qui volent à deux, La Compagnie offre une réduction supplémentaire: l’aller-retour pour deux coûte $2014, soit $1007/personne pour un vol en business class! Ces tarifs sont valables (dans la limite des places disponibles) jusqu’au 30 août pour un trajet effectué avant le 15 septembre 2014.
Se régaler pour pas cher lors des Houston Restaurant Weeks
Depuis 2003, les Houston Restaurant Weeks reviennent chaque année charmer les papilles les plus exigeantes. Du 1er août au 1er septembre, les fins gourmets texans pourront profiter de réductions dans un grand nombre de restaurants français, italiens ou encore mexicains.
Les prix sont de 25$ le brunch, 20$ le midi, 35$ ou 45$ le soir. Il suffit de réserver dans l’un des établissements listés sur le site, en précisant que vous désirez le menu Houston Restaurant Weeks. D’autant que vous apporterez du même coup votre contribution à une bonne cause: chaque fois que vous mangez dans un restaurant, une partie des revenus est reversée à la Houston Food Bank. Un brunch permet ainsi de servir 12 repas à des personnes dans le besoin.
En 2013, l’événement avait permis de lever un chiffre record de 1.285.260$ pour l’organisation. A tout gourmand se sentant l’âme d’un philanthrope, voici une date à noter dans votre agenda!
Ces Français qui ont vu naître l'Amérique
Peu de personnes savent que des Francais ont été impliqués très tôt dans la construction de la jeune république americaine. Il y eut Lafayette bien sûr, mais pas uniquement.
Dans son dernier livre, rédigé en anglais, When the United States Spoke French, le chercheur et professeur d’histoire François de Furstenberg raconte comment cinq Français ont intégré la vie politique, économique et culturelle américaine dans les années 1790.
Le lecteur est invité à suivre le parcours de Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, le duc de La Rochefoucauld-Liancourt, Louis-Marie Vicomte de Noailles, Médéric-Louis-Élie Moreau de Saint-Méry et Constantin-François de Chasseboeuf, comte de Volney.
Leur point commun: ils idéalisaient alors la nouvelle république américaine, qui leur semblait propice à la réalisation des idéaux des Lumières. “Je les avais croisés durant mes recherches antérieures, je savais qu’ils avaient été à Philadelphie et j’étais curieux de savoir pourquoi et comment ils s’étaient retrouvés là”, raconte François de Furstenberg, qui enseigne l’Histoire à Johns Hopkins.
Lettres de recommandations à l’appui, les cinq hommes n’ont eut aucun mal à pénétrer au sein de la haute sphère américaine dès leur arrivée à Philadelphie. C’est ainsi que Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord devint très vite, l’ami intime d’Alexander Hamilton.
Les deux hommes avaient pour habitude de dîner et d’échanger, lors de ces moments, leurs idées politiques et économiques. Ces mêmes lettres permirent au Vicomte de Noailles et au Duc de Liancourt de sympathiser avec les ministres de Georges Washington et plus largement, ouvrirent les portes des salons francophiles aux cinq hommes. Cette présence dans les lieux de rencontre de l’élite américaine de l’époque, cette socialisation privilégiée et ce flirt avec les hautes sphères du pouvoir participa à rendre l’exil des Français plus doux.
Les recherches de François de Furstenberg se sont déroulées en grande partie aux États-Unis mais pas seulement. “J’ai passé le gros de mon temps dans les archives à Philadelphie mais je suis également allé à Paris, dans les archives du Quai d’Orsay et aux Archives nationales”.
De père américain et de mère française, c’est aux États-Unis, lors de ses études à la Johns Hopkins University, qu’il découvre l’histoire américaine. Aujourd’hui spécialisé dans l’histoire culturelle, politique et intellectuelle des États-Unis aux XVIIIème et XIXème siècles, son dernier livre est sorti le 14 juillet dernier, date hautement symbolique.
Pourquoi les Américains utilisent des "middle name" ?
Si tous les Américains ne l’utilisent pas quotidiennement, certains placent l’initiale de leur “middle name” entre leur prénom et leur nom. D’où vient cet usage et pourquoi s’est-il répandu aux États-Unis ? C’est la question bête de la semaine.
Avant toute chose, éclaircissons un point : NON, le “middle name” américain n’équivaut pas au “deuxième prénom” français. Pour s’en rendre compte, il suffit de jeter un oeil à l’article de Bruce Feiler pour le New York Times, They’re Dropping Like Middle Initials.
Croyant déceler une baisse de l’usage des “middle” name aux États-Unis, l’auteur s’est penché sur l’origine de cette pratique en Amérique. “Le middle name est en fait une invention assez récente qui est apparue en Europe à la fin du Moyen Age. (…) Des études montrent que moins de 5% des Américains nés durant l’ère révolutionnaire en étaient dotés. En 1900, quasiment tous les Américains en avait un“, explique-t-il.
Si, à l’origine, le “middle name” est sans aucun doute un marqueur social déterminant, la pratique évolue rapidement. En effet, dès 1800, un quart des enfants recevaient des “middle name” directement inspirés des héros de la Révolution ou de complets inconnus. “Initialement, les middle name renvoyaient à la lignée familiale. Quand la pratique pris naissance dans l’aristocratie, les noms choisis étaient généralement ceux de la famille. Une étude des familles aristocratiques a montré que les trois quarts des “middle name” donnés dans les années 1700, et environ la moitié dans les années 1800, appartenaient à un membre de la famille”, indique le site Bob’s Genealogy Filing Cabinet.
Si plusieurs pistes existent quant à la naissance de la coutume, les raisons de sa propagation en revanche restent floues. D’un point de vue pratique, la population explose au XIXème siècle. La présence de plusieurs personnes dans le même voisinage portant les mêmes noms et prénoms devient alors monnaie courante. “Les gens avaient besoin d’autres noms pour se distinguer les uns des autres”, conclut Bruce Feiler.
Guillaume Gauthereau troque le rush pour la ruche
Il fût un temps pas si lointain où Guillaume Gauthereau était à la tête d’une entreprise de 150 personnes, a levé 45 millions de dollars et comptait cinq millions de clients. Totsy, start-up new-yorkaise de ventes groupées pour enfants, était considérée en 2012 par Forbes comme l’une des plus prometteuses aux Etats-Unis.
Totsy a depuis été vendue, et un long voyage dans l’Himalaya plus tard, Guillaume Gauthereau a décidé de voler dans une nouvelle direction : celle des abeilles.
Depuis le mois d’avril, celui qui a débuté sa carrière dans le marketing chez Nestlé, a été store manager chez Vuitton et directeur de la filiale américaine de Lalique se prépare à créer un « sanctuaire » pour les abeilles. Un endroit dédié à la protection, à la recherche, au tourisme et à la formation. Une manière de contribuer à la préservation de cette espèce menacée par les pesticides, le réchauffement de la planète et les maladies.
La passion des abeilles, Guillaume Gauthereau l’a attrapée il y a trois ans, lorsqu’il a installé des ruches dans sa maison de campagne, située dans l’Etat de New York. « J’avais lu des choses sur le rôle des abeilles, et j’ai pris des ruches avant tout pour augmenter la production de mes arbres fruitiers. Le miel, c’est la cerise sur le gâteau », explique le Français, qui se dit « fasciné par les colonies d’insectes », et a suivi, upstate, une formation d’apiculteur. Une manière de renouer avec sa formation initiale de vétérinaire à l’école de Maisons-Alfort.
Pour ce projet, il voit les choses en grand. Le New York Bee Santuary, installé dans les Catskills (le lieu n’est pas encore déterminé), ferait 30 hectares et compterait entre 30 et 40 ruches, rassemblées autour de vergers fruitiers. Chacun pourrait assister à des démonstrations, se former à la récolte du miel etc. Une boutique et des bungalows pour y passer la nuit sont également prévus : un projet inédit aux Etats-Unis, selon lui. L’ouverture est planifiée pour le printemps 2015.
« Notre place sur terre est liée à celle des abeilles, qui assurent la pollinisation. Si celles-ci deviennent plus rares, les récoltes des potagers et des arbres fruitiers vont peu à peu disparaître. Une part énorme de l’agriculture est liée à l’activité des abeilles », explique l’entrepreneur de 40 ans, qui a troqué sa chemise de CEO pour un short et des baskets. Et vit, la semaine, dans une colocation à Brooklyn.
Il a investi des fonds personnels dans l’affaire, et dégoté quelques sponsors, comme la société de macarons Mad Mac et Christofle, qui ont organisé, le 17 juillet à New York, un événement pour soutenir le projet.
La petite équipe de Guillaume Gauthereau va lancer prochainement une campagne fundraising, auprès d’entreprises et de particuliers, via Kickstarter. « Nous avons besoin d’au minimum 250.000 dollars pour acheter le terrain et ouvrir le sanctuaire », précise-t-il. Rien d’insurmontable. D’autant que les premiers retours sont positifs.
« Beaucoup d’entreprises sont sensibilisées à la question de la disparition des abeilles, comme Whole Foods, qui a fait une campagne sur ce sujet. »
Toutefois, Guillaume Gauthereau n’espère pas faire tout son miel de ce sanctuaire d’abeilles. Parallèlement, il poursuit un autre projet entrepreneurial, Blue Root Farm, dans le monde de l’agriculture bio et de proximité. Son objectif : créer une ligne de produits artisanaux (soupes, confitures…), et monter un café-boutique à Brooklyn. C’est sûr, on devrait aussi y dégotter quelques pots de miel.
L'ambassadeur de France à l'ONU privé d'appartement
L’ambassadeur de France à l’ONU est à la rue… ou presque. Le gouvernement français s’apprêtait à acheter un appartement dans une résidence à deux pas de l’ONU. Seulement voilà, l’immeuble est un “co-op”, qui exige l’accord de l’assemblée des co-propriétaires. Ceux-ci se sont révoltés et la vente est tombée à l’eau.
Le plan était pourtant parfait, un modèle pour les finances publiques: après avoir réussi à vendre l’ancienne résidence du 740 Park Avenue pour 70 millions de dollars en réalisant au passage une énorme plus-value, le gouvernement avait trouvé ce très bel appartement de River House, une tour Art Déco au bord de l’East River, sur la 52ème rue, pour à peine plus de 10 % du prix de la vente (7,8 millions de dollars). L’ambassadeur récupérait tout de même quelque 500 mètres carrés et de très beaux espaces de réception.
Seulement voilà, une voisine ne l’entendait pas de cette oreille. Elizabeth R. Kabler vit à l’étage de l’appartement convoité par la France (le 4ème) et cette fille de diplomates (Leonore Annenberg, sa mère, fut la chef du protocole de Ronald Reagan) n’aime apparemment pas les réceptions. Dans une lettre aux co-propriétaires révélée par le Wall Street Journal, elle s’insurgeait des “nombreux gardes du corps et des réceptions bruyantes” qui menaçaient forcément. Elle mettait également en garde contre “l’immunité diplomatique” et donc l’impossibilité de poursuivre ce nouveau voisin en cas de besoin…
Son activisme a convaincu l’assemblée des co-propriétaires, qui a décidé, en juin dernier, d’accepter la vente mais en l’assortissant de conditions très strictes. La limitation du nombre de gardes-du-corps n’était pas un problème, l’ambassadeur français n’en disposant pas. La question de l’immunité a également été écartée rapidement, les dégâts des eaux et autres nuisances de voisinage n’étant nullemment couverts par l’immunité.
En revanche, un obstacle insurmontable est resté: les co-propriétaires demandaient que le nombre de réceptions soit limité. “C’était évidemment impossible, puisque la raison d’être d’une résidence d’ambassadeur est justement d’organiser des réceptions!” confie une source proche du dossier.
Le gouvernement français a donc renoncé à l’achat et doit maintenant trouver un nouvel appartement. L’actuel ambassadeur, Gérard Araud, en partance pour Washington, a déjà libéré le 740 Park Avenue. François Delattre qui le remplacera, en provenance de Washington, devra donc probablement se trouver une appartement provisoire à son arrivée en septembre.
Le Paris de Toulouse-Lautrec au MoMA
Du 26 juillet 2014 au 22 mars 2015, le Museum of Modern Art rend hommage à l’artiste français Toulouse-Lautrec à travers l’exposition “The Paris of Toulouse-Lautrec : Prints and Posters”.
Plus d’une centaine de gravures et d’affiches issues en partie de la collection du MoMA permettront de retracer la vie du célèbre peintre de la Belle-Epoque.
Organisée en cinq parties thématiques, l’exposition fait la part belle au Paris fin-de-siècle. Danseurs, acteurs, chanteurs se côtoient aux tables des cabarets, créant une émulation que sublime Toulouse-Lautrec dans des lithographies comme “Divan Japonais” ou “Jane Avril” (1893). La femme – sous les traits d’une prostituée – est également au centre des œuvres présentées, souvent dans les coulisses d’un bordel (“Femme qui se lave, la toilette” 1896). Sans oublier le tableau “La Danse au Moulin-Rouge” (1897), commandé par les directeurs du célèbre cabaret et grâce auquel l’artiste sera reconnu comme le peintre de Montmartre et des fêtes parisiennes.
Le LA Times oublie la France sur une carte
Cherchez l’erreur. En regardant cette carte publiée sur le site du LA Times, n’y-a-t-il pas quelque chose qui manque? Un pays tout entier par exemple? Oui, le LA Times a purement et simplement oublié… la France.
La carte représente les différents crashes d’avion qui se sont produits ces derniers jours au Mali, en Ukraine et à Taiwan. La France apparait submergée par les eaux – et l’Afrique considérée comme un pays.
Cet “oubli” a suscité de nombreuses réactions amusées sur les réseaux sociaux.
Lu sur twitter:
Congrats to the LA Times who consider France as the new Atlantide, disappeared from the map (and Africa a country) pic.twitter.com/urobPBwnXJ
— Hear me roar (@Leia_chan) July 25, 2014
High tide in France – How the LA Times pictures Europe…
pic.twitter.com/cTxOIlilnv
— Anja Ettel (@AnjaEttel) July 25, 2014
On top of planes, France disappears on the @latimes crash map.pic.twitter.com/5xAMYdLNxj (and Africa is a "country" :|)
— Floppy Brown (@FloppyBrown) July 25, 2014
Le Monde y est aussi allé de son trait d’humour:
“Exit, donc, l’hexagone. Les Français ont intérêt à savoir nager. Et la Belgique de devenir le Finistère de l’Europe continentale. La Suisse, ravie, découvre l’océan : Genève a désormais les pieds dans l’Atlantique. Fini le ski, à nous les bains marins !”