Après avoir visité le Metropolitan Museum of Art à New York il y a quelques mois, c’est désormais au Museum of Fine Arts, à Houston, que l’exposition Charles Marville s’installe.
Jusqu’au 14 septembre, venez découvrir la capitale française comme vous ne l’avez jamais vue. Photographe officiel de la ville de Paris au XIXème siècle, Charles Marville a participé à l’élaboration du programme de modernisation lancé par Napoléon III en photographiant les quartiers de la ville. Ses photos témoignent de la modernisation de la capitale et de ses transformations.
Le Paris incroyable de Charles Marville à Houston
Un film sur le foot à l'Alliance française de LA
Dans le cadre de son Ciné Club, l’Alliance française de Los Angeles diffuse le film « Comme un lion » de Samuel Collardey le 15 juillet à 19h.
En ce mois de Coupe du Monde et pour rester dans l’ambiance, cette oeuvre de 2013 relate l’histoire d’un jeune prodige du ballon rond sénégalais. Mitri vit dans un petit village du Sénégal. Repéré par un agent, il part pour la France afin de réaliser son rêve de devenir une star du foot. Mais une fois sur place, la réalité est tout autre. Il rencontrera un entraîneur qui commencera par briser ses rêves, avant de l’aider à se perfectionner.
La Vienne en "mission Houston"
Signé il y a deux ans, le partenariat entre la Ville de Houston et le Département français de la Vienne est entré en phase opérationnelle.
Dans le cadre d’une mission confiée par la Vienne à la Chambre de commerce franco-américaine de Houston, cinq entreprises françaises de ce Département avaient rendez-vous avec des administrations, des partenaires ou clients potentiels à Houston la semaine dernière.
Les entreprises sont issues de secteurs variés. Le contingent était composé d’Euroslot (exploration et forage pétroliers), du fabriquant de capteurs et de plateformes de force de haute précision pour la biomécanique Sensix, de l’agence de communication Einden créatrice du logiciel de gestion de photothèque ePhoto, du développeur d’applications Java, Cloud et mobile Serli et du restaurateur poitevin 16 Carnot, désireux d’ouvrir un établissement à Houston.
« Ce sont des PME-PMI françaises démontrant la créativité et l’envie de se battre de notre pays », estime Jean-François Bonneté, qui a initié le projet à la Chambre de commerce franco-américaine de Houston.
Dans le cadre de ce contrat d’un montant de 15.000 euros, la Chambre de commerce franco-américaine de Houston avait pris une demi-douzaine de rendez-vous pour chacune des entreprises participantes. A la clé : une série de commandes.
Une seconde visite d’une délégation de cinq entreprises de la Vienne sélectionnée par le Département à l’issue d’un appel à projets passé au début de l’année est d’ores et déjà prévue. « Elle va avoir lieu à la fin de l’année ou au début de l’année prochaine », indique Jean-François Bonneté, qui ne veut pas s’arrêter là : « L’objectif est d’inscrire la relation entre le Département de la Vienne et la Ville de Houston sur le long terme. »
Par ailleurs, « d’autres régions françaises ont pris contact avec le représentant de la Chambre de commerce franco-américaine de Houston en France pour se renseigner sur ce partenariat pour le moment unique », signale-t-il.
Rendez-nous nos soldes !
Revue de presse. L’annonce par le gouvernement Valls de la réforme des soldes en 2015 ne laisse pas le Wall Street Journal indifférent.
Pour rappel: la loi du 18 juin 2014 “relative à l’artisanat, au commerce et aux très petites entreprises“ modifie le calendrier des soldes pour 2015 et porte la durée des deux périodes fixes à 6 semaines et supprime les périodes complémentaires de soldes (soldes flottants).
Le quotidien commence par exprimer sa sympathie envers les consommateurs, premières victimes de l’opération : « Comme tout le monde, les consommateurs français aiment faire de bonnes affaires. Mais désormais, les opportunités seront moins nombreuses, ce qui pourrait porter atteinte aux efforts du gouvernement d’augmenter les dépenses de consommation ».
Soucieux d’être pédagogique, le journal s’applique ensuite à expliquer le sombre fonctionnement des soldes chez les Gaulois : « En France, comme dans la plupart des pays européens, les dates des saisons des soldes sont régulées par le gouvernement et les magasins ne sont pas autorisés à faire des soldes en dehors de ces périodes ».
« La loi illustre le délicat exercice d’équilibre du gouvernement qui tente de relancer la croissance économique. Il tente de plaire aux commerçants, dont la majorité a trouvé les ventes de mi-saison coûteuses et difficiles à mettre en œuvre. Mais la mesure ne va pas plaire aux consommateurs » conclut le journal qui, décidément, semble bien pantois.
Euthanasie
« Est-ce que la France a atteint un point décisif dans la légalisation de l’euthanasie ? » s’interroge quant à lui le Christian Science Monitor.
Le site se penche sur le débat sur l’euthanasie en France, une pratique « qui reste contraire à la loi dans un pays où neuf personnes sur dix soutiennent sa légalisation », s’étonne-t-il.
Entre l’acquittement du docteur Bonnemaison et l’affaire Vincent Lambert, la controverse a été relancée et ne semble pas prête de s’arrêter. Plus vive que jamais, la discussion fait rage dans l’Hexagone : « Les deux cas Bonnemaison et Lambert mettent en évidence les limbes dans lesquelles la France se trouve actuellement sur le débat sur l’euthanasie, mettant dos à dos des groupes religieux, le gouvernement et des militants pro-euthanasie, malgré un large soutien pour la légalisation » conclut le CSM.
Roms
Le New York Times est revenu la semaine dernière sur le lynchage de Darius, le jeune homme de 17 ans à Pierrefite-sur-Seine. Ce fait divers “révèle les tensions qui existent au sein de la classe populaire française”, expliquent deux journalistes qui se sont rendus sur place.
“Les Roms, qui se sont installés dans des camps au bord des villes françaises les plus pauvres, se heurtent aux immigrants résidents de longue date qui ont du mal à s’intégrer eux-mêmes et ont vécu pauvres pendant des décennies dans les banlieues qui entourent Paris et d’autres villes”, analyse le journal.
Petit point historique ensuite avec quelques petites piqures de rappel : “Les Roms ont été rassemblés et envoyés dans des camps de la mort aux côtés des Juifs par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, rappelle le journal. Descendants des Indiens, les Roms sont restés pauvres et quasi nomades, vivant en marge de la société “.
Et au regard de la politique menée, la situation des Roms n’est pas prêt de s’arranger: “Alors que M. Hollande a fermement condamné l’attaque de Darius, son gouvernement socialiste a accéléré la destruction des camps de Roms, et certains critiques lui reprochent de légitimer un climat de haine contre les Roms attisé par l’extrême droite”.
Le Front National, grand gagnant des élections européennes, avait fondé une grande partie de sa campagne sur les dangers de l’immigration avec, en cible favorite, les Roms : “Le parti avait prévenu que le pays risquait d’être inondé par les Roms, et l’année dernière, son fondateur, Jean-Marie Le Pen, a qualifié la population Rom à Nice de “puante” et “urticante.”
Des danseurs martiniquais à Bryant Park pour fêter le 4 juillet
La compagnie de danse Christiane Emmanuel se produira à Bryant Park le 4 juillet dans le cadre du Booking Dance Festival Edinburgh.
Venue tout droit de Martinique, la compagnie est dirigée par la chorégraphe Christiane Emmanuel. Ancienne élève de Jean-Claude Zadith et Nicole Chirpaze, elle a fait ses classes à Paris et Cuba. Elle fonde le Groupe Experimental de Danse Contemporaine à la fin des années 1980. Très influencée par les rythmes martiniquais et caribéens, la compagnie de danse adopte un langage résolument contemporain.
Le 4 juillet, la compagnie Christiane Emmanuel ne se produira pas seule puisque huit autres compagnies de danses américaines feront le déplacement pour l’occasion.
Vincent Lindon à l'honneur au FIAF
Le French Institute Alliance Française de New York rend hommage à l’un des acteurs les plus populaires de l’Hexagone. Pendant le mois de juillet, venez (re)découvrir sept films dans lesquels Vincent Lindon occupe le haut de l’affiche.
Avec une carrière cinématographique impressionnante de plus de 30 ans – et après été avoir nominé cinq fois aux Césars sans en remporter – Vincent Lindon est devenu l’un des plus acteurs français les plus célèbres.
Les films seront projetés en français, sous-titrés en anglais et un verre de vin viendra clôturer chaque session. Toutes les projection accueilleront un invité.
Programme :
Le 1er juillet à 16h et 19h30 : Augustine, en présence de Marie-Thérèse Guirgis, la productrice.
Le 8 juillet, retrouvez Mademoiselle Chambon à 16h et Pater à 19h30 pour sa première new-yorkaise en compagnie de Florence Almozini, programmatrice française.
Le 15 juillet, à 16h et 19h30 Pour elle. Invité bientôt annoncé.
Le 22 juillet, à Welcome et à 19h30 Vendredi soir. Invité bientôt annoncé.
Le 29 juillet, à 16h et 19h30, Quelques heures de printemps. Invité bientôt annoncé.
Montréal-New York en 2 CV pour Bastille Day
“Ce sont de vieilles dames. Il faut faire attention“. Danielle Bellanger sait que pour aller loin il faut ménager sa monture. En l’occurrence… ses “Deux Chevaux”.
La Française de Montréal et son mari Michel Larouche ont mobilisé pas moins douze “Dedeuch” pour rallier la ville québécoise à New York. Ils s’arrêteront à Lake George et Piermont, avant de terminer leur course dans un parking près du Novotel de Times Square le 11 juillet. “Avoir de vieilles voitures françaises à New York, summum de la grande ville, c’est la Vieille Europe arrivant dans le Nouveau monde“, raconte la fan de 2 CV.
La petite équipe de 24 membres a financé elle-même le voyage. Les voitures ont été trouvées dans le réseau de Danielle Larouche et de son époux, qui répare des 2CV près de Montréal. Le duo organise également des balades de 2 CV tous les deux ans. « Ce n’est pas une voiture, c’est un art de vivre », raconte-t-elle.
Mais c’est la première fois que le couple monte une telle expédition. “Ce projet, c’est une aventure. On part en vacances, quoi!“, glisse Danielle Bellanger. A New York, ils rejoindront le cortège de 25 2CV et Velosolex qui s’élancera le 13 juillet à 10h de Grant’s Tomb (122eme rue et Riverside Drive) pour gagner la 60eme rue, où se tiendra le traditionnel Bastille Day du French Institute Alliance Française (FIAF). Après, ce sera le retour au Québec, en 2 CV bien entendu. “Les voitures vont tenir le coup, sourit Danielle Bellanger. On aura deux mécanos dans l’équipe“.
Quand la Coupe du monde s'invite dans les bureaux américains
Tous les jours, vers 11h30, le même rituel se produit dans la rédaction de French Morning. Le patron se lève de son bureau, traverse la salle vers la télévision et l’allume, à temps pour voir le premier match de coupe du monde de la journée. “Il y a des choses importantes dans la vie“, a-t-il dit une fois, toujours philosophe, en activant le téléviseur.
La coupe du monde au Brésil tombe mal pour les entreprises américaines: les matches se déroulent presque tous (à l’exception du week-end) pendant les heures de travail. Face à cette malheureuse coïncidence, les employeurs ont le choix: agir comme French Morning et faire profiter tout le bureau des joies du ballon rond, ou au contraire, serrer la vis en rappelant que le travail, c’est le travail.”Ça serait une folie pour un employeur d’autoriser ses employés à quitter le lieu de travail pour aller voir les matches“, s’exclame pour sa part le cadre d’une grande banque française à New York.
Baisse des volumes de transactions
Les partisans du « zéro foot » ont raison. Ballon rond et productivité ne font pas toujours bon ménage. Lors la coupe du monde 2010, le volume des transactions sur les marchés latino-américains a chuté de 77% en moyenne lorsque les équipes de la région jouaient. Des baisses de 63% en Afrique, 43% aux Etats-Unis et 38% en Europe ont également été enregistrées selon les données de la Banque centrale européenne. Toujours en 2010, la société Inside View a estimé à 121 millions de dollars la perte résultant des pauses-foot aux Etats-Unis (bien moins que les 7,3 milliards estimés pour le Royaume-Uni).
Et comme le rappelait un récent article du New York Times, la coupe du monde chamboule les relations entre les employés en créant des dissensions entre footeux et non-footeux, entre ceux qui sont “in” et les autres.
A la mission française auprès des Nations Unies, où le futur ex ambassadeur de France Gérard Araud ne cache pas son désamour du foot, on est en plein dedans. En témoigne ce tweet de l’Ambassadeur le jour de France-Suisse:
Match France/Suisse. L’ambassadeur erre seul dans les couloirs de la mission déserte…..
— Gérard Araud (@GerardAraud) June 20, 2014
Chez BGC Partners, une firme financière où travaille le très footeux franco-américain Charles Kergaravat, on a fait le choix de tout montrer. “Les écrans de télé dans la salle des marchés sont habituellement sur Bloomberg TV ou sur CNBC. Ces jours-ci, c’est la coupe du monde. Tout le monde se prend au jeu“, indique-t-il. Mais l’œil sur le foot n’est pas toujours désintéressé. “Certaines entreprises montent pendant la coupe du monde, notamment les entreprises des pays qui gagnent, ou les sociétés qui sont impliquées dans le coupe comme Adidas, Nike, Budweiser ou Visa“.
Pour Ariane Daguin, PDG de d’Artagnan, qui emploie 160 employés du monde entier, la coupe du monde n’est pas un casse-tête de productivité. “Personne ne suit les matches pendant les heures de travail. Ce n’est pas comme en Gascogne. Ici, tout le monde bosse, glisse cette native de Gascogne. Dans notre entrepôt, on ne peut même pas écouter les matches car les écouteurs sont interdits“.
Et pourtant, le magazine Forbes, voix du capitalisme américain, affirme dans une tribune parue mercredi que “la coupe du monde augmentera la productivité au travail“. L’auteur de l’article, le vice-PDG de la société Imagine Easy Solution, raconte qu’il a organisé un quizz de foot avec buffet brésilien à l’occasion du match Etats-Unis vs. Ghana. Cette modeste operation aurait permis de ressouder les liens dans ses équipes.
Il donne aussi trois conseils pour accroitre la productivité au bureau pendant la coupe du monde. Parmi eux: diffuser les matches en streaming dans une salle de conférence pour préserver la connexion Internet (si tout le monde les regarde sur leur ordinateur, le système risque de ramer). Finalement, on a tout compris à French Morning.
Fleur Pellerin sur Alstom: "tous les gouvernements protègent leurs secteurs stratégiques"
La Secrétaire d’Etat au commerce extérieur (entre autres) était à New York à l’occasion de la French Touch Conference, qui rassemblait des entrepreneurs français venus à la conquête de l’Amérique. Elle parle à French Morning de la “diplomatie économique”.
Fonzy, une comédie fertile
Être parent d’un enfant n’est pas chose aisée. Alors imaginez 533..! C’est le sujet de “Fonzy”, sorti à New York le 20 juin et sur les plateformes digitales.
Fils d’immigrés espagnols, Diego (José Garcia) est livreur de poissons dans la boutique familiale aux côtés de ses frères. En proie à des dettes, il mène un vie instable et sa maturité équivaut à celle d’un adolescent. De 1988 à 1990, Diego a participé à un protocole pour la recherche dans le centre de fertilité de la clinique Vallée. 693. C’est le nombre exact de dons de sperme à son actif. Quant à Fonzy, ce n’est autre que le pseudonyme qu’il avait alors utilisé. Jusqu’ici tout va bien. C’est lorsque Maître Chassaigne, lui apprend qu’il est père de 533 enfants dont 142 veulent connaître son identité, que les choses se compliquent.
Diego va alors partir à la rencontre de sa marmaille, incognito bien entendu. De la star de football, à l’enfant handicapé en passant par la jeune fille rebelle, il n’a pas fini d’avoir des surprises avec sa progéniture.
Isabelle Doval réalise ici le “remake” français du film canadien Starbuck sorti en 2011. Le concept de Ken Scott remporte décidément du succès puisqu’un remake américain a également vu le jour en 2013 : Delivery Man.
Dans “Fonzy”, José Garcia est très très drôle. Ca tombe bien, il occupe la majorité du temps à l’écran. Il interprète à merveille son personnage et fait une excellente imitation de l’homme de ménage espagnol. Tordant !
Raphaël François veut remettre Le Cirque en piste
« Il faut que je fasse vite mes preuves. Les gens ont de grandes attentes, et ne vont pas être patients. » Raphaël François, le nouveau chef du restaurant gastronomique Le Cirque, est attendu au tournant.
Référence de la cuisine française classique à New York, haut-lieu de l’establishment, la vénérable institution de la famille Maccioni a vu passer des chefs « stars » comme Daniel Boulud, Jacques Torrès, Pierre Schaedelin, Christophe Bellanca...
Mais depuis quelques temps, le chapiteau a perdu de ses couleurs. Le Cirque a été ébranlé par une critique assassine du New York Times fin 2012, qui a rétrogradé sa note de trois à une étoile. Dans la foulée, le chef Olivier Reginensi a rendu sa toque (et rejoint la Maison Kayser). Et le restaurant n’a jamais décroché d’étoile Michelin.
« Les clients, le Michelin et le New York Times. Ce sont mes trois priorités. J’ai la pression. Surtout qu’on est jamais à l’abri d’une erreur, et que ce n’est pas évident de s’insérer dans une institution qui a une si riche histoire », raconte le jeune chef barbu de 35 ans, chemise noire et lunettes à grosses montures, dont le teint clair et la blondeur font écho à ses origines belges.
Derrière les pianos du Cirque, Raphaël François n’a pas fait la révolution. Aidé par une vingtaine de personnes, il jongle, depuis le mois de mars, avec les classiques de la maison : paupiettes, sole meunière aux amandes, foie gras. Et a apporté quelques nouveautés – pigeon à la mandarine, Saint-Jacques à la betterave et au parmesan, langoustines cuites dans un bouillon de pomme. « Culturellement, je suis influencé par le nord de la France et la Belgique. Là-bas, on utilise beaucoup le mélange fruits – protéines. J’y suis très sensible. »
Dans la famille de Raphaël François, chacun cuisine, mais personne n’a fait carrière dans la restauration. Lui y est venu un peu par hasard, à 16 ans. La révélation pris la forme d’une julienne de légumes. « J’étais au lycée en section scientifique, et je faisais la plonge au Giverny, à Tournai, pour me faire de l’argent de poche. Au bout de trois jours, on m’a demandé de l’aide pour une julienne. J’ai tout de suite adoré l’univers, la relation avec les gens, le travail d’équipe. J’ai continué. »
Ses pas l’ont mené dans une école hôtelière, puis au restaurant de l’hôtel George V, au Crillon, ou encore à L’Aubergade, un restaurant étoilé près d’Agen. Avant d’arriver à New York, il était chef exécutif du restaurant deux étoiles d’Hélène Darroze à Londres, The Connaught.
Ce solide CV devrait aider Raphaël François à relever les défis du Cirque : assurer la qualité malgré le débit (150 couverts par service, un chiffre élevé pour un restaurant gastronomique), dompter des clients “très exigeants et qui n’hésitent pas à dire quand ils ne sont pas contents”, tout en apportant une fraicheur. Trouvera-t-il le chemin de la piste aux étoiles ?
Jean-Baptiste Rudelle: "la R&D coûte 2 fois moins cher en France"
Le co-fondateur de Criteo, la star des startups française, parle de son rôle de modèle pour les entrepreneurs français et des atouts français dans le monde de “l’ad tech”: