Accueil Blog Page 1202

Marc Levy: "La coupe du monde, un moment précieux"

Marc Levy ne le cache pas: “Je ne suis pas du tout le foot“. L’écrivain, actuellement en tournée aux Etats-Unis pour promouvoir son dernier roman Replayn’a pas suivi les matches des Bleus. Mais les lendemains de matches oui, avec les résultats et les commentaires.
Cela ne veut pas dire que l’auteur, qui vit à New York, n’a pas d’opinion sur la coupe du monde. Il y a quatre ans, en pleine compétition, il avait déclaré dans un tchat avec L’Express.fr qu’il “n’en (pouvait) plus du football“.
Mais aujourd’hui, il a changé d’avis car les temps ont changé aussi. “On sort d’une période de crise qui a éprouvé la société. Nous sommes dans une époque de l’ultra-violence, d’essoufflement des projets démocratiques. Dans ce contexte, le sport prend une autre dimension. Hier, l’importance médiatique autour des coupes du monde était exagérée. Aujourd’hui, ce sont des moments d’unité rares et précieux“. 
Des moments rares, précieux et un peu bruyants aussi. “J’habite près d’un sports bar. Je peux vous dire que j’étais au courant que les Etats-Unis jouaient dimanche, plaisante-t-il. Cette dimension de trait d’union et de compétition joyeuse est passionnante (…) C’est magique que quelque chose réussisse à nous rassembler, à faire en sorte qu’on oublie les téléphones portables.
Un pronostic? “La France va aller en finale, glisse-t-il. Mais je ne vais pas aller plus loin pour ne pas leur porter la poisse“.
 

Grèves, xénophobie: les Bleus pour sauver la France?

0

(Revue de presse) La France est gangrenée par les grèves, elle laisse l’antisémitisme occuper le devant de la scène. Et si le football était notre seul salut?
Le New York Times se penche sur la grève de la SNCF, qu’il voit comme un test pour François Hollande. « C‘est un moment de vérité pour le gouvernement assiégé de François Hollande ». Dans ces temps chaotiques, le journal analyse: « M. Hollande tente de persuader son Parti Socialiste d’adopter une politique plus centriste, avec des taxes, des coupes budgétaires et plus de concurrence sur les marchés ». Mais le journal rappelle que là où le président rencontre le plus de difficultés, c’est dans son propre camp, particulièrement auprès des syndicats.
Le journal rapporte que les syndicats s’inquiètent de voir le gouvernement privatiser la SNCF, ce qui mettrait en danger les avantages des employés, parmi lesquels « le départ à la retraite des conducteurs aussi tôt qu’à 50 ans, et les autres aussi tôt qu’à 55 ans ». Avant de rappeler cette histoire qui en a fait rire (jaune) plus d’un : « après avoir reçu de mauvaises mesures de la part de RFF, la SNCF a dépensé 3 millions d’euros dans des trains trop larges pour à peu près 15% des gares de France ».
Tous avec les Bleus
Un peu de foot pour continuer, car en ces temps de Coupe du Monde, difficile d’y échapper. Toujours dans le New York Times, la journaliste Lindsay Sarah Krasnoff s’intéresse à la relation difficile entre l’équipe de France et son public : « De nombreuses choses ont changé depuis 2010. Pourtant, aujourd’hui les Français hésitent à ré-adopter leur équipe de foot ». En avril dernier, un sondage effectué par France Football révélait que seulement 20% des Français avaient une opinion positive des Bleus.
La journaliste explique ce ressentiment par la culture française : « Le désenchantement lié à l’équipe de France est une réaction violente anti-football elle-même alimentée par le comportement de certains joueurs et amplifiée par les médias ». A ces raisons s’ajoutent les défaites des Bleus depuis 2002, la situation socio- économique du pays ainsi que les salaires des joueurs. « Les salaires très élevés gagnés par les jeunes joueurs est et restera un contentieux dans un pays fier de sa tradition socialiste ».
La journaliste conclut finalement que cette réaction anti-football est « plus une réaction culturelle à la commercialisation du sport, c’est une réponse face à certains joueurs qui agissent de façon non-française et aux médias qui les scrutent dans leurs moindres mouvements ». En cas de victoire au Brésil, les Bleus n’auront sans doute plus de soucis à se faire quant à leur cote de popularité.
Antisémitisme en France
A cause de la montée des actes antisémites en France, de nombreux juifs quittent le pays pour s’installer en Israël. C’est le constat dressé par le New York Times. Même si les chiffres restent encore relativement faibles: « 1407 juifs sur les 500 000 présents en France sont partis durant le premier trimestre 2014, c’est quatre fois plus que l’année dernière à la même époque » rappelle le journal.
Certes, l’économie israélienne semble attractive pour la nouvelle génération, mais la raison principale reste l’anti sémitisme qui semble se banaliser avec la monté au pouvoir de partis d’extrême droite en France et ailleurs en Europe. Une progression « qui a créé un environnement moins chaleureux, voire même hostile pour les juifs ainsi que d’autres minorités ». Les statistiques sont révélatrices du malaise : depuis la création de l’Etat d’Israël en 1948, c’est la première fois qu’il y a plus d’émigrés juifs français que d’émigrés juifs américains. 
Le Washington Post s’inquiète lui aussi de l’antisémitisme de plus en plus présent en France. Le journal explique : « les leaders juifs parlent de la montée d’un nouvel antisémitisme basé sur la convergence de quatre facteurs principaux : le bouc émissaire classique en temps économiques difficiles, la force grandissante des nationalistes d’extrême droite, une relation qui s’est détériorée entre les Afro-Européens et les Juifs, et les tensions avec la population musulmane d’Europe qui augmente rapidement ». Avant de rappeler qu’en Europe de l’ouest, la France est le pays dans lequel le climat s’est le plus vite dégradé pour la communauté juive.

Elections à l'AFE: la droite domine, un recours envisagé

La droite a dominé, samedi, l’élection des conseillers à l’Assemblée des Français de l’étranger (AFE) aux Etats-Unis.

La liste “Union Républicaine pour les Etats-Unis”, emmenée par Jean-Claude Zambelli, obtient quatre sièges sur sept possibles. La liste “Français d’Amérique Ensemble” (FAE) de Damien Regnard en décroche deux et la liste de gauche “Français de gauche des Etats-Unis” d’Annie Michel, un.
Selon les résultats officiels, sont élus:
– Jean-Claude Zambelli, Marie-Carole de la Cruz, Olivier Piton et Nicole Hirsh (droite)
– Damien Regnard et Eglantine Clocher (FAE)
– Annie Michel (gauche)
Recours
Ces candidats ont été élus parmi et par les conseillers consulaires eux-mêmes élus par les électeurs français des Etats-Unis fin mai. Ils siègeront dans une Assemblée des Français de l’Etranger resserrée, dont la taille a été réduite à 90 conseillers par la réforme de la représentation des Français de l’étranger de 2013. Les conseillers ont un rôle purement consultatif. Ils participeront à l’élection des sénateurs des Français de l’étranger.
Damien Regnard, tête-de-liste de “Français d’Amérique Ensemble” a indiqué que son équipe allait déposer “mardi ou mercredi” un recours auprès du Conseil d’Etat en raison de non-respect des règles de vote anticipé à San Francisco. 
 

L'Agora Gallery expose des artistes contemporains français

La nouvelle exposition de l’Agora Gallery présentera des oeuvres d’artistes français contemporains à partir du 5 juillet.
Avec des oeuvres intrigantes, complexes et pleine d’originalité, l’Agora Gallery montre encore une fois que l’on peut compter sur les artistes français dans la mise en avant de l’art contemporain. Parmi ces derniers, on retrouvera Véronique Pagès, Micheline Belin, Laurent Bardou ou encore Gerard Renvez. Venez découvrir ces travaux vibrants jusqu’au 25 juillet.
 

Pourquoi les adresses sont différentes dans le Queens?

Donnez une adresse à Manhattan à un Français, et il pourra y arriver facilement sans utiliser Google Maps. Mais dans le Queens, où les adresses s’écrivent 23-40 30th St par exemple, c’est une autre paire de manches. Pourquoi cette écriture peu parlante? C’est la question bête de la semaine.
Il faut remonter à la fin du XIXème siècle pour obtenir la réponse. Le Queens, vaste étendue rurale aux portes de Manhattan, est alors composé d’une multitude de villages – une soixantaine au total – reliés par plusieurs grandes routes. Ces villages, vous les connaissez: ils s’appellent Elmhurst, Woodside, Maspeth, Sunnyside, Astoria… Tous sont devenus des quartiers depuis.
Après le rattachement du Queens à la ville de New York, en 1898, un changement d’écriture des adresses est devenu nécessaire. Certaines rues dans différents villages partageaient le même nom (il y avait notamment 10 “Main Street” et 30 “George Washington St”…), un casse-tête pour les services de secours et les facteurs. L’ingénieur en chef du Bureau de la Topographie du Queens, un certain Charles U. Powell, s’est mis au travail pour imaginer un système de numérotation qui permettrait de se retrouver facilement dans ce “borough” gigantesque. Il lui a fallu 17 ans pour concevoir et mettre en place ce système, qui a fait face à de nombreuses résistances de la part d’habitants attachés à l’identité de leur rue. Il s’est progressivement imposé.
Une fois pour toutes: contrairement à Manhattan, les rues vont du nord au sud, et les avenues d’est en ouest. La 1ere avenue est la plus au nord, et la 1ere rue, la plus à l’ouest. Si vous êtes donc au croisement de la 1ere Avenue et de la 1ere rue, vous êtes donc dans le nord-ouest du “borough“. Le Queens compte 271 rues et 162 avenues, donc si vous êtes au carrefour de la 271eme rue et de la 162eme avenue, vous êtes dans le sud-est. Les adresses sont écrites au format: xx-xx xx St. La première paire de chiffres renvoie au numéro de l’habitation, la seconde à l’avenue inférieure et la troisième au numéro de la rue ou de l’avenue. Exemple: le numéro 14 sur la 23eme rue, entre la 30eme et 31eme avenue s’écrira: 14-30 23rd St. De nouvelles artères sont venues s’ajouter entre les avenues : elles ont été baptisées « Road » ou « Drive », ce qui explique l’existence de 30th Avenue, 30th Drive et 30th Road par exemple. Pour l’historien du Queens Vincent Seyfried, ce système est en réalité très simple. “Le Queens a le système le plus simple de tous les boroughs. C’est un motif facile à lire, avance-t-il. La confusion vient du snobisme de gens de Manhattan qui ne passent pas assez de temps dans le Queens“.
 

Jacky Ido: révélé par Tarantino, adoubé par Besson

On a fait sensation dans les rues de New York“. Jacky Ido ne peut pas s’empêcher de sourire en se souvenant du tournage de « Taxi Brooklyn ». L’acteur français occupe l’un des rôles principaux de cette série librement inspirée du film “Taxi” de Luc Besson, qui fera ses débuts sur NBC le 25 juin : un « cab driver » nommé Leo Romba. Certaines scènes ont été tournées avec un “top driver”, un conducteur placé sur le toit de la voiture pour permettre aux acteurs de se concentrer sur leur jeu. “C’est la première fois que je voyais ça! ”
C’est aussi la première fois que Jacky Ido joue un rôle principal dans une série diffusée sur un grand network américain. Produite par EuropaCorp de Luc Besson et diffusée en France sur TF1, “Taxi Brooklyn” marque une nouvelle étape dans l’ascension de cet acteur d’origine béninoise qui vit à Paris, révélé aux Etats-Unis grâce à son rôle dans  « Inglourious Basterds » de Quentin Tarantino. Il y joue un projectionniste qui met le feu à un cinéma rempli de nazis. “La télévision est l’endroit où l’on peut explorer des personnages complexes, montrer notre palette“, avance-t-il.
Dans “Taxi Brooklyn”, Leo Romba, un chauffeur bonhomme et attachant de Marseille, accepte de travailler avec la détective rebelle Cat Sullivan jouée par Chyler Leigh (Grey’s Anatomy). Ils passent un pacte: il lui sert de chauffeur, elle ferme les yeux sur son statut de clandestin aux Etats-Unis. “Certains projets de films sont limite thérapeutiques. A l’époque du tournage de Taxi Brooklyn, je venais de vivre une séparation. Je m’identifiais avec Leo Romba, un personnage qui embrasse une seconde chance“.
Luc Besson, producteur de la série, est venu le chercher. Il lui a été présenté par un ami à Cannes. “A l’époque, je ne savais pas qu’il s’agissait d’une adaptation de Taxi, confie-t-il. Il a été cash: il m’a dit que j’allais devoir convaincre. Lors de notre rencontre, le courant est bien passé. On s’est mis à délirer. Il a un œil bienveillant sur ma carrière.
Ça tombe bien. Jacky Ido cherchait une excuse pour revenir à New York, où il venait de tourner – “J’avais faim de New York“. Les douze épisodes de la première saison ont été filmés à Brooklyn, dans le Queens et sur Roosevelt Island (pour les scènes censées être sur Rikers Island). “Taxi Brooklyn” est la première série étrangère à avoir bénéficié d’un crédit de tournage de l’Etat de New York (environ 5 millions de dollars, confiait un producteur au New York Times en octobre).
Jacky Ido a du faire un stage de conduite de précision pour se former. Il a travaillé son anglais avec le coach de Jean Dujardin, Tanya Blumstein.  “C’était difficile. Nous tournions 14h par jour. Mais on rigolait tout le temps. On a créé, déliré ensemble, improvisé. L’intelligence du réalisateur français a été d’introduire de la liberté et de la légèreté dans cette grande machine de tournage américaine.
En France, la série a rassemblé entre 4 et 5 millions de téléspectateurs. Un score “très honorable” pour Jacky Ido, même si une partie de la presse l’a jugé “décevant“. “Nous avons conquis un public qui à la base n’est pas un public de TF1, un public qui télécharge plus de programmes. C’est un gage de qualité de la série“, estime-t-il.
Il espère que son rôle lui permettra de percer aux Etats-Unis. Longs et courts-métrages: il est ouvert à tout. “Si la proposition est intéressante. Je le ferai“. Et si, à la clé, il peut revenir à New York, c’est encore mieux. “C’est la ville où je me peux me retrouver au carrefour de chaque rue entre ma France, mon Afrique et ma culture anglo-saxonne“.

A New York, des charentaises de luxe "made in France"

0

Le chausson de papi n’est pas condamné à mort. Au contraire, il renait de ses cendres. “Notre projet, c’est de revisiter la charentaise, et de lui donner un aspect moderne”, affirme Jean-Luc Bouriau, patron de la société La Charentaise Tcha, qui débute la commercialisation, aux Etats-Unis, de ce fameux chausson. Des pantoufles inventées dans la province de Charente au XVIIème siècle, surnommées “les silencieuses”, car elles permettaient de se mouvoir sans bruit sur le parquet.
Les “Tcha” sont bien différentes de leurs ancêtres. Objets artisanaux de luxe (à partir de 150$ la paire, quand même), elles sont issues du travail de designers réunis par l’Institut Francais de la Mode. En partenariat avec des fabricants, ces créateurs ont imaginé une collection avec de belles matières (cuir, lin, peau d’agneau…), qui a emporté beaucoup de succès.
De là est née en 2008 l’entreprise La Charentaise Tcha, qui vend ses chaussons colorés dans 80 points de vente en France, en Italie et au Japon. Des produits “made in France”, cousus dans les Charentes, sur des machines qui datent des années 50. Cet été, la charentaise Tcha va aussi lancer une collection qui ressemble à des espadrilles et que l’on peut porter à l’extérieur.
“Aux Etats-Unis, nous vendons en ligne depuis le mois de mars, et nous sommes présents dans un magasin à Brooklyn, Dry Goods. Et ça marche bien ! On se place en particulier sur le marché du cadeau, pour hommes, femmes et enfants”, affirme Antoine Bourgeois, un Français de New York qui travaille chez L’Oréal, et dédie ses soirées et ses week-ends à promouvoir la charentaise. Sa cible : les familles new-yorkaises relativement aisées et branchées, mais aussi les personnes âgées, intéressées par des semelles ultra-confortables.
Passionné par les méthodes de fabrication de ce chausson, qu’il considère comme un produit d’excellence française, cet ingénieur espère aussi “aider les Charentes, une région qui souffre” – une contrée dont il n’est pas originaire mais dont il a épousé la cause. Finalement, ce qui me plait, c’est de mettre en avant l’histoire et la qualité d’un produit français, de jouer sur un côté vintage, et qui peut être fun, dit-il en désignant ses pieds, chaussés de charentaises bling-bling, entièrement argentées. C’est un modèle un peu particulier !”

10 activités gratuites pour les enfants cet été à New York

Le camp d’été était trop cher ou complet? Pas de panique. New York regorge d’activités gratuites pour bout d’chou. En voici dix pour passer l’été tranquille.
1. Les ateliers découverte de la New York Public Library
Bricolage, origami, robotique ou encore “ology’” (un mélange de différentes disciplines scientifiques): les  bibliothèques de la ville de New York disposent de ressources originales. Rendez-vous ici pour une liste exhaustive.
2. Lectures estivales
La NYPL toujours organise son “Summer reading challenge’’ , une liste de lectures estivales pour tous les âges avec divers prix à gagner en fin de parcours pour les plus courageux.
3. Try this ! au MoMA
Par un jour pluvieux, réfugiez-vous au MoMA dans un atelier-famille intitulé “Try this’’. Les enfants dès 5 ans, en compagnie de leurs parents, pourront s’initier aux techniques de l’art moderne. Why not ? Dates et horaires sur ici
4. Un tour au musée
Tous les musées de la ville de New York proposent des créneaux horaires gratuits, avec souvent, des visites organisées pour les plus jeunes. Tout est ici
5. Global Family Day à Central Park
Présenté par ‘’Summerstage kids’’, la journée du dimanche 6 juillet à Central Park (de 3 :00 à 7 :00 pm) sera, sans aucun doute, à ne pas rater. L’après-midi sera remplie de spectacles et d’ateliers ludiques à destination du jeune public (cirque, maquillage etc…) avec, entre autre, la participation des ‘’Okee Dokee Brothers’’ du ‘’ Hybrid Movement Company”, de “ Shaun Parker & Company’’ et du ‘’National Dance Institute’’.
6. Un film en plein air
Préparez pique-niques et couvertures, et amenez vos enfants voir leurs films favoris à l’extérieur, sous les étoiles, sur un écran géant. La liste des projections gratuites est disponible ici. Et comme le Departement des Parcs fait bien les choses, les films pour enfants sont indiqués en orange.
On vous recommande aussi le festival de films de South Street Seaport. Des films en famille, tous les mercredis soirs à 8pm jusqu’au 30 août. Infos ici
7. Concert à Madison Square Park
Pour les petits mélomanes, c’est à Madison Square Park que ça se passe. Rendez-vous tous les mardis et jeudis matins à 10:30 am, jusqu’au 7 août, pour une série de concerts gratuits. Le parc se situe dans le ‘’Flatiron District’’ au niveau de la 23e rue entre  Madison  et la 5e Avenue. Plus d’infos ici
8. Cours de natation
L’été, la saison idéale pour se jeter à l’eau. Le Departement des Parcs propose plusieurs activites sportives, dont des cours de natation gratuits pour les enfants à partir de 18  mois. Dès 6 ans, les jeunes nageurs les plus aguerris (capable de nager 50m) pourront même s’essayer à la compétition en participant à une ‘’swim team’’. Plusieurs sessions sont offertes. S’inscrire ici ou par téléphone au (718) 760-6969.
9. Balade en kayak à Brooklyn
Rendez-vous à la Brooklyn Bridge Park Boathouse pour partir en balade en kayak avec une vue imprenable sur Manhattan et la Statue de la Liberté. L’activité se déroule tous les jeudis (5:30- 6 :45pm) et samedis (10 am-3pm), du 7 juin au 31 août, au Brooklyn Bridge Park (entre Pier 1 et 2). Les équipements sont fournis. Ainsi que quelques instructions. Un seul hic : venir tôt car l’activité a du succès.
10. Jongler à Bryant Park
Toujours bon pour impressionner les amis et les grands-parents: les cours de jonglerie à Bryant Park. Plusieurs sessions par semaine sont offertes. Se renseigner ici
 
 
 

Jay-Z et Beyoncé en concert à Pasadena

Ce sont probablement les deux plus grosses stars du moment. Jay-Z et Beyoncé seront à Los Angeles les 2 et 3 août pour leur tournée “On the Run”, qui promet deux soirées complètement folles!
Les deux tourtereaux ont été bien occupés jusqu’en début d’année avec leurs tournées respectives, « Magna Carta Holy Grail » pour Monsieur et « Mrs Carter Show » pour Madame. Les deux bêtes de scène remettent ça. Et ensemble cette fois!
“On the Run Tour” sera probablement l’occasion d’entendre les chanteurs reprendre leur plus célèbres morceaux, avec « Crazy in love », « Upgrade U » et le plus récent « Drunk in love ». La tournée s’achèvera le 13 septembre à Paris.

Avicii fait trembler le Barclays Center

Le célèbre DJ sera en concert au Barclays Center de Brooklyn le 28 juin pour son « True Tour ».
C’est en 2010 avec le titre « Seek Bromance » qu’Avicii, le DJ suédois de 24 ans, s’est fait connaître. A l’époque, il venait de souffler sa vingtième bougie. Mais c’est grâce à un autre tube que le public se rappelle de son nom : avec « Wake me up », Tim Berling, de son vrai nom, a su faire danser une bonne partie de la planète. Le titre a même été le single le plus rapidement vendu en Angleterre, derrière l’immense succès de Robin Thicke « Blurred Lines ».
Ayant participé à plusieurs reprises à l’Ultra Music Festival de Miami, et s’étant produit dans des salles mythiques comme le Radio City Musical Hall de New York, Avicii est incontestablement chez lui aux Etats-Unis.
 

11 lieux pour voir les Bleus jouer à Los Angeles

Pour ne pas perdre une miette des matchs que joueront les Bleus lors de la Coupe du Monde du Brésil qui démarre jeudi, plusieurs bars, restaurants et salles de Los Angeles vous proposent de suivre l’événement en direct.

La Brasserie française The Little Next Door sur Third Street retransmettra tous les matchs entre 11h et 15h : c’est à dire ceux qui opposeront les Bleus au Honduras le dimanche 15 juin à midi, à la Suisse le vendredi 20 juin à la même heure, et l’Equateur le mercredi 25 juin à 13h. 8142 West 3rd Street. Tél: (323) 951-1010. Ouvert de 11h à 23h du lundi au jeudi (à partir de 9h du vendredi au dimanche).

Pour les Belges et autres francophones, le bar spécialisé dans les bières belges « Little Bear » à Downtown Los Angeles, vous invite à suivre les matchs du Mondial à partir du 12 juin. Doté de trois écrans, le bar proposera notamment des pâtisseries et du café aux participants. En plus des matchs de l’équipe de France, à ne pas manquer pour nos amis d’origine belges et algériens : le match Belgique-Algérie le 17 juin à partir de 9h du matin ! 1855 Industrial Street, Downtown. Tél : (213) 622-8100. Contact : [email protected] Diffusions spéciales à partir de 9h : du 13 au 22 juin et le dimanche 13 juillet. A partir de 10h : du 23 au 26 juin, du 28 juin au 1er juillet, le 5 juillet, du 8 au 9 juillet, et le 12 juillet.

De nombreux bars anglophones diffuseront également les matchs de l’équipe de France. Bien que l’Irlande ne soit pas parvenue à se qualifier pour le Mondial, le bar irlandais Rock and Reilly sur Sunset a décidé de la jouer fair-play : il diffusera tous les matchs à partir de 11h le matin. Le coup d’envoi sera donné jeudi à 13h avec le match d’ouverture Brésil-Croatie. Des boissons et plats seront proposés spécialement à chaque match pour célébrer le Mondial. Bonne ambiance garantie ! 8911 Sunset Boulevard, West Hollywood. Tél: (310) 360-1400. Ouvert tous les jours de 8h à 2h du matin. 

Vous pourrez aussi encourager les Bleus au Barney’s Beanery à Westwood, qui ouvrira plus tôt pour diffuser les matchs dans leur intégralité (1037 Broxton Avenue. Tél: (310) 443-7777),  au 1739 Public House, (1739 North Vermont Avenue, (323) 663-1739), au T. Boyles’s Tavern pour les habitants de Pasadena (37 North Catalina Avenue, Pasadena. Tél: (626) 578-0957), à la Cabo Cantina (11829 Wilshire Boulevard. Tél: (310) 312-5840), au Good Microbrew and Pub à Silverlake (3725 West Sunset Boulevard. Tél: (323) 660-3645) ou encore au Qs billiard Club (11835 Wilshire Boulevard. Tél: (310) 477-7550).

Mis à part les bars et autres restaurants, vous aurez aussi la possibilité de suivre les matchs sur grand écran au Paley Center de Beverly Hills. L’entrée est gratuite et ouverte à tous. Les trois premiers matchs des Bleus y seront notamment diffusés. 465 North Beverly Drive, Beverly Hills. Tél: (310) 786 1091 ou (310) 786 1000. L’intégralité du programme et des horaires des matchs est consultable ici.

Enfin, pour faire une pause et vous aérer la tête et les jambes, sachez que le musée LACMA de Los Angeles propose jusqu’au 20 juillet une exposition consacrée au foot intitulée “Fútbol the beautiful Game”. Les oeuvres de 30 artistes (vidéastes, photographes, peintres et sculpteurs) y sont exposées.

A noter: une vidéo-portrait consacrée à Zinedine Zidane par l’artiste français Philippe Parrenos et l’Ecossais Douglas Gordon. Le prix de l’exposition est compris dans celui de l’entrée au musée  qui est de 15$ (10 pour les étudiants et seniors, gratuit pour les moins de 17 ans). 5905 Wilshire Boulevard.Tél: (323) 857-6000. Ouvert tous les jours (sauf le mercredi), de 11h à 17h (jusqu’à 20h le vendredi et de 10h à 19h le week-end).

Le Club des Bleus à New York: 7 endroits pour voir les matches

On y est! On sort ses drapeaux, ses écharpes, son chauvinisme et sa mauvaise foi, la Coupe du Monde est de retour. Et tout le  monde le sait: New York est le meilleur endroit de la planète pour regarder la compétition. Les 32 équipes représentées ont suffisamment de ressortissants vivant dans la Grosse pomme pour remplir un stade (ou deux ou dix…). Tout à sa mission d’utilité publique, French Morning a décidé de contribuer au redressement national en prenant en main les supporters des Bleus.
Nous nous sommes associés à SportChaser, site internet de sélection de bars sportifs (créé par deux Françaises malines) pour lancer “le Club des Bleus à New York”: une sélection de sept bars et restos répartis dans New York pour permettre aux supporters tricolores de hurler entre soi. L’entrée est gratuite et ces endroits vendront même une célèbre boisson anisée pendant toute laRIcardBouteilleDrinkResponsibly2 durée des matches.
Les matches de l’équipe de France:
Dimanche 15 juin, 3 pm: France-Honduras
Vendredi 20 juin, 3 pm: Suisse-France
Mercredi 25 juin, 4 pm: Equateur-France

Les bars et restaurants accueillant le Club des Bleus à New York:
Manhattan:
Financial District: Beckett’s 81 Pearl St: 24 écrans de télévision pour ce “sports bar” typique, avec le détail qui fait la différence: une terrasse pour regarder le match en plein air (et assis).
Union Square: Nevada Smith 100 Third Avenue: La Mecque du foot (celui qui se joue avec les pieds) à New York. Le QG des fans de l’OM pendant la saison de championnat.
Midtown West: Legends 6 W 33rd St: l’autre référence du foot (ici se sont les supporters du PSG qui se réunissent).
Upper East Side: Opia  130 E 57th St: Frédérick, le patron, est passionné de foot et ça se voit. Une ambiance plus “lounge” que “sport bar”, parfaite pour le quartier.
Upper West Side: Blondies 212 W 79th St. La souriante patronne, Patty, vous attend avec les drapeaux des Bleus, un grand écran et de longues tables pour les groupes de supporters.
Brooklyn:
Williamsburg: Roebling Sporting Club 225 North 8th St Sports bar “low key” qui prend les couleurs bleu blanc rouge le temps des matches de la France.
Carroll Gardens: Provence en Boite 263 Smith St Jean-Jacques, le patron, installe un grand écran derrière son bar pour la Coupe du Monde. Pour une ambiance 100% Frenchie…
Retrouvez plus de bars pour regarder tous les matches sur :SportChaser_300