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Jay-Z et Beyoncé enflamment le Texas

Ce sont probablement les deux plus grosses stars du moment. Jay-Z et Beyoncé seront  le 18 juillet à Houston et le 22 juillet à Dallas pour leur tournée “On the Run”, qui promet deux soirées complètement folles!
Les deux tourtereaux ont été bien occupés jusqu’en début d’année avec leurs tournées respectives, « Magna Carta Holy Grail » pour Monsieur et « Mrs Carter Show » pour Madame. Les deux bêtes de scène remettent ça. Et ensemble cette fois!
“On the Run Tour” sera probablement l’occasion d’entendre les chanteurs reprendre leur plus célèbres morceaux, avec « Crazy in love », « Upgrade U » et le plus récent « Drunk in love ». La tournée s’achèvera le 13 septembre à Paris.

"Jules & Jim": un bout de Truffaut à Austin

L’Austin Film Society diffusera l’un des chefs-d’oeuvre de François Truffaut, « Jules et Jim », le 19 juin au Marchesa Hall & Theater.
On se rappelle tous de Jeanne Moreau entonnant le magnifique morceau « Le tourbillon de la vie », certainement l’un des moments les plus marquants de « Jules et Jim », un film de 1962 qui a marqué le mouvement cinématographique de la Nouvelle Vague.
Jules est autrichien, Jim, français. Les deux hommes sont inséparables. Un jour, ils rencontrent Catherine dont ils tombent amoureux. Catherine choisit Jules, laissant Jim dans le désarroi. Mais l’amitié entre les trois personnages sera finalement mise à rude épreuve : Catherine ne sachant pas lequel des deux amis choisir.

Charles Aznavour en haut de l'affiche à Los Angeles

Le « French Frank Sinatra », comme on le surnomme outre-Atlantique, est de retour en Amérique.
Charles Aznavour posera ses valises pour une seule date aux États-Unis. Il se produira le 13 septembre au Greek Theatre de Los Angeles. Le chanteur, qui a fêté ses 90 ans le 22 mai, semble toujours aussi accro’ à la scène.
Soixante-dix ans de carrière, soixante films, plus de mille chansons et cent millions d’albums vendus: l’artiste est à la tête d’un palmarès à en faire pâlir d’envie plus d’un. Le chanteur retrouvera à Los Angeles un public hétéroclite et multi-culturel, et plus particulièrement la communauté arménienne qui devrait elle aussi être présente – la ville abrite la plus grande communauté arménienne des Etats-Unis. Nul doute que les “Frenchies” seront aussi de la partie.

"Le chef" : une comédie étoilée avec Jean Reno

Entrez dans les coulisses de la gastronomie française avec la comédie de Daniel Cohen, “Le Chef”, qui sort au Paris Theater le 20 juin.
D’un côté, il y a Alexandre Lagarde (Jean Reno), chef étoilé, à la tête d’un prestigieux restaurant parisien. Sa position, confortable, est mise en péril par le groupe financier propriétaire de ses restaurants. Il doit, pour conserver sa place, réussir à garder ses fameuses trois étoiles. Tout va se jouer sur la nouvelle carte du printemps. Oui mais voilà, Alexandre est en panne d’inspiration…
De l’autre, Jacky Bonnot (Michaël Youn), féru de cuisine, cuisinier autodidacte, peine à garder un travail plus d’une semaine. Amoureux et bientôt papa, il est contraint de voguer de petit boulot en petit boulot alors qu’il n’aspire qu’à travailler dans de grands restaurants. L’imagination n’est pas ce qui manque à ce jeune rêveur, qui a une haute idée de la gastronomie française. Il va jusqu’à proposer des plats très raffinés dans des bistrots où les clients, eux, n’aspirent qu’à un bon steak-frites.
A priori tout les sépare. Leurs chemins vont pourtant se rencontrer, donnant lieu à une relation touchante et enrichissante entre les deux hommes. Quand Alexandre Lagarde prend à l’essai Jacky Bonnot, c’est le début d’une aventure que les deux compères ne sont pas prêts d’oublier.
Avec un scénario sans surprise, cette comédie remplit néanmoins son contrat en faisant passer au spectateur un bon moment. Le duo Jean Reno-Michaël Youn est efficace et sympathique. Si on ne rit pas à gorge déployée, le sourire est cependant au coin des lèvres une bonne partie du film.
French Morning vous fait gagner un poster du film dédicacé par Jean Reno. Remplissez le formulaire ci-dessous.
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Miami met à l'honneur ses cinéastes

Miami met à l’honneur ses réalisateurs en diffusant cinq courts métrages.

A travers cinq films, on découvre ainsi des cinéastes prometteurs dont la ville est fière. Parmi ces réalisations, trois sont en langue espagnole : « Hecho a mano » qui suit l’itineraire d’artistes cubains installés en Floride; « El silencio de Veronica » qui raconte comment une mère célibataire tente de tout faire pour rendre sa fille heureuse le jour de son anniversaire; et « Noche Buena » dans laquelle une famille cubaine installée à Miami se prépare à passer les fêtes de noël avec l’arrivée du petit ami américain et bizarre, de la fille adolescente.

Les deux dernières oeuvres, « Twintapes reverse » qui suit une adolescente dont la trajectoire est perturbée par un événement inattendu, et « Aegis », une histoire d’amour, seront elles en anglais. Projections le 25 juin.

Musique classique à Santa Barbara : les Français fortissimo

A Santa Barbara, la saison musicale 2014/2015 de CAMA (Community Arts Music Association) prendra un accent français.
Dans le cadre des « International Series » qui se tiendront au Granada Theatre, le programme réserve en effet une large place aux artistes venus de l’Hexagone. La liste des concerts dévoilée au début du mois propose ainsi des prestations de musiciens confirmés, mais aussi d’un jeune talent très en vue sur les scènes du monde entier.
Le premier d’entre eux sera le pianiste breton Jean-Efflam Bavouzet, accompagné par le London Philharmonic Orchestra. Sur scène le 9 octobre, il proposera un répertoire composé de pièces de Tchaïkovsky, Dvorak et Prokofiev, sous la conduite du chef d’orchestre Vladimir Jorowski.
Un mois plus tard, le 10 novembre, Jean-Yves Thibaudet (ci-dessus), déjà présent sur la Riviera californienne l’année passée se produira aux côtés de l’orchestre philharmonique tchèque. L’intéressé y présentera des œuvres de Janacek, Dvorak et Liszt.
En fin de saison, le 3 mai 2015, ce sera au tour de la jeune virtuose normande Lise de la Salle (26 ans) de démontrer ses talents au piano, à travers les compositions de Beethoven, Strauss et Weber.
Entre ces deux dates, l’association organisatrice précise qu’elle cherche encore à faire venir deux habitués de la ville, à savoir les frères Renaud (violon) et Gautier (violoncelle) Capuçon. Ces derniers pourraient intégrer, au choix, le programme des « International Series » ou des « Masterseries » au Lobero Theatre, avant la fin de l’année.
Pour les mélomanes francophones, l’orchestre de la Suisse Romande, dirigé par Charles Dutoit, sera également à l’affiche le 16 février 2015, afin de présenter des pièces de Stravinsky et Rachmaninoff, mais aussi de compositeurs français tels que Claude Debussy et Maurice Ravel.
 

Ambiance disco au BankUnited Center

Miami se plonge dans la fièvre disco avec son concert annuel « Miami Disco Fever » le 28 juin au BankUnited Center.
Sortez vos perruques afro et vos habits flashy et préparez vous à célébrer la musique des 70s et 80s en présence de grandes stars. Présentée par Léo Vela, la soirée accueille entre autres The Tavares Brothers, Teri Desario, Carol Douglas, Amant, Jimmie Bo Horne et The Old School Gagng (le premier groupe de reprises aux Etats-Unis).
 

7 restos pour manger un steak-frites à Los Angeles

La France est loin. Mais pas notre bon vieux steak-frites! Ce plat bien de chez nous se trouve dans plusieurs restaurants de Los Angeles. Sept adresses pour les carnivores gourmets et gourmands.
1.L’Assiette Steak-Frites
Ce restaurant a ouvert ses portes en mars sur Melrose Avenue. Tenu par un duo père-fils, les Français Jacques et Marc Fiorentino, l’enseigne rencontre un beau succès auprès des « foodies » de la cité des Anges, notamment en raison de son côté conceptuel : le steak est l’unique plat que vous trouverez  au menu, traditionnellement accompagné de frites (mais aussi sous forme de « poutine » québécoise, sandwich au bifteck et salade maison au bifteck). Le steak-frites (25$) est proposé avec une salade ou une soupe. En dessert, vous aurez le choix entre des profiteroles, un brownie au beurre salé ou des macarons maison. Une chose est sûre : les Fiorentino prennent l’art du steak-frites très au sérieux : « le plat est servi en deux fois, car le steak-frites ne peut être parfait que si les frites sont chaudes» insistent-ils. 7166 Melrose Avenue. Réservations: (323) 274-2319. Ouvert tous les jours de 17h30 à minuit.
2.Church and State Bistro

Derrière ses fourneaux de Downtown L.A, le chef Tony Esnault (ex-Ducasse) utilise un bœuf 100% nourri à l’herbe. Le paleron est servi en fines tranches et les frites croquantes à souhait sont proposées avec une délicieuse sauce béarnaise. Le steak-frites de ce bistro chic angelino est est un peu plus onéreux : 32$ l’assiette (20$ si vous choisissez une plus petite portion) mais c’est l’un des plats les plus appréciés des clients, cuit à la perfection. 1850 Industrial Street, # 100, Downtown. Tél: (213) 405 1434. Ouvert du lundi au vendredi de 11h30 à 14h30, puis de 18h à 22h (jusqu’à 23h le vendredi). De 17h30 à 23h le samedi et jusqu’à 21h le dimanche.

3. Café Beaujolais 

Café Beaujolais, un bistro français situé dans le quartier hipster d’Eagle Rock, propose un excellent faux-filet accompagné de frites, à un prix beaucoup plus abordable : 18,50$. Le steak « Maître d’Hôtel » est cuit dans une sauce au beurre et à l’ail qui ravira vos papilles. 1712 Colorado Boulevard, Eagle Rock. Tél : (323) 255-5111. Contact : [email protected]  Ouvert tous les jours (sauf le lundi): de 17h à 21h30 (22h le samedi et 21h le dimanche).
4.Taix
Le plus ancien restaurant français de L.A fondé en 1927 ne pouvait se permettre de faire l’impasse sur un classique comme le steak-frites. La viande proposée (hampe de bœuf) est tendre et cuite à point, servie avec une noisette de beurre au citron persillé et des pommes frites maison, le tout pour 19,50$. 1911 West Sunset Boulevard, Echo Park, (213) 484-1265. Ouvert tous les jours de 11h30 à 22h (jusqu’à 23h le vendredi, de midi à 23h le samedi et de midi à 22h le dimanche). 
5.La Frite
Au nord de Los Angeles, dans la San Fernando Valley, le bistro “La Frite Café” (depuis 40 ans, le rendez-vous des francophiles) propose un onglet de bœuf d’environ 200g cuit dans une sauce aux échalotes, avec des frites et un aïoli original à la truffe, le tout pour 25$15013 Ventura Boulevard, Sherman Oaks. Tél : 818-990-1791. Ouvert tous les jours de 11h à 22h (jusqu’à 23h le vendredi et samedi).
6.The Little Next Door
Dans cette brasserie (à ne pas confondre avec la partie restaurant « The Little Door »), on sert un steak grillé (hampe de bœuf) mariné dans une sauce au poivre vert absolument exquise, accompagné de frites et d’un medley de légumes, pour 26$. Le tout dans une ambiance « bistro parisien » plutôt authentique, avec terrasse, qui vous fera oublier que vous êtes à Los Angeles. La brasserie propose également une large sélection de vins (à consommer sur place ou même à emporter chez soi). 8142 West 3rd Street. Tél: 323.951.1010. Ouvert Tous les jours de 11h à 23h (et de 9h à 23h le vendredi-samedi-dimanche).
7. Lucques
Pour finir, parmi cette myriade de bistros français, citons un restaurant américain apprécié des “Foodies” de L.A: Lucques. Le menu du déjeuner reste le meilleur rapport qualité-prix: la chef, Suzanne Goin, propose un steak tendre et juteux, accompagné de roquette, d’une sauce béarnaise et de frites maison croustillantes, pour 24$. A dîner, le plat passe à 48par personne ! Au menu: aloyau de steak grillé, roquette et “patates parisiennes”. 8474 Melrose Avenue, West Hollywood. Tél: (323) 655-6277. Ouvert du mardi au samedi de midi à 14h30 et de 18h à 22h du lundi au jeudi (jusqu’à 22h30 le vendredi-samedi et à partir de 17h le dimanche).  

Hugue Dufour, le gourmet gourmand de Long Island City

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« Je rêve d’un restaurant ou personne ne viendrait, déclare le chef québécois Hugue Dufour, barbe de trois jours et gueule à la Gabin. Mais il y aurait quelques chambres pour que ceux qui viendraient quand même puissent rester ‘coucher’. »
A la Dinette (M. Wells Dinette précisément) du MoMA PS1 à Long Island City et au M. Wells Steakhouse, son style sincère et chaleureux, qui se reflète dans sa cuisine, conquiert un nombre croissant de fans.
« Je ne pars pas avec un menu, dit-il. C’est le cheminement opposé. D’abord un lieu ensuite l’inspiration. » A partir du 25 juin, ce nouveau lieu, c’est la terrasse du Steakhouse sur laquelle il construit un four à bois de ses propres mains en béton, recouvert de coquillages. « Toute la nouvelle carte sera préparée à l’extérieur. »  On y trouvera entre autres, une tarte feuilletée à la tomate au thym, des petits boudins blancs panés, des aïolis de fruits de mer et des grillades de seiches farcies.
C’est à 14 ans que Hugue Dufour décide de devenir cuisinier, mais quelques années plus tard, après cinq mois d’école de cuisine. « j’ai tout fait pour qu’ils me virent. » Il fera ses classes sur le tas, à Montréal, mais pas n’importe où : « J’ai prétendu être encore inscrit à l’école pour décrocher un stage chez  Norman Laprise », (mention “Grand Chef” Relais et Châteaux) à Toqué! Ensuite, ce sera 9 ans au fameux Pied de Cochon canadien où il sévit comme sous-chef de Martin Picard.
« Norman Laprise et Martin Picard ont véritablement marqué le paysage culinaire de Montréal », explique Jean-Philippe Tastet, critique gastronomique du quotidien Le Devoir. « L’un, il y a 30 ans, a été le premier à encourager les producteurs locaux, et la cuisine d’homme des cavernes de l’autre, délirante de calories mais délicieuse et délicate aussi, ne ressemble à aucune autre. »
Au M. Wells Dinette, dans l’ancienne école du Queens transformée en musée d’art contemporain à quelques rues du Steakhouse, tout a été mis en œuvre pour recréer la salle de classe mythique de notre enfance : on se délecte côte à côte, sur des pupitres à casiers qui révèlent crayons et cahiers. Le menu est affiché sur des tableaux noirs et les rangées de livres de la librairie attenante servent de mur au fond. A la place du professeur, une cuisine ouverte encadrée par d’immenses étagères métalliques. « J’ai voulu recréer des cabinets de curiosités, explique Hugue Dufour. Au Canada, tout finit toujours dans la cuisine. Enfant, à la ferme, on ‘regardait’ même le match de hockey à la radio dans la cuisine. »
Griffonnée sur un cahier, la carte se veut simple mais trahit les racines paysannes et le parcours du chef : une soupe froide d’asperges aux relents de prés printaniers, un medley de tripes et de légumes de saison gouteux mais léger, un magret de canard tendre et joufflu.
« L’idée de départ, c’était de créer un véritable magasin, et on avait choisi le nom Wells qui vient de ma famille », explique Sarah Obraitis, l’épouse et bras droit du chef. Elle vivait dans le Queens (où elle a grandit) quand ils se sont rencontrés.
Avant Dinette à PS1, en 2009, il y aura eu d’abord un vénérable “diner”, circa 1954, d’où Hugue Dufour envoie des cervelles grenobloises et un pain de viande au foie gras en forme d’Angel Food Cake. Des plats qui ont vite fait la « Une » des blogs culinaires. Mais forcé de fermer, le couple porte son dévolu sur un vieux garage qu’il faut complétement transformer. Cet espace est devenu le Steakhouse.
« Le défi, ça a été de suivre le foisonnement d’idées de Hugue et Sarah », explique Marion Sultan, directrice de projet chez In House Group.
A Montréal sous l’égide de Martin Picard, Hugue Dufour a « manié toute la faune canadienne du Nord », mais à Long Island City, il envoie des brochettes de rognons grillés, jongle avec les herbes salées que sa mère ramassait déjà le long du fleuve – « La sarriette, personne n’utilise la sarriette ! » Il offre du boudin en accompagnement et les truites attendent le filet du destin dans un aquarium devant l’énorme grill à bois.
Pas de castor ni d’orignal à la carte du Steakhouse mais une côte de bœuf nommée “Tomawhak” qui pourrait nourrir quatre personnes. Impossible de finir la pile de fines côtes de porc striées au grill. Et puis, la délicatesse d’une profiterole à la rhubarbe et à la violette, mais transpercée, en son cœur, d’un couteau tel un poignard. Soudain, c’est clair : chez Hugue Dufour, délicatesse et rusticité coexistent. Et l’appétit pour la vie est aussi gargantuesque que ses portions.

La Compagnie: la classe affaire moins chère entre Paris et New York

La nouvelle compagnie “tout business” entre Paris et New York a officiellement dévoilé son nom dans la Grosse Pomme ce mardi. Ce sera… “La Compagnie”.
Co-fondateur de l’entreprise, Peter Luethi explique que le nom s’est imposé: “Les deux agences de publicité qui ont planché sur ce projet pour nous ont toutes les deux proposé ce nom“. DreamJet, le premier nom rendu public le mois dernier, reste le nom de la société “mère”.
L’idée de vols entièrement “classe affaire” n’est pas nouvelle. Plusieurs avaient vu le jour dans les années 2000. Toutes ont depuis disparu, ou ne sont plus “exclusivement business“, comme Open Skies qui opère entre Orly et JFK. “Mais depuis, la concentration de l’industrie a abouti à une baisse des capacités et donc une hausse des prix. Le moment est parfait pour lancer ce service exclusivement ‘business’ à petit prix“, note Peter Luethi.
La Compagnie promet des prix 35 à 50 % moins chers que la concurrence, avec des allers-retours à partir de 1.800$ et jusqu’à 4.600$. Pendant l’été, une offre spéciale de lancement permettra d’acheter deux allers-retours pour 1.776 euros, valable jusqu’au 5 septembre. Cette offre ne vaut pour le moment que pour les billets achetés en France, où la vente est ouverte (sur le site www.lacompagnie.com) depuis lundi.
Aux Etats-Unis les billets ne pourront être mis en vente qu’après réception de l’agrément fédéral, “fin juin ou début juillet” mais l’offre de lancement faite de ce côté-ci de l’Atlantique sera “tout aussi séduisante” promet Jean-Charles Périno, directeur général délégué de La Compagnie.
Dans un premier temps, les vols auront lieu cinq jours par semaine (départ de Paris à 17h50 pour arriver à Newark à 20h30, retour à 21h45 avec atterrissage à Roissy à 11h15), avant de passer à six en septembre puis sept jours à l’automne. Les dirigeants prévoient d’ajouter un deuxième avion en décembre “soit sur la même ligne pour doubler la capacité, soit une autre destination, en fonction des résultats des premiers mois“.
A l’intérieur de la cabine, “un confort business qui n’est pas le plus luxueux du marché, mais le meilleur rapport qualité-prix” promet Peter Luethi. Les 74 fauteuils s’inclinent à 180° (mais n’offrent pas la position totalement horizontale). Les repas sont servis à l’assiette par les trois hôtesses ou stewards. Le divertissement est assuré par une tablette Samsung Galaxy et, à partir de l’automne, une connection wi-fi.
La Compagnie a levé 30 millions de dollars auprès d’investisseurs principalement français et européens, dont Charles Beigbeder,  co-président du conseil de surveillance et Michel Cicurel, ex-patron de la Compagnie financière Edmond de Rothschild, réunis par le PDG Frantz Yvelin, qui fut à l’origine également de l’Avion, compagnie lancée en 2007 et depuis rachetée par Open Skies (propriété de British Airways). Un groupe d’experts qui croient dur comme fer au “tout business low cost“.

Un nouveau guide sur New York

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C’est le dernier né des éditions Hikari. Le guide Portraits de New York vous invite à découvrir la Big Apple grâce au regard de ceux qui y vivent.
Chaque année, ils sont de plus en plus nombreux à venir y tenter leur chance. Aldo, Phyllis, Yacine et bien d’autres, vous racontent leurs aventures, depuis leur arrivée à New York jusqu’à leur vie quotidienne dans la mégapole. Des parcours multiples dans la Grosse Pomme, des récits de vie, mais aussi plus de 300 adresses “incontournables”, bons plans, promenades… Une manière originale de découvrir New York.

Le DJ Joachim Garraud de passage à Los Angeles

Le DJ français Joachim Garraud sera à Los Angeles le 4 juillet et se produira à l’Exchange L.A.
Son nom vous est peut-être étranger. Et pourtant, ce DJ occupe une place privilégiée dans le paysage électro français. Au-delà ses collaborations avec les plus grands –David GuettaCarl Cox, Martin Solveig entre autres- Joachim Garraud a produit des artistes de renom comme Jean-Michel Jarre, Paul Johnson, Deep Dish, David Bowie, Kylie Minogue, Mylène Farmer, Cassius, Ceronne, Moby, Robbie Rivera ou encore David Guetta.
C’est aux côtés de Laurent Garnier qu’il commence en tant que DJ au Boy, un club parisien, après avoir étudié sept ans le piano et les percussions au Conservatoire. C’est, pour l’instant, la seule date annoncée du DJ outre-Atlantique pour cet été.