Le BPC Mistral, pris dans une polémique entre la France et les Etats-Unis, ne viendra pas à New York participer aux commémorations du 70e anniversaire du Débarquement, a-t-on appris de plusieurs sources proches de l’opération.
Le Mistral, bâtiment de projection et de commandement de la Marine Nationale, est source de tensions entre Paris et Washington depuis plusieurs années. En 2011, la France a accepté de vendre deux porte-hélicoptères du même modèle à la Russie pour la coquette somme de 1,2 milliard d’euros. (Mistral désigne à la fois la classe de ces navires et le premier d’entre eux à avoir été produit, entré en service en 2006). Le premier doit être livré en octobre 2014, le second en 2015 et est destiné à la Flotte russe de la mer Noire. Début mai, sur fond de crise ukrainienne, le Secrétaire d’Etat John Kerry avait fait part de ses “inquiétudes” à son homologue français Laurent Fabius face à cette vente, maintenue pour le moment.
Lors de la cérémonie du 6 juin, au cours de laquelle un lâcher d’un million de pétales de roses au-dessus de la Statue de la Liberté et le déploiement de drapeaux français et américains au pied de l’édifice sont prévus, le Mistral et la frégate La Fayette devaient passer à vitesse réduite devant la Statue. Le La Fayette participera bien à la manifestation.
Selon nos sources, ce sont les autorités françaises qui auraient décidé d’abandonner le projet pour ne pas faire de vagues, sans demande officielle de Washington. Contactée, la Marine nationale se garde bien de confirmer l’absence du Mistral à New York, précisant que le calendrier des escales dépendait des exercices en cours.
Une réception officielle devait avoir lieu le 6 juin à bord du Mistral, et une cérémonie de diplomation pour les élèves de 5th Grade de NYFACS et des programmes bilingues de PS 58 et PS 84 devait s’y tenir le 12.
Fâcherie franco-américaine: le Mistral privé de New York
Anne Hidalgo rend visite à Bill de Blasio
La maire de Paris Anne Hidalgo rencontrera son homologue new-yorkais Bill de Blasio le vendredi 30 mai lors d’un déplacement à New York.
C’est la première fois que les deux élus, arrivés aux commandes de leurs villes respectives en mars et janvier 2014, se rencontrent. Encore candidate, Anne Hidalgo avait chaleureusement félicité M. De Blasio pour son élection et son “projet enthousiasmant (…) construit autour de questions qui me sont chères, en particulier celles du logement, de l’éducation, de la santé” .
Mme Hidalgo doit également intervenir dans des panels et rencontres organisés par Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU), l’association mondiale des villes dont elle est co-présidente, dans le cadre de l’ECOSOC aux Nations unies. Elle sera à New York du 28 au 30 mai.
Dans le Huffington Post: ce que les Français pensent des USA
Le Huffington Post nous fait une révélation. Le site raconte ce que les Français pensent “vraiment” des Etats-Unis.
Quelques morceaux choisis: “Il y a une hypocrisie latente concernant la nourriture. Une personne ira au restaurant et ne mangera pas le jaune des œufs parce que ça n’est pas sain alors qu’elle est en train de boire un énorme soda“, “Ils ne savent pas prendre les ronds-points“, « un drôle d’équilibre entre des individus très religieux et spring break ».
Et nos préférés: “Il y a les Américains raisonnables… et puis il y a les Texans” et “Si un Français parle à un Américain, il dira que la France est le meilleur endroit. Mais si deux Français se parlent, ils seront d’accord pour dire que la France est nulle” .
Le site s’est basé sur les avis de Français pour concocter sa liste. Parmi eux, un musicien, un assistant parlementaire, un libraire, “tous avec des opinions bien formées (ou plutôt bien informées) sur la culture, la politique américaines et le peuple américain“.
XL Airways: pour rentrer en France sans se ruiner
(Article partenaire) Les vacances d’été approchent. C’est l’heure de les préparer. La compagnie aérienne française, XL Airways, veut se démarquer de ses concurrents en proposant différentes liaisons entre la France et les Etats-Unis à des prix abordables. Entretien avec Jerry-Max Theophile, directeur des ventes et du marketing pour XL Airways sur la Côte Est.
Quelles sont les nouveautés que propose XL Airways cet été?
XL Airways opère des vols pendant la saison estivale, de mai jusqu’à la fin août. Nous avons cinq destinations aux Etats-Unis: New York, San Francisco, Los Angeles, Las Vegas et Miami, en partance de et à destination de Roissy Charles-de-Gaulle (14 vols par semaine). Nous proposons également une liaision entre l’aéroport JFK (New York) et Marseille (deux vols par semaine).
Sur la côte Est, nous proposons un service de classe “économie”, avec repas, boissons, espaces de rangement, couverture et la possibilité de brancher des équipements électroniques. Sur la côte Ouest, le service est de classe “Galaxie” ou “économie premium”, avec des sièges larges et confortables, de la nourriture, du vin et plusieurs types de snacks. C’est le niveau de service fourni pour Las Vegas aussi.
Cette année, nous avons prévu d’accroitre notre offre à Miami en augmentant le volume de vols. Ils commenceront le 25 mai et se termineront le 31 août. Nous avons amélioré notre site Internet XL.com .
Nous continuerons à offrir nos autres vols, depuis et pour New York, San Francisco, Los Angeles et Las Vegas. Nous lançons également une offre promotionnelle pour les passagers qui vont assister au Pro-AM de Golf en juillet, en leur offrant une réduction de 5% sur l’achat de leur billet entre le 4 et le 10 juillet (appeller les bureaux de XL au 1-877-496-9889 pour bénéficier de cette offre).
Comment vous distinguez-vous de vos concurrents?
Nous sommes la compagnie de ceux qui voyagent intelligent. Nous offrons un service de qualité à bas prix, avec repas à bord et premier bagage gratuit notamment. Nous offrons des produits français excellents pour les communautés françaises aux Etats-Unis et les Américains qui veulent voyager en France. Nous leur disons que l’argent économisé leur permettra par exemple d’aller aux Galeries Lafayette à Paris, de faire une visite qu’ils n’auraient pas faite, d’aller au Louvre…
Nous utilisons aussi des Airbus 330-300 et 200, des appareils modernes, pour soutenir l’industrie française.
Pourquoi décider d’accroitre votre offre aux Etats-Unis?
Le marché américain est le marché le plus important à l’international. Nos vols de Paris à Las Vegas rencontrent un grand succès. New York aussi en raison de la taille de la communauté française. Mais nous augmentons notre marché-cible pour toucher des Français et des Américains, les golfeurs et toute personne qui veut visiter Paris ou la Provence, grâce à nos vols vers Marseille.
Nous travaillons avec l’association FIPA à Miami, qui fait la promotion du français dans les écoles publiques de Miami. Nous collaborons aussi avec le Lycée français de San Francisco et des entreprises françaises aux Etats-Unis pour promouvoir leur produit et nous faire connaitre. Nous sommes présents dans plusieurs évènements spéciaux, comme les concerts de Johnny Halliday aux Etats-Unis. Nous travaillons aussi avec les compagnies de bateaux mouches pour accroitre le tourisme fluvial en France.
Partout où il y a un francophile, un Franco-américain ou quelqu’un d’héritage français, nous essayons d’être présent car nous pensons que nous avons un produit de qualité pour un prix raisonnable. Et nous voulons qu’ils l’essayent.
Le Luxembourg donne des livres à EFBA
“Il y a trois énormes caisses. Je dois encore aller les chercher au consulat“. C’est Noël avant l’heure pour EFBA (Education française in the Bay Area) et sa présidente Gabrielle Durana. Le gouvernement luxembourgeois a fait don, jeudi, de livres français à l’association qui opère quinze programmes bilingues français-anglais dans la Baie. « Ils vont être ventilés entre nos différentes salles de classe ».
Le don, qui comprend des livres pour enfants et pour adultes, a été fait à l’occasion du passage à San Francisco d’une délégation emmenée par le Prince Guillaume de Luxembourg et le vice-premier ministre et ministre de l’économie Etienne Schneider.
L’association, en pleine croissance, est toujours à la recherche de livres, en particulier pour enfants, mais indique vouloir aussi des tablettes numériques pour équiper ses salles de classe.”Elles ne doivent pas nécessairement être dernier cri“, précise Mme Durana. A bon entendeur.
Governors Island rouvre au public
“It’s that time of year”. Comme chaque année lors du week-end prolongé de Memorial Day, Governors Island rouvre ses portes au public.
Dès le 24 mai, et jusqu’au 28 septembre, les New-Yorkais et les touristes pourront (re)découvrir cette petite île au sud de Manhattan. Elle est accessible via ferry depuis la pointe sud de Manhattan et Brooklyn.
Pour l’année 2014, le Trust for Governors Island, l’entité qui gère l’île, a vu les choses en grand. En plus de la traditionnelle promenade autour de l’ile et les visites de ses maison anciennes, les visiteurs pourront bénéficier d’un nouveau parc et d’un éventail d’activités “vertes” (ferme urbaine, ateliers de compostage…).
Pour les afficionados, le désormais célèbre “Jazz Age Lawn Party”, qui remet les années 20 au goût du jour à travers des concerts et des déguisements, fait son retour. Exposition, danse, installations publiques: plusieurs autres manifestations artistiques sont au programme.
Voice, l’app' qui veut votre avis
C’est l’histoire de trois amis d’enfance franco-belges qui décident de monter une start-up. « On a chacun lâché nos boulots. Felix était avocat, Etienne chercheur, et moi j’étais dans la banque », raconte Melchior Scholler, 31 ans.
Le premier acte se déroule en 2012 à Paris, dans l’incubateur du Camping. Leur app’ s’appelle Poutsch, et on pourrait la décrire comme un réseau social autour de l’opinion. Une interface qui permet de poser et de répondre à des questions sur à peu près tout et n’importe quoi (la crise ukrainienne, la légalisation du cannabis, ou votre type de café préféré) – et consulter les réponses des autres. On peut aussi suivre des utilisateurs, calculer sa compatibilité avec une autre personne, obtenir les tendances géographiques des réponses…
En janvier 2013, deuxième acte : la petite équipe poursuit Poutsch à New York, et emménage dans un loft à Williamsburg (Brooklyn). « Nous n’avions pas d’attaches à Paris, et tous très envie de venir aux Etats-Unis, où nous avions étudié », poursuit Melchior. Quelques semaines après leur arrivée, ils séduisent le jury du French-American Entrepreneurship Award.
En ce mois d’avril 2014, la petite troupe, qui compte désormais cinq personnes, entame un nouvel acte. Elle a effectué une levée de fonds à six chiffres – « quelques angels, de la famille et des amis » -, imaginé nouveau design et changé de nom, devenant Voice.
Le concept, lui, reste le même. « Notre appli, a un côté social, ludique, introspectif… C’est plus marrant que de répondre à un sondage », juge Melchior Scholler, faisant défiler les questions sur son téléphone. Les fondateurs voient aussi dans Voice un instrument démocratique. « On a créé Poustch en réfléchissant au Printemps arabe. On se disait que s’il existait Twitter ou Facebook, aucun réseau ne permettait d’agréger les opinions », affirme Félix Winckler, l’avocat de la bande. « Et puis, nous sommes un modèle alternatif aux sondages classiques, créés sur commande, pour des clients. Nous donnons la possibilité aux gens de prendre la parole », poursuit-il.
Reste que Voice n’est pas la seule application sur ce créneau – son défi est maintenant de devenir la référence dans ce domaine. Pour le moment, la machine est en bonne voie. Si la plupart des questions rassemblent moins d’une centaine de réponses, les plus populaires montent jusqu’à 3.000 ou 4.000, voire plus lorsqu’elles sont intégrées par des blogs ou des médias. Les fondateurs revendiquent 200.000 réponses récoltées par jour.
De l’audience de Voice dépendra la réussite de son business model : l’équipe aimerait générer des revenus autour de l’exploitation et la promotion de données pour le compte de publicitaires, d’éditeurs, de responsables marketing, de politiques… Votre avis vaudra-t-il de l’or ?
En mai, dix films français à la demande avec TV5 Monde
(Article partenaire) Le Festival de Cannes se termine ce dimanche 25 mai, mais il continue sur TV5 Monde. La chaine propose en mai dix films via son service TV5 Cinema on Demand, disponible à Boston, Washington DC, Philadelphie, Miami, Chicago, San Francisco, Portland, Seattle.
Les films proposés sont:
– La Sentinelle (1992): le fils d’un diplomate tente de résoudre un mystère : la mort d’un inconnu qui l’avait insulté la veille dans un train.
– Comment Je Me Suis Disputé (Ma Vie Sexuelle) (1996): Paul Deladus, 29 ans, est professeur dans une université parisienne et se pose plein de questions sur la vie: doit-il changer de copine, veut-il devenir prof à temps plein, doit-il finir son doctorat… Pas facile!
– Travaux, On Sait Quand Ça Commence… (2005). Comédie. Une avocate à qui tout réussi se laisse aller aux avances de l’un de ses clients. Français, sous-titré en anglais.
– Tout Est Pardonné (2007): Pamela tente de retrouver son père qui l’a abandonnée onze ans plus tôt. Français, sous-titré en anglais.
– Peindre ou Faire L’Amour (2005): Louise, une résistante, fuit pour Londres après l’assassinat de son mari et est recrutée par une unité spéciale.
– C’est pas Tout à Fait la Vie Dont J’avais Rêvé (2006): Comédie. Un homme partage sa vie entre son appartement, où il vit avec sa femme, et l’appartement de son amante. Français, sous-titré en anglais.
– Marie-Jo et Ses Deux Amours (2002). L’histoire d’un triangle amoureux entre Marie-Jo, son mari qu’elle aime passionnément, et Marco, son amant, qu’elle aime autant. Français, sous-titré en anglais.
– Des Filles en Noir (2010): deux jeunes issues d’un milieu populaire annoncent qu’elles vont se suicider dans les 24 h. Mais leur plan ne se déroule pas comme prévu.
– Versailles (2008): Un enfant et sa jeune mère dorment dans la rue. Ils se rendent à Versailles où ils rencontrent un autre marginal, Damien. Disponible à partir du 30 mai. Français, sous-titré en anglais.
– Le Fils A Jo (2011): un rugbyman, descendant de plusieurs rugbymen légendaire, tente d’inculquer sa passion pour le sport à son fils. Français, sous-titré en anglais. Disponible à partir du 30 mai.
Neuf bars pour voir la finale de Ligue des Champions à New York
C’est l’un des temps forts de l’année pour les footeux : la finale de la Ligue des champions est arrivée. C’est le 24 mai à Lisbonne. Elle opposera le Real Madrid à l’Atletico. Pour tous ceux qui n’ont pas la chance d’être dans les gradins, heureusement, il y a le pub du coin. En voici neuf. Coup d’envoi: 14h45 heure de New York.
Legends : Le roi des bars sportifs. Tout footeux qui se respecte doit y faire un tour. 6 W 33rd Street. (212) 967-7792. Site
Rattle’N’Hum : Venez à l’avance, le bar se remplit rapidement ! 14 E 33rd Street. (212) 481-1586. Site
Bloom’s Tavern : Situé Midtown East aussi, Bloom’s Tavern est un petit bar sympathique, muni de télévisions et d’une cheminée. 208 E 58th Street. (212) 308-9400 . Site
Slainte Pub: Localisé dans NoHo, ce pub est équipé d’une multitude de télévisions. 304 Bowery. (212) 253-7030. Site
Stout : A trois minutes de Penn Station. La nourriture est bonne et l’ambiance sympathique. 133 W 33rd Street. (212) 629-6191. Site
Quinn’s : parfait si vous cherchez une ambiance de pub irlandais. Un service de qualité pour des prix raisonnables. 356 W 44th Street. (212) 445-0131. Site.
Opia: Le bar de Midtown East offre une atmosphère chic et décontractée pour prendre un verre et regarder le match. 130 East 57th Street. (212)- 688-3939 . Site
The Red Lion: Autre bar de footeux incontournable. 151 Bleecker Street. (212) 260-9797. Site
McGee’s : Connu comme étant le bar de How I Met Your Mother, c’est aussi un bon endroit pour regarder le foot. 240 W 55th Street. (212) 957-3536. Site
New York voit la vie en rosé
Un tour du monde… dans votre palais, voilà l’expérience que vous propose “La Nuit en Rosé”. Embarquez à bord d’un luxueux yatch et profitez d’une croisière sur l’Hudson River tout en dégustant quelques-uns des 80 rosés à la carte.
Les plus grandes régions viticoles du monde, dont la France, l’Italie, les États-Unis, l’Espagne, le Chili, l’Afrique du Sud ou encore l’Argentine, seront représentées. Certains rosés présentés n’ont jamais été importés aux États-Unis.
Deux sessions de quatre heures chacune seront organisées. Musique et plats – huîtres, fromage et charcuterie- accompagneront la dégustation. L’événement est organisé par l’agence de création new-yorkaise ABLE, fondée par l’entrepreneur français Pierrick Bouquet, en 2011 et qui est spécialisée dans la cuisine et le vin.
Laurent Apollon met les voiles
Une douzaine de bateaux sont attendus pour la régate Gotham Multihulls Series 2014, qui se tiendra les 31 mai et 1er juin entre Staten Island et Manhattan.
Derrière ce projet, dont c’est la première édition cette année, deux hommes : Andy Houlding, un avocat du Connecticut et Laurent Apollon, un Français passionné de voile, qui ont “régaté” ensemble l’été dernier. “C’est une idée que j’ai depuis longtemps. Manhattan est une île, et le meilleur moyen d’y venir reste le bateau. La raison du multicoque, c’est parce que c’est le meilleur support pour aller sur l’eau, s’amuser et aller vite!” explique Laurent Apollon.
Le top-départ sera donné le 31 mai à midi à Staten Island (Great Kills Harbor) et ralliera Sandy Hook (New Jersey), Breezy Point (Brooklyn) et passera sous le pont du Verrazano, devant la Statue de la Liberté, avant de voguer le long de Manhattan. Une remise des prix aura lieu le 1er juin à Pier 25.
Une partie de l’argent récolté sera reversé à Brooklyn Boatworks, une association qui permet à des enfants de découvrir le monde de la voile. Laurent Apollon s’y rend trois fois par semaine et y gère trois programmes scolaires, volontairement. Deux architectes navals ont créé l’association en 2005, destiné aux jeunes adolescents – à partir du 4th grade. “On essaie d’alterner classes et sorties durant lesquels les enfants rencontrent des skippers, apprennent le fonctionnement d’un bateau, ce que c’est qu’une course”.
Cette année, l’association a travaillé avec six écoles et a construit, depuis sa création, 26 optimists – un petit voilier solitaire- dont sept cette année. “Les enfants apprennent à s’investir sur un projet d’un an, la persévérance, à manier des outils, à travailler en équipe”.