« La plus grande fresque murale de l’histoire de l’aire métropolitaine de Houston. » C’est en ces termes que le studio Eyeful Art présente son nouveau projet, Préservons la création.
Ce titre en français ne doit rien au hasard. C’est un artiste français, le Versaillais Sébastien Boileau, alias « Mr D », qui a fondé Eyeful Art Murals and Design à Paris, en 1992, avant de relocaliser le studio aux Etats-Unis, patrie du graffiti, six ans plus tard.
Les murs sont son terrain d’expression favori depuis ses débuts, à l’adolescence, et la spécialité de sa société réalisant des fresques murales aux quatre coins du Texas, en intérieur comme en extérieur.
Occupant toute la largeur d’un pâté de maison situé à hauteur du numéro 2800 de San Jacinto Street, dans Midtown, Préservons la création fait référence à La création d’Adam, peinte par Michel-Ange au plafond de la chapelle Sixtine.
La réalisation de cette fresque à la démesure du Texas a démarré au début du mois et nécessitera quelque jusqu’à 200 litres de peinture en pots ainsi qu’environ 500 bombes. Elle mesurera plus de 740 mètres carrés.
Le projet est soutenu par la Texan-French Alliance for the Arts (TFAA) qui, il y a un an, ouvrait ses portes peintes par des artistes francais et texans à travers Houston.
Lire: « Open the Door » ouvre ses portes à Houston
Pour sa directrice Karine Parker-Lemoyne, il ne s’agit pas simplement d’embellir un quartier de Houston. « Avec Préservons la création, je vois une invitation à voir le monde comme une grande toile, à charge pour nous d’y créer de la beauté (…) Dans le cadre d’Open the Door nous invitions le public à ouvrir un mur fait de portes pour s’ouvrir aux possibles et faire grandir nos rêves ».
En « se réappropriant l’une des peintures de la Renaissance les plus admirées au monde et en la plaçant dans un environnement contemporain », Mr D. espère, pour sa part, que son initiative permettra de conserver un art qui n’entre pas au musée. «Ses caractéristiques et l’échelle de la fresque susciteront une discussion sur l’importance des arts urbains dans la culture d’une ville », dit-il.
La fresque sera inaugurée le samedi 7 juin, de 15h à 23h.
Photo : Mr D.
La plus grande fresque de Houston sera française
Valentin Lefebvre, 21 ans, le business dans le sang
Un mois et demi, c’est le temps qu’il a fallu à un jeune Français de 21 ans, Valentin Lefebvre, pour traduire le livre de l’une de ses idoles, Grant Cardone, expert en stratégies commerciales.
Valentin “Val” Lefebvre aurait pu être diplômé de l’Ecole de Commerce et de Gestion d’Orléans…mais il a préféré aller tenter sa chance de l’autre côté de l’Atlantique.
Après avoir effectué un premier stage comme courtier à San Francisco, le Français découvre le business à l’américaine, et il adore! Là-bas, le petit prodige de 19 ans montre de quoi il est capable et vend pour 62.000 dollars de portefeuille de titres. « Ce qui n’est pas mal » précise-t-il modestement. « Et puis j’ai voulu apprendre par moi-même » raconte-t-il. Adieu la France et bonjour l’El dorado Américain. Après un passage par Londres, il s’installe dans la Silicon Valley, là où l’herbe est plus verte pour les jeunes qui comme lui croquent les opportunités à pleines dents.
Et puis, comme il cherche à se perfectionner dans le domaine de la vente, il tombe sur le livre du grand gourou du commerce Grant Cardone, Sell or lose, listé parmi les meilleures ventes du New York Times. Le coup de foudre est immédiat. Et réciproque puisque quand le jeune homme contacte son idole, celui-ci l’invite sur son talk show. « Je pense que pour lui, voir un jeune qui comprend son message, l’applique et le fait connaître, ça le rend heureux » explique-t-il.
Après avoir réalisé la page wikipédia de l’auteur, il se lance dans la traduction française de son livre, Vendre ou perdre, avec l’idée « de partager le message de Grant ». Au bout d’un mois et demi, le labeur est fini et la version française se retrouve en téléchargement sur le web.
S’il tenait à ce projet, c’est parce que Valentin Lefebvre croit fermement dans le message du livre. « Dans la vie on n’obtient pas toujours ce qu’on mérite mais ce qu’on négocie. Et la négociation est une compétence qu’on obtient en la mettant en pratique ». Alors qu’il reconnaît facilement que ce genre de littérature a peu de succès auprès des Français, il souhaite quand même que les lecteurs laissent tomber les clichés : « ici, se promouvoir, se mettre en avant, soi et ses succès, n’est pas choquant » argue-t-il. Et il poursuit : « Les bons vendeurs sont des personnes exceptionnelles qui font du bien à leur entreprise, c’est donc quelque chose à encourager ».
Et sur le style littéraire redondant de Grant Cardone, Valentin Lefebvre ne se voile pas la face. « Il cherche l’attention, il utilise des mots très forts et des répétitions pour être sûr que son message soit bien reçu et qu’il ait un impact ». Et cette technique a l’air de marcher. En 2013, il recoit le prix du meilleur livre business “Axiom”.
Aujour’hui, Valentin Lefebvre s’occupe de lancer son application pour iPhone. Facematch met les personnes d’une même zone géographique en contact, explique-t-il. Elle est d’ores et déjà disponible sur l’Appstore.
Onze activités en plein air pour les beaux jours à New York
Bizarrement, les piétons font moins la tête dans la rue. Et c’est normal! Les beaux jours sont de retour, le printemps s’installe et l’âge d’or de Netflix est révolu. Voici quelques idées d’activités à l’extérieur pour embellir vos week-ends.
1. Participer à l’Outdoor Fest
Du 30 mai au 8 juin prenez un bon bol d’air et venez vous adonner à des activités sportives, en extérieur, gratuitement. Introduction à la slackline sur le toit d’un building, escalade, canoë ou encore yoga sont quelques-uns des ateliers proposés dans chacun des cinq borough de New York. Certains seront même animés par des sportifs de haut niveau. “Les New-Yorkais ont besoin d’air pour contrebalancer leur rythme de vie très stressant”, explique Camille Aussourd, la Francaise qui assure bénévolement les relations publiques de la manifestation.
Des “apéros” entre férus de sport seront aussi organisés dans des boutiques d’équipement sportif, après leur fermeture. “L’idée c’est d’être le Time Out de l’outdoor et de faire d’OutdoorFest une marque de référence pour les activités outdoor “. Les inscriptions sont ouvertes.
2. Danser en rollers (ou sans) dans Central Park
Chaussez vos rollers, et allez vous déhancher au coeur de Central Park. Organisé par l’association à but non lucratif CPDSA, vous vous souviendrez de cette expérience collective de patinage en plein air sur de la musique “live”. Tous les week-ends lorsque le temps le permet d’avril à octobre. Retrouvez le calendrier du CPDSA ici
3. S’essayer au trapèze
La Trapeze School New York offre plusieurs cours de trapèze au Hudson River Park ou au South Street Seaport. C’est le moment de vous y mettre, comme French Morning:
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=O8lItNjD6-0]
4. De l’escalade en plein air
Central Park offre aussi la possibilité aux férus d’escalade de pratiquer leur passion. Rat Rock conviendra aux novices tandis que Cat Rock fera le bonheur des grimpeurs plus expérimentés.
5. Pagayer en canoë ou en kayak
Admirez la skyline de Manhattan depuis l’eau. À Manhattan, avec la Manhattan Kayak Company et ;la New York Kayak Company. À Brooklyn aussi, on rame : The Gowanus Dredgers (2nd St. près de Bond St ou 9th St) propose des activités entièrement gratuites ainsi que le Brooklyn Bridge Park Boathouse (Furman St et Old Fulton St). Dans le Queens le Long Island City Community Boathouse (45-00 5th St à Anable Basin) propose aussi des virées gratuites.
6. Faire du jetski
Une autre activité sur l’eau, mais un peu plus rock’n’roll cette fois-ci : le jetski. Jettyjumpers et Rockaway Jet Ski vous proposent divers circuits : Statue de la Liberté, Brooklyn Bridge, Coney Island, vous aurez l’embarras du choix.
7. Pédaler dans la grosse pomme
Pour environ 10 à 15$ l’heure, vous pourrez arpenter la grosse pomme en vélo. Vous trouverez des stands City Bike un peu partout dans la ville. Metro Bicycles dispose de sept magasins différents, dans l’Upper East Side, Upper West Side, Midtown, West Village, East Village, Tribeca et dans le Westchester.
En plus de la location de vélos, Central Park Bike Tours propose différents circuits de deux ou trois heures dans divers quartiers de New York (Harlem, Times Square…) ou à thème. Les plus casse-cou d’entre vous pourront aller faire du vélo dans la forêt de Wolfes Pond Park, sur Staten Island.
8. Prendre le bateau
Plusieurs tours en bateau existent : New York City.fr vous propose des circuits de jour et de nuit et même de prendre un brunch ou un dîner devant la skykline. Pour profiter du paysage à moindre coût, nous vous conseillons l’East River Ferry (4$ le trajet) ou le Staten Island Ferry (gratuit) qui passe devant la Statue de la Liberté.
La Circle Line fait le tour de Manhattan dans le cadre de son “Best of NYC cruise” pour 40 dollars (pour les adultes) et une durée de 2h30. S-Cruise, la société de virées nautiques privées “sur mesure”, dont French Morning vous parlait l’an dernier, reprend aussi ses activités.
9. Un bon golf au soleil
Chelsea Piers vous permet de pratiquer votre swing avec une vue imprenable sur l’Hudson river. D’autres terrains de golf comme le Winged Foot Golf Club ou Randall’s Island Golf Center sont également agréables.
10. Voir un film francais dans un parc
Films on the Green est de retour. Le festival de films français en plein air investit six parcs de la ville du 30 mai au 1er août. Au programme: « les Tontons Flingueurs », « La Haine », « Plein Soleil », « La Grande Illusion » ou encore « Les femmes du 6ème étage ».
11. Faire une bonne marche
On l’oublie facilement mais New York a l’avantage d’être praticable pour les piétons. Les beaux jours sont l’occasion de faire une grande virée entre amis à pied, à la découverte d’un ou plusieurs quartiers, voire d’un borough entier. On vous conseille de marcher de Greenpoint à Coney Island (en faisant une pause à Prospect Park et Sunset Park) ou de remonter Broadway. De vous perdre à Flushing, le quartier asiatique du Queens et de suivre la ligne 7 pour gagner le quartier branché de Long Island City, au bord de l’East River.
Fêtez la musique avec -M- et Émilie Simon
Célébrer la Fête de la Musique à New York, c’est déjà bizarre. Avec Emilie Simon et “M”, ça l’est encore plus!
Les deux artistes seront en ville le 21 juin pour un concert gratuit à Central Park dans le cadre de Summerstage, le festival de musique gratuit dans le parc mythique. Leur venue est organisée par BureauExport et les Services culturels de l’Ambassade de France. Ils marcheront sur les traces d’IAM et de Rakim, venus l’an passé.
L’auteur-compositeur interprète Matthieu Chedid n’a cessé de multiplier les collaborations depuis 1997, date de la sortie de son premier album solo. De Vanessa Paradis à Johnny Hallyday en passant par Sean Lennon, l’artiste ne cesse de surprendre. Réputé pour ses performances “lives” déjantées, le chanteur n’hésite pas à revêtir ses plus beaux costumes pour mettre l’ambiance.
Émilie Simon viendra, quant à elle, présenter son dernier album “Mue”, sorti en mars. Avec son univers onirique, la chanteuse électro-pop ne cesse d’expérimenter de nouveaux sons qui surprennent, charment, enivrent.
101 choses sur New York que le NY Times aimait… en 1976
La radio locale WNYC a mis en ligne, mercredi, un article du New York Times de 1976 sur les 101 choses à aimer à propos de New York. La liste a été exhumée par Nick Carr, le créateur de l’excellent site Scouting New York dans lequel ce professionnel chargé de trouver des lieux de tournage pour les films partage ses découvertes sur la ville.
On y trouve quelques pépites: “quitter New York“, “revenir à New York“, “les touristes japonais” ou encore “les chauffeurs de bus qui prennent un café pendant le trajet, et le restaurateur qui le leur apporte rapidement“. Certains éléments font sourire car ils témoignent d’une époque révolue, comme “le Brooklyn Museum servant des hot dogs de Nathan’s“, la “BMT Sea Beach Line” soit l’ancien nom de la ligne N du subway, ou “mettre l’argent dans le séparateur en plastique des chauffeurs de taxi“.
Etes-vous d’accord avec les “101” du New York Times? On attend vos commentaires…
Vote par Internet: participation dérisoire aux consulaires
Il n’y a pas eu de miracle pour ces premières élections consulaires: la participation au vote par Internet, qui s’est refermé mardi, a été faible. Très faible.
Au total, sur l’ensemble des neuf circonscriptions consulaires américaines, seuls 7,42% des 92.975 électeurs français habilités à voter par Internet ont pris part au scrutin virtuel, emmaillé une nouvelle fois de plus par plusieurs problèmes techniques.
Le meilleur taux de participation a été enregistré dans la circonscription consulaire de Chicago, à 11% (691 votants sur l’ensemble de la période de vote, du 14 au 20 mai). Puis Boston avec 10,5% (556 votants), Washington avec 9% (852 votants), Houston-La Nouvelle Orléans avec 8,5% (552 votants), San Francisco avec 8.2% (1.135 votants), Atlanta avec 8% (344 votants). Miami avec 6,7% (535), New York avec 6,2% (1.424) et Los Angeles avec 5% (815) referment cette marche peu glorieuse.
Dans le reste du monde, la participation est faible aussi, oscillant entre 0,3% aux Comores et 14,6% au Danemark. La participation au niveau mondial atteint 7,08% (80.115 votants).
Le taux de participation final pour les Etats-Unis, qui sera établi après le vote à l’urne du 24 mai, risque donc d’être bas, d’autant que le vote coïncide avec le week-end prolongé de Memorial Day.
Clare Vivier: de Silverlake au Bon Marché
Un mariage entre «le chic parisien intemporel» et « la simplicité californienne”. C’est ainsi que Clare Vivier décrit l’esthétique de ses sacs à main pour working girls élégantes mais débordées. Cette créatrice américaine, francophone et francophile, mariée à un journaliste français rencontré à Paris, est devenue en quelques années la coqueluche des fashionistas outre-Atlantique.
« Lorsque j’ai commencé à faire fabriquer mes sacs dans une usine de la région, c’était surtout pour des raisons pratiques car je débutais et voulais travailler avec quelqu’un sur place. Aujourd’hui, vu le succès de la marque, c’est devenu un vrai choix éthique. Nous avons contribué à la création de plusieurs centaines d’emplois» souligne la jeune femme, dans son atelier lumineux de Silverlake, le quartier hipster et créatif de la Cité des Anges.
Dans son atelier, sur des étagères sont entreposés un peu partout des sacs colorés – bleus, verts, rouges, dorés ou argentés, aux formes, matières et imprimés à la fois classiques et uniques : pochettes pour Ipad en cuir croco, petits sacs à main blancs à pois noirs imprimés, grands cabas en cuir tanné. “Ce qui fait le chic français ? Le fait qu’il ne suive pas les modes, mais qu’il soit capable de durer», estime la créatrice originaire du Minnesota.
Passionnée de mode depuis l’enfance, Clare Vivier a appris à coudre à l’école mais s’est formée au design sur le tas, en parfaite autodidacte. «Au début je travaillais chez moi, dans mon petit bureau où j’avais installé ma machine à coudre. Puis lorsque mes sacs sont devenus plus élaborés, je suis passée par une usine à L.A, avec laquelle nous travaillons d’ailleurs toujours ».
C’est grâce à son blog qu’elle ouvre « pour se faire un nom », que les choses commencent à décoller. Avec le succès de ses ventes, Clare Vivier ouvre une première boutique en 2012 à Silverlake. Puis une seconde à Manhattan, dans le quartier de NoLita, à l’automne dernier, sous le nom de Clare V., pour éviter tout litige avec la marque de chaussures Roger Vivier. Le lancement d’une troisième boutique est également prévu cette année à Los Angeles. Mais Claire Vivier est aussi présente sur le marché français : ses sacs sont vendus au “Bon Marché” depuis ce printemps et le seront à l’automne au sein du concept store éthique « Merci », Boulevard Beaumarchais.
Elle débute aussi un partenariat avec le musée LACMA le 20 mai, au travers du programme Wear LACMA qui demande à un designer de créer des pièces s’inspirant de la collection permanente. De bonnes nouvelles qui n’empêchent pas cette bosseuse de garder les pieds sur terre. « Je sais que dans le milieu de la mode, le vent peut tourner du jour au lendemain. Mais ce qui est formidable, c’est que j’ai toujours eu la chance de pouvoir compter sur le soutien de ma famille dans cette aventure».
L'influence des Afro-Américains dans le Paris des années 20
L’Alliance Française de San Francisco propose une soirée sur l’influence des Afro-Américains à Paris dans les années 1920.
En présence de l’historien et auteur Tyler Stovall et du musicien de jazz basé à Paris (mais né à San Francisco) Farris Smith, l’évènement fait un saut dans le passé. Composé de six courts métrages, en plus des interventions des invités, cette soirée, organisée en partenariat avec la Maison de la Culture Noire Américaine, est une belle occasion pour replonger dans la capitale française des années folles.
Tout au long de la soirée, du vin et de la cuisine légère seront servis aux convives.
Brodinski fait chauffer les platines au Texas
Le nom de Louis Rogé ne vous dit probablement rien. Le DJ français, plus connu sous le nom de Brodinski, sera de passage à El Paso pour une date: le 23 mai.
C’est au 301 Live qu’il se produira. À seulement 27 ans, le Rémois résident au club parisien le Social Club est co-créateur du label Bromance et collabore avec les plus grands -Daft Punk, Gesaffelstein…
Sa musique, proche du TRAP ( mélange entre techno et rap) ne cesse d’étonner – et de détonner également.
Les Expressionnistes s'installent au LACMA
Le Los Angeles County Museum of Art (LACMA) présente “Expressionnisme en Allemagne et en France: De Van Gogh à Kandinsky” du 8 juin au 14 septembre.
À travers plus de 40 artistes, venez découvrir des oeuvres cubistes, fauviste, ou encore post-impressionistes que les expressionnistes comme Wassily Kandinsky, Ernst Ludwig Kirchner, Gabrielle Münter, et Franz Marc, ont pu voir dans des expositions et collections en Allemagne et lors de leurs voyages à Paris.
Pour la première fois, une exposition de grande ampleur présente l’expressionnisme comme un mouvement international -et non pas proprement allemand- dans lequel les artistes ont répondu, avec différentes approches esthétiques, au travail des maîtres modernes tels que Vincent van Gogh, Paul Cézanne et Paul Gauguin.
Marivaux fait coup double à Los Angeles
La troupe du Théâtre Raymond Kabbaz présente “l’Île des Esclaves” et “La Colonie” les 29 et 30 mai.
Ces deux comédies de Pierre Marivaux ont en commun le reversement de l’ordre social. Dans la première, les esclaves deviennent maîtres et vice versa, mais la hiérarchie est rétablie à la fin des onze scènes qui constituent la pièce. Dans la seconde, ce sont les femmes qui s’emparent du pouvoir au détriment des hommes. Avec ses propos modernes, et ses dialogues subtiles, Marivaux pose des questions encore d’actualité.
Michael Jackson brille à Tampa
“Michael Jackson, The Immortal World Tour” débarque à Tampa le 20 mai. Le Cirque du Soleil vous propose une plongée dans l’univers du “King of the Pop” à travers un mélange explosif de danse, d’acrobatie ou encore de chant.
La troupe ne cesse, depuis sa création en 1984, de briller par ses spectacles à la mise en scène époustoufflante et aux numéros qui ne viellissent pas.
Inspiré des shows “live” de la star, le spectacle se présente sous la forme d’un concert. Billie Jean, Thriller, retrouvez les tubes du Michael Jackson avec la créativité de la troupe du Cirque du Soleil. S’adressant aux fans inconditionnels comme aux non-initiés, le show rend hommage à l’icône, tant par les chorégraphies que par la musique – certains des musiciens ont travaillé aux côtés de Jackson.