Accueil Blog Page 1221

"Evita" : un classique de Broadway à Miami

Broadway s’invite à Miami avec la comédie musicale « Evita », en représentation du 27 mai au 1er juin au Adrienne Arsht Center.
Eva Perón, femme du président argentin Juan Perón, a marqué l’histoire de son pays. Cette femme de pouvoir, admirée pour son grand coeur, s’est énormément impliquée dans les réformes sociales de son pays, jusqu’à sa mort prématurée à 33 ans. La comédie musicale « Evita » raconte l’histoire de cette femme exceptionnelle.
Sortie en 1976, elle est la première comédie musicale britannique à avoir obtenu le Tony Award du Meilleur Show musical. En 2012, le show a fait un retour triomphal à Broadway.

Pharrell Williams et Bruno Mars pour un concert "Happy"

Deux soirées avec deux des artistes les plus en vue du moment (Bruno Mars et Pharrell Williams). C’est ce que propose Hollywood Bowl.
Si les notes de la chanson « Happy » résonnent dans votre tête depuis ces derniers mois, alors continuer de chantonner. Car heureux, vous allez l’être lors des concerts du 31 mai et du 1er juin de Pharell Williams et Bruno Mars. Si la cote de popularité du premier a explosé depuis sa collaboration sur le « Get Lucky » des Daft Punk il y a quelques mois, le second, avec des tubes comme « The lazy Song » et « Just the way you are » a su charmer le public. Avec leurs chapeaux et leur bonne humeur contagieuse, les deux chanteurs promettent une belle soirée musicale.

Sexe: leçons françaises pour les Américains

0

Revue de presse. Économie, homophobie et considérations sur l’oreiller sont au programme de la revue de presse de cette semaine.
De la différence entre les Américains et les Français au lit, voilà comment résumer l’article du New York Magazine cette semaine. C’est par le biais d’une conversation entre Maureen O’Connor et Maïa Mazaurette, respectivement auteures des chroniques sexo de New York Magazine et GQ, qu’on en apprend plus sur la manière dont les Français envisagent leurs relations sexuelles. “Je dirais que la principale différence est qu’en France nous sommes beaucoup plus directs. Nous n’avons pas ces rituels de “date”; nous commençons justement avec le sexe! Et puis, si c’était convaincant ou si on se sent connecté, alors nous essayons de construire une relation”.
Les “dates” à l’américaine, un processus bien trop lent pour le Français, véritable chaud lapin : ” Le sexe avec les Américains semble tellement compliqué! Tous ces rencarts! Je pense que si je devais être avec un Américain, je devrais l’éduquer en quelque sorte. Je m’inquiéterais car il serait susceptible de penser que je suis une salope”.
En plus d’être totalement décomplexés et de s’adonner aux plaisirs charnels dès la première rencontre, les Français sont beaucoup plus libres dans leur vie conjugale que les Américains. D’après Maïa Mazaurette, c’est parce que “nous ne relions pas le sexe à l’éthique ou à la morale ou aux valeurs en général”.
Les Français n’ont donc aucun problème avec l’infidélité, on pourrait même affirmer qu’ils sont au-dessus de ça. Leur conception du couple, pour le moins archaïque, distingue clairement le plaisir du foyer familial : “C’est en fait une conception assez ancienne, c’est un peu comme si nous étions à l’époque victorienne, votre mari ou votre femme est la personne avec laquelle vous partagez les enfants, une maison, et de l’argent, mais pour la passion ou un peu d’aventure, vous allez ailleurs. Le couple n’est pas l’endroit pour l’aventure. C’est l’endroit où vous voulez vous sentir en sécurité et regarder Game of Thrones”.
Homophobie en France
L’homophobie est-elle vraiment en train de se répandre en France ? s’interroge, inquiet, Slate. La question intervient peu après la publication du rapport annuel 2013 de SOS Homophobie. Le sujet intéresse et “choque les Américains en raison du préjugé largement répandu que la France est une société tolérante”.  “Le pays est marqué par une mentalité catholique, avec une importante minorité de Français qui s’opposent non seulement à l’homosexualité mais aussi l’avortement et à la contraception”, rappelle le site.
“Pour moi, il n’y a pas de hausse significative de l’homophobie en France. L’augmentation du nombre (…) est davantage une révélation de l’homophobie existante dans le pays que la preuve de son augmentation”, explique Marc Naimark, le porte-parole de la Federation of Gay Games, dans Slate. La hausse de l’homophobie ne serait, selon lui, que l’arbre qui cache la forêt : “Beaucoup plus qu’aux Etats-Unis, la vision qu’à la France d’elle-même est fabriquée par une élite: la classe moyenne et supérieure, blanche, et en grande partie, parisienne”.  Ce qui n’est pas sans conséquence : “En France, si l’élite ne parle pas, et si le gouvernement ne comptabilise pas, il n’existe pas, et ceci s’applique à l’homophobie”.
Kerviel, de retour
Le Wall Street Journal revient sur l’affaire Jérôme Kerviel. Interpellé dimanche à minuit, l’ex-trader de la Société Générale n’a pas fini de faire parler de lui.
Le quotidien rappelle la rencontre, très médiatisée, entre Jérôme Kerviel et le Pape François, et son interpellation directe, face aux caméras, de François Hollande : “L’ancien trader a dit qu’il séjournait en Italie et refusait de se livrer à la police française jusqu’à ce que le président français François Hollande fournisse l’immunité judiciaire à un certain nombre de témoins potentiels dans l’affaire qui le concerne”.
Et si tout le monde attend la réponse du Président, ce dernier ne semble pas pressé d’en donner une: “Interrogé sur la demande de M. Kerviel lors d’un sommet de Paris sur la sécurité au NigeriaM. Hollande a refusé de répondre, disant que le moment n’était pas approprié”.
 
 
 
 
 
 
 
 

Un Français attaque en justice la Florida Atlantic University

Gildas Dousset, un Français de 31 ans installé à Fort Lauderdale, a décidé d’attaquer en justice la Florida Atlantic University (FAU) afin d’obtenir le droit de payer ses frais universitaire en tant que résident de l’Etat.
Etudiant en journalisme, l’intéressé a épousé le 25 juillet 2013 dans le Massachusetts, Paul Rubio, son compagnon de longue date, natif de Floride. En tant qu’époux d’un Floridien, Gildas Dousset devrait, en théorie, payer des frais universitaires s’élevant à 199,54 dollars par crédit. Or l’université le considère comme non-résident et l’oblige à régler 718,09 dollars par crédit.
Selon l’étudiant français, les revenus du couple ne permettent pas de payer ces études si les frais ne sont pas révisés. Avec seulement 12 crédits obtenus dans le cadre de ses études et encore 48 à décrocher pour recevoir son “Bachelor’s degree”, Gildas Dousset juge les dépenses au-dessus de ses moyens. Le jeune homme évoque ainsi une discrimination qui n’aurait pas été de mise s’il avait été une femme.
Gildas Dousset a donc décidé de faire appel à un avocat, George Castrataro, pour tenter de faire plier l’université. Mais pour l’heure cette dernière fait la sourde oreille en se retranchant derrière le fait qu’elle dépend de l’Etat de Floride lequel, suivant une loi votée en 1997, ne reconnaît pas les mariages entre personnes de même sexe. « Florida Atlantic University, et chaque établissement universitaire de l’Etat, est lié aux lois de Floride, à moins que la Cour Suprême ne déclare cela inconstitutionnel, ce qui n’est pas le cas pour le moment », a répondu dans un communiqué Joshua Glazer, vice-président de FAU, en charge de la communication.
L’étudiant français, soutenu par le centre national des Droits pour les gays et lesbiennes basé à San Francisco, ne compte pourtant pas se contenter de cette réponse, estimant qu’il s’agit d’un problème de justice et d’égalité.

Samedi, on vote pour les élections européennes !

Ce week-end, c’est “vacances”. Mais c’est aussi “vote”! Ce samedi 24 mai, les électeurs français aux Etats-Unis sont appelés aux urnes pour élire leurs conseillers consulaires et leurs représentants au Parlement européen.
Alors que le vote par Internet est possible pour les élections consulaires (du 14 au 20 mai), seul le vote à l’urne est prévu pour les européennes. Il faudra vous rendre dans le bureau de vote identifié par courrier par votre Consulat. Il est également possible de voter par procuration (à établir auprès de votre consulat).
Lire: Elections consulaires: à quoi ça sert?
Les Français hors de France voteront pour les candidats de la circonscription Ile-de-France. Trente-et-une listes se disputeront les suffrages. Si vous êtes en France lors du scrutin, il est également de possible de voter dans votre commune de rattachement, à condition d’y être inscrit avant le 31 décembre 2013. Vous voterez alors pour l’un des candidats de la circonscription dans laquelle se situe votre commune de rattachement.

Brodinski à Output

0

Le nom de Louis Rogé ne vous dit probablement rien. Le DJ français, plus connu sous le nom de Brodinski, sera de passage à New York pour une date: le 3 juin.
Sans sursprise, c’est à Output, l’un des clubs “électro” les plus réputés de la Grosse Pomme qu’il se produira. À seulement 27 ans, le Rémois résident au club parisien le Social Club est cocréateur du label Bromance et collabore avec les plus grands -Daft Punk, Gesaffelstein…
Sa musique, proche du TRAP ( mélange entre techno et rap) ne cesse d’étonner – et de détonner également.

Pourquoi appelle-t-on les anonymes "John Doe" aux USA?

“John Doe” ou “Jane Doe” sont les anonymes les plus célèbres des Etats-Unis. Leurs noms sont utilisés pour qualifier les personnes non-identifiées, comme “Monsieur Durand” ou  “Monsieur X” en France. D’où viennent-ils? C’est notre question bête de la semaine.
C’est en 1768, en droit commun anglais, que le nom fait son apparition. C’est le juriste anglais Sir William Blackstone qui l’utilise dans Commentaries on the laws of England. Mais l’expression est sans doute plus ancienne. Paul Dickson dans son livre What’s In A Name? explique que “l’usage de John Doe date du règne du roi britannique Edouard III, d’un débat juridique appelé “the Act of Ejectment”“.
“John Doe” était en réalité un nom inventé par les propriétaires terriens souhaitant faire expulser des squatteurs ou des preneurs de bail peu scrupuleux. Afin d’établir qu’ils étaient bien les propriétaires de la terre disputée, ils préféraient se présenter en justice en se posant comme les expulsés sous le nom de “John Doe” (alors que les accusés étaient nommés “Richard Roe”). L’instruction permettait ultérieurement d’établir qu’ils étaient bien les propriétaires du bien, ce qui les aidait par la suite à faire expulser leur locataire. Pourquoi cette ruse? Cette technique était plus rapide et simple que la procédure d’expulsion traditionnelle.
Leur utilisation vient vraisemblablement du fait que “Doe” et “Roe” désignaient des animaux particulièrement répandus au XIVe siècle en Grande-Bretagne, en l’occurrence la biche et le chevreuil. John était alors le prénom le plus utilisé.
En 1852, John Doe a été utilisé en Amérique du Nord pour désigner  “tout homme dont le nom n’est pas connu” alors que la Grande-Bretagne tend à en conserver l’usage juridique pour désigner le plaignant. Aux Etats-Unis, « Roe » apparait d’ailleurs dans l’arrêt fondateur de la cour suprême « Roe vs Wade ».

Anne-Juliette Maurice, la Lady du Plaza Athénée de New York

Anne-Juliette Maurice entre dans Arabelle, le restaurant coquet du Plaza Athénée, où le petit-déjeuner se termine. “Good Morning Mrs Maurice“, lui lance le personnel. Tirée à quatre épingles, la nouvelle directrice de l’hôtel mythique de la 64e rue n’en revient toujours pas. “Ca fait seulement trois semaines que j’ai commencé et parfois je dois me pincer pour me convaincre que c’est vrai“.
Le Plaza Athénée New York, 142 chambres, propriété du milliardaire thaïlandais Charoen Sirivadhanabhakdi (dont la fortune est estimée à 9,9 milliards de dollars selon Forbes), est une institution. Elle accueille des têtes couronnées, des leaders politiques, des hommes d’affaires et des personnalités du divertissement.
Une femme pour diriger un grand hôtel à New York? C’est rare, mais ça l’est encore plus pour une Franco-américaine –  Mme Maurice est née d’une mère française et d’un père belge, à New York. “Je suis la seule que je connaisse, glisse-t-elle. Il faut une endurance particulière, être disponible 24h sur 24. La plupart des femmes ne veulent pas se plier aux règles du jeu, ou n’en sont pas capables car elles ont des familles et ont trop de choses à faire“.
En écoutant Anne-Juliette Maurice, on comprend pourquoi elle est arrivée là. Exigeante, soignée, courtoise, parfois “choquée” par la désinvolture et l’ “indiscrétion” des Américains, elle ne voyage qu’en Air France, quelle que soit la destination – c’est la seule compagnie aérienne qu’elle trouve rigoureuse. Elle a découvert l’hôtellerie grâce à un ami, qui voyait pour cette diplômée du Lycée français de New York et de l’Université de Hartford, bavarde et pas timide pour un sou, un avenir dans le secteur. Elle entre au Parker Meridien comme directrice des ventes. L’expérience lui plait. C’est le début d’une carrière qui l’emmènera dans les plus grands hôtels et groupes hôteliers: Essex House, Swissotel The Drake, le Langham Place et le Morgans Hotel Group, qui gère à New York le Mondrian et le Hudson Hotel notamment.
De New York à Marne-la-Vallée
Elle effectue une parenthèse française d’un an dans ce parcours dans les hautes sphères de l’hôtellerie. Et non des moindres. En 1991, l’ami qui lui avait mis le pied à l’étrier la contacte avec une nouvelle offre : participer au lancement de Disneyland Paris, à Marne-la-Vallée. Bilingue, elle correspond au profil. “Il m’a dit: tu m’as fait confiance dans le passé. Fais-moi confiance aujourd’hui. C’est une superbe opportunité.” Elle est chargée d’ouvrir l’Hôtel New York, l’un des nombreux hôtels du parc d’attraction. Elle accepte.
Loin de New York, le séjour en France est agité. La règlementation du travail, contraignante. L’atmosphère, pesante. Sur fond d’anti-américanisme, les blocages se succèdent. “Les grèves n’arrêtaient pas, les camionneurs ont bloqué l’entrée de Disneyland car ils disaient qu’on avait pris des terres aux paysans. La SNCF a refusé d’amener le train jusqu’à Marne-la Vallée car ils ne voulaient pas voir des Américains s’installer“, se souvient-elle. Le parc ouvre finalement en 1992. Et Anne-Juliette Maurice ne regrette rien. “C’était une expérience unique. J’ai travaillé avec des gens extraordinaires du monde entier. J’ai passé nuit et jour sur place. On travaillait 17-18h par jour“.
Alors qu’elle prend les commandes du Plaza Athénée New York, elle garde un bout de Marne-la-Vallée en elle. “J’ai pris le sens des formalités des Français avec moi. Notre clientèle ici veut ce respect. On a des clients richissimes. On ne les embête pas, on ne leur pose pas de questions. On ne leur parle que pour les saluer. Ils peuvent facilement rentrer ou sortir sans qu’on leur adresse la parole.
Comme à Disneyland, elle ne compte pas ses heures. “Dans ce métier, c’est comme ça“. Et cela n’est pas près de changer. Elle sera chargée de superviser la rénovation prochaine de l’hôtel. Celui-ci subira une “amélioration” (elle n’aime pas dire “modernisation“), tout en conservant son cachet, hérité des années 20.
Le Plaza Athénée doit aussi ouvrir dans d’autres “grandes villes américaines”, indique Mme Maurice. Celles-ci n’ont pas encore été décidées. “Je veux faire du Plaza Athénée le meilleur hôtel de New York, affirme-t-elle. J’ai toujours eu beaucoup d’énergie, ça vient de l’intérieur. Quand on aime ce qu’on fait, on n’a pas d’heures“.
 

Gagnez des places pour le "Grand départ" d'Eddy Mitchell

French Morning vous fait gagner deux paires de tickets pour le film “Grand Départ”, dont la sortie new-yorkaise aura lieu le 23 mai. Remplissez le formulaire ci-dessous.
Jeune cadre dynamique, Romain (Pio Marmai) est un trentenaire célibataire. Si sa vie professionnelle est une réussite, sa vie personnelle en revanche est morne, pour ne pas dire vide. Au sein de sa famille, il est incompris, discret, et ne fait pas de vagues. Ses parents sont divorcés et sa relation avec son frère se résume parfaitement à cette réplique, prononcée par Romain : “Comment s’entendre quand on ne se comprend pas ?” Lorsque son père (Eddy Mitchell) est atteint d’une folie neurodégénérative, sa vie est chamboulée, son quotidien dérangé. Alors que ce dernier est placé dans une maison de retraite, les deux frères se relaient pour prendre soin de lui. Romain se voit obligé de composer avec le cynisme de son frère.
Nicolas Mercier réalise ici un film qui oscille entre comédie et drame et aborde des sujets profonds comme le deuil, la rivalité entre frères et soeurs et le rapport père-fils.
[gravityform id=”15″ name=”Places Grand Départ” title=”false”]

Neuf Français dans les talk-shows américains

Quand nos bonnes vieilles stars gauloises se confrontent à l’humour grinçant des animateurs de talk-shows américains, c’est toujours un moment spécial. Comme le montre cette sélection, elles sont nombreuses à s’être prêtées à cet exercice. Avec plus ou moins de naturel. La palme de l’aisance revient à Jean Dujardin et Jean Reno!
Laëtitia Casta chez David Letterman
Elle n’a que 21 ans et elle est déjà chez Letterman, sous le charme.
http://www.youtube.com/watch?v=oV0BmUllG78
Jean Dujardin chez Jimmy Fallon
On ne se lasse pas de cette vidéo de Dujardin, en promo américaine pour The Artist, imitant un chameau et Robert De Niro. 

…Et chez Jay Leno
Leno lui demande: “How’s your English?“. Il répond: “Like your French” Quel talent!

Jean Dujardin fait le clown sur le plateau du… by puremedias
Arthur chez Craig Ferguson Le second accuse le premier de l’avoir plagié. Il participe à son show. La TV, c’est une grande famille.

Nicolas Sarkozy chez Charlie Rose
Plus sérieux, Nicolas Sarkozy explique à l’intervieweur star pourquoi il veut être président.

Carla Bruni au Today Show
L’ex première-dame est venue parler en anglais de son CD “Little French Song”… et de son mari bien entendu

Julie Delpy chez Jay Leno
L’actrice française la plus américaine plaisante sur ses galères de parking…

Jean Reno chez Craig Ferguson
Sa blague à la fin de la vidéo n’est pas mal!

Audrey Tautou chez Craig Ferguson
Et voilà Audrey “Tatou” dans le siège de l’interviewé s’étale sur son niveau d’anglais.


Et Marion Cotillard chez Jimmy Fallon…
L’actrice française, en promo pour “Contagion”,parle de Marseille et de cheveux

"Sempre Natura": l'art de la nature à NoHo

Nous vous annoncions au mois de mars l’ouverture de la nouvelle galerie de Christian Duvernois à NoHo. Le paysagiste, qui est en train d’achever le jardin de la boutique Ladurée à Soho, monte une nouvelle exposition à partir du 29 mai.
Lire: La Galerie très “nature” de Christian Duvernois.
“Sempre Natura” explorera le lien entre nature et abstraction à travers six artistes internationaux (peintures, photographies ou encore dessins), depuis les oeuvres classiques des Européens d’après-guerre, comme Guy de Rougemont, aux travaux plus contemporains de Vicky Colombet ou de Jian-Jun Zhang.

FrenchFounders: les patrons francophones se regroupent

FrenchFounders , créé en mars à New York par Benoit Buridant, entend devenir le club des patrons qui parlent français. Un endroit où des fondateurs de start-ups, des directeurs de filiales ou des dirigeants s’échangent des bonnes pratiques ou des contacts, accèdent à des conférences, des événements, rencontrent des investisseurs américains…
Pour mettre du carburant dans FrenchFounders, encore « en phase de pré-lancement », Benoit Buridant peut compter sur son solide carnet d’adresses. Arrivé aux Etats-Unis en 2009, ce juriste de formation est l’un des associés de French District, société qu’il a quittée en 2013.
« FrenchFounders compte déjà une centaine des membres, à New York, San Francisco, Los Angeles, Miami. Et aussi au Canada ou au Brésil », détaille Benoit Buridant, qui s’appuie aussi sur le réseau de ses trois associés, Vincent Deruelle, un entrepreneur basé à Miami, Eric Draghi, patron de la start-up 1000passions, et Philippe Finkelstein, fondateur de Cross Border Networks.
L’objectif de Benoit Buridant, qui se consacre à FrenchFounders à plein temps, est de monter en puissance avec de nouveaux services pour ses membres : tarifs négociés pour des chambres d’hôtel, locations de bureaux, formations ou conseils d’experts…
Mais Benoit Buridant le répète : il souhaite que FrenchFounders reste « haut-de-gamme, exclusif ». Le prix de l’adhésion, pour le moment, est de 599 dollars par an. « Le réseau est réservé aux fondateurs, CEO, ou aux dirigeants qui ont un rôle clé dans une entreprise. » Toutes les candidatures ne sont pas acceptées. Chaque patron doit pouvoir justifier sa valeur ajoutée.