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La FACC de Dallas organise le 8ème forum sur l'aérospatiale

La Chambre Franco-Américaine de Commerce de Dallas organise une conférence sur le thème de l’aérospatiale le 29 mai au Frontiers of Flight Museum.
En abordant le sujet d’un point de vue financier, cette conférence tente de répondre à la question: quelle est l’impact économique de l’aérospatiale aux Etats-Unis? De nombreux intervenants d’entreprises clé du secteur telles que Safran USA, Airbus Helicopter ou encore Dallas Airmotive. La journée se déroulera de 7h45 à 14h.
 

Bolloré fera rouler ses voitures en libre-service à Indianapolis

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Les Autolib parisiennes débarquent dans l’Indiana. Lundi 19 mai, Vincent Bolloré, président du Groupe Bolloré, a présenté le service d’auto-partage électrique que sa société va mettre en place d’ici huit mois à Indianapolis, sous les auspices du maire Greg Ballard.
Le service, baptisé Blueindy, représente un investissement de “près de 35 millions de dollars” pour le groupe Bolloré, qui loue, dans son communiqué de presse, ce “projet de grande envergure, consistant à déployer le plus grand service d’auto-partage de véhicules électriques aux Etats-Unis”. Ce type de service existe déjà dans deux villes, à San Diego et à San Francisco.
Le service Blueindy d’Indianapolis comprendra à terme “500 véhicules électriques et 200 stations de location” pour cette ville de 800.000 habitants. Vincent Bolloré a déclaré lundi que le tarif de la location serait d’environ 10 dollars par heure.
C’est la première fois que Bolloré exporte à l’étranger son service d’auto-partage, proposé à Paris, Lyon, et Bordeaux (3.000 véhicules au total).
 

La rôtisserie parisienne Coq Rico arrive à New York

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Coq Rico, la “bistrôtisserie” de la rue Lepic à Paris s’exporte aux États-Unis. C’est à New York que le premier restaurant américain ouvrira à une date non annoncée pour le moment.
La rôtisserie s’installera dans le quartier du Flatiron District au 32 East 20th St, entre Park Avenue South et Broadway, selon plusieurs médias new-yorkais. Appelé “le bistrôt des bonnes volailles”, il est dirigé par le chef Antoine Westermann, qui a gagné trois étoiles au Michelin au retaurant Le Buerehiesel à Strasbourg, qu’il a quitté en 2006. Au menu: terrine, volailles et de bonnes pommes-frites.
Le restaurant parisien figure dans le top 50 des bonnes adresses de Time Out Paris. On peut y partager un poulet entier pour deux à quatre personnes pour… 95 euros.
 
 

Jeux de foires et bijoux de famille au prochain Duckathlon

Oyez, oyez, amateurs de bonnes chères, épicuriens et bons vivants ! Le 14 juin, D’Artagnan ouvre pour la première fois au public son fameux Duckathlon. Un événement esprit banquet et foire du village, organisé à New York depuis 15 ans par cette société de viandes et de foie gras, autrefois réservé aux professionnels de la restauration.
Pour 60 dollars par personne, chacun pourra se remplir la panse de lapins aux chanterelles, magrets au foie gras ou autres plats mitonnés par de grands chefs (Francois Payard, Jacques Torres, Guy Reuge….) présents pour l’occasion. Surtout, les visiteurs seront invités à participer aux 25 épreuves concoctées par D’Artagnan, en équipe ou en solo, sur les stands des producteurs.
Quelques exemples ? Reconstituer un porcelet à partir de différents morceaux, marcher avec des palmes de canard, ou attribuer une douzaine de paires de testicules à un lapin, une caille ou encore un taureau. “Et ce n’est pas parce qu’un animal est petit que ses bijoux de famille le sont aussi”, prévient Ariane Daguin.
Il y aura aussi des défis gustatifs : distinguer du foie gras de la mousse de foie, reconnaitre la saveur du poulet, du lapin ou du veau, nommer des gibiers… Jean Reno y est attendu et fera tester ses huiles d’olives.
Sur scène, des chefs feront des démonstrations en public : comment désosser un canard, le farcir et le recoudre en quelques instants, réussir un glaçage au chocolat minute, poêler une omelette parfaite. “On fera aussi le concours du chef qui arrive à monter le plus vite une mayonnaise”, affirme Ariane Daguin.
“L’idée, c’est de s’amuser et de découvrir des choses sur l’élevage des animaux et la nourriture”, poursuit-elle. En revanche, comme l’alcool coulera à flot (tout est inclus dans le prix), la réglementation interdit aux enfants de participer, regrette la patronne.
A la fin de la journée, et s’ils tiennent toujours debout, les gagnants du tournoi emporteront des lots de victuailles – jambons, foies gras, caisses d’Armagnac… “Il va y avoir de l’ambiance”, prédit Ariane Daguin, avec son accent gascon. “Normalement, on ne devrait pas pleurer.”
 

A San Francisco, huit start up françaises rêvent d'Amérique

Vendredi, au Taj Campton Place Hotel dans le centre de San Francisco, ils ont quatre minutes pour “pitcher” leur produit puis deux minutes pour répondre aux questions.
Sur l’estrade, huit fondateurs de start-up se succèdent. “Nous pensons que la bannière publicitaire est dépassée, nous proposons une nouvelle plateforme de publicité digitale” lance Jean-Marc Pericone, le CEO de Sublime Skinz, une entreprise créée à Paris en 2012 et spécialiste de l’habillage publicitaire des sites internet.
Avec son co-fondateur, Jerem Febvre, ils vont passer dix semaines à peaufiner leur argumentaire commercial et enchainer les rendez-vous avec des clients potentiels. Leur entreprise fait partie des huit start-up françaises selectionnées pour intégrer ubi i/o, un programme d’accélération concocté par UBIFRANCE et la BPI (Banque publique d’investissement).
Pendant 10 semaines, les fondateurs de ces sociétés éditeurs de logiciel, spécialistes du marketing et de « big data » vont se former aux techniques du business à l’américaine et tenter de percer.“Le marché est 12 fois plus important ici, on venait juste pour voir mais maintenant, on se dit qu’on va ouvrir un bureau” explique Jerem Febvre.
Même enthousiasme chez Contract Live, un éditeur de logiciel qui permet de gérer toutes les étapes d’un contrat : conception, négociation, signature. “Avec ce programme, on fait en dix semaines ce qui nous aurait pris six mois si on était tout seul” raconte Mathieu Lhoumeau, le fondateur. “On a des rendez-vous prévus avec Oracle, Salesforce, Samsung, on a deja rencontré des responsables de grandes universités”, poursuit-il.
Car la force de ubi i/o, c’est justement l’aspect commercial. “On se démarque des autres accélérateurs parce qu’on ne fait pas que du coaching, on aide aussi ces start-up à obtenir des rendez-vous, au moins trois ou quatre par jour” explique Stéphane Alisse, le directeur d’UbiFrance à San Francisco, en charge du programme.
Nicolas Dufourcq a fait le déplacement lui aussi pour venir écouter ces jeunes entrepreneurs : “je n’ai aucun problème à financer des start-up françaises qui viennent s’installer dans la Silicon Valley” lance le directeur de la BPI, qui finance l’accélérateur. “La France est un petit pays. Pour moi le modèle c’est : la recherche en France, le marché aux Etats-Unis et la cotation en bourse au Nasdaq”.
 
 
 

Consulaires et européennes: les bureaux de vote à San Francisco

Ce samedi 24 mai, les Français des Etats-Unis sont appelés aux urnes pour élire leurs conseillers consulaires et leurs représentants au Parlement européen.
Voici la liste des bureaux de vote pour la circonscription consulaire de San Francisco (Californie du nordle Nevada du nord, Alaska, Hawaii, Idaho, Montana, Oregon, Utah, Washington, Wyoming, et les îles du Pacifique sous juridiction américaine). Votre bureau de vote vous sera communiqué par courrier.
– French American International School of Portland (8500 NW Johnson St, Portland, OR 97229)
– Consulat général de France à San Francisco (88 Kearny St #600, San Francisco, CA 94108)
– Ecole franco-américaine du Puget Sound (3795 E Mercer Way Mercer Island, WA 98040)

Consulaires et européennes: les bureaux de vote à New York

Ce samedi 24 mai, les Français des Etats-Unis sont appelés aux urnes pour élire leurs conseillers consulaires et leurs représentants au Parlement européen.
Voici la liste des bureaux de vote pour la circonscription consulaire de New York (New York, New Jersey, Connecticut, Bermudes). Votre bureau de vote vous sera communiqué par courrier.
– Consulat général de France à New York (934 5th Ave, New York, NY 10021)
– Ecole internationale de Brooklyn (477 Court St Brooklyn, NY 11231)
– Ecole franco-américaine de New York à Mamaroneck (525 Fenimore Rd, Mamaroneck, NY 10543)
– French American Academy à Jersey City (209 3rd St, Jersey City, NJ 07302)
– Agence consulaire de France à Princeton (604 Princeton-Kingston Road, Princeton, NJ 08540)
– Agence consulaire de France à Hamilton (Mintflower,  8 Par-la-Ville Road, Hamilton HM 08)

La Louisiane tombe dans le panneau (bilingue)

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Des panneaux de signalisation bilingues. Voilà ce que réclame la Louisiane.
Stephane Ortego, élu démocrate de Louisiane et lui même francophone,  est à l’origine d’une proposition de loi allant de ce sens. C’est après avoir effectué un voyage dans la province du Nouveau Brunswick, au Canada, où tous les panneaux de signalisation sont écrits en français et en anglais, que l’idée lui est venue.
Depuis une semaine, certains comtés sont déjà autorisés à traduire dans le français local l’ensemble de leurs panneaux de signalisation. Cette initiative, soutenue par plusieurs collègues de l’élu démocrate originaire de l’Acadiana, une vaste région de la Louisiane francophone, est en passe d’être adoptée par plusieurs communes. Et même si le gouverneur républicain Bobby Jindal dispose d’un droit de véto, il ne devrait pas l’utiliser, connaissant l’importance de la langue dans la culture locale.
L’Etat du sud, au même titre que l’Est du Canada, compte de nombreux descendants d’Acadiens, eux-même descendants des colons français.

"Evita" : un classique de Broadway à Miami

Broadway s’invite à Miami avec la comédie musicale « Evita », en représentation du 27 mai au 1er juin au Adrienne Arsht Center.
Eva Perón, femme du président argentin Juan Perón, a marqué l’histoire de son pays. Cette femme de pouvoir, admirée pour son grand coeur, s’est énormément impliquée dans les réformes sociales de son pays, jusqu’à sa mort prématurée à 33 ans. La comédie musicale « Evita » raconte l’histoire de cette femme exceptionnelle.
Sortie en 1976, elle est la première comédie musicale britannique à avoir obtenu le Tony Award du Meilleur Show musical. En 2012, le show a fait un retour triomphal à Broadway.

Pharrell Williams et Bruno Mars pour un concert "Happy"

Deux soirées avec deux des artistes les plus en vue du moment (Bruno Mars et Pharrell Williams). C’est ce que propose Hollywood Bowl.
Si les notes de la chanson « Happy » résonnent dans votre tête depuis ces derniers mois, alors continuer de chantonner. Car heureux, vous allez l’être lors des concerts du 31 mai et du 1er juin de Pharell Williams et Bruno Mars. Si la cote de popularité du premier a explosé depuis sa collaboration sur le « Get Lucky » des Daft Punk il y a quelques mois, le second, avec des tubes comme « The lazy Song » et « Just the way you are » a su charmer le public. Avec leurs chapeaux et leur bonne humeur contagieuse, les deux chanteurs promettent une belle soirée musicale.

Sexe: leçons françaises pour les Américains

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Revue de presse. Économie, homophobie et considérations sur l’oreiller sont au programme de la revue de presse de cette semaine.
De la différence entre les Américains et les Français au lit, voilà comment résumer l’article du New York Magazine cette semaine. C’est par le biais d’une conversation entre Maureen O’Connor et Maïa Mazaurette, respectivement auteures des chroniques sexo de New York Magazine et GQ, qu’on en apprend plus sur la manière dont les Français envisagent leurs relations sexuelles. “Je dirais que la principale différence est qu’en France nous sommes beaucoup plus directs. Nous n’avons pas ces rituels de “date”; nous commençons justement avec le sexe! Et puis, si c’était convaincant ou si on se sent connecté, alors nous essayons de construire une relation”.
Les “dates” à l’américaine, un processus bien trop lent pour le Français, véritable chaud lapin : ” Le sexe avec les Américains semble tellement compliqué! Tous ces rencarts! Je pense que si je devais être avec un Américain, je devrais l’éduquer en quelque sorte. Je m’inquiéterais car il serait susceptible de penser que je suis une salope”.
En plus d’être totalement décomplexés et de s’adonner aux plaisirs charnels dès la première rencontre, les Français sont beaucoup plus libres dans leur vie conjugale que les Américains. D’après Maïa Mazaurette, c’est parce que “nous ne relions pas le sexe à l’éthique ou à la morale ou aux valeurs en général”.
Les Français n’ont donc aucun problème avec l’infidélité, on pourrait même affirmer qu’ils sont au-dessus de ça. Leur conception du couple, pour le moins archaïque, distingue clairement le plaisir du foyer familial : “C’est en fait une conception assez ancienne, c’est un peu comme si nous étions à l’époque victorienne, votre mari ou votre femme est la personne avec laquelle vous partagez les enfants, une maison, et de l’argent, mais pour la passion ou un peu d’aventure, vous allez ailleurs. Le couple n’est pas l’endroit pour l’aventure. C’est l’endroit où vous voulez vous sentir en sécurité et regarder Game of Thrones”.
Homophobie en France
L’homophobie est-elle vraiment en train de se répandre en France ? s’interroge, inquiet, Slate. La question intervient peu après la publication du rapport annuel 2013 de SOS Homophobie. Le sujet intéresse et “choque les Américains en raison du préjugé largement répandu que la France est une société tolérante”.  “Le pays est marqué par une mentalité catholique, avec une importante minorité de Français qui s’opposent non seulement à l’homosexualité mais aussi l’avortement et à la contraception”, rappelle le site.
“Pour moi, il n’y a pas de hausse significative de l’homophobie en France. L’augmentation du nombre (…) est davantage une révélation de l’homophobie existante dans le pays que la preuve de son augmentation”, explique Marc Naimark, le porte-parole de la Federation of Gay Games, dans Slate. La hausse de l’homophobie ne serait, selon lui, que l’arbre qui cache la forêt : “Beaucoup plus qu’aux Etats-Unis, la vision qu’à la France d’elle-même est fabriquée par une élite: la classe moyenne et supérieure, blanche, et en grande partie, parisienne”.  Ce qui n’est pas sans conséquence : “En France, si l’élite ne parle pas, et si le gouvernement ne comptabilise pas, il n’existe pas, et ceci s’applique à l’homophobie”.
Kerviel, de retour
Le Wall Street Journal revient sur l’affaire Jérôme Kerviel. Interpellé dimanche à minuit, l’ex-trader de la Société Générale n’a pas fini de faire parler de lui.
Le quotidien rappelle la rencontre, très médiatisée, entre Jérôme Kerviel et le Pape François, et son interpellation directe, face aux caméras, de François Hollande : “L’ancien trader a dit qu’il séjournait en Italie et refusait de se livrer à la police française jusqu’à ce que le président français François Hollande fournisse l’immunité judiciaire à un certain nombre de témoins potentiels dans l’affaire qui le concerne”.
Et si tout le monde attend la réponse du Président, ce dernier ne semble pas pressé d’en donner une: “Interrogé sur la demande de M. Kerviel lors d’un sommet de Paris sur la sécurité au NigeriaM. Hollande a refusé de répondre, disant que le moment n’était pas approprié”.
 
 
 
 
 
 
 
 

Un Français attaque en justice la Florida Atlantic University

Gildas Dousset, un Français de 31 ans installé à Fort Lauderdale, a décidé d’attaquer en justice la Florida Atlantic University (FAU) afin d’obtenir le droit de payer ses frais universitaire en tant que résident de l’Etat.
Etudiant en journalisme, l’intéressé a épousé le 25 juillet 2013 dans le Massachusetts, Paul Rubio, son compagnon de longue date, natif de Floride. En tant qu’époux d’un Floridien, Gildas Dousset devrait, en théorie, payer des frais universitaires s’élevant à 199,54 dollars par crédit. Or l’université le considère comme non-résident et l’oblige à régler 718,09 dollars par crédit.
Selon l’étudiant français, les revenus du couple ne permettent pas de payer ces études si les frais ne sont pas révisés. Avec seulement 12 crédits obtenus dans le cadre de ses études et encore 48 à décrocher pour recevoir son “Bachelor’s degree”, Gildas Dousset juge les dépenses au-dessus de ses moyens. Le jeune homme évoque ainsi une discrimination qui n’aurait pas été de mise s’il avait été une femme.
Gildas Dousset a donc décidé de faire appel à un avocat, George Castrataro, pour tenter de faire plier l’université. Mais pour l’heure cette dernière fait la sourde oreille en se retranchant derrière le fait qu’elle dépend de l’Etat de Floride lequel, suivant une loi votée en 1997, ne reconnaît pas les mariages entre personnes de même sexe. « Florida Atlantic University, et chaque établissement universitaire de l’Etat, est lié aux lois de Floride, à moins que la Cour Suprême ne déclare cela inconstitutionnel, ce qui n’est pas le cas pour le moment », a répondu dans un communiqué Joshua Glazer, vice-président de FAU, en charge de la communication.
L’étudiant français, soutenu par le centre national des Droits pour les gays et lesbiennes basé à San Francisco, ne compte pourtant pas se contenter de cette réponse, estimant qu’il s’agit d’un problème de justice et d’égalité.