Pour sa première édition, “The French Film Festival USA” d’UniFrance proposera six films français dans dix villes américaines. Rendez-vous à Dallas, Los Angeles ou encore New York du 2 au 5 juin ! Des dates supplémentaires seront annoncées bientôt.
Sélection :
“la Grande Boucle” : Licencié par son patron et quitté par sa femme, François, passionné du Tour de France, part faire la Grande Boucle avec un jour d’avance sur les pros. D’abord seul, il est vite rejoint par d’autres, inspirés par son défi.
“Comme un lion”: À 15 ans, Mitri vit dans un village au Sénégal et rêve de devenir joueur de foot professionnel. Lorsqu’un agent recruteur le repère, Mitri croit en sa chance. Mais pour partir à l’assaut des grands clubs européens, il faut payer. La famille se cotise et s’endette pour l’aider. Une fois à Paris cependant, le rêve tourne au cauchemar.
” Jappeloup” : Au début des années 1980, Pierre Durand abandonner sa carrière d’avocat pourtant prometteuse pour se consacrer pleinement à sa passion: le saut d’obstacles. Soutenu par son père, il mise tout sur un jeune cheval auquel personne ne croit vraiment : Jappeloup.
“20 ans d’écart”: À 38 ans, Alice Lantins est belle, ambitieuse et fait preuve d’une impeccable conscience professionnelle au point d’en oublier sa vie privée. Elle a tout pour devenir la prochaine rédactrice-en-chef du magazine « Rebelle », tout sauf son image de femme coincée. Mais lorsque le jeune et charmant Balthazar, à peine 20 ans, va croiser son chemin le regard de ses collègues va radicalement changer. Réalisant qu’elle détient la clé de sa promotion, Alice va feindre la comédie d’une improbable idylle.
“À coeur ouvert”: Mariés depuis dix ans, Mila et Javier ont deux passions : leur amour et leur métier. Ils sont tous deux chirurgiens. Lorsque Mila tombe enceinte, contre toute attente, la perspective d’un enfant remet en cause l’équilibre de leur relation. Le penchant pour l’alcool de Javier devient alors une réelle menace…
” Au bout du conte”: Il était une fois une jeune fille qui croyait au destin, au grand amour et aux signes ; une femme qui rêvait d’être comédienne et désespérait d’y arriver un jour ; un jeune homme qui croyait en son talent de compositeur mais ne croyait pas beaucoup en lui.
French Film Festival USA: première!
Les meilleurs vins français en dégustation à Miami
Le restaurant italien Toscana Divino organise une dégustation des meilleurs vins français le 21 mai.
Plus habitué aux vins de Toscane qu’aux vins de l’Hexagone, l’établissement, et le sommelier Sergio Russo en tête, proposent aux intéressés de goûter les vins qui font notre fierté nationale : Rosé Côtes de Provence, Sancerre, Poully Fuissé, Bordeaux et Bourgogne. Tous ces vins seront accompagnés de mets se mariant parfaitement avec les différentes nuances subtiles que l’on retrouve dans un verre.
Election consulaire à Los Angeles: les candidats se présentent
Les élections consulaires, ça vous dit quelque chose? Si vous lisez French Morning, vous savez que les Français d’Amérique votent dès ce mercredi 14 mai par Internet pour se choisir des conseillers consulaires, des élus de proximité qui siègeront auprès de chaque consulat.
Cinq sièges sont en jeu dans la circonscription de Los Angeles (Arizona, Sud de la Californie, Colorado, Sud du Nevada, Nouveau Mexique).
Lire: Elections consulaires: à quoi ça sert?
A cette occasion, French Morning a posé trois questions aux deux têtes-de-liste dans la circonscription de Los Angeles pour connaitre leurs propositions et leur parcours. Voici leurs réponses:
– Claude Girault, tête-de-liste de « Rassemblement des Français du Sud-Ouest américain »
– Gérard Michon, tête-de-liste de « Français du Sud-ouest américain : Union républicaine de la droite et du centre (UFE et UMP) ».
Pour rappel, les élections consulaires ont lieu du 14 au 20 mai jusqu’à midi heure de Paris pour le vote par Internet et en personne à l’urne le 24 mai (dans le bureau indiqué par courrier par votre consulat). A noter que le 24 mai, nous voterons aussi pour les élections européennes. NB: seul le vote à l’urne est possible pour ce scrutin. Les Français hors de France ont été rattachés à la circonscription d’Ile-de-France dont les candidats sont ici.
Les Gipsy Kings sous le soleil de LA
Le plus célèbre des groupes gitans, les Gipsy Kings, entame une tournée aux Etats-Unis pour célébrer ses vingt cinq années de succès. Le groupe se produira à Los Angeles le 30 août.
Les Gipsy Kings, interprètes du tube planétaire « Bamboleo », sont toujours au top de leur forme. En 1987 sortait aux Etats-Unis leur disque «Gipsy Kings ». Vingt cinq ans après, le succès est toujours au rendez-vous pour ce groupe originaire du sud de la France. Issus de deux familles, les Reyes et les Baliardo, qui ont fui la guerre civile espagnole, les Gipsy Kings se composent aujourd’hui de huit membres, dont cinq frères. Repérés par Brigitte Bardot dans les années 1970, le groupe s’est depuis produit dans de nombreux pays.
Cette année, leur dernier album « Savor Flamenco » a remporté un Grammy dans la catégorie « Best World Music Album ». Les Gipsy Kings sont le premier groupe gitan a avoir été certifié disque d’or aux Etats-Unis.
Décorexpat: une solution sur-mesure pour rénover à distance
(Article Partenaire) Il fallait une ancienne “expat” pour imaginer ce service! Diane Lafleche a créé Décorexpat, agence de décoration d’intérieur au service des expatriés.
Expatriée pendant onze ans, de Athènes à Moscou, en passant par Amsterdam, elle est revenue à Paris en 2011, forte d’une expérience unique et d’une idée nouvelle: offrir aux expatriés propriétaires en France, ou souhaitant acheter, une solution sur-mesure pour rénover et décorer leur bien tout en habitant à des milliers de kilomètres.
“21% des expatriés conservent une résidence principale en France et 15% possèdent un investissement locatif” souligne Diane Lafleche, qui a quitté sa carrière de manager dans un grand groupe international pour créer Décorexpat. “Rénover ou décorer son bien permet de le valoriser ou de l’utiliser comme pied a terre mais cela est très difficile à faire à distance. Les acteurs traditionnels s’adaptent mal aux besoins d’un client qui ne peut se rendre régulièrement sur le chantier parce qu’il habite loin”.
Diane Lafleche a donc mis au point un ensemble de services, adaptés aux expatriés, pour les accompagner tout au long de leur projet de rénovation:
Grâce à la Visite Conseil réalisée au cours d’un déplacement à Paris, les clients obtiennent en une fois des conseils et astuces déco pour répondre à leur problématique d’aménagement et de décoration de leur espace.
2. Avant-Projet: Visite Conseil et création d’un dossier personnalisé de décoration d’intérieur comprenant des propositions de nouvel agencement, planches d’ambiance, vues 3D, mobilier, et échantillons.
Grâce à la prestation Avant-Projet, les clients sont sûrs de leurs choix car ils les ont visualisés et ils ont toutes les cartes en mains pour démarrer leur projet avec leurs propres entrepreneurs ou ceux proposés par Décorexpat.
3. Projet Final: Recherche de prestataires, demande de devis, suivi des dépenses, compte-rendus réguliers sur l’avancée des travaux, lien entre le client et ses entrepreneurs.
Grâce à la prestation Projet Final, Décorexpat simplifie les échanges avec les entrepreneurs. Les clients sont informés comme s’ils étaient sur place et peuvent intervenir rapidement malgré leur éloignement. Ils évitent ainsi des frais et de la fatigue supplémentaire.
4. Achat de mobilier: Préselection des articles et magasins correspondant aux besoins du client et/ou gestion des achats.
Grâce à la prestation Achat de mobilier, Décorexpat évite à ses clients de longues heures de recherche du mobilier souhaité et les supplée pour les livraisons et l’aménagement.
5. Home Staging (valorisation à moindre coût): diagnostic et réalisation!
Grâce au Home Staging les clients louent ou vendent sereinement leur bien aux meilleures conditions.
Avec Décorexpat, la déco à Paris devient facile!
Un nouveau décor from Decorexpat on Vimeo.
Pourquoi ces bonbonnes de nitrogène dans les rues de New York ?
Vous les avez sans doute observés, un peu interloqué. Hauts de plus d’un mètre cinquante, argentés, reliés au sol par un tuyau, et laissant parfois suinter un nuage de fumée : on croise souvent de beaux réservoirs de nitrogène liquide (azote) dans les rues de New York.
A quoi servent-ils ? Non, pas à asphyxier les rats. Ni à nettoyer l’air des égouts. Le nitrogène liquide (une substance inodore, non inflammable, et très très froide) est une substance qui, injectée dans l’air, se transforme en gaz, et sert à pressuriser les câbles souterrains. Et éviter ainsi les court-circuits liés à l’humidité.
Verizon est le principal propriétaire de ces charmants objets urbains. « Nous avons mis en place un vaste programme pour pressuriser nos câbles », affirme, dans un e-mail, le service de presse de Verizon, qui rappelle que la pressurisation permet « de maintenir les câbles secs, mais aussi de détecter un problème potentiel ».
A New York, cette mise sous pression est réalisée de façon centralisée, depuis le QG de l’entreprise. Mais dans certains cas, Verizon a besoin d’injecter une dose supplémentaire, lorsque des cables sont particulièrement menacés par « l’eau, la moisissure, l’humidité ». C’est là qu’interviennent les bonbonnes. « Nous utilisons aussi ces réservoirs lorsque nous travaillons sur un câble à un endroit particulier, ou que la pression centralisée a été diminuée ou coupée. »
Et pour ceux qui se demandent s’il est sûr de les cotoyer: « Nous n’avons jamais entendu parler d’une personne blessée par l’explosion d’un réservoir (…). On ne pourra jamais s’assurer qu’une voiture ne va pas enfoncer l’une de ces bonbonnes, mais nous prenons toutes les précautions nécessaires avant d’installer ce matériel dans la rue », ajoute Verizon.
Il vaut mieux. En effet, si les explosions de réservoirs de nitrogène liquide sont rares, elles existent. Ainsi, une bonbonne a explosé, en 2006, à l’université Texas A & M causant de gros dégâts matériels. Verizon assure exercer une surveillance rapprochée de son matériel. « Des personnes inspectent régulièrement les réservoirs, notamment la nuit. »
Rappelons aussi que le nitrogène, inoffensif, est l’autre nom de l’azote, la composante principale de l’air que nous avalons. Ouf, on peut respirer.
Aux Petits Chapelais, repaire d'enfants et de stars
« Est-ce que c’est la boutique que l’on voit dans la série Girls? » demande un client en entrant dans les Petits Chapelais, un magasin d’habits pour enfants sur Sullivan Street, à SoHo.
Dominique Simonneaux, la propriétaire des lieux, est habituée à cette question. Ceux qui connaissent la série de HBO sauront que Jessa, la bohème du groupe, travaille pendant quelques épisodes de la saison 3 (la dernière diffusée) dans la boutique de la Française, où elle s’ennuie d’ailleurs.
« L’équipe est venue trois jours pour le tournage, il y avait plus de 100 personnes qui travaillaient dans la rue, personne n’avait vu ça ici », s’amuse-t-elle. Et elle a bien failli jamais le voir. « Quand j’ai eu la production au téléphone, je n’ai pas compris qui ils étaient, je leur ai dit que je n’avais pas le temps et qu’ils pouvaient me rappeler plus tard », raconte Dominique Simonneaux. Heureusement, son employée l’a poussée à accepter l’opportunité.
Quand ça n’est pas l’équipe de Girls, Dominique Simonneaux accueille Julia Roberts, Sarah Jessica Parker ou encore Kim Kardashian, venue “faire du repérage“. Preuve que la boutique de la Française a de quoi séduire. Le passage des stars ne l’impressionne pas, elle qui, la plupart du temps, ne les reconnait même pas. « Une fois j’ai discuté avec une femme très gentille, on a beaucoup rigolé et on a commencé à se raconter plein de choses… » – il s’agissait de l’actrice Sandra Bullock.
Mais Les Petits Chapelais ne se résument pas à un défilé de stars. Ici, on trouve des habits originaux, soigneusement sélectionnés Dominique Simonneaux et son flair. « Je pense que les gens en ont marre des grands magasins et que leurs enfants aient les mêmes habits que tout le monde ». Même la grande prêtresse de la mode US, Donna Karan aurait complimenté Dominique Simonneaux pour ses choix.
Cette ancienne danseuse contemporaine est d’abord venue aux Etats-Unis pour poursuivre sa carrière. Une fois enceinte, elle s’est mise à confectionner un trousseau pour bébé, aidée par sa soeur. « Tout est parti de là, quand je sortais dans la rue avec ma fille, tout le monde me faisait des compliments ». Elle ouvre sa boutique en septembre 2001. « J‘ai vu les tours tomber, et au début ça a été très dur, les gens n’osaient plus sortir de chez eux ».
Il y a un an, la boutique déménageait quelques numéros plus loin sans en informer personne. « Les clients étaient très contents de retrouver la boutique, ils voulaient m’embrasser » raconte-t-elle.
L’inspiration et la sélection des créateurs lui viennent naturellement. « Je n’ai pas la télé et je ne regarde pas les magazines, mes choix sont instinctifs ». Ca paie. Au point où ses clients lui disent: “Quand on rentre dans votre boutique, ça nous donne envie de faire des enfants!”
La France protège ses bijoux de famille
Revue de presse. Si l’on en croit la presse américaine cette semaine, la France se méfie des investisseurs étrangers, surtout américains.
La chaîne CNBC fait le point sur les relations compliqués, qualifiées de « bad romance » entre la France et ses entreprises : « la France semble avoir le talent et le savoir-faire pour encourager la création d’entreprises technologiques prospères, mais lorsqu’il s’agit de les faire rester, les chiffres sont moins impressionnants». En cause, un protectionnisme qui empoisonne le quotidien des entreprises : « Les start-ups qui restent, comme le site de partage de vidéos Dailymotion, ont pu faire l’expérience de la force du protectionnisme français, pour le meilleur ou pour le pire » , rappelle le journaliste. L’article reconnaît que la France s’est lancée dans une offensive de charme pour retenir des talents sur le territoire, notamment en nommant un secrétaire d’Etat au Digital, et lors de la visite du Président français à San Francisco.
Mais la barrière financière joue en notre défaveur : « Contrairement aux Etats-Unis, la France et l’Europe en général manquent d’une plateforme pour les investissements dans les nouvelles technologies ». Le problème? Il n’y a pas d’acheteurs potentiels en France et en Europe, ce qui fait qu’une start-up n’a d’autre choix que d’aller tenter sa chance aux Etats-Unis.
La législation du travail est elle aussi un problème car elle n’est pas adaptée. Enfin, le site affirme que la culture entrepreneuriale n’est pas très développée en France. Aux Etats-Unis, échouer avant d’avoir du succès n’est pas grave : cela apporte même plus de légitimité. Mais l’article conclut sur une touche optimiste : « Les choses sont en train de changer en France… »
Protectionnisme
Dans un éditorial, le New York Times s’en prend aussi à la politique jugée « protectionniste » de la France. « François Hollande, en février, a dit aux cadres d’entreprises étrangères que le pays était ouvert au business. Malheureusement, les membres de son gouvernement semblent fermer la porte», commence l’article en référence au dossier Alstom.
En effet, Arnaud Montebourg a déclaré récemment qu’il serait mieux que le géant français soit racheté par une entreprise européenne, ce qui hérisse les poils de nos amis américains. « Cet argument protectionniste peut seulement décourager les entreprises non européennes à investir en France ». Et ça n’est pas la première fois que la situation se présente : « les officiels français ont toujours cherché à bloquer les acquisitions étrangères d’entreprises qu’ils considèrent comme des fleurons nationaux ». L’année dernière déjà, François Hollande avait mis un frein à l’acquisition de de Dailymotion par Yahoo. Il y a dix ans, c’est Nicolas Sarkozy, ministre des finances à l’époque, qui s’était opposé à une offre de l’allemand Siemens d’investir dans Alstom.
Pour les Américains, le New York Times en tête, cette stratégie n’est pas la bonne à adopter : « Les officiels français ne devraient pas simplement bloquer l’offre de General Electric parce que l’entreprise est basée dans le Connecticut. L’entreprise fait du business en France depuis plus de 40 ans, et la discrimination basée sur l’origine nationale ne blessera pas uniquement la France ».
Un peu de sport
Un peu de sport pour finir cette revue de presse. La nouvelle qui a secoué le monde du football, c’est bien sûr la nomination d’Helena Costa au poste d’entraîneur du club de ligue 2, Clermont Foot. Le sujet a intéressé le New York Times, qui dédie à la jeune femme un long article. Helena Costa est la première femme à obtenir un tel poste en France. Même si elle a auparavant entraîné des équipes masculines notamment au Portugal, son pays, le journal affirme que « sa récente nomination à ce poste est une étape majeure en termes de compétition et de visibilité ».
Aux Etats-Unis, même si les femmes sont nombreuses dans le monde assez macho du soccer, le New York Times précise : « Aucune femme n’a eu accès à un poste de coach dans une équipe professionnelle masculine de haut niveau ». Espérons que ce premier pas puisse changer les mentalités.
La Grande Guerre vue d'en bas
La Grande Guerre comme vous ne l’avez jamais étudiée. Voilà ce que propose l’American Friends of Blérancourt lors d’une conférence organisée le 22 mai au National Arts Club.
Organisée dans le cadre du Centenaire, la conférence « Au-delà des Vosges : la compréhension de la réponse de la France aux évènements de 1914 » sera donnée par Michael S. Neiberg, professeur d’histoire au Department of National Security and Strategy à l’United States Army War College.
Le Professeur Neiberg examinera les réactions françaises, en dehors des cercles de pouvoir et de décisions, aux évènements de 1914 en se basant sur des mémoires, des lettres retrouvées, des journaux de l’époque.
Elections consulaires à New York: les candidats se présentent
Les élections consulaires, ça vous dit quelque chose? Si vous lisez French Morning, vous savez que les Français d’Amérique votent dès ce mercredi 14 mai pour se choisir des conseillers consulaires, des élus de proximité qui siègeront auprès de chaque consulat.
Cinq sièges sont en jeu dans la circonscription de New York (New York, New Jersey, Connecticut et les Bermudes). Nous choisirons aussi deux “délégués consulaires” uniquement chargés de voter aux sénatoriales.
Lire: Elections consulaires: à quoi ça sert?
A cette occasion, French Morning a posé quatre questions aux quatre têtes-de-liste dans la circonscription de New York pour connaitre leurs propositions et leur parcours. Voici leurs réponses:
– Gérard Epelbaum (Union des Français d’Amérique, liste UFE, UMP, de la droite et du centre)
– Annie Michel (Français de Gauche, progressistes et solidaires)
– Jean Lachaud (Rassemblement des Français d’Amérique)
– Richard Ortoli (Français d’Amérique Ensemble)
Pour rappel, les élections consulaires ont lieu du 14 au 20 mai jusqu’à midi heure de Paris pour le vote par Internet et en personne à l’urne le 24 mai (dans le bureau indiqué par courrier par votre consulat). A noter que le 24 mai, nous voterons aussi pour les élections européennes. NB: seul le vote à l’urne est possible pour ce scrutin. Les Français hors de France ont été rattachés à la circonscription d’Ile-de-France dont les candidats sont ici.
"La loi du marcheur" ou les souvenirs de Serge Daney
A partir d’interviews de Serge Daney, rédacteur en chef aux Cahiers du Cinéma, réalisées par Régis Debray, Eric Didry met en scène cet amoureux du 7ème art dans « La Loi du marcheur », qui sera montré au FIAF les 21 et 22 mai.
En 1992, quelques mois avant de mourir, Serge Daney confie ses dernières pensées sur le cinéma qui l’a tant fait vibrer. Après avoir travaillé pour la revue Les Cahiers du Cinéma, il commence à écrire pour Libération une chronique sur l’image. En 1991, c’est lui qui crée le trimestriel Trafic, l’une des références sur le 7ème art.
Dans « La Loi du marcheur », interprétée avec brio par Nicolas Bouchaud, la mise en scène est sobre et laisse place aux mots, véritables piliers de la performance. Avec des extraits de « Rio bravo », l’un des films fétiches de Serge Daney, le comédien réussit à transmettre une passion sincère à un public qui, même s’il n’est pas cinéphile, finit par être conquis.