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Sarasota se penche sur Gide

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Après le succès du “Proust project Sarasota” l’an passé, l’Alliance Française de Sarasota propose le “Gide Project Sarasota”.
Une série d’événements, avec les plus grands spécialistes d’André Gide à travers le monde, parmi lesquels Mireille Naturel de l’Université Paris III ou encore Martine Benjamin de l’Université de Princeton, se déroulera du 1er au 25 mars. L’événement est parrainé par New College de Floride, la Selby Public Library et l’Alliance Française de Sarasota. Jocelyn Van Tuyl, professeur de français au New College de Floride en est l’organisatrice en chef.
De la fiction expérimentale à l’analyse psychologique en profondeur en passant par le commentaire politique et social, le “Gide Project Sarasota” tentera de rendre compte de la richesse de l’héritage laissé par l’auteur. La projection du film Anges et Démons puis un débat sur la théorie du complot chez Gide et Brown -le 4 mars-, des discussions autour des Caves du Vatican –les 14 et 18 mars- un dîner autour des Nourritures terrestres -le 24 mars-, seront quelques-unes des manifestations organisées.

A New York, les rats s’invitent dans votre assiette…

Les rats dans le métro new-yorkais, on connait. Mais ils sont aussi au restaurant. Beurk…
Steven Melendez, un “datajournaliste” américain du Gothamist, a eu l’idée dégoûtante de réaliser une carte de New York montrant le taux de prolifération des rats selon les quartiers de la ville.

Source: Gothamist
Source: Gothamist

Son étude se base sur les statistiques des services sanitaires de la ville et sur une liste recensant l’ensemble des restaurants contrôlés à New York depuis le 1er janvier 2013. En rassemblant ces données, il a réussi à établir un pourcentage du nombre de restaurants accueillant des rats par zones.
Ainsi, il serait déconseillé d’aller manger dans les quartiers de Chinatown ou de l’Upper East Side, lieux de prédilection des rongeurs. En revanche, Midtown ou Williamsburg à Brooklyn apparaissent comme des valeurs plus sûres avec un taux de seulement 20% des cuisines touchées.

Donna Karan et Arcade Fire optimistes pour Haïti

Je vais où?” Donna Karan est à la bourre. Nous sommes jeudi soir, au French Institute Alliance Française (FIAF) et la célèbre designer dévale l’escalier qui mène au Florence Gould Hall, où 400 personnes l’attendent. “Hors de question d’être ailleurs ce soir“, glisse-t-elle.
La designer, dont la fondation Urban Zen soutient le tissu artistique et culturel d’Haïti, est venue participer à Haïti Optimiste, une soirée de gala pour soutenir le Ciné Institute de Jacmel, dans le sud du pays.
Cette école de cinéma, la seule en Haïti, forme chaque année 70 cinéastes. Sévèrement endommagée par le séisme de 2010, elle a été reconstruite, bien aidée par quelques-uns des illustres amis de son fondateur David Belle: Susan Sarandon, Ben Stiller, Sean Penn et George Lucas pour ne citer qu’eux.
Pour cette nouvelle édition d’Haïti Optimiste, une manifestation qui a commencé dans le bar à champagne de TriBeCa le Bubble Lounge, plusieurs têtes connues avaient fait le déplacement. Parmi elles, le réalisateur Jonathan Demme, Michael Kenneth Williams (Boardwalk Empire), Jamie Hector (The Wire) et trois membres du groupe montréalais Arcade Fire. Sans compter plusieurs artistes haïtiens.
Objectif: lever des fonds pour soutenir le développement de l’école, entièrement gratuite. “Les bourses sont l’épine dorsale de l’école. Elles servent à financer les jeunes talents d’Haïti et les aider à aller à l’université“, précise David Belle.
Le public a notamment assisté à la projection d’une série de travaux réalisés par les étudiants sur l’année écoulée: des courts-métrages, un clip de rap, une publicité et le clip interactif d’Arcade Fire, Just a Reflektor, tourné avec les étudiants dans les rues de Jacmel, capitale artistique du pays.
Je suis venu voir les nouveaux films“, confiait Jonathan Demme, juste avant la projection. Le réalisateur, qui se rend règlement en Haïti depuis une trentaine d’années, a enseigné au Ciné Institute. “Ils ont rendu le cinéma possible dans un pays où il n’y avait pas de mécanisme pour apprendre à faire des films.”
Entre rires, hugs, anecdotes et plaidoyers véhéments en faveur d’Haïti, la soirée avait aussi des accents militants: montrer le pays, qui compte parmi les plus pauvres au monde, sous un autre jour. “Haïti a toujours été confronté aux difficultés et c’est tout ce qu’on voit dans les medias, estime Jamie Hector, dont les parents sont Haïtiens. Les étudiants racontent leurs histoires, les vraies histoires d’Haïti.
Haïti a tellement de potentiel et d’opportunités, jugeait Donna Karan juste avant la projection. Haïti fait partie de ma vie. C’est ma maison en dehors de ma maison“.
La plus heureuse de la soirée n’était pas une star: Rose-Laure Charles, une ancienne étudiante du Ciné Institute qui a vécu le séisme, un brin impressionnée jeudi soir par le crépitement des flashes. “C’est très been pour Haïti, raconte-t-elle. Et pour des jeunes comme moi“.

Sacramento célèbre les Césars

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Le Sacramento French Film Festival présentera le “2014 César nominated short” le vendredi 28 février au Crest Theatre à Sacramento.
Pendant la soirée, les courts-métrages en nomination aux Césars dans les catégories d’animation et d’action seront projetés. Le public sera invité à voter pour les “Sacramento César”! La 39e Cérémonie des Césars aura été tenue plus tôt le même jour et les gagnants seront annoncés à la fin de la soirée.
La catégorie “animation” comprend deux courts-métrages :  “Lettres de femmes” et “Mademoiselle Kiki et les Montparnos”. La catégorie “action” en compte quatre: “La Fugue”, “Les Lézards”, “Marseille la Nuit” et “Avant que de tout perdre”. Ce dernier est également en nomination pour un Oscar cette année.
La projection aura lieu pour la première fois au Crest Theatre et la soirée comprendra, en plus des films, de la musique et un bar à vin et à pastis!

En mai, la France fait danser New York

Pas moins de quatorze lieux pour accueillir seize performances scéniques inédites : c’est le pari du nouveau festival “Danse”. Organisé par les Services culturels de l’Ambassade de France, il aura lieu du 1er au 18 mai.
En plus des représentations de danse, effectuées par des troupes françaises, des discussions publiques auront lieu afin d’enrichir le débat autour de la danse contemporaine. Une lecture de textes écrits par les artistes eux-mêmes est également au programme de cette nouvelle manifestation.
Parmi les artistes, des noms connus, d’autres moins, mais tous incarnent du renouveau de la danse contemporaine française. Ce festival permettra également au public de voir ces spectacles en avant première américaine tels que Baron Samedi d’Alain Buffard (du 1er au 3 mai, au New York Live Arts) qui s’attaque à la question coloniale, encore taboue en France, ou encore Boomerang ou Le retour à soi de Claudia Triozzi (du 6 au 8 mai à l’Abrons Arts Center).
On retrouvera également Cédric Andrieux et Christophe Ives, les deux chorégraphes viendront présenter leur dernière création Les Communs (du 16 au 18 mai au Ellen Stewart Theatre), qui explore leur rencontre et leurs liens.
L’Opéra Ballet de Lyon sera aussi de la partie pour représenter Ni fleurs, ni ford-mustang (du 7 au 9 mai au BAM Howard Gilman Opera House), oeuvre du chorégraphe cannois Christian Rizzo écrite il y a dix ans.
“Danse” est  dédié au danseur et chorégraphe français Alain Buffard, décédé en décembre dernier.

Huit bons plans insolites pour écouter du jazz à New York

Ville du jazz, New York regorge de bars, sous-sols et autres cachettes pour une après-midi ou une soirée au son du saxo. Dans une synagogue ou un ancien bar clandestin, voici nos 8 adresses sans se ruiner.

A la maison

Dimanche après-midi, 15h30, Marjorie Eliot vous reçoit dans le salon de son appartement de Washington Heights, au numéro 3F, pour une après-midi musicale et intimiste. Tous les week-ends depuis 1991, cette habitante d’Harlem perpétue la tradition des concerts privés de jazz du quartier. Parlor Jazz at Marjorie Eliot’s est gratuit, les donations restent appréciées. Le dimanche à 15h30. Parlor Jazz at Marjorie Eliot’s – 555 Edgecombe Avenue apt. #3F. 

A la synagogue

Les caves sombres de New York ne sont pas les seuls repères pour écouter du jazz : la petite synagogue de Charles Street dans le West Village vibre sous les rythmes jazzy et folks de l’Andy Statman Trio plusieurs fois par mois, le mardi ou jeudi soirs. Les concerts étant irréguliers, il est préférable de consulter leur programmation en ligne. Congregation Darech Amuno – 53 Charles St.

Chez les anciens combattants

Vraie adresse de connaisseurs. Les -véritables- anciens combattants de Harlem, au look plus vrai que nature, côtoient les amateurs éclairés. L’entrée est gratuite -mais il est plus que conseillé de consommer. L’American Legion est l’association des vétérans américains. Ce petit sous-sol est le foyer de la branche locale (Post 398), mais devient aussi tous les dimanches soirs, le royaume des boeufs endiablés.  American Legion Post 398- 248 West 132 nd St.

Dans une galerie d’art

Les plus artistes d’entre vous peuvent opter pour The Jazz Gallery. Ils profiteront alors d’un concert entourés d’oeuvres d’arts relatives au jazz et exposées sur les murs de ce loft. Ce club de jazz se présente comme lieu d’expérimentation où créativité et prise de risque sont encouragées. Les billets varient entre 10 et 20$ (35 ou 40$ pour les occasions spéciales). Du jeudi au samedi à 21h et 23h. The Jazz Gallery – 1160 Broadway, 5e étage.

Avec vue sur Central Park

Ecouter un concert de jazz avec une vue magique sur Central Park et les lumières de Columbus Circle pour quelques dollars, c’est la botte secrète du Dizzy’s Club Coca Cola au Lincoln Center. Mais pour cela il faut-être un couche tard, les late night sessions de 5 à 10 $ commencent à 23h30, du mardi au samedi. Dizzy’s Club – Lincoln Center -10 Columbus Circule #5.

Dans un speakeasy

Après avoir trouvé l’entrée du Back Room, traversé la cour et donné le mot de passe (annoncé sur leur page facebook le jour même), installez-vous dans un des fauteuils de ce salon aux allures de maison campagne, prenez une gorgée de votre cocktail servi dans une tasse de thé (prohibition oblige), fermez les yeux et appréciez piano, trompette et voix sublimes. Tous les lundis soirs à partir de 21h. Pour rester dans l’ambiance speakeasy, B Flat propose également des soirées jazz le lundi et le mercredi de 20h à 23h avec entrée libre. The Back Room – 102 Norfolk Street. B Flat – 277 Church St.

Dans une salle de jeu

Situé dans un sous-sol de West Village Fat Cat offre un concept original qui associe concert de jazz et salle de jeu. Venez entre amis ou si vous n’en avez pas c’est le moyen de vous en faire autour d’un plateau d’echec, d’une table de ping-pong ou de billard sur fond de jazz moderne. Après votre partie éprouvante, plongez au fond d’une banquette et profitez du son de la trompette. Du lundi soir au dimanche soir. Entrée 3$. Fat Cat – 75 Christopher St.

En se restaurant

Plaisir à la fois gustatif et auditif, le brunch du dimanche après-midi à One if by land, Two if by sea propose plats délicieux, service impeccable et cadre magnifique, le tout accompagné par un duo piano-trompette parfaitement dosé. Comptez en moyenne 15$ le plat. Demandez à être dans la salle du bas pour profiter au mieux du jazz et ne manquez pas le chocolat chaud. Pour un simple verre en soirée, Arthur’s Tavern offre des concerts de jazz et de blues gratuits tous les soirs de la semaine. One if by land, Two if by sea – 17 Barrow Street. Arthur’s Tavern – 57 Grove St.

Crédit : The Back Room/Facebook

Six graveurs français au Manhattan Graphics Center

En janvier dernier, treize graveurs new-yorkais avaient exposé à Paris à la galerie Brun-l’Église. C’est désormais au tour de graveurs français, affiliés à la même galerie, de faire leur show à New York.
Le Manhattan Graphics Center présentera six artistes français lors d’une exposition du 8 au 29 mars. Vous pourrez découvrir les oeuvres de Michele Van de Roer, qui  travaille actuellement à la Fondation La Ruche à Montparnasse ou encore de Laurent Chaouat Jung, qui  a choisi comme thème de prédilection le blanc.
Les travaux de Monique Tello, Eric Colette, Marin Muller Reinhart et Philippe Angot seront également exposés par la coopérative des graveurs à New York.
 

À Harlem, ces Afro-américains qui ont sauvé la France

C’est au croisement de la 142e rue et de la 5ème avenue, au coeur d’Harlem, que se dresse la caserne du 369ème régiment.
Derrière un grand bureau en bois massif, le général Nathaniel James, la casquette de son régiment sur le chef, un costume brun sur le dos, est assis confortablement. Sur les murs de la pièce cohabitent récompenses et photos d’anciens combattants. Il arbore un sourire joyeux qui adoucit son visage et ferait presque oublier son âge, 79 ans.
Il a tôt fait de se plonger dans son activité favorite: raconter l’histoire des Harlem Hellfighters. “Les Français avaient besoin d’hommes pour les aider pendant la Première Guerre Mondiale. Les Américains leur ont proposé le 369ème régiment et ils ont accepté. C’est comme ça que l’histoire des Harlem Hellfighters a commencé“, raconte-t-il.
Trois mille hommes composent alors la première unité afro-américaine à servir aux côtés du corps expéditionnaire américain. En raison de la politique ségrégationniste américaine alors en vigueur, le régiment est placé sous commandement français.
En Europe, la réputation du régiment ne tarde pas à se faire : “Les soldats allemands se sont demandés pourquoi ces hommes se battaient si vaillamment pour un pays qui les traitait si mal ! Ils ne comprenaient pas ! Ils ont essayé de capturer des combattants mais n’ont jamais réussi“, explique le général.
Ça a été l’occasion pour les Noirs de se battre pour saisir l’opportunité qui leur était offerte“.  Ces mêmes soldats allemands donneront le surnom de Hellfighters aux combattants du 369ème régiment pour qualifier leur courage et leur vaillance.
Après la guerre, 171 d’entre eux ont été décorés de la Croix de guerre par le gouvernement français et bon nombre ont reçu la Légion d’honneur.
Lutter contre l’oubli
L’histoire de ce régiment est bien connue dans le quartier et le général Nathaniel James multiplie les occasions pour que ce précieux héritage ne tombe pas dans l’oubli. Son combat, ce n’est plus sur le champ de bataille qu’il le mène, mais dans la Harlem Armory où se tient le siège de la 369th Historical Society, qu’il a fondée en 1960.
Les combattants sont morts et il est indispensable que les plus jeunes soient au courant de l’existence et de l’histoire du 369ème régiment “. Le but de l’Historical Society est ainsi de recueillir, préserver et maintenir les objets, livres, documents, photographies, films et articles sur l’histoire du 369ème régiment, de ses alliés et des soldats afro-américains qui ont servi les États-Unis. Les collections du Musée se composent d’une vaste collection de photographies et d’artefacts des soldats de la Première Guerre mondiale jusqu’à aujourd’hui.
Dans le cadre du Black History Month – et du centennaire de la Guerre de 14-18, le Consulat Général de France à New York rendra hommage aux Harlem Hellfighters pour leur engagement. Une exposition de documents et d’images d’archives aura lieu le jeudi 20 février de 11h à 17h.
Au cours de sa carrière de 33 ans, Nathaniel James a occupé divers postes et a continué à développer sa connaissance institutionnelle du commandement de l’armée, des opérations et de la stratégie.
Promu au grade de général de division en 1992, James devient alors le premier afro-américain à obtenir ce rang dans l’histoire de la Garde nationale de l’armée de New York. Ses yeux brillent lorsqu’on lui demande si il est fier de cette première : “Quand vous êtes né dans un pays et vous réussissez alors oui, il y a de quoi être fier“.
La France ne doit pas seulement aux Hellfighters une aide militaire précieuse mais également la découverte de la musique jazz. L’orchestre du régiment, sous la direction de James Reese Europe, contribua en effet à introduire le jazz en Europe. Dès 1918, il voyage dans toute la France, donnant des concerts.
 

Dallas Accueil change de tête

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L’accueil francophone de Dallas a changé de responsable.
Après le retour en France de la précédente présidente de Dallas Accueil, Catherine Azière, c’est en effet la secrétaire de l’association, Sandrine Legrand (en blanc sur cette photo prise lors du dernier café-rencontre de l’association), qui a pris la présidence de l’organisme.
Celui-ci aide à l’installation des francophones dans la région de Dallas en proposant aussi une demi-douzaine d’activités artistiques (céramique, patchwork, encadrement…), des conversations franco-américaines, des ateliers cuisine, tricot et couture, ainsi que diverses soirées (poker, tarot, quizz musical…).
« En ce moment, nous travaillons aussi à des projets de fête pour enfants en lien avec Dallas International School au début du printemps et de soirée casino pour le mois de mai », indique la nouvelle responsable, qui a adhéré à Dallas Accueil il y a près de huit ans, alors qu’elle était déjà installée à Dallas avec toute sa famille depuis quelques années.
« Des membres de notre famille vivent aux Etats-Unis, alors nous avions déjà des points de repère avant de venir vivre ici. Et comme nous n’avions prévu de rester que quelques années, ma priorité était de m’intégrer à la société américaine afin d’améliorer mon anglais. Mais notre séjour s’est prolongé et j’ai alors ressenti le besoin de reparler plus souvent ma langue maternelle », confie la responsable associative.
Même si elle a adhéré à Dallas Accueil bien après son arrivée dans l’agglomération, Sandrine Legrand y a rapidement pris des responsabilités. Cela faisait six ans qu’elle occupait le poste de secrétaire.
Aux commandes de l’Accueil, elle devra gérer la rotation des membres à laquelle l’association fait face chaque année. « Nous nous apprêtons de nouveau à enregistrer de nombreux départs aux mois de mai et juin, avant d’accueillir, à partir du mois d’août, des francophones aux profils de plus en plus divers : des familles avec enfants en âge d’aller à l’école, mais aussi des célibataires, des couples sans enfants, ou bien avec enfants en bas âge ».
 

Une semaine de clubbing très disco

Cette semaine sera groove ou ne sera pas. Dans mon calendrier clubbing, on trouve de nombreuses soirées aux sonorités funk et disco. Les artistes qui vous feront danser viennent du Brésil, d’Angleterre, de LA ou de Montréal, et beaucoup ont des liens étroits avec des producteurs ou labels français.
On pourra même se régaler dimanche en allant écouter « Head Hunters » de Herbie Hancock sur un système audio “top notch”.
Vendredi 21
Soul Clap & TIKI DISCO @ Output (74 Wythe Ave.) : une bonne dose d’indie dance et de nu disco ce vendredi avec l’excellent duo Soul Clap dans la Main Room et les DJs de TIKI DISCO (Lloydski, Andy Pry & Eli Escobar) dans la Panther Room. 22h/$20 infos & billets
KAVIAR DISCO CLUB @ Le Bain (444 W. 13th St.) : dans leur troisième année, les soirées deep house, disco & funk créées par DJ Beto Cravioto et Travmatic ne ralentissent pas le rythme et reçoivent le duo a/jus/ted alias Justin Strauss & Teddy Stuart, deux vétérans de la scène underground new-yorkaise. 22h/Gratuit infos
Samedi 22
STUCK ON EARTH, The Reunion @ Sankeys (29 W. 36th St.) : une programmation ambitieuse mais à la hauteur des promoteurs qui unissent leurs forces pour remplir ce club désormais sur trois étages depuis sa réouverture début février. On attend plus de mille personnes pour cette soirée qui rassemblera des pointures comme Photek, Doc Martin, Adam F ou Derrick Carter. De 21h à l’aube/$40 infos & billets
RINSED à Bushwick (lieu à annoncer) : les soirées invitent pour cette édition du Vase Club, Jacques Greene,  le DJ/producteur de Montréal, et Morgan Geist alias Storm Queen, originaire du NJ, dont le titre « Look Right Through » remixé entre autre par Dimitri From Paris, a été classé no 1 en Angleterre fin 2013. De 23h à l’aube (open-bar de 23h à minuit)/$25 infos & billets
Dimanche 23
Classic Album Sundays @ The Panther Room (74 Wythe Ave., entrer sur N. 12th St.) : qui dit dimanche, dit aller écouter un album légendaire comme le très avant-gardiste « Head Hunters » de Herbie Hancock sur un système hi-fi de qualité exceptionnelle. Il sera précédé de quelques bons morceaux de Miles Davis ou Donald Byrd, illustrant les influences majeures derrière le chef d’oeuvre. De 17 à 20h/$10 infos & billets
Jeudi 27
The Twelves @ Le Poisson Rouge (158 Bleecker St.) : le duo électro-disco brésilien (dont le nom vient du fait qu’ils sont tous les deux nés le 12 juillet) est invité des soirées FIXED. 22h/$15 infos & billets
À prévoir…
Tensnake @ Output le jeudi 6 mars infos & billets
Louisahhh ! @ Slake le samedi 8 mars billets
Moullinex + Zimmer @ Le Poisson Rouge le jeudi 27 mars infos & billets
Laurent Garnier @ Output le vendredi 18 avril infos & billets
Chromeo @ Terminal 5 le vendredi 16 & samedi 17 mai infos & billets

Camps d'été français à Houston: inscrivez-vous!

L’association Education Française Greater Houston (EFGH) ouvre les inscriptions pour ses deux centres aérés francophones estivaux (du 2 au 20 juin). Ils s’adressent aux enfants de 5 à 12 ans qui veulent s’immerger dans la langue française tout en s’amusant.
Au programme : jeux, sport, cours de cuisine, visites, chansons et arts plastiques. Les enfants seront reçus dans les locaux des écoles élémentaires Barbara Bush (13800 Westerloch Dr Houston, TX 77077et Kolter (9710 Runnymeade, Houston, TX 77096), de 8h30 à 16h30 tous les jours de la semaine.
Les deux camps proposeront également trois sorties au musée: au Health Museum à la découverte des recettes magiques de Panoramix, au Musée des Sciences Naturelles pour explorer “les mystères de la cour de Versailles” et au Space Center pour un voyage dans les étoiles. Le tout en français bien entendu!

Elections consulaires: mettez à jour votre e-mail!

Les Français des Etats-Unis qui souhaitent voter par Internet pour élire leurs futurs conseillers consulaires ont jusqu’au 17 mars pour fournir leur e-mail ou la mettre à jour dans la plateforme Monconsulat.fr ou en s’adressant directement à leur consulat.
Cette nouvelle élection, qui aura lieu le 24 mai, vise à accroitre la démocratie de proximité pour les Français établis hors de France. Aux Etats-Unis, une quarantaine de conseillers repartis entre les neuf circonscriptions consulaires seront élus au scrutin de liste à un tour, à la représentation proportionnelle, pour une durée de six ans. Ils siègeront dans des conseils consulaires affectés à chaque consulat.
Ils pourront formuler des avis sur les questions consulaires ou d’intérêt général (culturel, éducatif, économique et social) concernant les Français établis dans la circonscription. Ils peuvent être consultés sur toute question concernant les Français établis dans la circonscription et relative à la protection sociale et à l’action sociale, à l’emploi, à la formation professionnelle et à l’apprentissage, à l’enseignement français à l’étranger et à la sécurité.