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"Cancer Vixen": Julie Delpy à l’écriture, Cate Blanchett en star

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(Relaxnews) – L’actrice et réalisatrice française écrira l’adaptation du best-seller de la dessinatrice Marisa Acocella Marchetto relatant son combat contre un cancer du sein.

Julie Delpy connaît bien les États-Unis et s’y plait. La plus américaine des cinéastes françaises y a déjà tourné plusieurs films, dont le récent “2 Days in New York”. La comédienne touche-à-tout écrira le scénario de l’adaptation de “Cancer Vixen : a True Story”, projet HBO Films destiné à connaître son avant-première sur la chaîne câblée. Cette autobiographie de la dessinatrice de presse Marisa Acocella Marchetto, parue en 2007 chez Harper Collins, revient sur le combat de son auteur contre un grave cancer du sein.

Cate Blanchett interprètera la caricaturiste du New Yorker et de Glamour, déterminée à lutter contre la maladie, s’appuyant sur sa profession pour y parvenir. L’actrice australienne sera à la rentrée à l’affiche de “Blue Jasmine”, la nouvelle romance de Woody Allen. On la retrouvera à Noël dans la suite des aventures du Hobbit, “La Désolation de Smaug”, dans la peau de l’Elfe Galadriel.

En 2005, Julie Delpy était nommée, aux côtés de ses complices Richard Linklater et Ethan Hawke, à la cérémonie des Oscars pour le scénario de “Before Sunset”, la suite de “Before Sunrise”. Cette année, elle retrouvait l’équipe du film pour le troisième volet, “Before Midnight”.

Credit: SIPA USA

Les chauves-souris font leur show à Austin

Si, pour votre enfant, chauve-souris est synomyme de grand bonhomme musclé avec une cape et un masque, il est l’heure de rétablir la vérité. Plusieurs millions de chauves-souris passeront à Austin le 24 août.

Une colonie de plus de deux millions de chauves-souris, qui a établi résidence près d’Austin pour l’été, passera par l’Ann Richards Congress Avenue Bridge dans la nuit du 24 août pour partir à la chasse de leur met favoris : les insectes. Une sorte de rituel estival.

Des concerts et des activités pour enfants seront également organisés à  partir de 16h, dont un concours de déguisement. Venir en batmobile est un plus.

Crédit : Carol Buchanan/ddp images / Sipa USA

Pendant un jour, San Francisco mange dans la rue

San Francisco descend en masse dans la rue… pour manger.

La “street food”, cette cuisine riche et colorée, sera à l’honneur ce samedi 17 août, lors de la 5e édition du “Street Food Festival”, au coeur du Mission District. L’occasion de récolter des fonds pour l’association La Cocina , qui assiste des femmes issues de l’immigration dans la création de micro-entreprises de restauration.

Au menu: spécialités californiennes, mexicaines, japonaises, françaises, italiennes, crème brûlée, curry sous toutes les formes et café éthique. Le prix des plats se veut démocratique: 3$ pour les petites bouchées (small bites), 3$ pour les boissons maison et 8$ pour les plats plus consistants. Des passeports sont en vente en ligne, pour éviter les files: on attend 80.000 personnes samedi dans le quartier.

Dans le sillon du festival, un marché de nuit sera organisé samedi soir à Bernal Heights. Dimanche, une conférence sera donnée au SOMArts Cultural Center sur le thème “Women, Work & Food” (Femmes, travail et nourriture).

L’événement est comme chaque année promis à un très beau succès. La page Facebook officielle compte déjà plus de 13.000 membres.

Photo: sf.funcheap.com

Le nouveau consul de France à Houston « très heureux »

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Avant son arrivée sur le sol texan, le nouveau consul de France à Houston est « très heureux ».

Ce premier poste consulaire va donner à Sujiro Seam l’occasion de « faire des choses plus concrètes », en « se mettant au service de la communauté française du Texas, de l’Oklahoma, de l’Arkansas et de la Louisiane », et d’autres, en « participant au rayonnement de la France sur les plans culturel, ainsi que de la coopération universitaire et de la recherche ».

Priorité à la diplomatie économique

Sa « priorité » sera toutefois « la diplomatie économique ». « C’est celle que [le ministre des Affaires étrangères] Laurent Fabius a fixé à l’ensemble du réseau », rappelle Sujiro Seam, qui a notamment travaillé sur ces questions quand il était en poste à Bruxelles.

Enarque  formé à l’école supérieure de commerce de Paris et à Sciences Po après avoir usé les bancs du lycée Louis le Grand, il fut directeur adjoint de la direction du Développement et des Biens publics mondiaux au Ministère des Affaires étrangères. Le fonctionnaire, natif du Cambodge, a commencé sa carrière aux affaires juridiques du Quai d’Orsay en 1998. Avant de partir pour Bruxelles œuvrer au règlement des différends à l’Organisation mondiale du commerce pour le compte de la Commission européenne, pendant trois ans. Il a ensuite travaillé pendant cinq ans au sein de la représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne sur les questions maritimes, d’outre-mer, de pêche, mais aussi de politique régionale. De retour à Paris en 2009, le quadragénaire a poursuivi son travail sur les questions de développement.

Le diplomate, dont c’est le premier poste aux Etats-Unis se dit déterminé à « accompagner toutes les entreprises françaises qui veulent faire des affaires dans la circonscription », dans le domaine énergétique « et au-delà, car il y a beaucoup de secteurs d’activités dynamiques dans la région ».

Un visage de la diversité française

Dans une ville cosmopolite comme Houston, les origines cambodgiennes du nouveau consul de France et celles chinoises de son épouse pourraient lui ouvrir des portes. « J’ai repris contact avec Josette Sheeran, la présidente de l’Asia Society possédant plusieurs musées aux Etats-Unis dont un à Houston, que je connaissais du programme alimentaire mondial des Nations unies ».

« C’est vrai que quand j’étais en stage en service déconcentré pendant mes études à l’Ecole nationale d’administration, on me prenait toujours pour l’élève étranger de l’Ena. » « Mais je suis avant tout Français », souligne le diplomate, dont les enfants parlent d’ailleurs « seulement français ». Comme ceux de son prédécesseur, ils étudieront à Awty International School.

« Dans le feu de l’action » scolaire

Avec la seconde réunion de la commission locale des bourses scolaires programmée pour novembre, Sujiro Seam sait qu’il va devoir s’emparer dès sa prise de poste de cette « question extrêmement difficile aux Etats-Unis, où les frais de scolarité sont plus élevés qu’ailleurs ». Le diplomate assure que cela lui convient. « Autant plonger dans le feu de l’action », réagit-il, en expliquant qu’il se sent armé pour répondre aux questions des parents après avoir révisé les raisons de la réforme lors de la formation dispensée par le Quai d’Orsay à tous les nouveaux consuls généraux.

Sujiro Seam dit être « en contact étroit avec [l’actuel consul] Frédéric Bontems », qui sera encore à Houston la semaine prochaine.

Le Petit Nicolas à l'Alliance Française de San Francisco

Cheveux bruns, pull rouge et air malicieux, « Le Petit Nicolas » arrive à San Francisco. Le film sera projeté le 20 août à 19h à l’Alliance Française.

Nicolas est fils unique. Il mène la vie idéale avec ses parents qui passent leur temps à se disputer et ses camarades de classe avec qui il s’amuse.

Tout bascule pourtant lorsque Nicolas pense que sa maman est enceinte. Il imagine que ses parents ne s’occuperont plus de lui. A l’école, il entend l’histoire du Petit Poucet et devient terrifié à l’idée que ses parents ne l’abandonnent dans la forêt.

Réalisé par Laurent Tirard en 2009, le film rassemble à l’écran Kad Merad, Valérie Lemercier et Sandrine Kiberlain, qui jouent respectivement le père, la mère et la maîtresse d’école. Dans le rôle du Petit Nicolas, on retrouve Maxime Godart. Et pour vous convaincre que le film est vraiment drôle, sachez qu’Alain Chabat a participé à la rédaction du scénario.

Le film est adapté de l’oeuvre de René Goscinny et Jean-Jacques Sempé, un classique de la littérature enfantine française.

Crédit : Wild Bunch Distribution

Des photos sexy pour mon homme

Coiffée et maquillée comme une top model, par des pros, il vous faut à présent choisir lingerie, accessoires, chaussures et bijoux. Puis, prendre place sur un canapé style boudoir. La séance photo peut commencer.

Derrière l’objectif, Raya Meerzoumen (ci-dessus), une photographe francophone professionnelle qui a lancé début 2013 “Your Hollywood Portrait Studio”, un service de photos à Little Italy dont le but est de sublimer les femmes. Plusieurs styles de portraits sont proposés: “Hollywood”, “Mode”, “Entre copines”, mais ce sont bien les photos “Boudoir”, sexy chic, qui marchent le mieux, selon l’artiste. “C’est un univers rétro et glamour, qui était inconnu à New York il y a un an et qui connaît un boom aujourd’hui », explique Raya Meerzoumen. Le roman coquin Fifty Shades of Grey a-t-il fait tant de dégâts que cela ?

Née en Israël avant de gagner la France à l’âge de dix ans, Raya Meerzoumen est autodidacte. Sa fascination pour la lumière la mène à se lancer dans la photographie. Après quelques petits boulots, elle travaille pour de nombreux magazines (Harper’s Bazaar et ELLE) et agences de mannequinat. Elle enchaîne les contrats pendant quinze ans, voyageant entre Paris, New York et Hong Kong pour “shooter” les campagnes publicitaires de Sephora et Cartier notamment, jusqu’à ce qu’elle décide de créer son propre studio. « Sans mettre de côté ma carrière, je voulais m’éclater et faire vraiment ce qui me plaisait. J’ai créé mon studio chez moi, dans mon appartement. Il me permet de regrouper ma passion de la lumière, de la beauté et de l’univers de chaque photo ».

La plupart de ses clientes ont entre 30 et 40 ans et la contactent car elles veulent offrir un cadeau original à leur mari, souvent pour célébrer un anniversaire de mariage. Avec un train de vie qui les obligent souvent à jongler entre vie professionnelle et familiale, les femmes « veulent retrouver leur féminité, se faire chouchouter pour une fois et se faire plaisir, affirme Raya Meerzmoumen. Une maman est aussi une femme sexy et elle veut le montrer à son partenaire mais aussi se prouver à elle-même, après toutes ces années, qu’elle est toujours séduisante et belle ». Pour celles qui seraient mal à l’aise à l’idée de poser en tenue légère, le maître mot est “décontraction”. « Généralement, après le maquillage et la coiffure, elle se sentent plus jolies et après avoir vu les premières images, elles donnent plus d’elles même et arrivent à se débloquer. C’est important car le stress se voit sur une photo ».

Et depuis quelques temps, les hommes s’y mettent également. Pour le prix, comptez entre 300 et 3.000 dollars selon l’option photo choisie. Les clichés de Raya Meerzoumen sont élégants, sensuels mais jamais vulgaires. Quand une cliente prend des poses trop suggestives, ce qui est arrivé, la photographe la recadre. « Je ne pense pas avoir de concurrent, prévient-elle, car il y a deux catégories de photographes ouverts au grand public : les photographes de mariage, qui souvent ne travaillent pas la lumière, ou les amateurs de photo, qui n’ont pas de technique et font des photos basiques ».

Gagnez des places pour le concert de Patricia Kaas

French Morning vous propose de gagner deux paires de tickets pour le concert de Patricia Kaas au Masonic Auditorium de San Francisco le 12 septembre.

Envoyez votre nom et prénom à l’adresse [email protected], avec Patricia Kaas en titre de l’email. Les gagnants seront tirés au sort.

A l’occasion de sa tournée “Kaas chante Piaf”, célébrant le 50e anniversaire de la disparition d’Edith Piaf, Patricia Kaas interprètera 21 chansons tirées du répertoire de l’icône de la musique française. Dirigé par le compositeur  Abel Korzeniowski, le concert offrira également une projection de photographies rares de la vedette du music-hall.

L’artiste française, figure internationale de la chanson mais aussi comédienne, doit notamment son succès à la chanson “Mademoiselle chante le blues”, interprétée pour la première fois en 1987. Elle a depuis vendu plus de 16 millions d’albums dans 47 pays.

Crédit : SADAKA EDMOND/SIPA/1211160917

New York, ville la plus "amicale" des Etats-Unis

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Si vous voulez vous faire des amis, ne cherchez plus. C’est à New York qu’il faut aller.

Le site Credit donkey a dressé un classement des 10 villes américaines de plus de 1 million d’habitants où il est le plus facile de faire des rencontres. Pour cela, il s’est basé sur trois critères : le caractère philanthropique des habitants (calculé à partir du volumes de dons), la proximité des commerces, cafés, restaurants et autres lieu propices à la rencontre  (“walkability”) et enfin la stabilité de sa population, à savoir les personnes qui habitent au même endroit pendant au moins cinq ans.

New York, la ville la plus amicale, est numéro un en terme de “walkability” et enregistre de bons scores dans les deux autres catégories. Los Angeles arrive en 4e position, un bon score en raison des nombreux lieux de rencontres de la ville. Miami, la seule ville de Floride du classement, occupe la 9e place. Elle le doit aussi en grande partie à sa “walkability”.

Classement complet:

1. New York. 2. Baltimore. 3. Washington, DC. 4. Los Angeles. 5. Philadelphie. 6. Chicago. 7.Minneapolis. 8.Detroit. 9. Miami. 10. St. Louis

Galyna Andrushko/ddp images/ Sipa USA

Au MoMA, les contrastes de l'Amérique du XXe siècle

L’Amérique de la première moitié du XXe siècle vue par les artistes américains de l’époque, c’est l’objet de la prochaine exposition du MoMA, “American modern : Hopper to O’Keeffe”.

Pour cette nouvelle exposition, qui se tiendra du 17 août au 26 janvier, le MoMA est allé dénicher dans sa collection des oeuvres d’une cinquantaine d’artistes, réalisées entre 1915 et 1950 . Y figurent Edward Hopper, Georgia O’Keeffe, Charles Burchfield ou encore Andrew Wyeth, pour ne citer qu’eux.

La centaine de peintures, dessins, photographies, tirages et sculptures qui y sont exposés témoignent de la transformation radicale qu’ont vécu les Etats-Unis pendant cette période. A travers différentes techniques et styles artistiques, l’ensemble de ces oeuvres souligne le contraste entre l’évolution du paysage urbain, liée à une modernisation rapide de la société, et la nostalgie de la campagne américaine. La maison victorienne de “House by the Railroad” d’Edward Hopper, traversée par une voie de chemin de fer, symbolise bien cette dichotomie. C’est l’une des pièces majeures de l’exposition.

Nombre des oeuvres visibles représentent des paysages industriels, urbains ou ruraux vides de toute présence humaine. Cette absence est particulièrement frappante dans les photographies d’architecture urbaine de Walker Evans ou dans la peinture “New Moon, New York” de George Ault, sur laquelle se dressent, d’un trait droit et épuré, rues et gratte-ciel. La peinture de Ralph Steiner, “American Rural Baroque”, montrant une jolie chaise à bascule vide devant une maison, symbolise une vie et une époque tranquilles, amenées à disparaître.

Les visages de cette société américaine en transformation apparaîssent dans certaines oeuvres comme “Family Portrait, II” de Florine Stettheimer, représentant la haute bourgeoisie du XXe siècle. Elles sont aussi présentes à travers les publicités et objets à la mode à cette époque comme les cigarettes “Lucky Strike” de Stuart Davis, symboles de la culture commerciale. Une plongée dans un temps pas si lointain, mais bel et bien révolu.

Crédit : Kent Baldner/Flickr

 

Les plus grands opéras en HD et en plein air

“Otello” de Verdi, “La Damnation de Faust” de Berlioz ou encore “La Clémence de Tito” de Mozart, profitez d’une soirée en plein air pour reviser vos classiques.

Vous pourrez venir écouter et admirer les plus beaux opéras projetés sous les étoiles du Lincoln Center Plaza. Du 24 août au 2 septembre, le Metropolitan Opera diffusera en HD ses opéras les plus populaires à l’occasion de la 5e édition du Summer HD Festival.

La programmation débutera avec “La Traviata” de Verdi le 24 août.

Crédit : commons.wikimedia.org 

Houston plonge dans l'hystérie d' "Augustine"

L’hystérie. C’est le thème du film français “Augustine” d’Alice Winocour, projeté au Museum of Fine Arts de Houston les 17 et 24 août.

Basé sur une histoire vraie, “Augustine” met en scène Vincent Lindon dans le rôle du Dr. Charcot, un célèbre neurologue français qui s’est notamment intéressé à l’hystérie. Paris, hiver 1885, une jeune cuisinière de 19 ans, Augustine, se retrouve dans le service psychiatrique spécialisé dans l’hystérie de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière après une crise qui l’a laissée partiellement paralysée. La jeune femme va devenir le principal patient du Dr. Charcot, qui pratique sur elle la méthode de l’hypnose.

Stéphanie Sokolinski, dit Soko, joue le rôle d’Augustine aux côtés de Vincent Lindon. L’actrice Chiara Mastroianni apparait également dans ce film réalisé en 2012.

Credit : www.franceinfo.fr

Bryant Park joue aux chaises musicales

Les chaises musicales sont de retour à Bryant Park. Rendez-vous le 26 août.

Pour la deuxième année consécutive, le parc de Midtown organise son grand concours de “Musical Chairs”, un jeu qui fait le plaisir des petits partout dans le monde. A New York, pas question de gamineries. La compétition sera rude puisque seuls les plus de 18 ans sont autorisés à y participer.

Petit rappel des règles : il y a plus de participants que de chaises. Une fois que la musique s’arrête, il faut s’asseoir sur la chaise la plus proche. Celui qui reste debout est éliminé. Le jeu dure jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une seule chaise.

Le jeu sera animé par le comédien Tom Shillue et le DJ Stewey Decimal.

Crédit : Charles Guerin/ABACAUSA