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Plongée dans les pooldecks de Miami

Piquer une tête dans le ciel de Miami, ça relève presque de l’obligation. Plusieurs pooldecks vous attendent sagement sur les toits de la ville.

Miami Beach

Première étape, rendez-vous au Spire, le rooftop bar du Hotel of South Beach. Une terrasse soignée avec un bar circulaire autour de l’enseigne lumineuse Tiffany, typique du quartier Art Deco de Miami. La piscine est située à proximité, de l’autre côté du toit. Si seulement ils avaient pu tout regrouper… Spire @ The Hotel of South Beach – 801 Collins Ave – Miami Beach, FL 33139 – www.TheHotelOfSouthBeach.com

Davantage connu pour ses ‘pool parties’ directement au bord d’Ocean Drive à quelques mètres de la plage, The Clevelander offre aussi son toit avec le C-Level (Rooftop Terrace) et sa chute d’eau artificielle pour une ambiance un brin plus chic que le rez-de-chaussée. Clubbing inclus le week-end. En tout cas, cela vous donnera un avant-goût de leur bar avec piscine au ras de la pelouse du Marlins Park, le stade de base-ball de Miami. C-Level @ The Clevelander South Beach – 1020 Ocean Drive – Miami Beach, FL 33139 – www.Clevelander.com

Et nous y voici, au bord de la piscine ! Le High Bar de l’hôtel The Dream South Beach combine avec style ‘pool party’ et vie nocturne, quelques cocktails originaux et des réservations VIP pour les cabanes privatives. Le tout dans un espace malheureusement plutôt restreint. A noter que le toit de cet hôtel offre la même configuration que The Hotel of South Beach, à savoir une partie bar (High Bar Terrace) de l’autre côté du toit. Là encore, regrouper bar et piscine aurait été plus pratique. High Bar @ The Dream South Beach – 1111 Collins Avenue – Miami Beach, FL 33139 – www.DreamHotels.com

Et on continue dans le même style avec le Rooftop (toujours très original) du Townhouse Hotel. Un soupçon plus raffiné avec ses nuances sombres, mais a priori moins animé que les précédents. A chacun sa préférence. Rien n’empêche de se mettre en condition ici pour continuer ailleurs… Rooftop @ Townhouse – 150 20th Street – Miami Beach, FL 33139 – www.TownhouseHotel.com

Ce site, sans doute l’un des plus beaux (si ce n’est le plus beau !) de South Beach, ne cesse de changer d’enseigne. Auparavant le Gansevoort South Hotel, puis le Perry South Beach Hotel, et aujourd’hui de nouveau en cours de rénovation (plus de 100 millions de dollars) pour devenir en 2014 : 1 Hotel South Beach – A suivre… – 2377 Collins Avenue – Miami Beach, FL 33139 – 1Hotels.com

Brickell

Vous irez à l’Area 31 quand il aura rouvert… d’ici Labor Day. En tout cas, vous vous y rendrez davantage pour un verre en début de soirée, ou plus simplement pour un excellent dîner (de poissons, élevage durable). Mais qui sait, par le passé, de nombreuses soirées spéciales et promotionnelles ont été organisées autour de l’immense piscine adjacente de l’Epic Hotel qui surplombe la baie. Surveillez l’actualité.  Area 31 @ Epic Hotel – 270 Biscayne Blvd Way – Miami, FL 33131 – www.Area31Restaurant.com

Comme son nom l’indique, le Fifty Ultra Lounge se situe au 50ème étage du Viceroy, ce qui commence à faire bien haut pour Miami ; et Ultra signifie que c’est un club. Plutôt huppé, passablement cher, mais classe, haut-de-gamme, avec deux ambiances, une en intérieur avec des baies vitrées qui donnent  sur la ville, et une en extérieur autour de la piscine. Magnifique si on peut se le permettre. Et ils organisent même des ‘pool parties’ en journée. De la décadence bienvenue… Fifty Ultra Lounge @ Viceroy Miami – 485 Brickell Avenue – Miami, FL 33131 – www.ViceroyHotelAndResorts.com

Coconut Grove

Last but not least… Cette fois-ci, on s’extirpe complètement du centre de Miami, et on plonge dans la zone résidentielle aisée à peine quelques miles au sud de la ville, Coral Gables, et plus particulièrement le quartier florissant de Coconut Grove. Above The Mayfair offre des Happy Hours le vendredi, des pool parties le dimanche. Petits massages offerts en début de soirée, verres offerts pour les demoiselles, valet parking raisonnable, et cabanes privatives avec écrans ; on ne rechigne devant rien. S’oxygéner avec classe, faire la fête avec style ; le tout sans trop se ruiner comparé à Miami Brickell ou South Beach. Rooftop Cabana Club / Above the Mayfair @ Mayfair Hotel & Spa – 3000 Florida Avenue – Coconut Grove, FL 33133 – www.MayfairHotelAndSpa.com

Photo de Une: Courtesy of Conroy Martinez Group

Lyon et New York font match nul

Pour leur première rencontre, l’Olympique Lyonnais et les New York Red Bulls ont fait jeu égal. Les deux équipes se sont quittées sur un match nul 2-2, mardi soir, à la Red Bull Arena dans le New Jersey.
La rencontre a été dominée par les New York Red Bulls, surpris dès la 3e minute par un but contre leur camp de Olave, piégé par le centre de Danic. Mais les hommes de Mike Petke, privés de Henry mis au repos, ne se sont pas laissé impressionner. Ils sont allés au contact, récupérant à plusieurs reprises le ballon en milieu de terrain et inquiétant la défense lyonnaise, sans doute plombée par la chaleur (32 degrés au coup d’envoi). La sanction est venue à la 32e minute, après un coup de franc rapidement joué : McCarty égalise 1-1 par une superbe frappe enveloppée dans la lucarne.
De retour des vestiaires, Lyon montre d’autres ambitions. Mais ne parvient pas à faire la différence face à une équipe new-yorkaise bien en place. Les Red Bulls marquent un second but sur un centre de Sam pour Akpan. L’attaquant, un brin chanceux, se retourne et crucifie le gardien lyonnais. Heureusement pour l’OL, Yoann Gourcuff, rentré en cours de jeu, sauve les meubles. Il inscrit le but du 2-2 à la 74e minute, après une belle accélération  de  N’Jie.
C’est le second match nul concédé par l’OL sur deux matches amicaux de pré-saison. Auparavant, les hommes de Rémi Garde avaient fait 0-0 contre les Polonais de Pogon. “Je ne vais pas tirer de conclusion définitive après deux matchs“, a réagi le coach lyonnais à L’Equipe. “Globalement, on n’a pas maîtrisé la rencontre“.
Voir les buts:

Photo: NY Red Bulls

À New York, dans le temple secret du Calvados

Du Calvados, de la pastèque pressée, un trait de citron et une pointe de piment. Voici le cocktail « hot desire », tel qu’il est servi dans les fauteuils en cuir du bar de l’Intercontinental Barclay. Dans cet établissement chic, on sert depuis l’année dernière des dizaines de “Calva” différents, purs ou en cocktails. Une première aux Etats-Unis.

C’est Boris Burtin, le patron du bar et du restaurant de cet hôtel, qui est à l’origine du projet. “L’idée, c’est que cet alcool devienne la marque de fabrique du bar, que nous avons rebaptisé le Calvados bar. C’est un clin d’œil à la Big Apple“, sourit-il.

Derrière le comptoir en bois sombre, il a fièrement aligné ses 85 types de Calvados : jeune, vieux, mélangé à de la poire, double distillé… « Nous avons été reconnu par l’association interprofessionnelle des producteurs comme le seul bar à Calvados aux Etats-Unis. C’est un alcool peu exporté ici, et totalement inconnu », affirme ce Normand de 33 ans, originaire d’Aunay-sur-Odon, qui vit aux Etats-Unis depuis huit ans.

C’est par les cocktails au Calvados que Boris Burtin entend séduire ses clients : « C’est plus facile, et  chaque fois cela plait », glisse-t-il. La carte en propose trois (17 $), que le barman mélange habilement à du sirop de thym, de la liqueur de jasmin ou du Porto. Les résultats sont surprenants, mais délicieux. Des formules “dégustation” (quatre Calvados différents pour 22 dollars) sont également proposées. « Avec les Américains, l’avantage, c’est que nous partons d’une page blanche. En France, le Calvados souffre parfois, et à tort, d’une image vieillotte et peu raffinée. »

Quant au « trou normand », ce Calvados servi avec du sorbet de pomme, il n’est pas encore à la carte de l’Intercontinental. « Pour le coup, c’est une pratique très franco-française… Mais à l’occasion, il nous arrive de le proposer ! »

Photo: Boris Burtin (droite) et le mixologue Jose Torrella Jr / Charles Guerin/ABACAUSA.COM

Lucie Carrasco, “la poulette à roulettes” à la conquête de l’Amérique

Une détermination à toute épreuve: c’est ce qui vient à l’esprit lorsque l’on rencontre Lucie Carrasco.

Cette créatrice de mode de 32 ans s’apprête à présenter sa première collection Haute Couture “made in LA” lors d’un défilé organisé le 24 juillet à l’hôtel LUXE de Beverly Hills. Depuis son enfance, elle est atteinte d’amyotrophie spinale, une maladie rare causée par la dégénérescence de certaines cellules nerveuses de la moelle épinière. À l’âge de cinq ans, Lucie Carrasco apprend qu’elle ne pourra jamais marcher, l’ordre du mouvement n’étant plus envoyé à ses muscles. « Mon père m’a toujours soutenue, raconte-t-elle dans une interview donnée à France 5 à la sortie de son livre Plus forte que la maladie (Flammarion) paru en 2010, il m’a dit que ce n’était pas grave, que je pourrai faire d’autres choses, et moi, c’est ce que j’ai retenu. »

La jeune femme s’est toujours battue (parfois même en justice) pour ne pas suivre la voie médicalisée toute tracée que voulait lui imposer l’administration française, et vivre sa vie le plus indépendamment possible. Le mot d’ordre : tracer sa propre route, gagner sa vie, mais « pas moyen pour moi de me retrouver coincée derrière un ordinateur », précise-t-elle.

Passionnée par la mode féminine depuis son enfance, elle prend grand soin de son apparence, ayant appris toute jeune à se maquiller et faire ses propres ongles. Adolescente, la Lyonnaise rêveuse commence à esquisser les croquis de ses premières robes. Elle ne s’arrête plus.

En 2010, année de sortie de son livre, elle présente sa première collection de Haute Couture, parrainée par Ophélie Winter : des robes de satin, dentelle, et tulle, coupes sensuelles et élégantes, élaborées sous l’œil attentif Lucie Carrasco. La créatrice, aussi styliste et consultante en mode, a le souci du détail : « Dans la vie de tous les jours, je suis très ouverte et sympa, mais lorsque je travaille, je suis très concentrée et hyper pointilleuse », confie-t-elle, ses yeux verts impeccablement maquillés.

Depuis son premier défilé, elle est apparue plusieurs fois à la télévision française et a obtenu le soutien de nombreuses célébrités et égéries de la mode, comme Adriana Karembeu et Eva Longoria. Elle a offert à Shakira une robe spécialement conçue pour la chanteuse, en mars dernier, lors d’une visite à Paris. C’est néanmoins aux Etats-Unis que Lucie Carrasco voit sa vie à présent: ras-le-bol de la France et de sa bureaucratie, ses écoles de mode qui lui refusent l’entrée, et ses banques qui ne lui accordent aucun prêt. Avec l’aide de son sponsor Lo&Lo, elle vient de traverser l’Atlantique. « Ici au moins, les gens vous disent bonjour et bienvenue ».

Son rêve américain, c’est le « Roll Forever Tour », un périple d’un an dans les grandes villes et lieux mythiques du continent, avec une série de défilés de mode. Son but: sensibiliser le grand public au potentiel des personnes atteintes de handicap, et intervenir dans plusieurs hôpitaux pour inspirer les enfants et adolescents qui, comme elle, sont  quadriplégiques ou atteints de maladies dégénératives.

Afin de l’aider à financer son projet, Lucie Carrasco a créé l’association Roule toujours, parrainée par l’acteur Jean-Marc Barr. Après ce premier évènement à L.A, celle que l’acteur Bruno Gaccio surnomme avec tendresse sa “poulette à roulettes” partira à l’aventure à travers les États-Unis: San Francisco, le Texas, Miami, et New York sont au programme. Ouvrez l’oeil!
 
Crédit photo: Emmanuelle Choussy

Le vélo fait son show lors de Pedalfest

Les engins à pédales envahiront la Bay Area le 20 juillet à l’occasion du Pedalfest, le festival du vélo.

Petites, moyennes et grandes roues feront leur show au Jack London Square. Sauts en BMX, courses et autres performances seront réalisées par des professionnels des deux roues.

Les spectateurs pourront participer aux festivités à travers différents ateliers et jeux. Ils pourront par exemple pédaler pour fabriquer leur propre smoothie. Une collection de vélos récents, vintage ou encore de fabrication artisanale sera exposée au bord de l’eau.

Cet événement est ouvert à tous, des cyclistes du dimanche aux plus sportifs en passant par les jeunes casse-cou. Un rodéo vélo sera réservé aux enfants. Des concerts de musique accompagneront toutes ces activités. Pour se rafraîchir, des bières seront servies au New Belgium Brewing. Plus de 20.000 personnes sont attendues à ce Pedalfest.

Crédit : pedalfestjacklondon.com

Open The Door lance un concours de photo et d'écriture

«Comment ouvre-t-on la porte à une autre culture, à une nouvelle étape dans notre vie, à quelqu’un, à un rêve, même quand la porte est fermée ? Qu’est-ce qui arrive quand nous nous retrouvons sur le palier ?». Telle est la question posée aux participants du tout nouveau concours d’écriture et de photographie d’Open The Door.

Open The Door est un projet de la Texan French Alliance for the Arts, lancé l’an dernier à Houston. Plusieurs artistes français et américains ont imaginé 60 portes, peintes à travers la ville.

Les candidats, professionnels comme amateurs, sont invités à puiser dans une expérience personnelle ou inventée pour répondre à la question posée. Les photographes devront donner une explication de leur photographie et les rédacteurs auront un large éventail de styles: poème, chanson, slam, nouvelle ou essai.

L’objectif : encourager les participants à réfléchir au symbole de la porte et comment elle peut créer des ponts entre les cultures. Les travaux primés seront publiés dans le catalogue d’Open The Door. La date limite pour l’envoi des travaux est le 15 octobre. Une catégorie -18 ans est prévue pour les artistes en herbe.

Au Catalina Jazz Club, les classiques de la chanson française

Le mois de juillet est décidément français à Los Angeles. Une soirée spéciale bleu-blanc-rouge est programmée au Catalina Jazz Club le 25 juillet pour redécouvrir tous les succès de la variété française.

Julia Kantor et Max Cohen, deux chanteurs de l’organisation French Singers LA reprendront les plus grands tubes de la chanson française. De Charles Aznavour à Zaz, en passant par Jacques Brel, Patricia Kaas, Enrico Macias et Maurane, les amoureux de variété devraient en avoir pour leur argent.

Pour clôturer cette soirée, la chanteuse et actrice d’Hollywood Pamela Clay interprétera Edith Piaf, dont la fameuse chanson «La vie en rose».

Crédit : Catalina Jazz Club

Libérez Fabulous Fab ! Et poursuivez les vrais responsables!

Le procès de Fabrice Tourre, l’ancien trader de Goldman Sachs, a commencé lundi à New York. “Bouc-émissaire” tranche William Cohan, spécialiste de la crise financière de 2007-2008 (et auteur de “House of Cards”). Dans une tribune publiée par Bloomberg, il prend la défense du Français.
“Plutôt que de s’en tenir à faire ce qui est évident et juste, en mettant un terme à la poursuite complétement gratuite de Fabrice Tourre, le « fabuleux Fab », qui a débuté ce matin dans une cour fédérale de Manhattan, Mary Joe White (la présidente de la Securities and Exchange Commission (SEC), le gendarme de la Bourse aux Etats-Unis, ndlr) tente de le faire passer pour la figure de proue de la crise financière de 2008. Rien n’est plus éloigné de la vérité.
Quiconque a travaillé plus d’une journée dans une banque d’investissement de Wall Street – et j’ai passé dix-sept ans dans plusieurs de ces banques – a appris ce qui apparemment échappe à la SEC: un “vice-président” de bas niveau comme Tourre n’a qu’une responsabilité : faire ce qu’on lui dit – et vendre! Fabrice Tourre n’était pas plus responsable de la conception du dérivé de dette synthétique Abacus – au cœur du procès civil intenté par la SEC –  que Trayvon Martin (un jeune noir tué en 2012 en Floride, ndlr) l’était de sa propre mort.
Qu’on l’aime ou pas, le produit Abacus n’était pas vraiment conçu différemment de n’importe quel autre produit CDO synthétique vendu ces dix dernières années. Il est juste de douter de la moralité et de l’efficacité de ces produits absurdes, mais ils n’avaient rien d’illégal.
En outre, les emails et documents que le Sénateur Carl Levins a rendus publics en 2010, prouvent que toutes les parties concernées dans le produit Abacus – John Paulson, le gérant de hedge-fund; ACA, la filiale de Bear-Stearns qui a concocté l’affaire; et les deux banques IKB Deutsche Industriebank et ABN-Amro –  étaient très bien averties, connaissaient exactement les risques qu’elles prenaient et se sont volontairement mises d’accord pour les prendre. Il revenait à Tourre d’amener ces parties à collaborer pour que le contrat soit conclu, afin que Goldman soit payé 15 millions de dollars.
Fabrice Tourre a-t-il trop dit dans ses emails ? Absolument! Dans l’un, il qualifie ce qu’il vend de « produit de pure masturbation intellectuelle ». Mais si se plaindre de nos boulots était un crime, nous devrions tous faire face à la même poursuite judiciaire kafkaesque que celle que Mary Joe White a entrepris contre Fabrice Tourre.
La poursuite de Fabrice Tourre est une imposture et un énorme gaspillage de l’argent des contribuables. Poursuive un petit poisson comme Tourre alors que de gros poissons, comme Dick Fuld de Lehman Brothers, Jimmy Cayne de Bear Stearns, Stan O’Neal de Merrill Lynch, Joseph Cassano d’AIG et Anthony Mozilo de Countrywide Financial, s’en tirent sans ennui: là est le vrai scandale. Libérez Fab et libérez-le maintenant ».
L’original de l’article sur Bloomberg.

Les célibataires aux enchères pour la bonne cause

Les Bachelors et Bachelorettes de vos rêves seront mis aux enchères à Miami le 26 juillet.

Make-A-Wish Southern Florida organise la 15e édition de Bachelor & Bachelorette Dream Date Auction. L’argent récolté au cours de la soirée sera entièrement reversé à l’association Make-A-Wish Southern Florida. Plus de 600 personnes sont attendues pour choisir les célibataires, hommes et femmes, les plus convoités pour un rendez-vous.

Make-A-Wish Southern Florida permet à des enfants malades de réaliser leurs rêves. Depuis sa création, cette vente aux enchères a levé plus de 375.000$. Cette somme a fait le bonheur de 75 enfants de la région.

Crédit :  Franci Rader/Make-A-Wish Foundation

"Hotel Paradiso" de Feydeau ouvre ses portes à Los Angeles

Mari, femme, amant et ami se retrouvent tous à l’hôtel du libre-échange où se multiplient mensonges et quiproquos. Une adaptation de la célèbre pièce de Georges Feydeau est jouée à Los Angeles jusqu’au 11 août.

Mise en scène par Drina Durazo, la pièce raconte les aventures farfelues de Pinglet, un homme marié qui s’éprend de Madame Paillardin, elle-même mariée. Les deux tourtereaux passent une soirée dans l’hôtel du libre-échange sans savoir que s’y trouve également Monsieur Pallardin et son neveu ainsi que la bonne de Pinglet et Mathieu, un ami de province des protagonistes.

La pièce a été écrite à la fin du XIXème siècle par Georges Feydeau en collaboration avec Maurice Desvallières. C’est aujourd’hui l’une de ses pièces les plus jouées.

Gagnez des places pour OL-New York

French Morning vous propose de gagner quatre places pour OL-New York, ce mardi 16 juillet au Red Bull Arena (New Jersey).

Pour participer, il suffit d’envoyer votre nom, prénom et votre adresse e-mail à [email protected]. Les gagnants seront tirés au sort (les vainqueurs du tirage gagnent chacun 4 places).

La dernière fois que l’OL s’est déplacé dans le New Jersey, c’était pour rencontrer Montpellier dans le cadre du Trophée des Champions. Leur match de mardi sera le premier contre les New York Red Bulls de Thierry Henry.

Photo: Vincent Dargent/ABACAPRESS.COM

Les petits frères des Pauvres font du fundraising aux Etats-Unis

Les petits frères des Pauvres se lancent au pays du fundraising. L‘association française, qui vient en aide aux personnes âgées en situation de précarité, vient d’entamer une campagne de levée de fonds auprès de la communauté française des Etats-Unis.

Si vous êtes attentifs aux publicités de French Morning vous l’avez sans doute remarqué: pour la première fois, l’association traverse l’Atlantique pour trouver des financements. Les fonds récoltés ne financeront pas l’association-mère, en France, mais la dizaine de chapitres américains que compte l’organisme, regroupés sous le nom de “Little Brothers-Friends of the Elderly”. “Ces dernières années, il y a une crise institutionnelle au sein des Frères aux Etats-Unis. Aujourd’hui, les fraternités sont toutes indépendantes, ce qui fait que les plus petits ont du mal à collecter de l’argent. Ils comptent en général 2-3 salariés. L’action passe avant la collecte de fonds“, raconte Barbara Bringuier, coordinatrice internationale de l’association, lors de son passage  à New York la semaine dernière.

Les petits frères des Pauvres sont connus en France: depuis 1946, ils viennent en aide aux personnes pauvres ou précaires, en priorité âgées de plus de 50 ans, en leur apportant une aide matérielle et une présence. En 2012, l’association dénombrait 39.000 personnes aidées en 2012, dont 10.200 personnes accompagnées régulièrement. Son action s’est développée à l’international dès 1959, avec l’ouverture d’un chapitre à Chicago. L’association est présente aujourd’hui dans huit pays.

Les financements récoltés seront réunis au sein d’un fonds, l’«American Fund of little brothers of the Poor», avant d’être répartis entre les différents chapitres. Les besoins sont particulièrement importants à Chicago, souligne Mme Bringuier, où 3.000 personnes bénéficient des services de l’association. « L’isolement des personnes âgées est un phénomène qui augmente aux Etats-Unis. Les communautés défavorisées, noires, hispaniques, sont les plus touchées. A Chicago par exemple, ils donnent des « foods bags » aux bénéficiaires. En France, on ne fait pas ça, car ils ne meurent pas de faim.»

Pour réaliser cette campagne américaine, les petits frères des Pauvres travaillent avec Faircom, une agence de fundraising présente à New York. Elle s’adresse en particulier aux Français des Etats-Unis assujettis à l’ISF à raison de leurs biens situés en France. Les dons, qui doivent être faits avant le 2 septembre, sont déductibles à hauteur de 75 % de leur montant dans la limite de 50.000 euros. “Un pari“, pour l’association, qui ne dispose d’aucune statistique sur le nombre de Français dans cette situation. “Les petits frères des Pauvres sont connus et reconnus par les Français. L’idée est de jouer sur notre nom“, précise Mme Bringuier. L’association organisera également  une collecte de fonds le 12 décembre à la Maison française de Washington.

Les fonds recueillis serviront notamment à former les personnels américains à la levée de fonds. Quand les Français aident les Américains à faire du fundraising…

Photo: Congrès international de la Fédération Internationale des petits frères des Pauvres, 2012.