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Un Trivial Pursuit spécial « Simpsons »

Ouh Pinaise ! Fans de la série « The Simpsons », votre moment de gloire est arrivé. Le NerdMelt Theater propose un quizz spécial “Simpsons” tous les premiers samedis du mois à partir du 6 juillet et jusqu’en décembre.

Si vous vous considérez comme un habitant de Springfield et que vous souhaitez vous pavaner en exposant vos connaissances infinies sur la série, comme le ferait Lisa Simpson,  ce Trivial Pursuit d’un nouveau genre est fait pour vous.

Chaque joueur dispose de deux tours pour répondre à plusieurs questions sur des sujets divers tels que la bière préférée de Homer ou la pire punition qu’ait reçue Bart. Des prix, comestibles ou non, sont à gagner.

Pour reposer vos neurones après la compétition acharnée, des projections de quelques épisodes de la série sont organisées.

Crédit : Sipa / Sipa USA

Fêter le 14 juillet en Californie du Sud

Un petit jeu de pétanque ? Un verre en terrasse ?  Un spectacle de musique française en plein air ? Pour célébrer dignement leur héritage, les Français installés en Californie du sud, qu’ils soient de Los Angeles, de San Diego ou de Santa Barbara, n’auront que l’embarras du choix.

Kenneth Hahn Park : un rendez-vous populaire

Cette année encore, le principal rassemblement des Français de L.A est organisé par le Bastille Day Festival, au Kenneth Hahn Park, avec vue sur l’océan. Selon la productrice de l’événement, Pascale Fortunat, «le festival devrait, comme chaque année, rassembler entre 7.000 et 10.000 personnes, pour la 12e année consécutive ». De nombreuses activités seront proposées : danses folkloriques en costumes, concert de chanson française, course des garçons de café, pétanque. Sans oublier la possibilité d’amener son pique-nique et de déjeuner sur l’herbe. A ne pas rater : la créatrice française Titelle invitée à créer sur scène une robe tricolore pour la Marianne des Temps Modernes. Kenneth Hahn Recreational Park, 5401 Fairfax Avenue. De midi au coucher du soleil. Entrée: 5$ (gratuit pour les moins de 13 ans).

French Tuesdays, pour un 14 juillet branché

Si l’ambiance saucisson, vin blanc et bourrée auvergnate n’est pas votre tasse de thé, vous pourrez toujours vous rattraper avec la soirée French Tuesdays : organisée à l’hôtel Sofitel, au Riviera 31, les participants y sont attendus pour faire la fête de 16h à minuit. Seule condition : être âgé de 21 ans minimum. “Le prix de l’entrée ne comprend ni alcool ni nourriture » précisent les organisateurs « mais nous fournissons les jeux, les divertissements et la musique ». Une imitatrice d’Edith Piaf, des danseuses de French Cancan et un DJ de Miami seront notamment présents. N’oubliez pas le dress code aux couleurs du drapeau tricolore. Hôtel Sofitel, Riviera 31, 8555 Beverly Blvd, de 15 à 75$  l’entrée. Réservations ici.

Un jeu de pétanque à la bonne franquette

Pour les nostalgiques du sud de la France qui voudraient profiter de la fête nationale pour taquiner le cochonnet, le Club de Pétanque de Los Angeles vous convie dimanche à un tournoi spécial 14 juillet:  «Bastille Day P’tit Panache Doublette and Brunch ». Inscriptions et brunch-barbecue à partir de 11h et jusqu’à 12h30. Début du tournoi à 13h. « Le club prêtera des boules pour ceux qui n’en ont pas » précisent les organisateurs. Avis aux amateurs de bon vin : les vainqueurs seront récompensés par quelques bonnes bouteilles. 5$ par joueur (ou par invité) – gratuit si vous apportez un plat ou un dessert à partager ! 2551 Motor Avenue, à l’intérieur de Rancho Park.

S’évader à Santa Barbara


Si vous habitez Santa Barbara ou que l’envie vous prend de vous échapper de L.A, le temps d’un week-end,  le French Festival de Santa Barbara vous tend les bras. « Il a été créé il y a 25 ans par un francophile américain qui voulait célébrer la culture française », raconte Terri Ball, responsable de la communication. « Aujourd’hui, ce sont deux associations à but non-lucratif qui en ont repris l’organisation, précise-t-elle.  « Nous accueillons généralement entre 10.000 et 15.000 personnes en l’espace de deux jours ». Parmi les activités proposées: concerts de chanson française ou encore d’accordéon,  spectacles de danse, stands de crêpes et de pâtisseries françaises … A ne pas rater : le défilé de caniches, un rituel présidé par Monsieur le maire de Santa Barbara…  Les 13 et 14 juillet, de 11h à 19h à Oak Park, 300 W. Alamar. Entrée libre ! Infos : www.frenchfestival.com   

Barbecue à San Diego

A San Diego, la chambre de commerce franco-américaine et l’école franco-américaine se sont réunies pour organiser un après-midi de 14 juillet « bucolique », autour notamment d’un barbecue (avec concert de musique folk/rock), puis d’un tournoi de pétanque, de volley et de foot. De 10h à 17h. 10$ l’entrée, San Diego French-American School, 6550 Soledad Mountain Rd, La Jolla.

A table !

De nombreux restaurants français ou européens à Los Angeles proposent par ailleurs des menus, des cocktails et des animations à l’occasion du 14 juillet : c’est notamment le cas de Fig and Olive, de Church and State, de Papilles ou encore du petit bar intimiste Mignon, à Downtown Los Angeles.

Cœur de pirate part à l’abordage de Los Angeles

Après New York et San Francisco, c’est au tour de Los Angeles de se laisser charmer par Cœur de Pirate. La chanteuse canadienne y donnera un concert le 14 septembre.
Son grain de voix si particulier et sa personnalité devraient charmer les Californiens. Béatrice Martin, de son vrai nom, interprétera ses plus belles chansons tirées de ses deux albums « Cœur de Pirate » et « Blonde », ainsi que quelques reprises.
Pour ce concert, exit les musiciens, l’artiste chantera en solo. Elle ne sera accompagnée que de son piano et d’une guitare acoustique. Le public aura ainsi l’opportunité de découvrir les musiques dans leur état brut, au moment de leur composition.
Repérée sur MySpace, Cœur de Pirate rencontre immédiatement le succès qu’elle attendait. En seulement cinq ans, la jeune canadienne a remporté huit récompenses, dont celle des Victoires de la Musique 2010 dans la catégorie « Chanson originale de l’année ».
Crédit : Cœur de Pirate / Facebook

Cœur de pirate part à l’abordage de San Francisco

Après New York, c’est au tour de San Francisco de se laisser charmer par Cœur de Pirate. La chanteuse canadienne y donnera un concert le 13 septembre.

Son grain de voix si particulier et sa personnalité devraient charmer les Californiens. Béatrice Martin, de son vrai nom, interprétera ses plus belles chansons tirées de ses deux albums « Cœur de Pirate » et « Blonde », ainsi que quelques reprises.

Pour ce concert, exit les musiciens, l’artiste chantera en solo. Elle ne sera accompagnée que de son piano et d’une guitare acoustique. Le public aura ainsi l’opportunité de découvrir les musiques dans leur état brut, au moment de leur composition.

Repérée sur MySpace, Cœur de Pirate rencontre immédiatement le succès qu’elle attendait. En seulement cinq ans, la jeune canadienne a remporté huit récompenses, dont celle des Victoires de la Musique 2010 dans la catégorie « Chanson originale de l’année ».

Crédit : Cœur de Pirate / Facebook

Video Games Live : Mario et Pikachu en concert à Houston

Avis à tous les geeks ! Pour écouter les musiques de vos jeux vidéo en dehors du salon, la Houston Symphony prépare un concert spécial le 5 juillet.

Les mélodies des plus célèbres jeux vidéo seront jouées lors de ce concert. De quoi donner des frissons en entendant les bandes originales des franchises Nintendo, Playstation et autres multinationales du monde virtuel.

“Zelda”, “Final Fantasy”, “World of Warcraft” mais aussi “Pokemon” et “Super Smash Bros” sont au programme de la soirée. Des vidéos exclusives seront synchronisées avec la musique et un jeu de lumière permettra au public de se sentir transporté dans les  différents mondes propres à chaque jeu.

Un concours de “Guitar Heros” sera même organisé au cours de la soirée pour réveiller l’âme du rockeur qui est en vous. Des compositeurs et des designers de l’industrie du jeu vidéo seront également présents pour faire connaître la façon dont ils travaillent.

Crédit : Video Games Live

Cet été, c’est concert sur la plage à Santa Monica

La plage, le coucher du soleil et des concerts gratuits, voilà le principe de Twilight Concerts. Le festival de musique revient à Los Angeles du 11 juillet au 12 septembre.

Le succès du festival ? Tous les concerts sont gratuits et tous les styles de musique sont proposés : pop, rock, musiques du monde, soul et reggae. Le festival a lieu tous les jeudis à Santa Monica Pier, directement sur la plage en début de soirée.

C’est le groupe rock de Floride Surfer Blood qui fera l’ouverture du festival le 11 juillet. Parmi les autres musiciens programmés : le chanteur australien Xavier Rudd jouera le 1er août, et Nick Waterhouse, l’un des compositeurs soul et R&B les plus en vogue de Los Angeles, jouera le 22 août.

Et pour clôturer le festival, le célèbre chanteur jamaïcain Jimmy Cliff sera en concert le 12 septembre.

Crédit : Twilight Concert Series

Pionnière des programmes bilingues, EFNY manque de fonds

Nos programmes after-school ne sont pas tenables“. Talcott Camp est présidente d‘EFNY (Education Française New York). Et ces temps-ci, elle est inquiète.

L’association de parents d’élèves à l’origine de plusieurs programmes bilingues de la ville vient de lancer  un appel au don auprès de son réseau de parents d’élèves. Objectif: financer ses “after-schools” français-anglais, mais aussi les autres programmes et services proposés par l’organisme. “Nous payons les professeurs, notre programme est de qualité, les enseignants sont formés et les frais d’inscriptions sont relativement bas comparés à d’autres after-schools, souligne Mme Camp. Nous avons besoin d’embaucher quelqu’un pour partager la charge de travail“. Pour l’heure, seuls le coordinateur pédagogique et les enseignants sont salariés, les autres tâches sont assurées par des bénévoles.

Outre le recrutement d’un salarié, les fonds levés doivent permettre de financer l’ouverture de nouveaux programmes, les bourses et la formation des enseignants. Depuis sa création en 2005, l’association a contribué au lancement de plusieurs programmes d’immersion bilingue français-anglais dans les écoles publiques de la ville et gère six “after-schools” à Brooklyn et Manhattan.

Cet appel au don survient alors que le soutien financier de l’Etat français se réduit. En tant que programme FLAM (Français Langue Maternelle), l’organisme bénéficie d’une subvention accordée par l‘AEFE (Agence pour l’enseignement français à l’étranger). Cette subvention dégressive, attribuée pour un délai de cinq ans, a été prolongée pour EFNY, mais “c’est très peu“, précise Mme Camp, qui ajoute que le groupe a également pu compter pour 2012-2013 sur 7.500 dollars issus de la réserve parlementaire de la députée invalidée Corinne Narassiguin. “Nous sommes très reconnaissants du soutien du gouvernement français, mais avec le recrutement des enseignants, la vérification de leurs qualifications, les inscriptions et l’obtention des permis, les heures s’accumulent, précise Talcott Camp. Nous devons trouver d’autres sources de financement“.

La présidente indique que “toutes les sommes, petites ou grandes, sont les bienvenues“. Les dons de DVD et de livres en français sont acceptés aussi. “Nous saurons en faire bon usage”.

Coutot-Roehrig: le leader français de la généalogie se lance aux Etats-Unis

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(Article partenaire) “Généalogiste successoral”: c’est le métier de Stéphane Pantanacce. Directeur de Coutot-Roehrig International, il se lance à l’assaut du marché américain. Parce que les oncles d’Amérique ça n’arrive pas que dans les films.
Les banquiers savent parfois prendre leur temps: lorsqu’il y a quelques années, un couple new-yorkais retrouve dans une maison héritée un paquet de relevés de banque au nom d’une certaine Jane Muller, qu’ils ne connaissent pas, de rapides recherches font apparaître qu’elle est née en 1901… Elle est vraissemblablement décédée, mais à la banque personne ne semble s’en être aperçu. Quelque 500.000 dollars dorment tranquillement dans les comptes de la banque.
Via leur avocat new-yorkais, les généalogistes de Coutot-Roehrig entrent alors en jeu. Sur les listes de passagers des navires transatlantiques, ils découvrent rapidement que Jane Muller est arrivée aux Etats-Unis en 1923. Elle et son mari Lloyd Muller venaient de Bordeaux.
A Bordeaux, les généalogistes française de Coutot-Roerhig découvrent que Jane est née Marthe Jeanne, dans le Gers, avant d’épouser un Américain à Bordeaux en 1923. Mais surtout, ils apprennent, en consultant leur gigantesque base de données, que Marthe devenue Jane est décédée à Bordeaux en … 1983. Elle y était revenue finir ses jours, après le décés de son époux. Les même archives révèlent qu’elle est décédée sans héritier, et a légué l’ensemble de sa fortune au Memorial Sloan Kettering Cancer center. Un compte avait semble-t-il été oublié, laissé dormant pendant près de 30 ans.
Fort de ces découvertes, Stéphane Pantanacce a traversé l’Atlantique pour aller annoncer la bonne nouvelle à la célèbre fondation contre le cancer. Et c’est parce qu’il est persuadé qu’il y a une multitude d’histoires comme celle de Jane Muller, et donc de bonnes affaires à faire pour les généalogistes, que le directeur international du prestigieux cabinet a décidé de lancer ses activités aux Etats-Unis.
Avec de solides arguments: fondé en 1895, Coutot-Roehrig est de loin le plus gros cabinet de généalogistes successoraux en Europe, avec quelque 250 collaborateurs et 37 succursales en France et à l’étranger. Dirigée aujourd’hui par Guillaume Roehrig, qui a pris la suite de son père en 2010, la société est bien connue de tous les notaires français, qui lui font appel dès que se présente une succession sans héritier connu.
“Le métier change beaucoup, sous l’effet notamment de la mondialisation, souligne Stéphane Pantanacce. Il est beaucoup plus international”. La vénérable maison a donc créé en 2012 Coutot-Roehrig International, dirigée par ce juriste de formation, polyglotte et globe-trotter. Après l’Europe l’an dernier, il s’attaque désormais au marché américain.
“Nous avons une façon de fonctionner très différente de nos concurrents américains, qui sont en général beaucoup plus petits, explique-t-il. Ici, les généalogistes successoraux épluchent les publications judiciaires pour retrouver d’éventuels héritiers oubliés, mais ne s’occupent pas du tout de la partie légale”. Au contraire, le généalogiste successoral français est lui impliqué dans la procédure et le règlement de la succession. C’est d’ailleurs lui qui avance la totalité des frais de recherche, en espérant être rémunéré sur la succession si ses recherches aboutissent. Selon le lien de parenté et les recherches effectuées, le pourcentage perçu par le cabinet sera compris entre 10 et 40% de la succession (après droits de succession…).
Et parce que les Etats-Unis sont un pays d’immigration, le marché américain est plein de promesses pour Coutot-Roehrig International.

Brooklyn au rythme du Hip-Hop

Le Brooklyn Hip-Hop Festival revient cet été pour sa 9e édition.
Ce festival, le plus grand événement culturel de hip hop à New York, réunit pendant quatre jours de grands artistes internationaux tels que Pusha T, EPMD ou encore Redman. De nombreuses autres figures du hip hop telles que F. Stokes, Danse of BLKN Stickup, Justo, Soul Understated ou encore Dizzy Wright animeront ce grand rassemblement qui se tiendra du 10 au 14 juillet.
En plus des concerts qui envahiront les rues de Brooklyn depuis Williamsburg jusqu’à D.U.M.B.O, les participants pourront profiter de groupes de discussion, d’expositions ou encore d’une fête de quartier familiale. Cet événement s’ouvrira le 10 juillet avec la Bodega Education Initiative, un forum politique, à la Brooklyn Historical Society. Shows et concerts s’enchaineront avant le Family Day et la clôture du festival.
Crédit : Simon Abrams/Flickr 

Coup de pouce à 5.000 dollars pour le futur programme bilingue de MS 256

Cravate et veste obligatoires, jeudi, dans les salons feutrés du Links Club, dans l’Upper East Side.

Le directeur de MS 256, Jeffrey Perl, recevait une bourse de 5.000 dollars des mains de George Sape, président de l’American Society of the French Order of Merit (AFSOM). La somme doit permettre l’achat de quinze iPads mini pour le futur programme bilingue de la middle school de l’Upper West Side, qui verra le jour à la rentrée. La remise du chèque a eu lieu en petit comité, en présence notamment du conseiller culturel Antonin Baudry. “Pour beaucoup de grandes institutions, comme les musées ou les opéras, 5.000 dollars ne font pas une grande différence, mais pour une école, cet argent peut aller loin, insiste George Sape. On ne peut jamais avoir assez de soutien dans le domaine de l’éducation.

L’AFSOM rassemble les membres de l’ordre national du Mérite installés aux Etats-Unis. Le groupe, qui accorde tous les deux ans une bourse à des projets franco-américains, se cherchait une cause commune. “L’éducation nous a paru comme l’élément unificateur“, précise M. Sape. Parmi les lauréats passés, on trouve la French American School of Princeton, la Julliard School ou la Pont-Aven school of contemporary artsl’école d’art bretonne de Pont Aven. Cette année, six postulants, dont des écoles primaires proposant des programmes bilingues, ont envoyé leur candidature.

Ces 5.000 dollars sont un coup de pouce bienvenu pour MS 256, à quelques mois du lancement de son programme. Ils viennent s’ajouter à une subvention de 20.000 dollars du Departement de l’Education new-yorkais destinée à développer les classes d’immersion au sein de l’école. “Les iPads vont nous servir à organiser des visites virtuelles, télécharger des livres en français, souligne Jeffrey Perl. Nous sommes toujours à la recherche de fonds supplémentaires.

Photo, de gauche à droite:  Fabrice Jaumont (attaché éducation Ambassade de France),  Christel De La Ossa (enseignante MS 256), Jeffrey Perl (proviseur MS 256), Simone Galton (trésorière AFSOM), George Sape (président AFSOM), Elaine Uzan Leary (chairman du comité des bourses AFSOM), Antonin Baudry (conseiller culturel). Crédit: Viviane Barois.

Le conseil du New York Times aux jeunes Français: "Partez !"

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(Revue de presse). La France ne fait plus rêver … C’est le point de vue de Felix Marquardt qui signe cette semaine une tribune explosive dans le New York Times. Son titre : “Le meilleur espoir pour la jeunesse française? Partir“.

Selon le communicant américain, la France doit faire face à une nouvelle réalité à laquelle elle n’était pas préparée : elle est passée de terre d’immigration rêvée à un pays qui fait fuir ses jeunes. “Les Français ne sont pas habitués à l’idée que leur pays, comme beaucoup d’autres en Europe, pourrait être un pays d’émigration – qu’on pourrait finalement vouloir le quitter“, écrit-il.

Face au taux de chômage et aux perspectives d’embauches moroses, les jeunes Français, bien que diplômés de grandes écoles, désespèrent de trouver du travail en France. Le journaliste souligne le fossé qui sépare François Hollande et Angela Merkel dans les réponses apportées à cette situation : celle du président français est “au mieux flasque, au pire, un déni de la réalité” alors que la chancelière allemande pousse la jeunesse européenne à aller chercher du travail à l’étranger.

Selon lui, la France doit en finir avec son auto-centrisme et s’adapter à un monde en pleine évolution : ” Les réponses apportées en France aux spectaculaires changements culturels et économiques qui secouent actuellement le monde sont bornées et hors de propos, symptômes d’une bulle intellectuelle dans laquelle le pays est enfermé depuis trop longtemps.” Le contact de la jeunesse française avec d’autres cultures ne pourrait que faire du bien à notre vieux pays.

Hollande pas réélu

Notre président n’a décidément pas la cote outre-Atlantique… Dans son article “Hollande chute après des débuts euphoriques“, le Los Angeles Times reprend les prédictions de certains spécialistes selon lesquelles François Hollande ne sera pas réélu pour un second mandat. Pour le quotidien américain, notre “doux” président est si peu apprécié, y compris dans son propre camp, que “même Flamby (le dessert) est probablement plus populaire que lui”. Il souligne qu’Hollande “enregistre la cote de popularité la plus basse de tous les présidents depuis le début de la Ve République, il y a 55 ans.”

Le Los Angeles Times explique cette situation par des promesses de campagne non tenues mais aussi parce que “dans un pays où en politique le style compte presque plus que la substance, Hollande est brocardé pour son manque de stature présidentielle et son incapacité à communiquer.”  Surtout que “les Français aiment voir leur président fort, solennel et digne, dont l’allure est à la hauteur des hautes fonctions et des pouvoirs conférés par son statut, qui dépasse celui des présidents américains”, souligne le journaliste. Ce qui contraste avec François Hollande, que les critiques qualifient de “maladroit et presque ridicule”.

Le Tour, c’était mieux avant

Heureusement qu’il nous reste la Tour Eiffel parce que le Tour de France ne fait plus rêver non plus ! Pour le chroniqueur du Boston Globe, cette course cycliste a longtemps été un événement fascinant, que l’on regarde comme un enfant et avec ses propres enfants : “Expliquer l’attrait du Tour c’est comme expliquer le pouvoir du jazz“, écrit-il dans l’article “Des rêves du Tour de France à la réalité“.

La magie de la Grande Boucle laisse place à l’amertume et aux désillusions. En cause : les affaires de dopage qui sont monnaie courante sur le Tour. Il ne s’agit plus de se savoir si le dopage existe mais de savoir “qui va gagner, qui va craquer, qui va chuter et qui va être éliminé pour avoir été testé positif cette année?” Selon le Washington Post, pendant l’ère Armstrong, “les experts anti-dopage ont estimé que, sur les courses du Tour de France, d’Italie et d’Espagne, quatre cyclistes sur cinq trichaient”. Le chroniqueur du Boston Globe ne cache d’ailleurs pas sa déception envers le coureur américain. Il aimerait pouvoir dire que tous les cyclistes sont propres mais il ne se fait plus d’illusions. “Tricher au Tour de France est une longue et sordide histoire.” Il conseille aux organisateurs de prendre la course avec plus de légèreté en inscrivant par exemple “la lanterne rouge” (coureur arrive en dernière position) au livre des records.

Crédit : Dasha Petrenko/ Sipa USA 

Tous au bal pour Bastille Day

Si en France les célébrations du 14 juillet riment surtout avec défilé militaire, à New York, la journée se veut plus festive. Le traditionnel bal de Bastille Day revient le 12 juillet au Club 404.

Un orchestre jouera au début de la soirée avant de laisser place à la chanteuse Floanne puis à DJ Super Jaimie, chroniqueuse à French Morning le jour.

Une tombola sera également organisée au cours de la soirée pour gagner deux tickets aller-retour entre New York et Paris.

La soirée est placée sous le patronage de François Delattre, l’ambassadeur de la France aux Etats-Unis, Gérard Araud, ambassadeur de la mission permanente de la France auprès des Nations-Unis et Bertrand Lortholary, consul général de France à New York.

Organisé depuis 1924 par le Comité des Associations Françaises de New York (CAF), ce célèbre bal est l’un des évènements majeurs de la Bastille Week, du 11 au 14 juillet.

Crédit : Comité des Associations Françaises de New York