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Brooklyn Bowl célèbre les "Nineties"

Le Brooklyn Bowl replonge dans les années 90. La célèbre salle de concert de Brooklyn a convié le groupe Stifler’s Mom, qui doit son nom à la maman d’un des personnages de la comédie American Pie, pour une soirée placée sous le signe de la musique et la culture des “Nineties”.

Le groupe, qui regroupe de nombreux cuivres, s’est fait un nom en revisitant les tubes des années 90. Lors de la soirée, il jouera les tubes de No Doubt, Pearl Jam, des Spice Girls et de Notorious B.I.G. Personne ne restera sur la touche. En particulier si vous avez revu vos classiques.

Ibrahim Maalouf : "Je suis devenu musicien après le 11-Septembre"

Pour que son hommage à Miles Davis soit complet, Ibrahim Maalouf se devait d’effectuer une partie de sa tournée au pays du jazz. Le virtuose franco-libanais de la trompette présentera son quatrième album « Wind » à Los Angeles le 10 janvier et à New York les 11 et 14.

Sur scène, il forme un fabuleux quintet avec trois musiciens américains qui comptent parmi les meilleurs de l’univers du jazz new-yorkais: Larry Grenadier (basse), Clarence Penn (batterie) et Mark Turner (saxophone), ainsi que le pianiste allemand Franck Woeste. « L’idée, c’était de recomposer le quintet mythique de Miles Davis avec lequel il avait fait le tour du monde, en essayant de reprendre un peu de son son », explique Ibrahim Maalouf. Cet album, plus personnel que les précédents, comprend également des sonorités orientales, grâce à la célèbre trompette à quarts de ton, inventée par le père d’Ibrahim.

« Ce disque est à la base la bande son d’un long métrage que la Cinémathèque m’a demandé de composer pour un vieux film muet. J’ai choisi La Proie du vent de René Clair (1927). Je me suis en même temps inspiré d’Ascenseur pour l’Echafaud de Louis Malle et de sa musique composée par Miles Davis. Cela faisait très longtemps que j’avais envie d’écrire pour le cinéma !». L’album nous plonge dans différentes atmosphères, tour à tour, mystérieuse, mélancolique, inquiétante et pleine de suspense.

« La musique est plus difficile à effondrer que les tours ».

Sa passion pour le jazz et le 7e art lui vient en partie d’outre-Atlantique. « Comme beaucoup de gens de mon âge, j’ai une fascination pour la culture américaine, son cinéma, son jazz, New York. Quand j’étais petit, j’adorais dessiner les immeubles de Manhattan, sans jamais y être allé. Je rêvais de devenir architecte et m’imaginais en train de reconstruire le Beyrouth (ndlr : où il a vécu enfant), dévasté par la guerre, à la manière de New York ». C’est aussi aux Etats-Unis que sa carrière musicale prend un tournant décisif. « En 2001, j’avais 20 ans et j’hésitais encore entre une carrière d’architecte et de musicien : pour me décider, j’avais prévu d’aller passer un dernier concours de trompette aux USA, puis au retour de visiter New York et ses tours qui me faisaient rêver enfant. Mais les attentats ont bousculé les choses. J’ai réalisé que la musique est plus difficile à effondrer que les tours. Je suis devenu musicien après le 11 septembre».

Quant à Los Angeles, une grande partie de sa famille y est installée. « J’y ai un projet de composition avec un ami contrebassiste. C’est un endroit tellement inspirant. La côte californienne me rappelle le Liban».

Où trouver la Galette des Rois à Los Angeles ?

L’Epiphanie, c’est le 6 janvier. French Morning a déniché pour vous les boulangers-pâtissiers de Los Angeles qui vendent la célèbre galette.

Les traditionnelles

Contrairement à la plupart des artisans qui vous laisseront placer vous-mêmes la fève dans la galette (au cas où vous vous étoufferiez et entameriez un procès au boulanger), la maison Richard fait les choses dans les règles de l’art. Leur galette est automatiquement accompagnée d’une fève et de couronnes. Elle doit être commandée la veille et est disponible en deux tailles, une moyenne de 22 $ et une plus grande à 26 $. 310 S Robertson Blvd, Los Angeles, (310) 275-5707.

A la boulangerie Pierre et Pâtisserie, la galette sera disponible à partir du jeudi 3 janvier (à commander ou à acheter sur place). Les petits malins ont trouvé la parade  pour contourner le problème de la fève en faïence, « interdite » d’après eux aux Etats-Unis : ils remplacent la figurine par une fève en chocolat qui ne fond pas mais dans laquelle on peut croquer sans danger. Malins ! 14352 Brookhurst St Garden Grove, (714) 418-9098

la Maison du Pain, la galette est saupoudrée d’amandes et de sucre glace. Un délice ! Elle est vendue en boutique toute l’année au format individuel. Sa version conviviale (10-12 personnes) doit être commandée la veille et coûte 31,50 $. « La fève n’est placée dans le gâteau que sur demande du client ou nous lui suggérons de la cacher lui-même », explique la patronne. 5373 West Pico Boulevard, Los Angeles, 323 934 5858

Idem à la “La Galette Pastry ”. Fabriquée toute l’année mais uniquement sur commande (appelez au moins deux jours avant), les prix varient entre 28 $ pour la plus petite, 33 $ pour une galette moyenne et 45 $ pour une plus grande. 15137 Ventura Blvd, Sherman Oaks, Californie – Tel:(818) 905-0726

Chez « Chocolatine », une boulangerie-salon de thé fondée par un couple de Français à Thousand Oaks, vous pourrez acheter votre galette pendant tout le mois de janvier. 38 $ pour 4 à 6 personnes, 55 $ pour 8 à 10 personnes et 80 $ pour une tablée de 14 à 16 personnes. La galette est fournie avec deux couronnes et une fève en faïence importée de France. 2955 E. Thousand Oaks Blvd, Thousand Oaks, Californie, (805) 557-0561.

La branchée

La galette la plus tendance ? Incontestablement celle d’Yvan Valentin, chef pâtissier français de renom, qui a notamment eu l’occasion de ravir les papilles de Bill Clinton, Jane Fonda ou encore Franck Sinatra. Sa pâtisserie Sweet Temptations en propose sur commande pendant tout le mois de janvier. Vendue avec deux fèves et deux couronnes. 28 $ pour 10 ou 12  personnes. Livraison possible. 3514 West Jefferson Boulevard, Los Angeles – Tel :(323) 731-1122.

L’européenne

Chez Emil’s Swiss Bakery House, une pâtisserie fondée en 1960 par un Suisse et tenue aujourd’hui par un Autrichien, on célèbre la traditionnelle galette française la première semaine de janvier. 25 $ pour 8-10 personnes (vendue avec couronne et fève). Le reste de l’année, la galette est disponible avec un fourrage à l’abricot. 11551, Santa Monica Boulevard, Los Angeles. 310-473-6999.

La plus inattendue

La galette des Rois a beau célébrer une fête chrétienne, l’Epiphanie, elle est aujourd’hui largement fêtée à titre purement culturel : pour preuve, la boulangerie cachère française Délice en propose une toute l’année ! Idéale pour les allergiques au lactose, cette galette est fabriquée sans produits laitiers, conformément aux règles de la cuisine juive. 12 $ (individuelles), 24 $ (6-8 personnes) 26 $ (10-12 personnes). 8583, West Pico Boulevard, Los Angeles. 310-289-6556

Les chaînes

Enfin, les chaînes Le Pain Quotidien et Champagne Bakery proposent elles-aussi leur version de la galette des rois. La célèbre enseigne belge (qui compte 15 points de vente dans la région de Los Angeles) vend la sienne la première semaine de janvier, avec une couronne, mais sans fève, à un prix imbattable : 14,95 $ pour 6 à 8 personnes. Une galette de la même taille est vendue 21,95 $ chez Champagne Bakery, pendant le mois de janvier, dans ses 14 cafés de Californie du Sud.

Les comptes de campagne d'Emile Servan-Schreiber ont été rejetés

Corinne Narassiguin (PS-EELV) n’est pas la seule candidate à la législative en Amérique du Nord dont les comptes de campagne ont été rejetés. Le troisième homme de l’élection, Emile Servan-Schreiber (candidat indépendant), a connu le même sort.

L’intéressé a confirmé l’information à French Morning en indiquant qu’il a envoyé une lettre, en date du 20 décembre, au Conseil constitutionnel pour contester la décision de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) et plaider sa bonne foi. « Nous avons eu à cœur de bien faire, même si notre inexpérience – ceci étant notre première campagne – a pu nous faire ignorer involontairement certaines finesses procédurales d’un code électoral avec lequel nous n’étions sans doute pas assez familier, écrit-il dans la missive. Nous fîmes, avec nos moyens, une belle campagne et un beau résultat. »

Selon l’ancien candidat, la Commission reproche à son mandataire financier (personne ou association chargée de perçevoir le financement de la campagne électorale) d’avoir méconnu les dispositions de l’article L. 52-6 du code électoral. Ce dernier oblige notamment le mandataire à ouvrir un compte bancaire unique afin de retracer les opérations financières réalisées pendant la campagne. M. Servan-Schreiber explique dans la lettre que sa campagne a ouvert un compte en euros et un « compte associé » en dollars, afin de faciliter les transactions dans cette devise. Mais la Commission aurait estimé que le candidat possédait deux comptes. Ce qu’il réfute, assurant que le compte en dollars était « rattaché au compte en euros ». « Il serait donc plus juste de considérer qu’il s’agissait d’un seul compte permettant de fonctionner avec deux devises ».

Selon lui, ce compte américain, sur lequel il y a eu « très peu » de mouvements, a été vérifié par un expert-comptable et son solde a été transféré sur le compte en euros. « Je  voudrais vous assurer de ma bonne foi et de celle de mon mandataire, écrit-il aux Sages de la rue de Montpensier. Toutes nos actions dans cette affaire ont d’évidence été motivées par un souci d’efficacité et de transparence dans le contexte inédit d’une campagne devant être menée intégralement en territoire étranger. » Le Conseil constitutionnel, juge de l’élection, tranchera. M. Servan-Schreiber risque l’inéligibilité et le non-remboursement de ses frais de campagne. Il a recueilli 6,69% des suffrages au premier tour de la législative en juin.

"Les Misérables" porte bien son nom

Comme des millions de personnes, j’ai profité des Fêtes pour aller voir “Les Misérables”, le film adapté de la comédie musicale à succès.

J’étais plutôt bien disposé. N’ayant pas vu le “musical”, je n’avais aucune exigence. Collégien, j’avais lu (une partie) du chef d’œuvre de Victor Hugo. Le casting du film avait de quoi faire saliver: Hugh Jackman dans le rôle de Jean Valjean, Russel Crowe en Javert et la sublissime Anne Hathaway en Fantine, mère de Cosette (Amanda Seyfried). L’histoire est puissante, universelle et atemporelle. Petit rappel: Jean Valjean, un ex-bagnard en quête de rédemption sauve une jeune orpheline, Cosette, du destin misérable qui lui est promis. Valjean est poursuivi sans relâche par l’inspecteur de police Javert, qui veut le remettre en prison pour avoir rompu sa liberté conditionnelle il y a des années de cela. Valjean et Cosette vivent dans la fuite et l’anonymat, sur fond de société au bord de la révolution, jusqu’au jour où la belle rencontre Marius, un jeune révolutionnaire.

“Mais qu’ils arrêtent de chanter!”

Bien disposé donc. Mais cela n’a duré que dix minutes. Car cette histoire, le réalisateur Tom Hooper la transforme en soupe tiédasse. Pendant tout le film, on a envie de dire aux personnages… d’arrêter de chanter. Les chansons ne sont pas en cause. Elles sont belles pour la plupart, mais leur omniprésence est pesante: les acteurs chantent tout – TOUT – le temps. Et mal pour certains. Les bonnes performances vocales de Hugh Jackman (qui s’est produit sur Broadway) et d’Anne Hathaway ne compensent pas le reste. Russel Crowe, qui n’articule déjà pas en temps normal, ne convaincrait même pas ses enfants. Comment prendre au sérieux un inspecteur de police à la voix de crooner? Malheureusement, c’est par l’une de ses chansons que s’ouvre le film. Pas sympa!

Le film, qui fait 2h30 – et on les sent passer – pourrait libérer les spectateurs quelques minutes plus tôt si certaines chansons d’Eponine, l’amoureuse de Marius, et de Marius lui-même, l’amoureux de Cosette, ne trainaient pas en longueur. Remarquez: si les chansons étaient servies par des interprétations magistrales (comme celle  d’Anne Hathaway  pour “I dreamed alone”, qui marque la descente aux enfers de son personnage), peut-être le temps passerait-il plus rapidement.

Il y a aussi beaucoup à redire sur la performance des acteurs.  Helena Bonham Carter et Sacha Baron Cohen, cautions comiques des « Miz » dans le rôle des diaboliques Thénardier, se sont trompés de film: ils sont les copies conformes de leurs personnages dans “Sweeney Todd”, le film de Tim Burton lui aussi adapté d’une comédie musicale. Ils peinent donc à s’effacer devant leur personnage. Passons également sur le maquillage et l’épilation des sourcils d’Eponine. On lui aurait mis un i-Pod entre les mains, cela n’aurait pas choqué. Enfin, Hooper nous achève avec son parti-pris assumé de faire du gros-plan à tout va. Le spectateur a l’impression d’être coincé dans une petite pièce avec les acteurs.

Vive le playback

Tom Hooper était conscient de la difficulté de l’exercice. Adapter au cinéma un « hit musical » vieux de plus de trente ans n’est pas mince affaire.  Il l’a dit lui-même dans une interview au Christian Science Monitor: « J’étais conscient que des millions de personnes portent les Misérables près de leur cœur et seraient probablement assis, complètement effrayés, au cinéma ». Il ne s’est pas facilité la tâche en demandant à des acteurs pour la plupart novices en chant de pousser la chansonnette « en direct », au lieu de recourir au traditionnel playback, comme ce fut le cas pour d’autres comédies musicales adaptées au grand écran.

On aurait préféré que Hooper prenne le parti plus audacieux d’adapter au grand écran le livre d’Hugo plutôt que la comédie musicale, un style qui se nourrit nécessairement de personnages caricaturaux et d’une histoire simplifiée et édulcorée. Eut-il choisi d’en faire un film “traditionnel”, Hooper, auquel on doit le magistral “The King’s Speech”, aurait sans doute produit des personnages plus denses et complexes, des dialogues travaillés et exigeants. Malheureusement, en choisissant une forme de facilité, il tombe dans un entre-deux faiblard.

Qu’il se rassure, le film sera un succès. Il a réalisé près de 40 millions de dollars au box-office dans les trois premiers jours après sa sortie. Les critiques voient dans Jean Valjean un modèle de reconversion pour les ex-détenus, et le réalisateur répète à l’envi que le film fait écho à notre époque tourmentée pour faire croire qu’il n’est pas qu’une simple bête de box-office. Il n’est pas autre chose.

Pompéi vit ses derniers jours à la Getty Villa

L’exposition « The Last Days of Pompéi » passe ses derniers jours à la Getty Villa. Elle se referme le 7 janvier.

Comme son nom ne l’indique pas, elle explore les derniers jours de la ville, avant l’éruption du Vésuve qui l’a ravagée. La découverte des corps ensevelis dans la lave au début du XVIIIe siècle a inspiré de nombreux artistes dont Piranesi, Fragonard, Ingres, Duchamp, Dalí et Warhol. A travers une riche collection d’œuvres d’art, l’exposition retrace les traits caractéristiques de la société pompéienne, ses excès, ses rapports de classes et son rejet de la religion chrétienne.

La compagnie Open Fist joue Albert Horton Foote

La compagnie Open Fist prolonge ses “Foote Notes”, une série de pièces rendant hommage au metteur en scène Albert Horton Foote. Jusqu’en février, deux de ses succès seront joués: “A young lady of property” (1976) et “The land of the astronauts” (1983).

Les deux pièces, mises en scène par Scott Paulin, se suivent et présentent toutes deux des destins brisés. La première s’intéresse à la quête de liberté d’une adolescente essayant de quitter sa ville rurale pour Hollywood. La jeune femme se retrouve prise entre sa propre innocence et sa volonté de rebellion.

La seconde pièce s’interesse elle à la crise de vie d’un père de famille. Quadragénaire, heureux en ménage, l’homme décide contre toute attente de devenir astronaute. On suit alors le parcours de sa femme, autant déchirée que désespérée, pour retrouver son amour perdu.

 

Les touristes préfèrent réveillonner avec les Américains que les Français

(Relaxnews) – Les Américains arrivent en deuxième place du classement des nationalités qui savent le mieux faire la fête, juste devant les Espagnols et derrière les Brésiliens, selon un sondage réalisé par Badoo.com, auprès d’un panel international.

Les Italiens, puis les Français complètent le Top 5 des meilleurs compagnons pour festoyer la nuit de la Saint-Sylvestre.

A l’inverse, les Belges et les Suisses occupent la fin de ce classement. Les Thaïlandais, les Turcs et les Polonais ont également mauvaise réputation. Les votants les citent ensuite comme les pire compagnons pour fêter le réveillon de la nouvelle année.

Ce sondage a été mené auprès de 17.000 personnes inscrites sur Badoo dans 17 pays. 1.000 personnes par pays ont été sondées par Badoo.com, aux Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, Allemagne, France, Espagne, Italie, Pays-Bas, Belgique, Pologne, Suisse, Russie, Turquie, Brésil, Thaïlande, Mexique et Argentine.

Une nouvelle marque hôtelière dédiée au bien-être verra le jour à New York

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(Relaxnews) – Le groupe hôtelier InterContinental Hotels Group (IHG) annonce, jeudi 20 décembre, l’ouverture fin 2014 de son premier EVEN Hotels. L’établissement, qui promet une offre dédiée au bien-être et à la santé, ouvrira en plein coeur de la Grosse Pomme.

Situé dans Manhattan, l’hôtel s’organisera autour de 23 étages et 230 chambres. Des salles de réunion, ainsi que des espaces intérieurs et extérieurs dédiés au sport et aux repas, le tout sur une surface d’environ 8.000 m², répondront aux besoins des vacanciers.

L’offre proposée avec le premier EVEN Hotels, comme pour les suivants, reposera sur quatre piliers (l’alimentation, le travail, l’exercice et le repos), explique IHG.

Notre implantation dans la ville de New York est un élément clé de la stratégie de distribution d’EVEN Hotels. Elle permettra de cibler les personnes souhaitant vivre plus sainement, qui habitent ou voyagent à New York et cherchent un hôtel leur offrant une expérience de bien-être total“, a déclaré Kirk Kinsell, président d’IHG pour la zone Amérique.

100 Even Hotels devraient voir le jour dans les cinq prochaines années aux Etats-Unis, notamment à New York, San Francisco et Washington.

Coldplay au Barclays Center

C’est au tour de Coldplay d’investir le Barclays Center de Brooklyn. Le groupe de rock britannique se produira le 30 décembre dans la célèbre arène de Jay-Z.

Coldplay, c’est un succès international qui ne se dément pas. Depuis sa formation en 1996, il a vendu pas moins de 55 millions de disques et remporté de nombreuses récompenses, dont sept Grammy Awards. Parmi ses titres phares, on compte « Clocks », « In My Place », « The Scientist » et plus récemment « Viva la vida ». Son dernier album, « Mylo Xyloto », est sorti en 2011.

Comptes de campagne: "La bonne foi de Corinne Narassiguin n'est pas mise en cause"

(Mis à jour avec la réaction de l’équipe de la députée). Les comptes de campagne de Corinne Narassiguin ont été rejetés par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). Une information que révèle le JDD, dimanche.

La députée socialiste des Français d’Amérique du Nord n’est pas la seule concernée.  Daphna Poznanski- Benhamou, élue députée des Français du Sud de l’Europe et d’Israël, a subi le même sort.

Risque d’inéligibilité

Quelques jours plus tôt, la commission épinglait les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy, accusé d’avoir dépassé le plafonds de dépense autorisées pour les candidats qualifiés pour le second tour de la présidentielle. « Comme Nicolas Sarkozy, elles n’auront pas droit à l’aide publique mais surtout elles risquent l’inéligibilité », note le JDD à propos des deux députées.

Jeudi, l’équipe parlementaire de Corinne Narassiguin a indiqué dans un e-mail  à French Morning que “la bonne foi de Corinne Narassiguin quant à la sincérité des comptes de campagne n’a aucunement été mise en cause par la Commission“.

La commission nationale des comptes de campagne a pris sa décision sur la base de problèmes techniques essentiellement dus à la nouveauté des campagnes à l’étranger. La Commission a ainsi transmis le dossier au Conseil Constitutionnel il y a près d’un mois“, poursuit une collaboratrice de la députée.

Programmes bilingues: quatre visites guidées à MS 256 en janvier

Session de rattrapage à MS 256. Pour les parents qui n’ont pas pu participer à l’ “open house” de décembre mais qui sont intéressés par le nouveau programme bilingue de la middle-school de l’Upper West Side, quatre visites guidées sont organisées en janvier.

Les visites auront lieu le 8, le 10, le 15 et le 22 janvier, à 10h.

Le dual language program français-anglais de MS 256 verra le jour à la rentrée 2012-2013. Il s’adresse à tous les élèves inscrits dans des programmes bilingues (French Language Heritage Program, programmes d’immersion) et les enfants francophones, avec une priorité accordée aux élèves du programme bilingue de PS 84.