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Bardot, Depardieu: ils sont fous ces Gaulois!

Revue de presse. Les acteurs, toujours français ou déjà russes, intriguent les médias américains.

D’abord Gérard Depardieu, et maintenant Brigitte Bardot”. The Wall Street Journal a certainement trouvé la formule la plus efficace pour illustrer ce nouveau risque de perte, alors que la France se remet à peine de celle de Gérard Depardieu. Si la destination est la même, les raisons qui poussent Brigitte Bardot à vouloir quitter son pays semblent quelque peu échapper à Nadya Masidlover, correspondante pour le quotidien à Paris : “Contrairement à Gérard Depardieu engagé dans un combat fiscal sans merci avec l’Etat français, Mme Bardot menace de quitter le pays pour sauver deux éléphants”, ironise-t-elle.

Alors que les deux animaux, atteints de tuberculose, doivent être exécutés prochainement, Brigitte Bardot a juré de rejoindre Gérard Depardieu en Russie si Baby et Nepal n’étaient pas sauvés. “La Russie – pays où la fourrure est un vêtement très populaire en hiver- n’est pas vraiment réputée pour son excellence en matière de protection des droits des animaux. En 2010, Brigitte Bardot s’était d’ailleurs plaint auprès du président russe, Dimitri Medvedev, à propos d’une vidéo diffusée sur Internet”. Dans cette vidéo, un âne attaché à un parachute relié à un bateau, au bord d’une plage, était traîné pendant une demi-heure dans les airs.

Dans une tribune publiée dimanche par le International Herald Tribune, Masha Gessen souligne le caractère surréaliste de ces deux affaires : “Alors que les fêtes viennent de se terminer, l’excès de cigarette et d’alcool ne nous permet pas encore de faire tout à fait la distinction entre la réalité et la fiction”. Correspondante du journal en Russie, et auteur récemment d’une biographie critique de Vladimir Poutine, la journaliste veut croire que tout ceci n’est qu’un mauvais rêve. “La Russie reprend le travail mercredi. Il y a donc un tout petit espoir que ce jour-là, nous nous réveillions, sobres, libérés du spectre de ces stars de cinéma vieillissantes  et de leurs éléphants tuberculés, et que nous retournions à notre banale vie quotidienne dans ce pays absolument ridicule”.

Le spectre de Brigitte Bardot n’a pas totalement effacé le fantôme de Gérard Depardieu. Cette semaine encore, les frasques de l’acteur ont passionné la presse américaine. Sur le site Internet de Forbes, Katya Soldak, journaliste new-yorkaise, critique ouvertement le choix de l’acteur, businessman à ses heures perdues : “Depardieu découvrira peut-être que payer des taxes dans son pays n’est rien en comparaison de la privation de liberté. S’il venait à défier le système en Russie, comme il vient de le faire en France, le prix à payer serait certainement beaucoup plus cher. Le Français ne cherchera certainement pas à repousser les limites de la liberté “officielle” en Russie ou, je ne veux même pas essayer d’y penser, critiquer la religion. Sinon, qui sait ce qu’il pourrait lui arriver ?”. 

Quel festival ! 

Les acteurs sont décidément à l’honneur cette semaine puisque les médias américains se sont également penchés sur la tribune de Vincent Maraval, “Les acteurs français sont trop payés”, publiée dans Le Monde le 28 décembre dernier. Très critique envers certains acteurs français, beaucoup trop payés à son goût, le fondateur de la société de production Wild Bunch a déclenché une vive polémique dans le pays. Dans une chronique, publiée par The New Yorker, Richard Brody n’est pas non plus très tendre avec le cinéma français : “Maraval a raison de considérer que les gros budgets ont souvent raison de l’audace. A Hollywood, les films les plus audacieux et les plus originaux ne sont pas les plus coûteux. Il est utile de se demander si le système français est réellement adapté à la promotion de jeunes talents. A l’évidence, il semble que non. C’est un système très conformiste, beaucoup plus étroit et autoritaire que la scène indépendante américaine”.

Voitures brûlées de la Saint-Sylvestre

Enfin, plusieurs médias américains se sont penchés sur le nombre très élevé de voitures brûlées en France dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. Tous semblent y voir une “nouvelle tradition” de fin d’année en France. Le New York Times s’essaye même à un petit trait d’humour : “Beaucoup de traditions françaises voyagent très bien lors des fêtes de fin d’année : le champagne, les huîtres et le foie gras. Etrangement, les voitures brûlées s’exportent beaucoup moins bien…”. 

 

Femme recherche fantasme

Les portes du métro se referment de justesse derrière moi.  Un enfant à chaque main, le troisième endormi contre ma poitrine, je souffle quand enfin par gentillesse ou par pitié, on me cède une place.

Il est 15h, l’heure d’écouter (en même temps) la dernière chanson apprise à l’école et le résultat de la dictée. En levant les yeux, j’aperçois devant moi une femme plongée dans la lecture de son livre. La couverture est exhibée fièrement : Fifty Shades of Grey (Cinquante nuances de Grey, en français). Je souris, ce face à face m’amuse. Toutes les deux dans le même wagon, nous sommes transportées dans des univers opposés : l’enfance et le sadomasochisme démocratique. Enfin, les extrêmes se ressemblent comme on dit. Car chez moi aussi il est question de maîtresse, d’obéissance, de morsures (à quatre jeunes dents acérées) et même parfois (osons le dire) d’esclavagisme ! Je comprends à l’instant le mystérieux succès de cette trilogie à l’écriture douteuse et au contenu scabreux qui fait un carton chez les mères. Assaillies par les enfants, accablées par les responsabilités, liées à leur mari, elles en ont rêvé, une Américaine l’a fait : leur offrir un plan d’évasion ! Pourvu alors qu’il leur propose la bonne issue. Je regarde à nouveau le livre, rien n’est moins sûr.  Soudain, la sonnerie des portes du métro retentit: « Vite, on sort les enfants !». Il était moins une.

Plus tard dans la soirée défilent les visages de ces femmes rencontrées, me répétant comme une rengaine le même constat. « Je vois bien que je n’ai pas vraiment de fantasmes. Dans mon couple, ce n’est jamais moi qui ai les nouvelles idées. Il me le reproche d’ailleurs. Il voudrait que je sois plus active. Seulement voilà, je n’en ai pas !». Le succès colossal du « mummy porn » serait-il en fait inversement proportionnel à l’imagination sexuelle des femmes ? Quoiqu’il en soit, elles s’avouent un peu plus vouloir y accéder. Avec ce livre, on dirait qu’un monde s’ouvre aux femmes, toujours en retard d’une guerre (dans laquelle les hommes sont empêtrés depuis longtemps déjà). Aujourd’hui, on pense qu’«avoir des fantasmes » c’est faire preuve de créativité et de liberté : l’ingrédient indispensable au couple heureux sexuellement ! Alors on nous a dit : “Usez et abusez donc de ce piment!” Sauf que de piquants les piments peuvent devenir brûlants…

Un beau jour, une de ses copines lui offre le livre quasi SM dont tout le monde parle. Par curiosité, elle le lit. « Après tout, j’avais envie de savoir pourquoi les Américaines en sont folles !». Il n’en fallait pas moins pour lui donner l’envie d’entre-ouvrir la boîte de Pandore dans une très grande excitation ! « Ca fait des années que nous étions ensemble mais il était temps pour nous de vivre plus librement notre sexualité. On a décidé de se dire et de vivre nos fantasmes ! » De toute évidence, c’est au moment de la transgression de l’interdit que les vibrations sont les plus intenses ; ce moment où le rêve bascule dans la réalité. Mais au réveil, la vie peut virer au cauchemar. « Je vis un enfer ! En fait, je ne suis pas capable d’exécuter toutes ses envies et la jalousie me ronge violement. Tous ces jeux ont détruit progressivement l’estime de moi, ils m’ont humilié. » A force de penser à leur plaisir, ils en ont oublié leur relation, leur promesse de fidélité et les dangers de s’exposer sans limite à la pulsion sexuelle. Au lieu de se rapprocher, ils se sont éloignés l’un de l’autre, parfois même de façon irrémédiable.

« C’est à n’y comprendre plus rien! Faut-il ou non réaliser ses fantasmes ? Je suis perdue… Je sens que j’aspire à plus de liberté et en même temps, j’en subis les effets dévastateurs sur moi et mon couple. » Bon, maintenant que la boîte est ouverte, commençons plutôt par faire un tri au lieu de s’y ruer à corps perdu. Mettons d’un côté toutes ces fantaisies quant au décor, au moment, à la position et aux costumes de la rencontre sexuelle. Celles-ci, cultivez les bien car elles introduisent surprise, légèreté, complicité, joie nécessaire quand se ternit le quotidien. Mettons ensuite d’un autre côté tout ce qui concerne les personnages, les acteurs de ces aventures sexuelles dont l’idée même éveille les plus grandes envies. Ici les choses se compliquent. Comment faire pour allier fantasme et fidélité? Il vous reste un exutoire : rêver ensemble. Imaginez-les ces personnes qui vous regardent, que vous regardez, qui vous entendent, que vous entendez, qui vous touchent, que vous touchez. Demandez donc à l’autre des détails, des précisions, sans mettre des noms sur ces visages. Ce moment est infiniment plus puissant qu’un livre ou qu’un film pornographique qui enferme sur soi-même et appauvrit l’imaginaire en le réduisant à des scènes figées, jouées par de mauvais acteurs. La communion des imaginaires est d’une efficacité redoutable pour initier celle des corps ! En réalité, ils ne sont que tous les deux. Au final, ils se retrouvent, heureux d’avoir pu se partager ce qu’ils ont de plus secret.

Quant aux envies qui obsèdent, à ces fantasmes qui deviennent nécessaires à la jouissance, ils  finissent par soumettre l’autre à l’état d’objet malléable. Au lieu de les exécuter froidement, on peut trouver à quel besoin profond ils tentent de répondre. Quelle est cette tension, frustration, culpabilité refoulée qui utilise la sexualité pour se défouler ? Une fois exprimée, on est capable de choisir des moyens efficaces, durables et respectueux pour l’évacuer, de soi-même et des autres.

Programmes bilingues : mode d’emploi

Parents, enseignants et supporters du bilinguisme sont conviés, le 23 janvier, à une réunion d’information sur les programmes bilingues new-yorkais au service culturel de l’Ambassade de France.

Ces dernières années, ces programmes, basés sur une immersion dans les langues française et anglaise, se sont multipliés dans des écoles publiques de la ville. On en compte cinq pour les niveaux K à 5th Grade, et deux vont voir le jour au niveau « middle school » à la rentrée 2013-2014. Plusieurs milliers d’enfants de Français, de francophones et de francophiles sont scolarisés aujourd’hui dans ces programmes gratuits.

La réunion d’information permettra aux curieux de se renseigner sur l’offre bilingue existante et de comprendre comment démarrer un programme bilingue dans une école locale.

Saint Vincent de Paul s'éteint mais le combat continue

La messe est terminée.  L’église se vide. Quelques paroissiens munis de leur iPhone et de leur appareil photo veulent immortaliser la nef et l’autel, flanqué des drapeaux français et américains. Tout est bon pour conserver un souvenir.

Les fidèles de Saint Vincent de Paul ont célébré leur dernière messe, dimanche, jour de l’Epiphanie, dans la petite église francophone de la 23e rue. Certains pensaient que ce jour ne viendrait jamais – leur combat contre l’archevêché de New York, pour maintenir l’église ouverte, dure depuis des années. Ils sont désormais mis devant le fait accompli. “Je ressens beaucoup de tristesse, beaucoup de tristesse, soupire Etienne, qui se rend à Saint Vincent de Paul depuis plus de 20 ans. J’irai ailleurs, je n’ai pas le choix.

Située sur la 23e entre la 6e et la 7e avenue depuis plus de 150 ans, Saint Vincent de Paul était l’une des dernières églises francophones de Manhattan. Elle fut aussi l’une des seules à rassembler des catholiques blancs et noirs, originaires de France, de Belgique, d’Haïti ou d’Afrique de l’ouest, à la fin du XIXe siècle. En 1952, Edith Piaf s’y est mariée avec le chanteur Jacques Pills.

Des irrégularités dans la procédure

Dimanche, l’église était comble. Epiphanie oblige, les paroissiens étaient conviés à une distribution de galette des rois au sous-sol de l’église, où le Carrefour pastoral pour la francophonie, une association de soutien pour les immigrés francophones, a élu domicile.

L’église ne sera pas détruite ou vendue pour le moment. En effet, ses défenseurs ont entamé une action auprès de la justice du Vatican pour la faire rouvrir, arguant d’irrégularités dans la procédure de fermeture. Une démarche qui a abouti à la réouverture de plusieurs églises dans l’Ohio et le Massachussetts. Mais, en raison des spécificités de la justice vaticane, un verdict pourrait mettre plusieurs années à tomber. “On parle de deux ans à trois ans”, souligne Peter Borre, un avocat basé à Boston qui fait le lien entre le Vatican et Saint Vincent de Paul. “Certains évêchés font fermer des  églises pour plusieurs années. Négligées, elles finissent par mourir”, observe-t-il.

En attendant, les fidèles de Saint Vincent de Paul risquent de se disperser. En effet, certains sont peu enthousiastes à l’idée de se rendre à l’église Notre-Dame, dans le nord de Manhattan, que l’archevêché a désignée comme paroisse de substitution. D’autres, dépités,  parlent de se rendre dans des églises anglophones, mieux placées. “Nous devons continuer à nous voir pour maintenir une communauté“, indique Olga Statz, secrétaire de Save Vincent de Paul, l’association de défense de l’église. “Le combat continue.”

Les Français plus pessimistes que les Américains pour 2013

C’est encore une preuve de la “positive attitude” américaine. Selon une étude réalisée par USA Today/Gallup, 69%  des Américains disent être optimistes pour 2013, contre 49% des Français, d’après un sondage de Harris Interactive.

Pourtant, le chiffre français est en progression comparé à l’an dernier. En effet, en 2012, seulement 44% des sondés se déclaraient optimistes pour l’année. Un an plus tard, 54% la reconnaissaient comme positive contre 74% aux Etats-Unis. Ainsi, le mythe du Français bougon se vérifierait.

Français et Américains se rejoignent néanmoins sur un point. Tous sont plus optimistes pour leur vie personnelle que pour la situation de leur pays. En effet, le chômage, la crise du système social et la croissance économique sont en tête des préoccupations des Français tandis qu’aux Etats-Unis, 65% des sondés déclarent s’attendre à une année “économiquement difficile” et 75% prévoient à une année trouble sur le plan des relations internationales.

Cours et galette à l'Alliance Française

 L’Alliance Française de Los Angeles fait sa rentrée de janvier.

Le lundi 7 janvier de 17h à 20h, elle organise un “open house” pendant lequel les curieux pourront prendre part un cours de français gratuit (niveau adulte débutant) et gouter à la traditionnelle galette des rois.

L’équipe de l’Alliance sera sur place pour rencontrer les futurs élèves, et se livrera à une présentation de la tradition de la galette des rois. Les personnes qui s’inscriront à un cours pendant l'”open house” bénéficieront d’une réduction de 10%.

Spectacle gratuit de patin à glace à Union Square

Le 9 janvier, Union Square accueillera le quatrième “Square Figure Skating Ice Show”, un spectacle de patinage annuel. Et gratuit.

Au programme : figures acrobatiques, chorégraphie, danse et même théâtre. Le tout interprété par des membres du  Skating Club of San Francisco, qui fait la promotion du patinage depuis les années 1930. Ce spectacle servira d’échauffement pour le championnat national et donnera le coup d’envoi du Mois du patinage.

La chorégraphe du show, Paige Scott, n’est autre que la présidente du Club.

Soul-Jazz de Nouvelle-Calédonie à l'Alliance Française

Shem et Michel Benebig, originaires de Nouvelle-Calédonie, sont des musiciens accomplis. Ils investissent l’Alliance Française le 11 janvier, pour une soirée aux accents francophones.

Dès 18h, Shem Benebig commencera la soirée en animant une conférence sur l’histoire et la culture de son île native. Le couple ainsi que deux musiciens enchaineront avec un concert.

Michel Benebig est bien connu dans le milieu du jazz et du blues, que ce soit à Nouméa ou aux Etats-Unis. Il a fait de l’orgue hammond, appelé familièrement “orgue électronique”, sa spécialité. Michel Benegig sera rejoint par sa femme au chant, Akira Tana aux percussions ainsi qu’un guitariste. Le concert de soul-jazz se fera dans une atmosphère intimiste.

Où trouver la galette des rois à San Francisco?

Quand y en n’a plus, y en a encore. Après Noël et le Jour de l’An, il est l’heure de se remettre à table, pour tirer les rois cette fois-ci.  Tour d’horizon des boulangers-pâtissiers qui proposent la galette traditionnelle (et pas le Three Kings Cake de la Nouvelle-Orléans).

SAN FRANCISCO

Pâtisserie Philippe : Philippe Delarue a fait ses gammes sous le regard de Gaston Lenôtre dans la fameuse pâtisserie parisienne à la renommée internationale. Voilà qui augure d’une galette des rois indétrônable. La sienne est à la frangipane avec une touche de rhum. Les couronnes et les fèves arrivent tout droit de France. 27$ pour 8 personnes. A partir de la seconde semaine de janvier et jusqu’à la fin du mois. 655 Townsend Street,  San Francisco CA 94103  (415) 558-8016

Fillmore Bakeshop : Le quartier est particulièrement agréable, la pâtisserie est un lieu incontournable, bref le goût et le contexte s’associent ici pour une belle image de Fêtes de fin d’année et une galette à la saveur assurée. 1890 Fillmore Street  San Francisco, CA 94115  (415) 923-0711

Arizmendi : Les commentaires sur les produits de cette pâtisserie située dans le Sunset sont dithyrambiques. Ambiance chaleureuse, produits abordables et bons, voilà exactement ce que l’on demande à une galette des rois. Celle-ci sera proposée le dimanche 6 janvier, jour de l’épiphanie, à cette adresse : 1331 9th Avenue entre Irving et Judah, San Francisco, CA 94122 (415) 566-3117

MARIN

Chloe’s French Café : La traditionnelle galette des rois fourrée à la crème d’amande sera proposée dès le 7 janvier à l’adresse la plus française de Santa Rosa et par ailleurs fort sympathique. Elle coûte $17,95 pour 8 à 10 personnes et est accompagnée de sa couronne et de ses fèves. 3883 Airway Drive Suite 145, Santa Rosa CA 95403 – (707) 5283095.

Champagne : Dans le Sud de Marin, c’est Champagne qui propose une belle galette avec une couronne et une fève. Le produit est disponible depuis le 1er de l’an et sera en vente jusqu’au jour de l’épiphanie au prix de 21,95$. Deux adresses : 103 Corte Madera Town Center Corte Madera CA 94925 (415) 927 5470 / 41 Throckmorton avenue Mill Valley CA 94941  (415) 380 0410

EAST BAY

La Farine : Berkeley et Oakland seront à l’heure française de la galette des rois grâce à La Farine. Une adresse à Berkeley : 820 Solano Ave. Berkeley, CA 94702  (510) 528 2208.  Trois adresses à Oakland : 6323 College Ave.Oakland, CA 94618  (510) 654 0338 / 3411 Fruitvale Ave. Oakland, CA 94602  (510) 531 7750 / 4094 Piedmont Ave Oakland, CA 94611 (510) 420 1777

SOUTH BAY

Fleur de Cocoa : La jolie adresse de Los Gatos offrira sa galette des rois à partir du dimanche 6 et jusqu’à la fin du mois de janvier pour tout retardataire. Deux tailles au choix, pour 6 à 8 personnes  pour 30$, et pour 10 à 12 personnes pour 38$. 39 North Santa Cruz Avenue  Los Gatos, CA 95030 (408) 354-3574

BAY AREA

La Boulange: Dans toute la Bay l’incontournable, La Boulange propose la galette des rois. Le petit bonus : les fèves, qui sont au choix de six, représentent chacune un haut lieu de San Francisco. Attention de ne pas croquer dans le Golden Gate ! Depuis le 26 décembre et jusqu’au 31 janvier. Sur commande.

Whole food: Le célèbre supermarché bio propose également notre galette nationale dans ses nombreux points de vente.

L’EXOTIQUE

La Victoria Bakery : Enfin, la Victoria Bakery offre la Rosca de Reyes, un beau gâteau en forme de couronne, spécialité espagnole et d’Amérique latine, pour célébrer l’épiphanie, une fête aussi importante que Noël dans certains pays. Pour ceux qui veulent sortir des sentiers battus tout en gardant le rituel. Elle sera en vente du 4 au 6 janvier. 2937 24th St San Francisco, CA 94110 (415) 642 7120 . 

Une Française pour conseiller Obama

Une Française au côté de Barack Obama.

L’économiste spécialiste de la pauvreté Esther Duflo sera membre du  “Conseil présidentiel pour le développement global”, une instance consultative de neuf membres créée en février et censée “informer et conseiller le président et d’autres responsables américains sur les politiques et pratiques américaines relatives au développement mondial“, a confirmé la Maison blanche, vendredi, à l’AFP.

Esther Duflo est titulaire d’une chaire sur l’économie du développement au prestigieux Massachussetts Institute of Technology (MIT) ainsi qu’au Collège de France. Lauréate de plusieurs distinctions dont une médaille John Bates Clark, récompensant les économistes de moins de 40 ans, elle figure sur la liste des 100 personnes les plus influentes au monde du magazine Time en 2011 et dans le top 1oo des “global thinkers” de la revue Foreign Policy en 2012.

« Duflo est une économiste internationalement reconnue dont les recherches ont aidé à changer la manière dont les gouvernements et les organisations approchent la pauvreté mondiale », a indiqué le MIT dans un communiqué, jeudi.

Cours à l'Alliance Française d'Austin: les inscriptions approchent

L’année 2013 débute et avec elle, la bonne resolution de perfectionner votre maitrise du français.

Ca tombe bien: il sera possible de vous inscrire aux cours de  français de l’Alliance Française d’Austin le 10 janvier à 17h30 et le 12 janvier à 13h. Les inscriptions se font dans les locaux de l’organisation.

L’Alliance propose des classes en journée et en soirée. Des cours collectifs, du tutorat ou encore des cours privés sont proposés pour tous les niveaux. Ils débuteront le 14 janvier.

Concours de sculpture sur glace à Houston

Aaron Costic, Buddy Rasmussen, Danny Bloss, Steve Brice, Heather Brice, Max Zuleta et Benjamin Rand. Leur nom ne vous dit rien. Ils sont les “Magnificient 7” sélectionnés pour participer au concours de sculpture sur glace organisé le 5 janvier à Discovery Green.

Les artistes auront cinq heures pour transformer d’imposants blocs de glace en œuvres d’art au moyen de tronçonneuses, de burins et de chalumeaux. Les blocs de glace sont faits à base d’eau de pluie. Les sculptures réalisées seront ensuite exposées à Discovery Green et serviront à arroser les végétaux du parc.