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Austin lance un "accueil international" pour les nouveaux venus

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Comment asseoir sa stature internationale quand on est une ville de moins d’un million d’habitants entourée de métropoles cosmopolites ? C’est le défi d’Austin.

Avec le festival South by Southwest et maintenant le Grand Prix de Formule 1 des Etats-Unis, la capitale du Texas bénéficie déjà d’une visibilité mondiale. Mais après les visiteurs, encore faut-il faire venir des investisseurs ! A l’image de Dell, IBM ou Freescale, les principales multinationales basées à Austin sont américaines.

L’autoproclamée capitale mondiale de la musique live a décidé d’aller au-delà du programme à destination des investisseurs internationaux existant déjà au sein de son service dédié au développement économique de la ville. En partenariat avec l’association d’accueil des nouveaux venus étrangers Global Austin, mais aussi les différents accueils nationaux de la ville (allemand, chinois, hispanophone, norvégien, polonais, russe, turc et… francophone via Austin Accueil) elle vient de lancer un accueil international multilingue.

Outre des sessions d’orientation collectives (la première aura lieu le 26 janvier à l’hôtel de ville) et la mise en ligne prochaine d’un portail d’information dédié aux nouveaux habitants d’origine étrangère, cet International Welcome propose un accompagnement personnalisé des nouveaux venus, qui seront mis en relation avec des « ambassadeurs d’Austin » parlant leur langue et prêts à les accompagner dans leurs démarches d’installation. En participant à l’opération, Austin Accueil espère gagner en visibilité et contribuer à l’essor de la francophonie dans la région. Tandis que la ville d’Austin renforce son attractivité internationale.

Art Basel côté "off"

Art Basel Miami, ce n’est pas uniquement la foire officielle au Convention Center. De nombreux autres évènements et institutions accueilleront les visiteurs toute la semaine.

Devenue un classique, la Pulse Art Fair, localisée au Ice Palace, réunira, du 6 au 9 décembre, 86 galeries du monde entier, dont la Galerie Particulière venant de Paris. A signaler aussi le salon Design Miami du 5 au 9 décembre dans le Design District de Miami. Il s’est rapidement imposé comme un rendez-vous obligatoire pour les designers professionnels. Vous pourrez y croiser, entre autres, la célèbre agence parisienne Patrick Seguin et la Galerie Jacques Lacoste. La foire “Arts for A Better World” proposera, elle, une immense exposition consacrée à Andy Warhol du 4 au 9 décembre.

Pendant le week-end d’Art Basel Miami, l’entrée est gratuite à la Rubell Family Collection. Dans ce musée situé dans le quartier de Wynwood, les visiteurs pourront découvrir l’exposition “Alone Together”, qui ouvre le 5 décembre. Les travaux de 31 artistes explorent un paradoxe: les artistes travaillent souvent de manière isolée dans leurs ateliers, mais ils sont presque toujours vus et définis par un ensemble plus vaste.

Autre évènement à ne pas manquer : CONTEXT Art Miami présente, du 4 au 9 décembre,  le travail d’une quarantaine de galeries du monde entier. CONTEXT, qui s’inscrit dans la 23ème édition d’Art Miami, organise aussi une exposition inédite du travail de  “Banksy”, artiste de street art mondialement connu et activiste politique basé en Angleterre.

Pendant Art Basel, cent Wahrol pour la bonne cause

“Cent Warhol dans une seule exposition, c’est du jamais fait”, se réjouit la française Sandrine Kukurudz. Avec son mari Rod, elle a fondé Arts for a better World, une foire d’art contemporain qui fêtera, du 4 au 9 décembre, sa troisième édition, en marge d’Art Basel Miami.

Son immense exposition “100 Warhols, an Overview” réunira un large éventail du travail du maître du pop-art. Certaines des pièces figurant dans l’exposition n’ont jamais été montrées. La vaste majorité des peintures, dessins et collages, présentés autour de six thèmes (“fleurs”, “animaux”, “politique”, “icônes”, “les premières années”, “les dernières années”), est disponible à l’achat.

Etabli en 2010, Arts for A Better World cherche à promouvoir la responsabilité sociale des entreprises en utilisant l’art pour générer un changement positif. “Ce qui est très important pour nous est d’abord notre démarche citoyenne. Nous faisons signer aux galeries participantes l’engagement de soutenir une école d’art dans des quartiers défavorisés aux Etats-Unis”, explique Mme Kukurudz.

Depuis sa première édition, la foire a pris de l’ampleur et est désormais installée à Midtown, avec les autres grandes foires. Outre l’exposition de Warhol, les visiteurs pourront découvrir l’offre artistique de 24 galeries provenant de New York, Londres, Caracas ou encore Dubaï. Au programme figurent également une soirée de charité avec le fameux restaurant new-yorkais RAO’s, des soirées de collectionneurs, des petits déjeuners, des conférences et des visites guidées. Un programme riche dont Sandrine Kukurudz, une ancienne de l’événementiel, est fière : “Nous sommes les seuls à avoir cette double casquette, le côté art et une vision évènementielle des foires d’art.” Et pour les ventes de cette année,  elle se veut optimiste. “Chaque année, les ventes sur le marché d’art explosent et un Warhol ne va jamais valoir moins”.

Les Français au rendez-vous d'Art Basel Miami

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“C’est la plus grosse foire d’art aux Etats-Unis et un rendez-vous incontournable”. Olivier Antoine, directeur de la galerie française “Art:Concept”, se réjouit. Il participera du 6 au 9 décembre  à la onzième édition d’Art Basel Miami.

Avec plus de 250 galeries participantes, d’innombrables foires d’art et un programme culturel riche et varié, Art Basel Miami est devenu la manifestation d’art contemporain la plus  importante du continent américain. Pendant quatre jours, des artistes, galeries, collectionneurs et passionnés d’art contemporain du monde entier envahiront le Convention Center de la “Magic City”.

Les galeries rigoureusement sélectionnées par les organisateurs exposeront les œuvres de leurs artistes. Celles-ci datent de 1900 à nos jours et sont issues du monde entier. La plus grande section, « Art Galleries », présentera des peintures, sculptures, photographies, installations et vidéos provenant de 200 galeries d’Amérique du nord et du sud, d’Europe, d’Afrique et d’Asie. Prix des œuvres exposées : d’une centaine de dollars à plusieurs millions. La section « Art Nova » est, quant à elle, dédiée aux œuvres d’art créées ces trois dernières années. Trois galeries françaises (Bugada & Cargnel, Galerie Frank Elbaz, Gaudel de Stampa) y montreront les travaux de huit artistes français.

Plateforme pour les artistes émergents, « Art Positions » est souvent jugée l’une des sections les plus intéressantes, car elle permet aux critiques et collectionneurs d’art de détecter les nouvelles tendances. Enfin, « Art Kabinett » regroupera les expositions thématiques de 20 galeries, comme l’histoire du mouvement des droits civiques aux Etats-Unis par la galerie Alexander Gray Associates. Le programme ne s’arrête pas là : d’innombrables projections de films, des conférences et des soirées plongeront Miami dans un intense bouillon de culture.

Des Français au rendez-vous

Dix-neuf galeries françaises seront présentes. Dix-huit d’entre elles exposeront leurs trésors à la foire principale, « Art Galleries ». La galerie parisienne Daniel Templon montrera les ouvres de huit artistes autour du thème “culture et globalisation”. Sa directrice, Anne-Claudie Coric, insiste sur l’importance de la foire: “On participe à la foire de Bâle depuis 1977, à Art Basel Hongkong et à l’édition de Miami pour avoir un pied sur les trois continents. C’est important, car on a beaucoup de clients aux Etats-Unis et en Amérique latine.”

“Le marché d’art en France se porte très bien et les galeries françaises sont plutôt en train de croître parce que Paris reste une place culturelle intéressante. On a une presse positive, notamment avec le succès de la FIAC (ndr: Foire internationale d’art contemporain à Paris). Par conséquent, les foires internationales regardent les galeries françaises d’un nouvel oeil”, note Olivier Antoine de la galerie Art:Concept, qui montrera notamment le travail de deux artistes français, Vidya Gastaldon et Hubert Duprat.

Dans la section « Art Positions », deux expositions de galeries françaises sont à voir : Mor Charpentier présente les travaux de Julieta Aranda, artiste mexicaine et directrice du journal d’art E-flux, et la galerie Michel Rein. “Nous participons pour la première fois et montrons les photographies de LaToya Ruby Frazier, une artiste formidable qui a fait le buzz à la Whitney Biennal”, raconte M. Rein. Ses portraits en noir et blanc sont vendues pour 6.000$ à 30.000 $.

Malgré la crise économique persistante en Europe, les galeristes français se montrent résolument optimistes. “Bien sûr c’est la crise, mais l’art semble échapper à tout”, confirme Michel Rein. Et effectivement, le marasme économique ne freine pas les prix de l’art, mais au contraire semble les faire exploser. “Pendant la crise, l’art devient une valeur refuge et les ventes aux enchères explosent de nouveau chaque année”, ajoute Sandrine Kukurudz, l’organisatrice de la grande foire “Ouverture – Arts for a better world” du 4 au 9 décembre.

En novembre, un tableau de Mark Rothko a été vendu pour 75 millions de dollars chez Sotheby’s, au cours d’une vente aux enchères qui a généré 375 millions de dollars, battant tous les records de la maison d’art. “Beaucoup de gens ont peur de la crise et évitent les marchés risqués que sont devenus la bourse et même le marché immobilier. Les grandes fortunes veulent diversifier leurs investissements”, observe Anne-Claudie Coric.

“Il reste un gros potentiel économique, mais ce n’est pas le cas pour toutes les galeries”, nuance Olivier Antoine. “Tout dépend du programme, si cela ne se renouvelle pas, la situation est plus compliquée.” Toutefois, Art Basel Miami ne désemplit pas. “Il n’y a plus une seule chambre d’hôtel dans les 30 miles autour du Convention Center”, s’exclame Sandrine Kukurudz. “Les gens veulent apprécier l’art, dit Anne Claudie-Coric. Et penser à autre chose.”

Jean-Yves Hepp, et sa tablette tactile made in France, rêve de "taquiner" Apple

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(AFP) – Jean-Yves Hepp est fier de montrer sa tablette tactile Qooq exposée sur Times Square, à New York. Ayant fait le choix, très médiatisé, de la produire en Saône-et-Loire (centre), il se rêve en Tintin “taquinant” des géants comme Apple, qui produisent en Asie.

Avant l’Australie, le Royaume-Uni et Hong Kong en décembre, le fondateur de la société Unowhy a lancé sa tablette dédiée à la cuisine mi-novembre aux Etats-Unis.

On est un peu Tintin en Amérique, le petit Français qui veut taquiner Apple“, sourit-il, glissant à l’envi que sa première tablette était sortie en France fin 2009, quelques mois avant l’iPad.

Qooq est devenue son étendard pour démontrer que l’industrie n’est pas condamnée en France: en 2011, il a rapatrié la fabrication de sa tablette de la Chine à Montceau-les-Mines, en Saône-et-Loire, sans hausse de prix, grâce à une réduction des coûts de transport et une ligne de montage hautement automatisée chez son sous-traitant, le spécialiste de l’électronique Eolane.

J’aimerais bien faire des émules, car ça remettrait l’économie à l’endroit”, assène l’entrepreneur de 43 ans, publicitaire et consultant, notamment pour L’Oréal et Nespresso, avant de fonder sa société d’une trentaine de salariés.

S’il refuse de dévoiler son chiffre d’affaires, ce héraut du “made in France”, très sollicité par les médias, livre sa “vision” à longueur d’interview: “On s’autoflagelle tout le temps, on est dans la logique négative monstrueuse du ‘On ne peut plus rien faire en France’“.

Je me bats pour que les gens comprennent que ce n’est pas mort“, affirme celui qui a pratiqué la boxe lors de ses années d’études, d’abord dans une école de commerce puis à Sciences Po Paris.

Jean-Yves Hepp est né d’une mère professeur agrégée de lettres, “pied noir de Tunisie“, et d’un père chef d’entreprise, issu d’une famille alsacienne bourgeoise et impliquée en politique. Son grand-père a été directeur de cabinet du Premier ministre de Pompidou Pierre Messmer.

Il dit avoir toujours baigné “entre le monde de l’entreprise et le service public“. Il apparaissait dès lors logique pour ce père de famille, qui veut donner des “perspectives d’avenir” en France à ses trois enfants, de s’investir dans la politique industrielle.

Il côtoie aussi bien l’UMP Laurent Wauquiez que le PS Arnaud Montebourg, venus inaugurer la ligne de production française en octobre 2011. François Hollande, encore candidat à la présidentielle, avait visité l’usine de Montceau-les-Mines quelques semaines plus tard, au cours d’une journée où il avait appelé au “patriotisme industriel“.

En ce moment je vois beaucoup de ministres pour leur expliquer mon nouveau cheval de bataille: protéger l’indépendance numérique de la France, qui est aussi importante que l’indépendance énergétique“, explique l’entrepreneur, visage rond et sourire franc.

Devant l’emprise croissante des géants Apple, Microsoft, Google et Amazon sur la diffusion des contenus culturels, “le danger demain, c’est que l’éducation passe par leurs produits“, avance-t-il.

La tablette va devenir l’outil quasi-exclusif de transmission des savoirs. Si on n’a pas d’alternative européenne, on risque de nous couper la parole. On touche là à l’éducation, la culture, l’information. On touche à la démocratie“, craint-il.

Fort de ce constat, il a décidé de mettre au point des tablettes éducatives et est bien placé pour emporter un appel à projets du Fonds national pour la société numérique (FSN), qui aboutirait à la fourniture de 5.000 tablettes aux collégiens de Saône-et-Loire à la rentrée 2013.

Il espère ainsi gagner son ticket d’entrée sur le marché des cinq millions de collégiens et lycéens français.

Pour l’heure, et bien qu’il ne donne aucun chiffre, Unowhy reste un acteur mineur dans le marché mondial des tablettes, noyauté par Samsung et Apple.

Un autre Français, Archos, a fait le pari de s’y imposer mais, début novembre, la société annonçait une restructuration conduisant à la suppression du quart de ses effectifs en raison d’un chiffre d’affaires en baisse.

Archos avait délocalisé sa production en Chine pour rester compétitif. Un choix à rebours de la “vision” de Jean-Yves Hepp.

Shopping nocturne au Brooklyn Night Bazaar

Chaque vendredi et samedi jusqu’au 22 décembre, l’entrepôt Billyburg à Williamsburg se transforme en gigantesque marché nocturne, rassemblant plus de 200 artistes, vendeurs, chefs de cuisine, musiciens et DJ.

T-shirts, objets d’art, accessoires loufoques: le Brooklyn Night Bazaar a une touche résolument hipster. Ce rendez-vous des chineurs s’inspire des marchés nocturnes asiatiques, où artistes, artisans et autres esprits créatifs se retrouvent dans de vastes espaces intérieurs et extérieurs.

Parmi les vendeurs présents chaque semaine se trouvent des noms connus localement tels que la boutique “Dalaga” à Greenpoint, le fabricant de sac à mains “Jack Germain” et la boutique de vintage “Antoinette” basée à Williamsburg. La Brooklyn Winery et le bar-restaurant Le Comptoir ont également un stand. Ce week-end (30 novembre et 1er décembre), la soirée sera couronnée par la performance de la musicienne new-yorkaise Ayshah (Fatima Al-Qadiri) et du DJ canadien Michael Silver.

"In French With English Subtitles": c'est ce week-end (et il reste des places)!

Vendredi, c’est le début de la grande fête du cinéma français à New York. Le festival « In French With English Subtitles » revient du 30 novembre au 2 décembre au Florence Gould Hall du FIAF.
Que les fans de Gad Elmaleh ne soient pas trop déçus, le Q&A prévu vendredi soir avec le comédien, à l’affiche d’ « Un bonheur n’arrive jamais seul » avec Sophie Marceau, est déjà complet. Idem pour la séance de questions-réponses avec des membres de l’équipe de « Nous York », une comédie qui raconte les pérégrinations d’une bande de potes dans la Grosse Pomme.
En revanche, il reste des places pour les deux autres Q&A du festival. Rendez-vous le samedi 1er décembre à 19h30 pour « Mains armées ». Ce thriller policier de Pierre Jolivet raconte la relation entre Lucas (Roschdy Zem) et Maya (Leila Bekhti), deux policiers qui travaillent dans des villes différentes mais dont les chemins se croisent à plusieurs reprises. Et ce n’est pas une coïncidence. Roschdy Zem présentera le film au public.
Dimanche 2 décembre à 20h, place à la première internationale de « Le Guetteur ». Ce film policier avec Daniel Auteuil et  Mathieu Kassovitz raconte la chasse à l’homme organisée par le commissaire Mattei contre un gang de braqueurs. Le co-scénariste du film Fabio Conversi et son producteur associé Patrick Gimenez répondront aux questions du public.
Fondé en 2009 par un groupe de cinéphiles, mené par Catherine Laleuf, le festival reversera une partie de ses bénéfices à la fondation Make a Wish, l’Entraide française et au Hurricane Sandy Relief Fund.

Gagnez deux places pour "la zizanie au consulat!"

French Morning vous en parlait il y a deux semaines: la compagnie Euro-Théâtre présentera du 13 au 16 décembre à l’Assistance League Playhouse, sa nouvelle pièce comico-administrative, “La zizanie au consulat !”. Elle est mise en scène par Jean-Louis Darville, le directeur de la compagnie fondée en 1998.

Nous vous proposons de gagner deux places pour la première représentation de la pièce , le 13 décembre à 20h. Il vous suffit d’envoyer votre nom et prénom à l’adresse: [email protected] .

L’intrigue : la perte de plusieurs passeports au consulat de Los Angeles donne lieu à un scandale médiatique. L’un des inspecteurs les plus rigides de France débarque à Los Angeles pour fouiner dans les affaires consulaires. Tous les membres de l’équipe, soudés par leur volonté de conserver leur calme tout californien, tentent de faire échouer ses investigations.

Un Prix du livre franco-américain

Un Prix pour récompenser le meilleur de la littérature américaine sur la France? Beaucoup d’auteurs en ont rêvé. L’American Library in Paris (ALP) l’a fait.

La préstigieuse bibliothèque américaine située près de la Tour Eiffel a récemment annoncé le lancement de son premier « Book Award », qui récompense un ouvrage écrit en anglais traitant de la France ou de “la rencontre franco-américaine“. Le gagnant recevra la coquette somme de 5.000 dollars. “Des centaines de livres sur le sujet sont publiés chaque année“, raconte Charles Trueheart, directeur de l’ALP. Il y a beaucoup d’intérêt pour la France de la part des lecteurs et des éditeurs. Et comme nous sommes un lien entre la France et les Etats-Unis, nous avons décidé de lancer ce Prix“.

Les auteurs, éditeurs, agents et lecteurs intéressés devront soumettre l’œuvre de leur choix (fiction ou non) à l’ALP avant le 1er juin 2013. Les travaux soumis doivent avoir été publiés entre le 1er juillet 2012 et le 30 juin 2013. L’heureux gagnant sera désigné en octobre 2013 par un jury composé de membres du “writers council” de la bibliothèque, composé de grandes plumes françaises et américaines comme Adam Gopnik, Diane Johnson et Philippe Labro.

Fête de Noël à l'Alliance française de Houston

Bien entendu, il y aura du fromage, du vin… et la traditionnelle bûche de Noël.

L’Alliance française de Houston organise le 6 décembre sa fête de Noël annuelle avec, en star, le gâteau de cinq mètres de long proposé par le chef pâtissier Fabrice Maraine.

Tout ne sera pas gourmandise pendant cette soirée. Cette dernière marquera l’ouverture de l’exposition photographique de  Fikry Botros, étudiant à l’Alliance depuis 2001. Cet ingénieur passionné de photo présentera ses clichés de Paris et du Texas lors de cette exposition intitulée “Paris / Texas”. Son travail, qui capture la beauté de la vie quotidienne, est également visible à l’Archway Gallery.

"Beaujolais and Beyond"… et le vin coule à flots à Irving

Le Beaujolais nouveau est arrivé il y a deux semaines, mais qu’à cela ne tienne. La chambre de commerce franco-américaine de Dallas-Fort Worth organise ce 30 novembre à l’Irving Convention Center at Las Colinas son festival de vin “Beaujolais and Beyond”, très attendu parmi les amateurs de crus au Texas.

L’évènement fête sa 29e édition cette année. En plus du fameux Beaujolais, les invités pourront déguster d’autres vins accompagnés de plats. Et comme le plaisir du goût est tout aussi important que celui des yeux, Miss Texas 2012 sera également de la partie. Un DJ a été recruté pour assurer l’ambiance sur la piste de danse. Des enchères silencieuses prendront place pendant cette soirée. Parmi les prix, un séjour au Club Med, dans les Bermudes, les Caraïbes et à Paris.

Les tickets sont disponibles à la porte pour 70 dollars.

Meshell Ndegeocello, une princesse du groove au Royce Hall de UCLA

Elle est chanteuse, rappeuse, compositrice et joue de plusieurs instruments. La princesse américaine du groove Meshell Ndegeocello et son groupe feront escale le 7 décembre au Royce Hall de UCLA.

Née à Berlin, l’artiste formée aux Etats-Unis a été nominée à dix reprises aux prestigieux Grammy Awards. Elle fut la première femme à figurer à la « une » de Bass Player Magazine, bible des bassistes, en novembre 2007. Son style mêlant jazz, r’n’b, soul et reggae lui vaut rapidement les éloges de la critique. Elle compte parmi les premiers artistes à rejoindre le label de Madonna et a sorti pas moins de huit albums depuis 1993, dont “Plantation Lullabies”, support de son hit “If That’s Your Boyfriend (He Wasn’t Last Night?)”, qui lui vaut trois nominations aux Grammys. Son deuxième album “Peace Beyond Passion” se hisse lui dans le top 5 des charts de jazz contemporain.

Elle est repérée par des artistes qui ne s’en sont pas trop mal sortis, comme les Stones et Santana, avec lesquels elle collabore.