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Bientôt une nouvelle "pre-school" bilingue dans l’Upper West Side

Les parents francophiles de l’Upper West Side sont gâtés. Après un programme d’immersion et deux « pre-schools » bilingues, le quartier s’apprête à accueillir l’Atelier. Rien à voir avec le restaurant de Joël Robuchon : il s’agit d’une maternelle qui proposera une formation en français aux enfants âgés de 2,6 à 6 ans. Ouverture programmée : septembre 2013.

L’Atelier, c’est l’histoire de trois enseignantes devenue amies. Cécile Depraetere, Aurélie Boquet et Emmanuelle Benoît se sont rencontrées au Jardin à l’Ouest, la « pre-school » bilingue de la 83e rue. « On a vraiment eu une bonne cohésion, comme on en a rarement dans ce métier », souligne Emmanuelle Benoît, qui s’est installée à New York en 2006. L’idée d’ouvrir une maternelle trottait dans leur esprit depuis longtemps, mais l’annonce de la fermeture de Jardin à l’Ouest, prévue pour juin 2013 pour cause de départ à la retraite des fondateurs, a accéléré le calendrier. « On l’aurait fait mais ça aurait pris plus d’années », poursuit Mme Benoît.

Alors que la Petite Ecole, sur la 82e rue, offre un programme tourné vers l’art, l’Atelier proposera une formation académique, sans toutefois négliger l’enseignement de la langue par l’éveil artistique. « Créer des livres, inventer des histoires, faire des illustrations » feront partie des activités proposées, soulignent les fondatrices. La recette: des petits groupes (la « nursery » et la « pre-K » de l’école compteront 18 élèves maximum) et une pédagogie dite « scientifique », qui encourage l’enfant à s’interroger sur son environnement. Les trois enseignantes veulent notamment s’appuyer sur les livres illustrés « Les p’tits philosophes », de Bayard, qui permettent de développer la réflexion des plus jeunes autour de questions simples telles que « c’est quoi un ami ? » ou « la peur, c’est quoi ». « On se base sur le programme français, très académique, mais on a un penchant pour les Arts et le questionnement scientifique», résume Cécile Depraetere, qui enseigne au Jardin à l’Ouest depuis 2004.

L’Atelier ne devrait pas avoir de mal à se faire une place au soleil. La future école bénéficie du réseau des parents du Jardin à l’Ouest, où Mmes Benoît et Depraetere continuent d’enseigner, ainsi que du bouche-à-oreille redoutable des mamans de l’Upper West Side. « C’est vraiment un village ici », s’exclame Cécile Depretaere, qui précise que les « open house » organisés jusqu’à présent étaient tous « blindés ». Objectif pour la rentrée: avoir un groupe d’élèves composé à parts égales de francophones, de non-francophones ayant déjà été exposés à la langue francaise, et d’enfants qui n’y ont jamais été exposés. Il reste au trio à trouver un local. Elles sont confiantes d’y parvenir avant le mois d’avril.

France-Etats-Unis: le match de l'infidélité

Clinton, Schwarzenegger et maintenant le général David Petraeus, patron démissionnaire de la CIA: qui a dit que les Français avaient le monopole des relations extraconjugales ?

Alors que l’Amérique découvre incrédule les escapades amoureuses de l’un de ses plus hauts gradés, il convient de rappeler quelques vérités : les Américains trompent moins leur conjoint(e) que les Français. Selon la très sérieuse enquête sur le sexe du fabricant de préservatifs Durex en 2005 (chiffres plus récents non-disponibles), 25% des couples mariés en France auraient eu des relations extraconjugales, contre  17% aux États-Unis. Un écart qui s’expliquerait, du moins en partie, par des niveaux de satisfaction dans la vie amoureuse différents: 52% des Américains sont satisfaits de leur vie sexuelle, alors que seuls 38% des Français déclarent l’être.

Qu’ils se rassurent, les Français ne sont pas en tête du palmarès mondial de l’infidélité. D’après l’enquête établie par Durex, elle est encore loin derrière l’Islande, la Norvège ou encore le Danemark. Les rois de l’infidélité ne sont autres que les Turques, avec 48% de sondés déclarant être allés voir ailleurs.

Saint Michel, des Versaillais font danser New York

Après Phoenix, Air et Daft Punk, c’est au tour des Versaillais Philippe Thuillier et Emile Larroche de prendre la route des Etats-Unis.

Leur groupe, Saint Michel, a déjà décroché ses lettres de noblesse en France en sortant chez Sony France un album intitulé “I love Japan”. Le magazine Les Inrockuptibles a dit de lui: “Versailles redevient le centre d’un monde en mousse et en brûmes avec cette électro pop sexy et mélancolique.”

En novembre, le duo fondé en 2011 fera escale à New York pour y donner deux concerts gratuits. Le 16 novembre il montera sur la scène du 354 Broadway à TriBeCa pour donner son concert intitulé “les Fleurs du MAL”. Trois jours plus tard, le 19 novembre, c’est le Baron de Chinatown qui les accueille dans le cadre de ses “Encore sessions”.

 

Marc Levy, une star du livre à la Miami Book Fair

À l’occasion de la French Week, la foire internationale du livre de Miami invite pour la première fois l’écrivain français Marc Levy à participer à une conférence le 17 novembre prochain.

Un Français de New York face un Américain de Paris: choc culturel en perspective. Marc Levy est installé avec sa famille dans la Grosse Pomme depuis deux ans. Il discutera avec l’Américain Rosencrans Baldwin, auteur de Paris I love You But You Bring Me Down, dans lequel il raconte son expérience dans une agence de pub à Paris. 

Marc Levy est l’écrivain français le plus lu dans le monde. Il a vendu plus de 26 millions d’exemplaires à travers la planète. Ses romans, traduits dans pas moins de 45 langues, ont été distribués dans plus de trente pays. Marc Levy a notamment écrit Et si c’était vrai, adapté au cinéma, ainsi que Vous revoir, Sept jours pour une éternité et La prochaine fois. Le public pourra également rencontrer l’auteur lors d’une soirée organisée par la Chambre de commerce franco-américaine de Miami, le 16 novembre sur la plage de Miami Beach.

Le jazz en bord de mer

Le Miami Nice Jazz Festival du 26 au 28 octobre est passé, mais que les amateurs de jazz en Floride se réjouissent: ils sont loins d’avoir tout vu. Du 17 au 18 novembre, le Miami Jazz Fest réunit, à Bayfront Park, treize groupes et musiciens de jazz de renommée internationale.

Le festival accueille des musiciens originaires de Miami tels que Jesse Jones Jr., un saxophoniste dont le style intègre des éléments hard-bop et funk, ainsi que des groupes internationaux tels que le “Trio da Paz” brésilien. La performance du Jamaïcain Monty Alexander sera l’un des temps forts du festival : en cinquante ans de métier, le pianiste a accompagné des stars mondiales telles que Clark Terry, Quincy Jones ou encore Frank Sinatra.

Patty Ascher, quant à elle, est une jeune chanteuse brésilienne. Sa voix magnifique sera soutenue par un mélange  de bossa nova, jazz et samba.

Les autres musiciens qui figurent au programme sont: The Don Friedman Quartet, The Antonio Aldolfo Quintet, The Mike Dirubbo Quintet, The Maucha Adnet Quintet, Joe Carter, Giacomo Gates, Bucky Pizzarelli, Jack Wilkins et Warren Chiasson. Et la meilleure? Il reste des places pour ce festival extraordinaire.

Bernard Tschumi, architecte du Parc de la Villette, au FIAF

Le FIAF (French Institute Alliance Française) présente une conférence de l’architecte franco-suisse Bernard Tschumi, le 14 novembre à 19h.

Architecte et professeur à l’Ecole d’Architecture de Columbia, Bernard Tschumi a emprunté ce qu’on appelle “la voie royale”. Diplômé de l’école polytechnique de Zurich en 1969, il devient professeur à l’Architectural Association de Londres (de 1970 à 1980), puis à la prestigieuse Université de Princeton, membre de l’Ivy League, jusqu’en 1981. En 1988, il est nommé doyen de l’Ecole d’Architecture de l’Université de Columbia.

A l’origine, entre autres, du Parc de la Villette de Paris et du nouveau musée de l’Acropole d’Athènes, Bernard Tschumi signe aussi la Blue Tower dans le Lower East Side de Manhattan. Visionnaire et passionné, il intervient dans le cadre de la série “creative leaders” du FIAF, qui met en avant des réussites dans le milieu de l’art et de la culture.

Avant lui, Carine Roitfeld, ancienne rédactrice en chef de Vogue Paris et actuelle “global fashion director” du magazine Harper’s Bazaar, ou encore Danny Meyer, restaurateur à succès, ont été les invités de cette série.

Le MoMA fête les 50 ans des Rolling Stones en images

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Ca va rocker sur la 53e rue! Le MoMA célèbre cinquante ans de Rolling Stones, du 15 novembre au 2 décembre.

Pour cet anniversaire, le musée rend hommage au mythique groupe de rock britannique, non pas en musique mais en images, à travers une rétrospective de tous les films, documentaires, longs métrages, fictions, films de concerts, clips, et courts métrages expérimentaux dédiés au groupe depuis les Sixties. Il y a de quoi ! Les Rolling Stones ont derrière eux une carrière cinématographique impressionnante. Le groupe culte a collaboré avec les réalisateurs Jean-Luc Godard, Robert Frank, Hal Ashby, ou encore Martin Scorsese.

À l’occasion de ses 50 ans de carrière, le groupe a sorti un album best-of intitulé “Grrr!”, qui inclut notamment leur tout dernier titre inédit “Doom and Gloom”.

"Liberté, Egalité, Homosexualité"

Revue de presse. Le “mariage pour tous” ne fait pas parler qu’en France. La presse américaine évoque aussi le débat dans ses colonnes.

Comment pouvait-il en être autrement ? La promesse de campagne de François Hollande enflamme l’opinion publique francaise. “Les sondages montrent un soutien vacillant face à une opposition de plus en plus bruyante dans ce pays à majorité catholique”, observe l’Associated Press (AP) dans un article publié sur le site d’information Huffington Post. Ce thème, qualifié de “patate politique chaude”, a révélé “les divisions entre la France urbaine, où l’homosexualité est largement acceptée, et le heartland rural, où les attitudes conservatrices perdurent”. 

Le leadership de François Hollande est critiqué de tous les côtés, par “les alliés comme les ennemis”, selon The Daily Beast“Les rivaux ont flairé le sang (…), les détracteurs ont fait remarquer que la résolution de la crise économique devait être la priorité du président, et non la planification de mariages homosexuels”. La critique de la droite conservatrice et catholique a été particulièrement virulente. Pour l’illustrer, le Los Angeles Times cite le sénateur Serge Dassault (UMP) : “On veut avoir un pays d’homos ? Dans dix ans, il n’y a plus personne. C’est stupide. (…) Regardez dans l’Histoire, la Grèce, c’est une des raisons de sa décadence.” Selon le Daily Beast ces propos sont loin d’être inconséquents. “À 87 ans, la position de Dassault n’est peut-être pas surprenante, mais son influence n’est pas négligeable, le patriarche de la famille Dassault est le 93e sur la liste des milliardaires du magazine Forbes et gère une immense fortune. Il possède Le Figaro (…) et Dassault Aviation.” Le Huffington Post cite une autre opposante, Christine Boutin, Présidente du Parti Chrétien-Démocrate, qui estime que “la loi pourrait ouvrir la porte à la décadence morale”.

Face à cette opposition dans cette “société fameusement progressiste”, le magazine Time s’amuse: “Qui est exactement le plus prude maintenant, chers Français ?” Et de poursuivre : « Ironiquement, cette hésitation intervient au moment où les électeurs américains – que beaucoup de Français considèrent comme pathologiquement puritains – ont voté en faveur du mariage entre personnes de même sexe dans trois Etats en novembre ».

Dans son article intitulé “Liberté, Egalité, Homosexualité“, The American Prospect est lui aussi surpris de voir les arguments rétrogrades avancés  par les opposants au mariage pour tous dans la patrie de la libération sexuelle. “La France existe dans l’imaginaire américain principalement sous forme caricaturale. Sur les questions de sexe, en particulier, les Français sont considérés comme étant en avance, au-delà des limites de la morale traditionnelle. Une perception partagée par les progressistes américains, qui les admirent pour être libérés, et par les conservateurs, qui les considèrent comme des libertins amoraux. C’est donc une surprise qu’en matière de mariage homosexuel (…) la France a pris du retard sur les États-Unis, où neuf Etats ont reconnu le mariage homosexuel.”

Le site d’information Christian Science Monitor se penche lui sur la “chute brutale” dans les sondages du soutien au mariage des homosexuels. Sans perdre un mot des propos explosifs de Serge Dassault, Christine Boutin, André Vingt-Trois ou encore Marine Le Pen, le site d’information conclut son article en citant l’argument d’un anti-mariage: “Voici un projet de loi qui vise à perturber l’équilibre père-mère à l’intérieur du couple des parents, alors que cet équilibre est la meilleure structure qu’on puisse offrir à l’enfant pour qu’il ou elle grandisse.”

Pourtant, le Daily Beast se montre confiant quant à l’avenir de la loi: “Attendez vous à une foule d’invitations pour des mariages arc-en-ciel dans le sud de la France l’été prochain.”

Le Qatar à la rescousse

A cette polémique s’ajoutent les articles sur la difficile sortie de crise de l’économie française. “Les économistes sont d’accord pour dire que la situation en France est urgente”, écrit Fox News. Pour l’aider à en sortir, Louis Gallois, ancien patron d’EADS, a remis son rapport très attendu sur la compétitivité le lundi 5 novembre. Celui-ci appelle notamment à une baisse du coût du travail. Une mesure qui fait polémique en France mais que saluent certains titres américains. “La charge fiscale supportée par les entreprises (…) ainsi que des règles de travail rigides et des contrats à long terme freinent la compétitivité de l’industrie française“, assène le New York Times. Quelles que soient les mesures impopulaires que le gouvernement devra prendre, Fox News rappelle que “de nombreuses grandes questions – comme la semaine de travail de 35 heures” resteront intouchables tant que les socialistes seront au pouvoir. « Tandis que des pays comme l’Italie ou l’Espagne sont en plus mauvaise posture à cause du coût élevé de l’emprunt, les experts disent que ces pays font les coupes nécessaires pour rétablir leur économie. Mais ce n’est pas le cas en France, qui a résisté à ces reformes, en partie parce que les relations avec les travailleurs sont si tendues que de tels changements sont considérés comme un suicide politique ».

Ne voulant pas abandonner ses acquis sociaux, la France ne devrait-elle pas saluer l’aide étrangère en ces temps de serrage de ceinture ? Le Huffington Post analyse les réactions françaises aux propositions du Qatar d’investir dans les banlieues. La France pourrait s’en réjouir. Mais non ! Le plan a “rencontré un mur de résistance et d’hostilité pure et simple. La raison: le bienfaiteur est le riche Emirat arabe du Qatar.” Le site observe “une vague de protestations de la part des hommes politiques, horrifiés qu’un étranger laisse son empreinte dans les quartiers agités de la France.” Et conclut : “L’orgueil blessé a peut-être joué un rôle. Beaucoup ont du mal à accepter qu’un petit pays arabe puisse réussir là où la France elle-même a échoué.” 

Les Européens, stars de la météo

Pour terminer cette revue de presse, gros plan sur un succès européen dont devraient s’inspirer les Etats-Unis. Le Houston Chronicle applaudit les météorologues du Vieux continent pour avoir correctement anticipé l’ouragan Sandy. “Les scientifiques européens sont les meilleurs dans le monde pour prédire les trajectoires des tempêtes de l’Atlantique”, s’exclame le journal. Et ce en dépit du fait qu’un seul cyclone tropical s’est abattu sur les côtes européennes ces 150 dernières années. “Sept jours avant que l’ouragan n’ait frappé le littoral, d’importants modèles de prévision (ont dit que Sandy irait vers) l’océan Atlantique, loin de la côte américaine. Le modèle européen a prévu qu’un grand ouragan arriverait sur la côte du New Jersey. C’est à peu près ce qu’il s’est passé.” Le clé de leur succès selon le météorologue français Jean-Noël Thépaut : des cartes plus précises et “la façon dont le modèle intègre les observations de bouées météorologiques, des satellites et d’autres sources.” Pourraient-ils prévoir quand les beaux jours reviendront sur l’économie française ?

"Le Père Noël est une ordure" traverse l'Atlantique

Pièce culte du théâtre contemporain français puis comédie au cinéma, chacun en connaît au moins une réplique sur le bout des doigts. “Zezette épouse X”, “C’est fin très fin, ça se mange sans fin” ou encore “Je me disais encore hier qu’il manquait quelque chose pour descendre les poubelles !”. Qui n’a jamais, honnêtement, ri en regardant jouer, au théâtre ou au cinéma, Thierry Lermitte, Gérard Jugnot ou Anémone dans “Le Père Noël est une ordure”? Pas grand monde…

Pierre et Thérèse travaillent à SOS amitiés, une plateforme téléphonique associative qui recueille les coups de téléphones de personnes seules et déprimées. C’est le réveillon de Noël, ils sont débordés. S’en suit une farandole de sketch et de personnages tous plus pathétiques les uns que les autres : d’un travesti en tailleur léopard à un voisin yougoslave accro à sa cuisine traditionnelle, en passant par une voisine hystérique.

La pièce mythique écrite et jouée à l’origine par la troupe du Splendid (Thierry Lermite, Gérard Jugnot, Christian Clavier, Marie-Anne Chazel et Josiane Balasko) en 1979 n’a pas fini de conquérir de nouveaux spectateurs. A partir  du 9 novembre, et pour six dates, c’est sur les planches de l’Exit Theatre de San Francisco que “Le Père Noël est une ordure” se produit en VF. Autre mise en scène, autre troupe (Le Théâtre du Coin avec Pierre Xavier Thomas dans le rôle de Pierre, Nolwenn Le Bras Carcione dans le rôle de Thérèse, Valérie Zeller dans le rôle de Zézette et Jean-Marc Parmentier dans le rôle de Félix), mais même comédie.

 
 
 
 
 

Le Beaujolais nouveau arrive à San Francisco

3…2…1…Beaujolais nouveau ! Comme chaque année, le vin des vins coule à flots le troisième jeudi du mois de novembre. Des nombreux restaurants et bars à San Francisco ne pouvaient pas passer outre l’occasion.

Pour célébrer la mise en vente de ce vin primeur, la fondation de la Santa Rosa French-American Charter School (SRFACS) organise le 16 novembre la première édition de sa soirée Beaujolais nouveau. Au programme figurent non seulement la dégustation du vin tant attendu, mais aussi de la musique française et une tombola. Tous les bénéfices iront à la fondation de l’école. Fondée par des parents en 2011, la SRFACS propose un enseignement bilingues de la maternelle jusqu’à la classe de quatrième. Beaujolais nouveau, le 16 novembre à 18h, The Agatha Furth Center, 8400 Old Redwood Hwy Windsor, CA 95492, Prix : 45 $ par personne (35 $ en pré-vente), Plus d’informations ici.

Le magasin de vin Kermit Lynch fête  aussi le Beaujolais nouveau, mais le 17 novembre. L’événement commence par une dégustation de vin à 11h. Ensuite, le maître de la nouvelle cuisine américaine Christopher Lee, décoré de deux étoiles Michelin, préparera un déjeuner spécial. Le groupe de musique Baguette Quartett assurera l’ambiance musicale. Beaujolais Nouveau Party, le 17 novembre de 11h à 16h, Kermit Lynch Wine Merchant, 1605 San Pablo Avenue, Berkeley, California, 94702, 510.524.1524, Plus d’informations ici.

Autres événements :

Le Garçon, 1101 Valencia Street, San Francisco, CA 94110, (415) 401-8959, Beaujolais nouveau et menu spécial le 15 novembre.

Left Bank Larkspur, 507 Magnolia Avenue, Larkspur, CA 94939, (415) 927-3331, Beaujolais nouveau et menu spécial à 40 $ du 15 au 17 novembre.

Left Bank Menlo Park, 635 Santa Cruz Avenue, Menlo Park, CA 94025, (650) 473-6543, Beaujolais nouveau et menu spécial à 40 $ du 15 au 17 novembre.

Left Bank San Jose, 377 Santana Row Suite 1100, San Jose, CA 95128, (408) 984-3500, Beaujolais nouveau et menu spécial à 40 $ du 15 au 17 novembre.

Zazie, 941 Cole Street, San Francisco, CA 94117, (415) 564-5332, Beaujolais nouveau et menu spécial à quatre plats à 59 $ le 15 novembre.

Omnivore, fête culinaire transatlantique, arrive à San Francisco

Après Paris, Moscou, Shanghai, Montréal et New York, entre autres, le festival de cuisine internationale Omnivore arrive enfin à San Francisco.

Du 9 au 11 novembre, la nouvelle génération de chefs américains et européens, comme le Belge Davy Schellemans, montreront leur savoir-faire.

Quatre différents événements sont au menu. Les “Food Masterclasses” invitent de jeunes cuisiniers internationaux distingués (dont le Français Dominique Crenn) pour parler de leur vision et présenter leurs recettes.

Des sommeliers et viticulteurs californiens feront déguster leurs vins lors des “Wine Masterclasses” tandis que  les jeunes cuisiniers se mettront aux fourneaux pour quelques happy few lors des “Amazing Dinners”. Le samedi 10 novembre, l’”Omnivorious Party” convie les gourmets à un apéritif franco-américain et à se lancer sur la piste de danse.

The Who font danser Oakland

Leur chanson “My Generation” fut l’hymne de la jeunesse anglaise dans les années 1960. Quarante ans après leur double album à succès (mondial), “Quadrophenia” (1973),The Who donnera un concert à l’Oracle Arena à Oakland le 1er février 2013. Le groupe de rock de Pete Townshend interprétera l’album mythique dans son intégralité.

Avec plus de 100 millions disques vendus dans le monde entier, The Who est un des groupes de rock les plus célèbres au monde. Sans vieillir, le groupe monte régulièrement sur scène depuis sa fondation en 1964. Leur dernier album studio date de 2006 et s’intitule “Endless Wire”.