Accueil Blog Page 1460

"L'Art de Vivre français" au Consulat

Etre une plateforme pour l’excellence et le savoir faire artisanal : c’est l’ambition de «La Grande Décoration / Art de Vivre français », l’exposition qui aura lieu du 23 au 25 octobre au Consulat Général de France à New York.
Entre les tissus de Tassinari & Chatel, les vitraux des ateliers Duchemin ou les sculptures de Jean Charles Maïna, l’événement de trois jours met en valeur le savoir-faire de vingt-deux sociétés françaises travaillant dans des domaines divers tels que l’architecture d’intérieur, les arts décoratifs des intérieurs, le design de  paysages, la couture et la joaillerie. Chaque entreprise, dont beaucoup sont déjà implantées aux Etats-Unis, présentera au public des pièces conçues spécialement pour l’événement.
Cette exposition est présentée par deux associations françaises de fabricants de produits de luxe, le Comité Bellecour de Lyon (dont le président d’honneur est le chef Daniel Bouloud) et Prestige et Tradition de Paris. Les groupes ont été créés dans le but de promouvoir les entreprises du luxe des deux villes dans les secteurs de la décoration, des métiers d’art et du textile.
Parmi les nombreux joailliers représentés, on note l’entreprise Tournaire, connue pour ses “bijoux architecture”. Ce joaillier parisien fabrique par exemple des bagues portant la silhouette de New York. Parmi les ambassadeurs de la couture française se trouve notamment le tailleur de renommée internationale Max Chaoul. Elu “Créateur de l’Année” par les Couture Bridal Awards à New York en 2004, ce dernier présente ses fameuses robes de mariée.
La liste complète des exposants: Expo Marbre, Max Chaoul, Joïa, Ateliers Charles Jouffre, Laurence Oppermann, Joël Orgiazzi, Roure, Rouveure-Marquez, Tassinari & Chatel, Tournaire, Jeito, BonChic, BonChien de Céline Boulud, Jean Charles Maïna, Delisle, Meriguet-Carrère, Rémy Garnier, François Goffinet, Asselin, Ets Maleville, Bernard Pictet, Atelier Midavaine et Ateliers Duchemin.

Un opéra électro au Poisson Rouge

Quand New York et Paris se rencontrent en musique, ça donne… Un mélange d’opéra classique et de rythmes électro, le tout dans une mise en scène théâtrale inédite. Explications.

David Babin, leader du groupe français BabX, donnera un concert au Poisson Rouge les 21 et 23 octobre. Le groupe sera accompagné pour la première fois de l’orchestre Metropolis Ensemble. Une pièce musicale d’une heure et demie agrémentée de sons éléctro, du jamais vu! Cette collaboration explosive est née de la rencontre entre Andrew Cyr, chef d’orchestre du Metropolis Ensemble et David Babin, chanteur sans tabous, loin des contraintes commerciales et de la chanson raisonnable.

David Babin, son envie de révolutionner l’opéra contemporain, ses théories et sa passion pour la mythologie. Voilà des ingrédients qui donnent naissance à un nouveau genre musical qui consiste à  “moderniser l’image de la musique classique“, confie le chanteur. “L’idée est d’arriver à écrire un livret, sur la forme d’un opéra classique et formel, mais d’y apporter le cachet musical de mon groupe“.

David Babin a imaginé une théorie, celle d’un homme “dont on entend trop peu parler“, regrette-il. Nikola Tesla est un inventeur et ingénieur américain d’origine serbe, qui a révolutionné le domaine de l’électricité à la fin du 19ème siècle. À l’origine du courant alternatif à New York, Nikola Tesla, qui préférait se définir comme un découvreur, a suscité tant d’histoires et de mythes. “J’ai voulu parler de lui en tant qu’être humain. Je n’ai pas la prétention de faire sa biographie à travers mon livret musical.” Pas de biographie donc, une théorie. “J’ai élaboré une théorie sur Nikola Tesla, qui a perdu son frère lorsqu’il était enfant. Pour moi, tout est parti de ce drame familial. C’est ce traumatisme qui l’a poussé à se plonger dans l’observation de la lumière car il voulait prendre contact avec l’être disparu.

Une théorie qu’il racontera en chanson le temps de deux spectacles à New York. Pour commencer, car ce n’est que le début d’une collaboration qui promet de nouvelles surprises musicales. Des albums verront le jour, “c’est certain“, assure David Babin. D’autres projets continueront de faire vivre cette collaboration hors du commun.

Patricia Kaas : "Pour interpréter Piaf, il faut avoir l'expérience de la vie"

Patricia Kaas est née trois ans après la disparition d’Edith Piaf, mais elle a toujours été une admiratrice de la Môme. “Comme tout le monde, je connaissais les classiques comme La Vie en Rose. Et quand je suis venue à Paris on commençait à me comparer à elle”, raconte-t-elle.

La chanteuse française voit, certes avec des nuances, des ressemblances entre sa vie et celle de Piaf. Avec un père qui travaillait dans les mines de charbon en Lorraine, elle a dû apprendre à “se battre dans la vie”. “J’ai dû subir des drames et des déceptions”, raconte-t-elleSa mère meurt d’un cancer en 1989, juste au moment où la carrière de la jeune Patricia Kaas décolle. Et comme Kaas le révèle elle-même dans son autobiographie L’Ombre de ma voix, elle a dû subir d’autres moments difficiles : deux ans d’harcèlement par un fan, la famille qui s’éloigne peu à peu et plusieurs avortements. Mais pour surmonter des situations difficiles, elle a trouvé notamment dans Edith Piaf une source d’inspiration.“Ce que j’admire chez Piaf, c’est qu’elle a toujours mis de l’énergie positive dans ses histoires de drames. Et moi aussi, j’ai toujours essayé de voir la lumière au bout du tunnel.” 

Et pourtant, ce n’est que 50 ans après la mort de la Môme que Kaas décide de lui rendre hommage sur scène. “Bien sûr, on peut chanter Piaf quand on a 20 ans, mais pour vraiment l’interpréter, il faut avoir l’expérience de la vie”. Sa grande tournée “Kaas chante Piaf”, dans 13 pays, commence le 27 octobre en France et finit en Lituanie le 27 avril 2013. Un marathon pour “partager le moment autant de fois que possible”. La mise en scène de son show sera inédite: elle comprendra une projection de photos d’Edith Piaf, des graffitis pour décor et un danseur de hip-hop. La musique est produite par Abel Korzienowski, nominé aux Golden Globes pour la musique du film A single Man.

Chanter une icône de la chanson française, interprétée par nombre de chanteurs, n’est pas chose aisée. Piaf selon Kaas sera “plus moderne”. Elle a sélectionné également des chansons “moins connues, mais dont les textes sont formidables, comme par exemple Avec ce soleil ou La belle histoire d’amour.”

La chanteuse se réjouit de retrouver New York. Elle y a enregistré son quatrième album Dans ma chair“Déjà, pouvoir dire qu’on joue à New York est super. C’est la ville des comédies musicales et de Broadway”. Si ce n’est pas son premier concert dans la Grosse Pomme, elle est fière de monter pour la première fois sur la scène de Carnegie Hall, à l’endroit exact où Edith Piaf avait donné deux concerts en 1956 et 1957. Après le premier concert, le New York Times titrait : “Grande prêtresse de l’agonie, chanteuse française offrant des chansons déchirantes, Edith Piaf trempe Carnegie Hall dans les larmes.” 

Pour le rendez-vous new-yorkais de Patricia Kaas, trois musiciens l’accompagneront. “Le concert ne sera pas exigeant physiquement, il le sera émotionnellement.”

L'art de la table expliqué à Dallas

0

Honneur à l’art de vivre tricolore! French Affaires organise une soirée spéciale sur le thème de l’art de la table français, le 25 octobre, dans la boutique Yves Delorme à Dallas.

Au programme de cette soirée aux saveurs très françaises, il y aura, bien sûr, une dégustation de vins et fromages. La réception sera suivie d’une conférence, peu conventionnelle certes, sur le linge de table français. Et parce que plier des serviettes de table est un véritable art, un atelier pratique sera mis en place en fin de soirée avec une démonstration des différentes techniques de pliage. Les participants pourront s’essayer à cet exercice périlleux.

French Affaires est un organisme créé par une Américaine passionnée par la France et son héritage culturel. Implanté à Dallas, French Affaires propose une variété d’événements culturels, des cours de français, des conférences, des dégustations de mets et de vins, des ateliers culinaires et des séjours en France. L’objectif est d’apporter le meilleur de la France aux États-Unis, mais aussi d’aider tous ceux qui voyagent en France “à passer un excellent séjour dans ce beau pays“.

St. Edwards, trait d'union entre Austin et Angers

0

« Quand on séjourne à l’étranger, on devient une nouvelle personne ». C’est fort de cette conviction que Bill Clabby met en œuvre la politique internationale de l’université St. Edward’s, créée fin XIXe à Austin par la congrégation française de la Saint-Croix.

Il y a trois ans, l’université a noué un partenariat avec l’université catholique de l’Ouest (UCO), à Angers, « car nous voulions revenir à nos racines et approfondir la relation unissant le Texas et la France, dit-il. Car lorsque l’on permet à des étudiants français comme américains de travailler partout dans le monde dans différentes langues, on construit de la confiance ».

« Cette année, nous accueillons 299 étudiants internationaux, deux fois plus qu’il y a trois ans et plus d’un tiers [120 précisément] sont des étudiants de première année », précise Erin García, conseillère au sein du service des études internationales de cette université affichant quelque six mille étudiants.

Des Français à Austin

Parmi eux, près de 15 % de Français comme Marie Vilsange, enchantée par cette nouvelle opportunité de découvrir le monde grâce à une bourse d’études de St. Edward’s, après avoir participé à une mission humanitaire en Colombie. « Bien sûr, ma famille me manque parfois, mais nous communiquons par Internet et ici, il y a toujours quelqu’un à qui parler quand on a le mal du pays : un camarade de classe ou un encadrant. La relation élève-professeur n’a rien à voir avec celle de la France ».

Marie Vilsange fait partie des onze étudiants arrivés cette année à Austin après avoir fait leur première année de licence en anglais à Angers, avec des enseignants de l’UCO et de St. Edward’s. Dix-huit jeunes francophones les ont précédés depuis 2009 et onze autres (neuf Français, une Ivoirienne et un Camerounais) s’apprêtent à les rejoindre.

Des Américains à Angers

St. Edwards envoie aussi des Américains étudier ou faire des stages en entreprise et en administration à Angers. « Ils sont quinze à trente chaque semestre, indique Esmeralda Hoang, coordinatrice des études internationales à St. Edward’s. Et l’été dernier, ils étaient 65 ! »

Autre signe de l’engouement des Texans pour l’Hexagone : convaincus par les opportunités que leur ouvre la langue de Molière, « 80 se sont inscrits en cours de français pour la première fois cette année », signale Bill Clabby.

Depuis l’année dernière, des doubles diplômes sont également proposés au niveau master, dans le domaine du développement durable et bientôt en gestion des entreprises. Car les échanges se multiplient aussi chez les enseignants-chercheurs, en sciences sociales, en musique… Bref, St. Edward’s n’a pas fini d’être la plus francaise des universités texanes.

Aux Etats-Unis, Petrossian veut "démystifier" le caviar

Premier exportateur de caviar vers les Etats-Unis, Petrossian continue sa progression outre-Atlantique. Le marchand de caviar, qui détient 30% du marché américain, veut désormais viser une clientèle plus jeune, qui n’a jamais dégusté d’or noir.

“Les Américains sont très ouverts, mais ne connaissent pas forcément le caviar. Il faut démystifier le caviar et familiariser les gens avec le produit”, explique Alexandre Petrossian, vice-président de l’entreprise, à l’occasion d’une présentation des nouveaux produits de la marque pour le marché américain.

Pour rendre le caviar plus “accessible”, Petrossian a conçu des produits à utilisation polyvalente : de la crème de caviar au caviar séché (avec un moulin) en passant par le tamara au caviar. Le “Papierusse” ressemble, quant à lui, à un rouleau d’algue nori séchée et est livré avec des ustensiles. Avec certains produits sous la barre des 20 dollars, l’entreprise familiale veut proposer “un caviar simplifié et en dehors du cérémoniel”, précise Alexandre Petrossian, issu de la troisième génération de la famille arménienne qui a créé l’entreprise en 1920. Pour ce jeune entrepreneur, acheter du caviar ne devrait plus être considéré comme un geste “pour impressionner ou montrer sa réussite”.

Avec un restaurant et une boutique à quelques pas de Carnegie Hall, l’entreprise est installée à New York depuis 1983. Petrossian fournit les grands noms de la restauration, dont Jean-Georges. Outre New York, l’entreprise dispose de points de vente à Las Vegas et Los Angeles.

Poelvoorde et Huppert à l'affiche au Quad Cinema

0

La comédie romantique Mon pire cauchemar (My worst nightmare) sera à l’affiche au Quad Cinema (près de Union Square) à partir de ce vendredi 19 octobre.

Dans les rôles principaux de cette comédie dramatique réalisée par Anne Fontaine (Coco avant Chanel), on trouve Isabelle Huppert (Le Pianiste) et Benoît Poelvoorde (Coco avant ChanelRien à déclarer…).

Agathe (Isabelle Huppert) est une marchande d’art impatiente et coincée qui vit dans un appartement parisien chic avec son mari François (André Dussollier), un riche éditeur. Patrick (Benoît Poelvoorde), quant à lui, est un coureur de jupons: père célibataire sans emploi, il vit dans son minibus avec son fils. Ils ne se seraient jamais croisés si leurs fils n’étaient pas meilleurs amis. Quand François embauche Patrick pour rénover leur appartement, la relation entre les protagonistes se transforme en véritable cauchemar pour Agathe (au plus grand plaisir des cinéphiles).

Le film a été sélectionné au Toronto International Film Festival en 2011 et sera montré à New York en version française sous-titrée en anglais.

Cinquante ans de James Bond au MoMA

0

Cinquante ans de “Bond, James Bond”, ça se fête! Pour cet anniversaire, le Musée d’Art Moderne de New York rend hommage au mythique 007.

À quelques jours de la sortie du prochain opus Skyfall, une série d’événements marque l’anniversaire de la plus longue saga de tous les temps. Du 5 au 31 octobre, le MoMA propose une exposition rétrospective des 22 films de la série. En plus de ces projections, le musée a mis en place une installation jusqu’en mars 2013 dédiée à Goldfinger (1964) et destinée «à capturer la suggestivité sexuelle et l’ironie désabusée» de James Bond.

En 1953, l’écrivain britannique Ian Fleming crée son héros, et publie douze romans et neuf nouvelles à succès. Après sa mort en 1964, d’autres écrivains ont continué à faire vivre les aventures de l’agent 007. Mais ce sont les 22 – bientôt 23 – adaptations cinématographiques qui inscrivent l’espion au rang de mythe. Parfois macho, un brin ténébreux selon l’acteur qui endossait le smoking, le plus célèbre agent britannique n’a décidément pas pris une ride.

L'archéologie pour les petits à Austin

A l’occasion du mois national de l’archéologie, le musée de la Légation française au Texas à Austin propose un programme hétéroclite pour les enfants, le 21 octobre.

Pendant “Archeology Day”, les jeunes participants pourront découvrir l’archéologie et l’importance de préserver l’histoire du Texas à travers des activités ludiques, y compris une fausse fouille archéologique.

Leurs parents pourront aussi profiter de l’événement gratuit pour visiter cette ancienne représentation diplomatique de la Monarchie de Juillet auprès de la République du Texas. L’immeuble a été construit en 1841. Depuis 1969, il est inscrit au Registre national des sites historiques (la liste officielle du gouvernement fédéral des États-Unis des lieux méritant d’être préservés). Des visites guidées de la maison historique au tarif régulier (5 $ par personne) auront lieu à 13h15, 14h, 15h et 16h.

Yasmine Hamdan, une étoile libanaise au Poisson Rouge

Qui a dit que la musique orientale était obsolète ou figée? Preuve du contraire, Yasmine Hamdan a révolutionné l’univers musical libanais.

Passionnée de musique électronique comme de chants traditionnels arabes, la chanteuse est parvenue à créer une véritable scène musicale underground, jusque là inexistante au Liban. À travers ses chansons aux rythmes inédits mais aux airs familiers, Yasmine Hamdan rend hommage à son héritage culturel, tout en apportant la touche de modernité qui manquait pour faire décoller ce nouveau genre musical.

Des classiques orientaux remixés, aux chansons de Madonna “orientalisées”, le résultat est fascinant. Mais plus que des chansons remises au goût du jour, la musique de Yasmine Hamdan est avant tout le symbole d’un rapprochement entre deux mondes. À travers sa musique, cette icône de la scène underground entend faire passer un message de paix, celui d’une rencontre Orient-Occident que la musique rend possible.

Yasmine Hamdan est née à Beyrouth et a passé une partie de sa vie entre les pays du Golf et la Grèce. De retour dans la capitale libanaise, elle fonde en 1998 avec Zeid Hamdan le duo Soapkills, groupe pionnier de la scène underground arabe. Sa rencontre en 2005 avec le producteur de musique électronique Mirwaïs Ahmadzaï donne naissance au duo Y.A.S. En 2012, la chanteuse sort son premier album solo, qu’elle interprétera pendant le concert.

Le potier Eric Bonnin expose à la Makers Market de Ridgefield

Le potier français Eric Bonnin présente ses produits en céramique ce samedi 21 octobre au Makers Market dans les locaux de l’Aldrich Contemporary Art Museum de Ridgefield (Connecticut).

Pendant ce marché en plein air, les collectionneurs et amateurs auront l’occasion de rencontrer plus de quarante fabricants et d’acheter une large sélection d’objets, y compris de la céramique, des verreries, des  textiles, des bijoux, des meubles et de la ferronnerie.

Ayant déménagé de Paris à New York en 1994, Eric Bonnin combine fonctionnalité et éléments décoratifs simples dans ses travaux en argile. Tous faits à la main dans son atelier new-yorkais à TriBeCa, ceux-ci comprennent des vases, des sculptures et des bijoux.

Profitez de votre visite au Makers Market pour aller voir la nouvelle exposition de l’Aldrich Contemporary Art Museum : “Wandering Forms—Works from 1959-1979” présente les œuvres du designer de meubles Wendell Castle, qui cherche à brouiller les frontières art, artisanat et design.

"Fun" au Radio City Music Hall

Le groupe new-yorkais “Fun” se produira lors d’un concert à la Radio City Music Hall le 2 février 2013. Nate Ruess, Andrew Dost et Jack Antonoff présenteront les chansons de leur dernier album Some Nights (2012). Les billets sont en vente.

Fondé en 2008, le groupe de pop indé lance la même année son premier album Aim and Ignite. Le groupe rencontre ensuite un succès international, notamment pour sa chanson We Are Young de 2011 (avec Janelle Monáe) qui s’est hissé au premier rang des charts aux Etats-Unis, en Australie, au Canada et au Royaume Uni (10e en France).

Avant le concert à New York, “Fun” fera escale à Los Angeles et Francfort, mais pas pour donner des concerts : le groupe est nominé pour deux American Music Awards et trois MTV Europe Music Awards.