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"Love's End" de Pascal Rambert sur les planches

Le thème de la séparation a toujours fasciné Pascal Rambert. Depuis une dizaine d’années, un grand nombre de ses pièces de théâtre, films et spectacles de danse ont porté sur cette problématique. Pour le dramaturge et metteur en scène français, faire une pièce de théâtre sur la séparation, “c’est en quelque sorte revenir à l’origine des choses : deux personnes qui s’opposent, c’est la naissance même du théâtre et de la philosophie”

Et la pièce Love’s End (Clôture de l’amour) qu’il présente dans le cadre du festival Crossing the Line du French Institute Alliance Française (FIAF) du 10 au 13 octobre à l’Abrons Arts Center, aborde ce thème de prédilection avec une intensité inédite.

Love’s End raconte la fin d’une relation amoureuse d’un couple joué par Kate Moran, actrice de l’opéra Einstein on the beach, et Jim Fletcher, décerné de l’Obie Award 2012 (le prix de théâtre de l’hebdomadaire The Village Voice). Dans une chambre vide, le couple revoit la fin de leur relation par des monologues séparés. Utilisant des mouvements physiques quand les mots seuls ne suffissent pas pour exprimer les sentiments, la pièce de théâtre explore de manière intense et rude la nature et la finalité des relations humaines.

Clôture de l’amour fut un grand succès au festival d’Avignon en 2011. Elle est aujourd’hui traduite en sept langues, jouée d’Italie en Russie, de Croatie au Japon. Et désormais aux Etats-Unis. “C’est très intéressant, même philosophique de faire la pièce dans différentes versions, car avec les différentes langues, il y a des éléments constants mais en même temps toujours quelque chose qui change”, raconte le dramaturge. “Les échos sont chaque fois très différents. A Zagreb, la pièce est perçue sous un angle géopolitique, alors qu’à New York elle constitue plutôt une réflexion sur l’art du théâtre.”

Né en 1962, Pascal Rambert crée sa compagnie Side One Posthume Théâtre en 1984. Depuis 2006, il est directeur du Théâtre de Gennevilliers. Pour la mise en scène de la pièce à New York, Rambert reste fidèle à sa méthode de travail: il conserve les prénoms des acteurs pour la pièce et rédige les monologues expressément pour les deux acteurs. Cette personnalisation est cruciale pour “être attentif au corps des acteurs”, car, affirme Rambert, “le théâtre, c’est du corps”.

Avec son décor minimaliste et la focalisation sur ce dialogue de monologues séparés, la pièce “fait fonction de loupe: il n’y a pas de grands déplacements, seulement les deux acteurs extraordinaires Kate Moran et Jim Fletcher en action”, précise Rambert. “Faire une pièce de théâtre avec des moyens hyper réduits me permet à toucher l’essentiel des choses. Je préfère cela à un spectacle immense où le spectateur sort finalement avec très peu de choses.”

Expérimentations artistiques au Walls and Bridges Festival

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Visiter un mystérieux salon caché des arts et des lettres, assister aux performances d’un homme “qui ne peut s’empêcher d’imiter les animaux“, pénétrer dans un laboratoire d’expérimentation artistique… Ca se vit au “Walls and Bridges”, festival franco-américain des arts et des idées qui en est à sa quatrième saison.

Organisé par la Villa Gillet avec le soutien du Ministère Français de la Culture et de la Communication, Walls and Bridges propose une série de performances et d’explorations critiques qui réunit des penseurs et des artistes français et américains issus des sciences sociales, de la philosophie, de la littérature et des arts vivants. Associé avec une multitude d’institutions culturelles new-yorkaises, dont le MOMA et le Time Out, Walls and Bridges est un projet ambitieux, qui se veut original et créatif. Le festival, qui a lieu tous les ans à New York depuis 2011, revient dans la Grosse Pomme le 11 octobre. À New York, nulle part ailleurs, pour une bonne raison : “C’est une ville en ébullition. Il se passe toujours quelque chose ici!“, affirme Cédric Duroux, le directeur de programmation.

Un pont culturel entre la France et l’Amérique, oui, mais pas seulement. Walls and Bridges, c’est avant tout “un lieu d’échange et de rencontres pour construire un cercle d’amitié philosophico-artistique“, explique Cédric Duroux. “Le but n’est pas d’exporter ou de promouvoir la culture française à l’étranger. Nous ne cherchons pas à créer un évènement diplomatique artificiel”. L’idée, dit-il, “est de créer un échange, de faire en sorte que les gens se parlent. À travers ce festival, nous voulons stimuler la création artistique. À terme, nous aimerions que les gens qui se rencontrent puissent imaginer des projets ensemble et, pourquoi pas plus tard, lancer des projets expérimentaux et créer des choses pérennes.”

Des échanges et des débats hybrides qui se feront dans des contextes parfois inhabituels, comme “Le salon de Fleurus”. Si vous vous trouvez à Soho à une certaine heure, et que vous sonnez à la porte d’un appartement du 41 Spring Street, un certain “doorman” vous invitera à pénétrer dans un endroit secret. Ce lieu intemporel n’est autre que la reproduction du légendaire studio de Gertrude et Leo Stein, au 27 rue de Fleurus à Paris. L’artiste – Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom – à l’origine du concept se fait appeler “The Doorman”, mais est-ce vraiment lui?

Sélection d’évènements:

“Salon de Fleurus”: conférence au Moma (avec Laurent Binet) le lundi 11 octobre à 7h30.

Une histoire de psychologie et de neuroscience (avec Lionel Naccache) le mardi 12 octobre à 7:30.

Reclaiming the streets, avec Janette Sadik-Khan, NYC commissioner of transportation, Michel Lussault, géographe, Samedi 13 octobre

-What does a New Yorker think when he bites in a hamburger? conférence sur l’héritage de Jean Baudrillard, avec Caroline Heinrich et Mathieu Potte-Bonneville. Le mardi 16 octobre à 6:30.

An evening of music, performance and storytelling, Invisible Dog, le vendredi 19 octobre, 7:30 (avec Claude Arnaud, PoorBaby Bree, Jamie Block…)

Le programme complet

Conférence sur le thème "conjoint expatrié" à Houston

Le café-accueil de Houston organise une conférence sur le thème “conjoint expatrié” le 9 octobre au Club House de Village Place. La conférence, qui sera animée par Adélaïde Russel, portera sur les difficultés, mais surtout sur les opportunités familiales et professionnelles qui se présentent aux conjoints d’expatriés dans le pays d’accueil.

Houston Accueil annonce cette conférence en soulignant qu’une “proposition de travail à l’étranger pour son conjoint est une situation de plus en plus fréquente, qui positionne alors l’autre membre du couple en accompagnateur. Or, cette position du conjoint suiveur est loin d’être passive et peut même être une occasion insoupçonnée d’enrichissement au niveau familial et professionnel”.

Exceptionnellement, il n’y aura pas de permanence au Go-Sip Café le 9 octobre, mais l’équipe du Go-Sip Café accueillera les futurs et nouveaux adhérents de 9h à 10h avant la conférence au Club House de Village Place.

Pique nique entre "suissophiles" au Brazos Bend State Park

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Pétanque et pique-nique dans un parc. Avec l’accent suisse. Le 7 octobre, la Swiss American Society rassemble les amateurs de sandwichs au saucissons et viandes grillées au Brazos Bend State Park, près de Houston.
A midi pétantes, les drapeaux suisses seront hissés dans le parc, l’idéal pour un regroupement efficace. La Swiss American Society a été créée en 2005 et réunit tous les ressortissants suisses et amis de la Suisse aux Etats-Unis. L’adhésion est ouverte à tous, ayant la nationalité suisse ou non. La S.A.S. propose tout au long de l’année de différentes activités comme  des parties de jeux de carte Jass, le Ladies Coffee ou encore un marché de Noël.
Par le passé, « nous avons organisé des expositions d’artistes suisses résidant au Texas, des lectures à l’université Rice en lien avec le consulat suisse à Houston, des sorties de livres écrits par des auteurs suisses vivant dans l’Etat, des rencontres avec l’astronaute suisse Nicolier, etc. », ajoute Lina Corinth, l’une des administratrices de l’association.
Ce dimanche 7 octobre, il y aura des jeux pour les enfants et des balades autour du lac en famille. Pour un déjeuner à la bonne franquette dans le parc, amenez de la viande à griller. « Nous nous attendons a être plus d’une cinquantaine », indique Lina Corinth.
 
 

Le Cirque du Soleil débarque à Dallas

Rien ne les arrête! Les clowns, animaux excentriques et autres créatures de la troupe du Cirque du Soleil continuent leur tournée mondiale et marquent un stop à Dallas, pour y  jouer leur mythique spectacle KOOZA.

Depuis le 19 septembre, le Cirque du Soleil a dressé son chapiteau sur le sol texan. La troupe et sa bande de personnages drôles et cocasses joueront le spectacle KOOZA jusqu’au 28 octobre. “Un feu roulant d’acrobatie dans un royaume loufoque”. KOOZA relate l’histoire de l’Innocent, un solitaire mélancolique qui cherche sa place dans le monde. Inspiré par les vieux films comiques et la bouffonnerie, le spectacle explore également les thèmes de l’identité, de la peur, de la reconnaissance et du pouvoir.

Actuellement en tournée partout dans le monde, le Cirque du Soleil est une compagnie québécoise fondée en 1984. Spécialisée dans le cirque contemporain, la compagnie se distingue par une vision artistique différente du cirque traditionnel, qui consiste à faire revivre l’art clownesque et la performance acrobatique.

Inauguration d'Austin international school

Austin international school a inauguré ses nouveaux locaux, vendredi 28 septembre, en présence du consul de France à Houston, Frédéric Bontems, mais aussi du Représentant du Texas Elliott Naishtat et du conseiller municipal Bill Spelman. Et surtout de parents venus nombreux, plus de 300 personnes au total.
Les effectifs de l’école ont augmenté cette année de 25 % et atteignent désormais 200 élèves. Et l’établissement trilingue français-anglais-espagnol proposant des cursus français et international compte bien continuer sur sa lancée : « Ces nouveaux locaux comprenant une quinzaine de salles de classe et un amphithéâtre de 600 places font d’AIS l’une des écoles les plus recherchées d’Austin, commente Christophe Bonnet, son directeur. C’est une étape importante, mais ce n’est qu’une étape ! »
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Photos Cécile Fandos et Clarissa Peereboom.

L'EFBA, trois ans et déjà grande

Lorsqu’elle a réuni une poignée de bénévoles au sein de l’EFBA il y a un peu plus de trois ans, Gabrielle Durana le faisait pour une idée: défendre la francophonie dans le monde. La Française ne cherchait pas un moyen de faire parler le français à ses enfants: elle n’en a pas. Mais trois ans plus tard, Education Française de la Bay Area a offert à des centaines d’enfants francophones de la région les cours de Français dont ils étaient jusque là privés.
Les cours du soirs organisés par EFBA s’adressent aux jeunes “francoforniens” scolarisés dans le système américain. Sur quinze sites répartis dans des écoles publiques, ils peuvent garder le contact avec la culture et la langue française.
Contrairement à New York où le programme a 7 ans, l’âge de raison, et qui a donné naissance à des classes d’immersion dans plusieurs écoles publiques new-yorkaises, EFBA reste une activité d’after school, en plus des heures scolaires. “C’est la raison pour laquelle, explique Gabrielle Durana, nous avons décidé d’investir cette année dans un programme de recherches interne de pédagogie par le jeu“. Objectif: être le plus efficace possible auprès d’enfants qui ont déjà une journée d’école derrière eux.
C’est pour cette même raison qu’il a été décidé  qu’une partie des efforts consisterait à développer aussi des temps d’immersion en français en dehors du rythme scolaire. Le premier centre aéré d’été 2012, à Mountain View, ayant été un succès, il est prévu d’en créer deux autres pour l’été 2013, l’un à Mill Valley et l’autre à Berkeley. En outre, San Francisco et Oakland accueillent durant l’année des centres de loisirs du vendredi soir. Il est également prévu près d’une quinzaine de visites de musées en français tout au long de l’année, les dimanches, avec un animateur culturel.
La présidente vient par ailleurs de déposer un dossier d’accréditation auprès du WASC, Western Association of Schools and Colleges, qui donnerait enfin à EFBA le statut très attendu d’école américaine et ouvrirait de nouvelles perspectives à la diffusion du français sur la côte pacifique.

La vie et l'œuvre de Noureev en exposition

Du 6 octobre au 17 février le De Young Fine Arts Museum of San Francisco expose Rudolf Nureyev : A Life in Dance. L’exposition consacrée à la vie et l’œuvre du chorégraphe et danseur Rudolf Nureyev (1938 – 1993) présente plus de 8o costumes et 50 photographes issues de la collection personnelles du danseur. Après la mort de Nureyev, cette collection a été confiée au Centre national du costume de scène à Moulins, France.

Rudolf Nureyev, ou Rudolf Noureev selon l’écriture française, est né près d’Irkoutsk en Union soviétique. Extrêmement talentueux, le danseur devient une vraie star dans son pays natal. Bientôt reconnu mondialement comme le danseur le plus charismatique de son temps, il est envoyé dans le monde entier pour promouvoir la danse soviétique, Noureev s’échappe le 15 juin 1961 après un spectacle au Palais Garnier à Paris et demande l’asile politique en France. En 1983, il est nommé directeur du Ballet de l’Opéra national de Paris.

A Current Affair : septième marché Vintage à Los Angeles

Le 6 octobre Los Angeles emprunte la machine à remonter le temps. A Current Affair, le marché pop up vintage, prend ses quartiers dans la ville des Anges.
Depuis septembre 2010, un évènement bien singulier s’est créé dans Los Angeles. A Current affair rassemble plusieurs vendeurs de prêt-à-porter vintage dans un lieu des plus chics. Fondé par Richard Wainwright et Joey Grana, le marché vintage est “ un lieu unique où le client découvre des collections vintage qui ont aussi leur impact dans le monde contemporain”.
Pour cette septième édition, toujours plus de vêtements à dénicher, d’affaires à conclure et de musique à écouter. Au programme ce samedi, trente stands exposent leurs petites merveilles pour le plus grand plaisir des visiteurs. La boutique “pop up” propose aussi un open bar et la Djette du KCRW Marion Hodges enflammera l’évènement.

Jacques Barreau, baron du doublage à Hollywood

« Ils m’ont proposé le poste, j’ai dit oui, après j’ai réfléchi ». Jacques Barreau le reconnaît volontiers : quand la Warner vous propose un emploi, c’est un peu comme dans “Le Parrain”: une offre qu’on ne peut pas refuser, « parce que sinon dix personnes vous passent devant ».

Le Français est Vice Président du doublage et du sous-titrage au sein de la mythique boite de production hollywoodienne. Sa mission: superviser la conversion linguistique des programmes audiovisuels produits par la société. Un goût pour l’univers du son qu’il a hérité de ses années de recherche en sémantique sonore au conservatoire de Marseille.

Jacques Barreau a fait ses armes à Azur, la boîte qu’il a montée en 1991 à Los Angeles avec l’aide de deux partenaires. « On faisait beaucoup de post-production sonore, de travaux sur l’acoustique et la musique concrète, on a mis au point les théories et le vocabulaire du son que j’utilise aujourd’hui à Warner (…) Je me rends compte que ce qui a fait ma réussite dans ce business c’est l’application de mon savoir musical  transposé au doublage ». La Warner est venue le débaucher après dix années de collaboration. Son coup d’éclat s’appelle “Space Jam”, avec Michael Jordan, sorti en 1996 : « Le film qui a vraiment tout initié pour moi”, dit-il. La difficulté majeure de ce film fut l’incorporation de personnages d’animation dans le long métrage, au côté de personnages réels, ce qui a nécessité pour les acteurs de jouer et parler dans le vide. Jacques Barreau fut chargé de piloter cette tâche délicate. Ensuite, il a fallu s’assurer que les voix des cartoons et les dialogues soient parfaitement retranscrits dans toutes les langues: “J’ai dû instaurer tout le processus de recrutement des voice-over, à l’échelle mondiale, en mettant au point une série de règles et de consignes qui ont facilité ensuite l’adaptation d’autres  films ». 

Son métier est avant tout technique. Il ne s’agit pas simplement d’assurer une traduction placide des contenus. Il faut donner vie et sens à une histoire qui perd nécessairement en naturel et en profondeur dès l’instant où elle culturellement transposée. «On se base beaucoup sur la culture du pays dans lequel on importe la production, très peu sur la langue, assure-t-il. Lorsque l’on traduit les films pour les marchés hispanophones par exemple, on produit deux versions différentes : une pour l’Espagne, une pour le Mexique. Même chose en français, on met au point une adaptation pour le Canada et une autre pour la France ».

Au delà du langage, règne en maître l’enjeu de préservation du contenu : « Dans le doublage de séries comme Urgence ou West Wing, on doit utiliser des services d‘experts dans chaque pays, de manière à utiliser le vocabulaire approprié. Sur les principaux marchés (la France, l’Allemagne, l’Italie et le Japon) nous disposons d’équipes, de véritables relais qui nous aident à recruter les meilleurs traducteurs et directeurs de plateau. Tout ce monde travaille localement  à l’adaptation d’un film au marché. »

Et lorsqu’on lui demande ce qu’il pense de la préservation de la francophonie, sa réponse reflète un pragmatisme mesuré: « C’est bien et c’est mal. Je respecte le fait que chaque pays veuille protéger sa langue, et sa culture mais on se voile la face si on refuse de voir à quel point une langue évolue. Ce qui était bien il y a 50 ans ne l’est plus nécessairement aujourd’hui, au cœur du village global ».

Les gagnants et les perdants du Michelin 2013

Le verdict est tombé mardi -et est disponible en librairie dès ce mercredi: le guide rouge distingue cette année 66 étoilés à New Yor contre 61 l’an dernier.

Dans le top du top, rien ne bouge. Les sept “3 étoiles” de l’an dernier sont reconduits:  à trois restaurants français (Daniel, Jean Georges et Le Bernadin) se joignent le Japonais Masa Masa Takayama, le Per Se, l’Eleven Madison Park et le Chef’s Table at Brooklyn Fare.

Atera, Soto, Marea, Momofuku Ko, Gordon Ramsay at the London, Corton et Gilt sont les sept établissements à recevoir “deux étoiles”, restaurants où “la cuisine mérite un détour” selon la terminologie du guide. Cinquante-deux restaurants sont décorés  d’une étoile, contre 46 en 2012, dont neuf pour la première fois : Aquavit, Blanca, Café China, 15 East, Hakkasan, Jungsik, Lan Sheng, The NoMad et Torrisi Italian Specialties.

Après avoir rencontré beaucoup de sceptiques au pays du Zagat, le Michelin s’est petit à petit fait une place aux Etats-Unis. Outre New York, il existe des éditions des guides rouges pour San Francisco et Chicago.

Yann Tiersen en concert

Yann Tiersen donnera son concert tant attendu au Luckman Fine Arts Complex à Los Angeles le 26 janvier 2013. L’auteur-compositeur-interprète français de renomé international jouera des morceaux de sa musique qui excelle par l’interaction du piano, du violon et de l’accordéon.

Yann Tiersen est né à Brest en 1970. Dès son plus jeune âge, le Breton s’avère un multitalent musical. En 1995, sort La Valse des Montres, son premier album. Son style unique intègre des élements de musique folk, classique, chanson et valse aux influences minimalistes. Yann Tiersen est notamment connu pour avoir composé la bande originale du film Le fabuleux destin d’Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet et celle de la tragi-comédie Goodbye Lenin ! de Wolfgang Becker. Ces succès lui ont apporté deux Victoires de la musique (2002 et 2004). Son dernier album de studio Skyline (2011) est, quant à lui, moins calme et moins mélancolique, Tiersen faisant plus usage du chant et de la guitare.