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Dopage: Lance Armstrong veut "tourner la page"

“Aujourd’hui, je tourne la page”, écrit Lance Armstrong sur son site internet. Le septuple vainqueur du Tour de France jette l’éponge dans la bataille judiciaire qui l’oppose à l’USADA. L’agence américaine de lutte anti-dopage accuse le coureur d’avoir eu recours à des substances interdites (EPO, stéroïdes…) et des transfusions sanguines depuis 1986.

En se retirant du procès, Lance Armstrong risque d’être déchu de tous ses résultats depuis le 1er août 1998, parmi lesquels ses sept victoires successives sur le Tour de France conquises entre 1999 et 2005. Le coureur américain pourrait être frappé d’une radiation à vie du cyclisme professionnel, une décision que doit confirmer l’Union cycliste internationale.

Lance Armstrong, retraité du cyclisme depuis l’année dernière, avait porté plainte devant le tribunal fédéral d’Austin, au Texas, pour essayer d’arrêter l’enquête de l’agence anti-dopage, lancée officiellement en juin dernier. Il a été débouté lundi 20 août. «Je ne m’occuperai pas plus longtemps de cette question, étant donné les circonstances, déclare le Texan. Je me consacrerai au travail que j’ai commencé avant même de gagner le Tour de France: servir les gens et les familles affectés par le cancer (…). Il vient un moment dans la vie de tout homme quand il doit dire trop c’est trop. Pour moi, ce moment est arrivé.»

Mais ce coup de tonnerre dans le monde du vélo n’a pas fini de résonner. Entre les contrats de sponsorings, les dommages et intérêts pour atteinte à l’image, les primes… le coureur risque gros financièrement. Son déclassement imposerait aussi une refonte totale du palmarès du Tour de France.

Crédit photo : EPA/Olivier Hoslet 

Bertrand Lortholary officiellement nommé consul à New York

Le conseil des ministres, réuni le mercredi 22 août, a officiellement avalisé la nomination de Bertrand Lortholary au poste de consul général de France à New York. Le décret est paru au Journal Officiel du vendredi 24 août. La date précise de son entrée en fonction n’est pas connue.

Diplomé de l’ENA, Sciences-po et Paris-Dauphine, le nouveau consul, âgé de 43 ans, a travaillé à l’Ambassade de France à Pékin et à Washington, avant d’être conseiller auprès de Nicolas Sarkozy pour l’Océanie et l’Asie, entre 2008 et 2012.

L’ancien consul, Philippe Lalliot, retourne au Quai d’Orsay, en tant que directeur de la communication et du porte-parolat, après trois ans à New York.

Le Grand Prix des Etats-Unis arrive à Austin

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Bernie Ecclestone, le patron du groupe Formula One qui contrôle les droits télévisés de ce sport automobile, rêvait d’un Grand Prix dans le New Jersey, en 2013, avec les gratte-ciel de New York en toile de fond. Mais organiser un Grand Prix des Etats-Unis dès 2012 dans la capitale texane était trop tentant.

La course aura lieu le dimanche 18 novembre à 13 heures, à l’issue de deux journées et demie d’essais et de qualifications. Quelque 300.000 visiteurs (dont seulement 20 % de Texans et sans doute de nombreux Mexicains et touristes d’Amérique centrale) sont attendus au cours de ces trois journées, qui devraient aussi créer 3.000 emplois temporaires selon les organisateurs. Et les derniers billets sont actuellement en vente.

Raison de plus de ne pas rater l’événement : celui-ci n’a failli jamais avoir eu lieu. Entre bataille d’actionnaires, incertitudes sur le calendrier de la construction du site (le circuit des Amériques) et le soutien des pouvoirs publics comme des riverains, le niveau d’embouteillages aux abords de la piste le jour J et le financement de ce projet à 400 millions de dollars, les tensions se sont accumulées entre les parties prenantes. Le quotidien local, l’Austin-American Statesman , a tâché d’en savoir plus, en saisissant la justice pour que les documents portés devant le juge soient rendus publics. Mais, comme par magie, ils ont trouvé un terrain d’entente avant qu’un juge ne se prononce sur ce point.

Depuis, les responsables du circuit se sont engagés à planter des milliers d’arbres en compensation des gaz à effet de serre qu’émettra la course et ont peaufiné la logistique en lien avec la ville d’Austin, qui a lancé un site internet dédié à l’évènement. Des navettes, des parkings relais, un héliport ainsi qu’une piste cyclable ont également été mis en place et, dans le pire des cas, les spectateurs ne devraient pas mettre plus de trois heures pour quitter les abords de la piste (contre douze envisagées au départ…).

Infos pratiques :

Le Grand Prix des Etats-Unis de Formule 1 – du 16 au 18 novembre 2012 à Austin –  Les dernières places ici  ou ici

 

À Bryant Park, on parle français

Lundi vers 11h30. Les élèves arrivent à Bryant Park au compte-goutte, s’assoient sur les petites chaises vertes, installées en cercle pour l’occasion. Le professeur, en chemise blanche et aux cheveux gris soigneusement brossés, leur fait face, sur une chaise surélevée. Il parle dans un micro : “Bonjour, savez-vous parler un peu français?” “Je parle pas bien le Français!“, lui répond une dame d’une soixantaine d’année, très volontaire, qui rit entre chaque mots.

Chaque lundi, mardi et mercredi, c’est le même rituel. Le centre d’enseignement des langues Inlingua organise des cours de langue gratuits d’une heure à Bryant Park. L’italien, l’espagnol, le japonais et le français sont au programme. Plusieurs niveaux sont proposés : “débutant”, “intermédiaire” et “conversation”. “Il n’y a jamais plus de 50% des enregistrés qui viennent“, selon Arnaud Breillot, l’employé à la Bryant Park Corporation en charge de la logistique des cours.

Il y a des avantages et des inconvénients à organiser une leçon de français à Bryant Park. Avantage : le cadre. Inconvénient… le cadre. Pas facile en effet de se concentrer quand la conversation est interrompue par les klaxons et la sirène des camions de pompiers et des voitures de police. Pourtant, cela n’empêche une petite dizaine de téméraires de s’affranchir, chaque jour de cours, de la jungle urbaine pour apprendre quelques mots dans la langue de Molière. “Les gens sont plus décontractés et donc plus enclins à apprendre… et à venir s’inscrire“, selon Panos Caperonis, qui assure les cours. Les inscriptions ont lieu sur le site de Bryant Park.

Infos pratiques:

Language Classes: lundi, mardi et mercredi jusqu’au 26 septembre. De 11h30 à 12h30. Bryant Park, 41 West 40th Street. Gratuit. Plus d’informations ici. Enregistrement obligatoire. 

Crédit Photo: Oriana Jomby-Diaz.

J'ai traversé l'Atlantique en cargo

Tout le monde rêve d’arriver à New York en bateau!”, s’exclame Marie-France Vassal d’une voix si vive qu’on a l’impression d’entendre une femme de 40 ans (elle en a 70).

Ce rêve, la Française l’a réalisé. Et pas à bord d’un paquebot de rêve, mais en cargo. Ce tourisme pas comme les autres était relativement méconnu avant la parution en 1993 du livre d’Hugo Verlomme, Voyager en Cargo (Ed. des Equateurs, 19€). Du vraquier au roulier, en passant par le porte-conteneurs, l’auteur révèle que plusieurs types de navires de charge peuvent emmener des passagers à l’autre bout du monde.

La pratique reste marginale. “Cette année, on a eu autour de 380 personnes qui ont voyagé par cargo“, révèle Frédéric Sauvadet, directeur de l’agence Mer-et-Voyages, qui organise des voyages sur-mesure pour les individus désireux de voyager en cargo. “Sur le marché français, il y a environ 15 à 20 personnes par mois qui traversent l’Atlantique entre New York et l’Europe“, indique-t-il.“La pratique a évolué, mais peu de compagnies proposent de voyager en cargo. Ce n’est pas une industrie”, poursuit Catalina Da Silva, fondatrice de  l’agence Catalina Cargo Conseil et membre du Club Des Voyageurs en Cargo, un rendez-vous mensuel organisé à Paris par la librairie de voyage Ulysse.

Les raisons qui poussent nos voyageurs à embarquer dans cette aventure alternative sont variées. “A San Francisco, on voit des cargos tout le temps, on s’est dit que ce serait incroyable de voyager sur l’un deux”, racontent Justin Watt et Stéphanie Soleil qui partagent leur histoire sur leurs blogs, ici et ici. Le couple de trentenaires, résidant à San Francisco, a décidé en 2011 de faire le tour du monde et de rentrer aux Etats-Unis comme il en était parti : en cargo.

Ce que Gilbert Fluckiger, parti de Fos-sur-Mer le 16 juillet dernier avec son père Georges pour arriver à New York le 28, a “surtout aimé, c’est l’activité dans le port (…) la visite du moteur m’a particulièrement intéressé”. 

Sibylle Eschapasse a voulu se rapprocher de l’environnement des marins: “On n’a pas l’habitude de rencontrer des marins, car ils sont souvent en mer”, confie la Française qui raconte son aventure sur son blog. Les passagers sont notamment autorisés à manger avec l’équipage et sont parfois invités dans la cabine de pilotage.

« Thérapeutique »

Pour rejoindre New York en cargo depuis le Havre, il faut compter plus de 1.000 euros (pour un aller simple), environ 10 jours de traversée, et surtout s’y prendre longtemps à l’avance, car les places sont chères sur ces embarcations qui ne prennent pas plus de 12 passagers.

A bord, “on perd la notion du temps et de la distance“, raconte Sibylle Eschapasse. Crochet, yoga, lecture,  scrabble, photographie, peinture: multiples sont les activités praticables sur un cargo. “C’était une sorte de journée introspective que tu remplis avec ce que tu veux, confie Stéphanie Soleil. C’était thérapeutique”, conclut-elle.

Georges Fluckiger, lui, a passé ” des heures à méditer et à regarder la mer”.”J’ai été confronté à moi-même”, ajoute-t-il.

« Il y a un aspect écologique, mais surtout une soif d’ailleurs et d’autre chose”, selon Kevin Griffin, le manager de l’agence Cruise People, organisateur de voyages en cargo depuis dix ans.

« Comme une migrante »

Pour nos aventuriers, l’arrivée aux Etats-Unis est l’apothéose du voyage. “On a réglé une alarme pour voir le soleil se lever sur New York”, racontent Justin Watt et Stéphanie Soleil. Sybille Eschapasse raconte que, “depuis le début, je voulais m’installer à New York et arriver en cargo comme une ancienne migrante”. Salvatrice Castellano, originaire de Savoie et ayant voyagé sur le même cargo que les Fluckiger a même eu l’impression de renouer avec “ses racines italiennes”. 

Ces migrants, Georges Fluckiger s’en est également rapproché pendant ce voyage. “Je rêvais de traverser l’Atlantique car c’est magique de faire ce que nos ancêtres ont accompli avec tant de peur et d’excitation.” Pour son fils Gilbert, l’arrivée à New York était “moins spectaculaire” qu’il ne le pensait. “J’étais content de quitter New York, ce n’est pas une ville que j’apprécie, raconte-t-il. Moi, ce que je voulais, c’était y aller en cargo”. 

Crédit Photo: Sibylle Eschapasse, Marie-France Vassal, Justin Watt, Flickr.

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Armor-Lux, la Bretagne au corps

Charles Arnett ouvre avec fierté la porte vitrée de sa petite échoppe de SoHo. Au milieu de Mulberry Street, une rue alignée de vitrines de créateurs new-yorkais à la mode et de restaurants chics, l’enseigne Armor-Lux a de quoi surprendre un Breton en vacances à New York. À l’intérieur de la boutique trônent marinières, cabans, et bottes en caoutchouc. On se croirait presque à Paimpol. “C’est l’idée, confie malicieusement Charles Arnett, le manager de la boutique. Nous essayons vraiment de retransmettre l’histoire de la Bretagne, l’esprit de la marque“, ajoute-t-il.

Charles Arnett a fondé le premier magasin Armor-Lux du continent américain avec son amie Andrea Westeland en octobre 2011. La marque bretonne a séduit ces deux Américains diplômés de la Parsons University of Design : “La Bretagne est une très belle région. Et l’héritage d’Armor-Lux est vraiment intéressant“, explique Charles Arnett. Il est tombé sous le charme de la région lors d’un voyage à La Torche (Finistère), et ce fut le coup de foudre immédiat avec Armor-Lux, cette marque de vêtements marins née à Brest en 1938. “Tout dans Armor-Lux m’a plu : l’excellente qualité, l’histoire bretonne… et le design, bien entendu”, précise-t-il. Les fameuses rayures sont la marque de fabrique d’Armor-Lux, et ont donné au duo l’idée de s’attaquer à ce secteur de la mode encore inexploité aux Etats-Unis.

Un amour pour la marinière française partagé par les New-Yorkais, qui ne se lassent pas d’acheter des exemplaires de la pièce trophée d’Armor-Lux. “Les rayures sont très à la mode en ce moment (…) Mais ce qui nous différencie des autres marques, c’est le côté historique d’Armor-Lux. Les clients aiment se rattacher à l’histoire de la marinière classique, à l’esprit français et breton“, commente Charles Arnett. En effet, comment oublier la marinière de Brigitte Bardot au festival de Cannes en 1956 ? Et celle de Jeanne Moreau dans Jules et Jim?

Nos clients viennent de partout. On a des touristes asiatiques, européens, des gens du quartier… Et de plus en plus de clients fortunés de l’Upper East Side”, explique le gérant. Pas franchement surprenant, vu le prix moyen d’une marinière classique (100$). “Lorsqu’on demande un prix élevé, on s’attache à transmettre l’histoire du vêtement, à expliquer tout le soin qui a été pris pour le confectionner”, justifie Charles Arnett.

Le magasin de Mulberry Street a rencontré un grand succès depuis son ouverture, et “toute l’équipe française d’Armor-Lux est ravie du résultat“, précise le manager. Andrea Westeland et Charles Arnett savent aussi jouer avec élégance de leur commerce franco-américain:  c’est leur boutique qui a fourni les uniformes des serveurs de la Maison Kayser, la boulangerie parisienne de renom qui vient d’ouvrir ses portes à New York.

Les deux gérants espèrent ouvrir un autre magasin prochainement, mais leur priorité est de s’assurer que celui de New York fonctionne avant : “Si tout se passe bien, on ouvrira peut-être un magasin à Venice, en Californie“. Les locaux sont prévenus.

Infos pratiques :
Armor-Lux. 232 Mulberry St et Spring St, SoHo, (917) 261-5567.

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Bière, vin et musique au Kerrville Festival

Du 31 août au 2 septembre, Kerrville organise son traditionnel Wine and Music Festival. Au programme du festival, comme son nom ne l’indique pas : vin, musique et bière.

Côté concert, la jeune chanteuse folk et soul Raina Rose, originaire d’Austin, ouvrira les hostilités musicales. La charmante Cary Cooper, sans oublier l’orchestre folk Lost and Nameless et les jeunes musiciens The Farewell Drifters seront également de la partie. Un joli monde pour commencer le festival en beauté.

Réveil énergique samedi 1er août avec, au choix, yoga ou promenade à vélo autour de la Hill Country à 9h. Les concerts commenceront tôt. Dès 13h, la folk agitera les festivaliers avec une programmation d’artistes venus de tous les Etats-Unis. De 15h30 à 17h30, on passera aux choses sérieuses avec un Wine Seminar et une dégustation de fromages au Threadgill Theater. Les concerts du soir commenceront à 19h et regrouperont plusieurs artistes dont le guitariste Guy Forsyth et les jolies chanteuses folk de Dala.

Dimanche 2 septembre en début d’après-midi, place aux compositeurs qui pourront donner libre cour à leur imagination. Puis, de 15h30 à 17h30, le séminaire de vin laissera sa place au séminaire de bière. Et comme le « show must go on », le soir, la folk des SteelDrivers de Nashville viendra enflammer les foules, tandis que le violon de la jeune Ruby Jane adoucira la soirée.

Infos Pratiques: 

Kerrville Wine and Music Festival: du 31 août au 2 septembre, de 9h à tard. Quiet Valley Ranch, 3876 Medina Highway, Kerrville, Texas. Vendredi 31, 30$ en avance, 35$ sur place; Samedi 1er, 35$ en avance, 40$ sur place; Dimanche 2nd, 35$ en avance, 40$ sur place.  Plus d’informations ici. Réservations ici

Crédit Photo: Kerrville Festival.

Juliette Binoche et Johnny Depp dans "Le Chocolat"

Après Le fabuleux destin d’Amélie Poulain en juillet, le festival “Ciné Sous les étoiles” projette ce mois-ci une autre belle histoire: Le Chocolat (2001).

Le film anglo-américain réalisé par le cinéaste suédois Lasse Hallström met en scène Juliette Binoche dans le rôle d’une jeune femme innocente s’installant à la fin des années 1950 dans une bourgade française nommée Lansquenet. Chocolatière talentueuse, elle ouvre une confiserie à proximité de l’église. Le maire craint que la confiserie amène ses ouailles au péché et à l’oisiveté et interdit aux habitants de s’y rendre. Mais l’arrivée d’un étranger (Johnny Depp) change la donne. Le film sera diffusé au Salon de Ning, au 23e étage de l’hôtel Peninsula New York, sur la 5e avenue.

Infos pratiques : 

“Le Chocolat”, lundi 27 août, à 20h30. Au  Salon de Ning de l’hôtel The Peninsula New York, 700 Fifth Avenue. Gratuit, l’achat d’une boisson est obligatoire. Plus d’informations ici

WeeLye, des notes de Kinshasa à Manhattan

La tornade WeeLye sera en concert au Nublu, dans l’East Village, vendredi 31 août, avant de rejoindre le Shrine d’Harlem, mercredi 5 septembre.

WeeLye touche par sa voix grave et visite plusieurs genres, de la folk-pop à la soul teintée de notes de jazz. La jeune femme a très tôt bercé dans la musique en écoutant sa tante chanter dans le célèbre groupe congolais de rumba, Ok Jazz. WeeLye raconte dans ses textes et sa musique son enfance au milieu d’une famille de musiciens, à Kinshasa.

Infos pratiques : 

WeeLye, vendredi 31 août, à 22h. Au Nublu, 62 Avenue C, East village. 10$. Plus d’informations ici. Mercredi 5 septembre, à 21h. Au Shrine, 2271 Adam Clayton Powell Junior Boulevard, à Harlem. Prix à venir. Plus d’informations ici

 

La plus vieille foire du Texas à Fredericksburg

La 124e Gillespie County Fair ouvre ses portes jeudi 23 août, à 17h, avec l’inauguration du carnaval. Pour les fans de country, rendez-vous à 19h pour le Texaco Country Show Down, le plus grand concours de talents country du pays.

La fête se poursuit vendredi avec le grand défilé dans le centre ville de Fredericksburg, le long de Main Street, à 10h. Le carnaval reprendra à 13h pour investir la ville juqu’à dimanche soir. De nombreux stands d’artisanat, de nourriture et de friandises seront présents. L’association Antique Tractor & Engine Club exposera des tracteurs et proposera des spectacles tous les après-midi. Les célèbres défilés de bétails mettront en scène moutons, lapins, volailles, veaux… Les plus beaux spécimens de la région seront récompensés. Rendez-vous dans le hall des expositions pour tenter de remporter de nombreux lots et des produits locaux.

Vendredi, à 19h, débutera l’élection de la reine du Gillespie County Fair 2013, suivie d’une soirée dansante sous les étoiles, animée par le groupe Jake Hooker & The Outsiders.

Samedi et dimanche marqueront le dernier week-end de courses de chevaux de l’été. Ne loupez pas samedi soir, le concert du chanteur de country Aaron Watson, avec en première partie, Jody Nix and the Texas Cowboys.

Infos pratiques:

Gillespie County Fair, du jeudi 23 au dimanche 26 août. A partir de 17h le jeudi, à partir de 10h les autres jours. 530 Fair Drive, Highway 16 South, Fredericksburg. Jeudi gratuit; vendredi jusqu’à 5$; samedi jusqu’à 13$ et dimanche jusqu’à 9$. Plus d’informations ici

L'Europe de l'Est en fête à West

Prague ? Varsovie ? Non, nous sommes bien à West, au beau milieu du Texas. Et pourtant les jeunes filles en costumes traditionnels d’Europe de l’Est et les stands de strudel risqueraient bien d’en surprendre plus d’un.

Chaque année, le WestFest choisit d’honorer la Pologne et la République tchèque lors du week-end du Labor Day. Des dizaines d’évènements originaux et divertissants sont programmés pour donner aux Texans un goût de la culture et la gastronomie tchèque et polonaise.

Entre l’élection de “Miss WestFest” le vendredi soir, les défilés polonais, les cours de polka, et le concours du meilleur kolache, le tout animé par les meilleurs groupes de musique européens de la région, les participants auront de quoi faire durant ces trois jours de dépaysement total.

Infos pratiques :

Czech & Polka Festival, du 1er au 3 septembre (Labor Day Week-end). Le vendredi soir de 17h30 à minuit et demi, le samedi et dimanche à partir de 11h. Au 1110 S Main St, West, Texas. Billets le vendredi : adultes 15$, moins de douze ans gratuit. Billets samedi et dimanche : adultes 8$, autres 6$, enfants de moins de 6 ans gratuit. Plus d’informations ici

Crédit photo : Sandi Horton / wacotrib.com

Housse de Racket et d'autres à Ooh la L.A

Le 17 octobre, le festival Ooh La L.A débarque à New York pour sa quatrième édition. Les organisateurs ont choisi d’envahir le Highline Ballroom de Chelsea à grands renforts de musiciens français et d’artistes produits par des Français.

La pop électronique noire et romantique du duo anglo-français Tomorrow’s World formé par JB Dunckel (qui a fait partie du groupe mythique Air), et Lou Hayter, fera bouger les foules à partir de 18h. Puis, le label de musique français Kitsuné prendra les rennes de la soirée et fera jouer ses petits protégés: Housse de Racket, Citizens! et Lescop, pour une soirée musicalement mouvementée.

Crédit Photo: Kitsuné. Photo: Housse de Racket