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Quand les écrivains se passionnaient pour la peinture

L’historienne française Anka Muhlstein, installée à New York depuis 35 ans, sera en conférence à la Frick Collection pour parler du lien entre art et littérature.

La Révolution et les conquêtes napoléoniennes ont transformé le rapport que les masses entretenaient avec la peinture. Les possessions artistiques des églises ont été réquisitionnées par la République et mises sur le marché, et les chefs d’oeuvre, principalement rapportés d’Italie par l’armée francaise victorieuse, ont été exhibés pour la première fois au grand public. Ainsi de nombreux écrivains, comme Zola, Hugo, Stendhal, Proust ou Mallarmé, se sont-ils tour à tour passionnés pour la peinture. Anka Muhlstein reviendra sur cette période charnière où l’art et la littérature ne faisaient qu’un. Son prochain livre, Monsieur Proust’s Library,  devrait sortir en octobre-novembre.

 Infos pratiques : 

Artists, Poets and Writers Lecture Series : “Pen and Palette: Painters in Balzac, Zola, and Proust” par Anka Muhlstein le 25 avril à 18h à la Frick Collection, 1 East 70th Street. Entrée gratuite. Pourplus d’informations ici

Mireille Guiliano décrypte le "French Paradox"

Lors d’une conférence à l’American Museum of Natural History, Mireille Guiliano, l’auteure de French Women don’t get fat, évoquera un grand mystère de l’humanité: le “French paradox”. Le terme désigne l’apparente contradiction entre la “richesse” calorique des plats français et la minceur des Françaises.

Avant de devenir auteur à plein temps, Mireille Guiliano a été, pendant plus de vingt ans, la porte-parole de l’entreprise Veuve Clicquot aux USA. Elle a écrit un autre livre à succès, French Women for all seasons, un livre de recettes et de conseils pour maintenir la ligne tout en prenant du plaisir à manger. Pour les gastronomes, une dégustation de plusieurs plats évoqués dans son livre est prévue au programme de la soirée.

Infos pratiques : 

French paradox with Mireille Guiliano, le 25 avril à 18h30 à L’American Museum of Natural History, 79 Central Park West. Entrée à $30. 

Claire Savreux

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Age et lieu de naissance : 41 ans, née à Amiens
Nationalité(s) Française
Situation familiale : Fiancée
Ville/Pays de résidence : Fort Lauderdale, Floride
Études :

  • Baccalauréat littéraire

Parcours politique :

  • Sympathisante du FN depuis 1987

Internet et réseaux sociaux: en cours de création
Notre portrait:
Claire Savreux: “Le FN a sa place aux USA”
 
 

CUNY parle breton

La City University de New York (CUNY) accueille l’auteur breton Hervé Lossec, ce 25 avril. Il sera présent pour présenter son best seller Les Bretonnismes qui montre l’influence de la langue bretonne sur la manière dont les Bretons parlent le français. Les Bretonnismes serait le troisième livre le plus vendu en Bretagne. Il a reçu le Grand Prix du Livre « Produit de Bretagne ». En plus de présenter son travail, la conférence lui permettra de débattre sur le statut actuel de la langue bretonne et sur l’influence linguistique que celle-ci a eue sur le français. La conférence sera suivie d’une séance de dédicace.

Infos pratiques :

Conférence Hervé Lossec. Le mercredi 25 avril. De 19h à 21h. City University of New York (CUNY). 365 5th Avenue. Salle C 197. Pour plus d’informations ici

C'est la reprise au New York Pétanque Club

Avis aux amateurs de pétanque, la saison sportive du NYPC (comprendre le New York Pétanque Club) ouvrira ce dimanche 22 avril dans le coin sud de Prospect Park, à Caton Avenue et Coney Island Avenue, avec un tournoi en tête à tête (compétition individuelle). Peu de gens le savent, mais ce jeu provençal est le dixième sport pratiqué en France de par le nombre de licenciés. La compétition commence à 10h mais les inscriptions ont lieu à 9h15. De la nourriture et des rafraîchissements seront en vente.

Infos pratiques : 

Tournoi de pétanque organisé par le NYPC le dimanche 22 avril à 10h à Prospect Park, Brooklyn. Frais de participation à $10.

Où voter en Floride ?

L’élection présidentielle approche à grand pas. En tout, quatre bureaux de vote seront ouverts dans toute la Floride. Et surtout, n’oubliez pas votre passeport ou autre pièce d’identité française (carte nationale d’identité, permis de conduire français…). Contrairement aux années précédentes, les pièces d’identité américaines ne seront pas acceptées!
Miami : Consulat général de France, 1395 Brickell avenue – suite 1050 – Miami, Fl 33131
(Electeurs domiciliés dans les comtés de Broward, Collier, Dade, Monroe, aux Iles Vierges américaines, Iles Turks et Caïques et aux Iles Caïmanes)
West Palm Beach : Alliance française, 100 S Dixie hwy – suite 302 – West Palm Beach, Fl 33401
(Electeurs domiciliés dans les comtés de Highlands, Indian Riter, Martin, Okeechobee, Palm Beach et St Lucie)
Tampa : Argosy University – 1403 North Howard Avenue – Tampa, FL 33607
(Electeurs domiciliés dans les comtés de Charlotte, Citrus, De Soto, Glades, Hardee, Hendry, Hernando, Hillsborough, Lee, Manatee, Pasco, Pinellas, Polk et Sarasota)
Orlando : Alliance Française, 1516 Colonial drive – Orlando, Fl 32803
(Electeurs domiciliés dans les comtés de Alachua, Baker, Bay, Bradford, Brevard, Calhoun, Clay, Columbia, Dixie, Duval ,Escambia, Flagler, Franklin, Gadsen, Gilchrist, Gulf, Hamilton, Holmes, Jackson, Jefferson, Lafayette, Lake, Leon, Levy, Liberty, Madison, Marion, Nassau, Okaloosa, Orange, Osceola, Putnam, Santa rosa, Seminole, St Johns, Sumter, Suwanee, Taylor, Union, Volusia, Wakulla, Walton et Washington)
Pour plus d’informations, veuillez consulter  le site du Consulat de Miami pour trouver le bureau qui vous a été affecté.

Irène et Francis Jacob savent nager aux Etats-Unis

Chez les Jacob, on n’aime pas être catalogué. Quand on demande à Irène si elle arrête le cinéma pour se consacrer à la chanson, elle répond immédiatement: “Non, la musique m’a toujours accompagnée.” Louis Malle lui a en effet donné son premier rôle dans “Au revoir les enfants”, en 1984, parce qu’elle savait jouer au piano. La musique était essentielle dans “La Double Vie de Véronique” et “Trois Couleurs: Rouge” de Krzystof Kielowski. Elle a chanté pour le théâtre et pour des copains. “J’ai toujours eu envie d’écrire un album avec mon frère”.

Francis, lui, est guitariste “de jazz” lit-on souvent. Là encore, pas question de le classer dans un seul genre musical. “En fait, j’utilise des sonorités de part le monde: africaines, sud-américaines, asiatiques, françaises...” Pas étonnant donc que leur premier album soit inclassable.

Deleuze en Amérique

Sorti en France l’an dernier chez Universal, “Je sais nager” est une invitation au voyage, dans tous les sens du terme: balades sur différents continents, du Togo à Sumatra, de Paris à New York. Mais aussi voyage dans la vie de tous les jours, faite de quotidien – le métro avec “Au fond de toi”, “Henri” est une scène de ménage – et de pensées philosophiques. Quatre chansons ont été inspirées de Gilles Deleuze. “J’étais allée à l’une de ses conférences et j’étais éblouie par sa façon de s’exprimer, si simple, pour transmettre des concepts complexes”. Irène a pris des notes et “Je Sais Nager” (titre de l’album et de la troisième chanson) est né, ainsi que trois autres chansons: “Les Corps les plus simples”, “Et mon essence à moi” et “Ne serait-y pas?” Les textes ont été proposés à la famille Deleuze qui, souhaitant prolonger le travail du philosophe, a accepté de donner les droits aux Jacob.

Les Américains ne vont peut-être pas comprendre les mots, mais seront sensibles aux rythmes et à la poésie”, estime Francis Jacob. La première chanson a une résonance toute particulière ici: “Jihad et Cruzada” raconte l’histoire d’amour d’un Afro-américain musulman et d’une hispanique catholique, qui:

Dans les brumes d’un petit matin,

En septembre deux mille un,

(…) partirent en lune de miel,

Dans un petit coin du ciel.”

Ecrite par Francis Jacob, cette chanson est un hommage aux victimes des attentats à New York. “Il n’y a que dans cette ville où l’on trouve ce brassage des culturesJe rencontre des artistes de partout. On a une dizaine de nationalités différentes sur les seize musiciens qui ont participé à l’album!

Les Jacob ont toujours eu un lien très fort avec les États-Unis. Ils y ont vécu depuis leur petite enfance, suivant leur père physicien dans les couloirs d’Harvard à Boston – leur frère aîné, scientifique, y travaille aujourd’hui – ou encore en Californie et à Chicago. “On connaît bien tous les plus grands centres scientifiques du pays!” plaisante Francis. Ensemble, le frère et la soeur ont habité quatre années dans le quartier de Chelsea à Manhattan, lorsqu’Irène prenait des cours à l’Actor Studio. Francis a décidé de rester, Irène est rentrée en France mais est revenue plusieurs fois pour le cinéma – « US Marshals » aux côtés de Tommy Lee Jones ou encore “La Vie intérieure de Martin Frost”, sous la direction de Paul Auster. Elle a également joué au Lincoln Center. “J’ai plusieurs couches de vie ici. À chaque fois que je reviens, de nouveaux souvenirs surgissent.”

Elle les partage aujourd’hui avec son mari et ses deux enfants, venus l’accompagner dans sa tournée de promotion outre-Atlantique, dont les points d’orgue seront le concert au Joe’s Pub, le 3 mai, et la sortie de l’album chez Sunnyside le 8 mai. “Ils ne sont pas là mais il y a deux invités dans cet album, qu’on entend dans les deux dernières chansons” précise Irène: “Vincent Delerm: on se connaît bien, il m’avait invitée à chanter avec lui. Je l’ai invité à “faire l’acteur” –il parle dans “Ne serait-il pas?” La seconde est Agnès Jaoui “l’amie” de longue date. “On était chez elle, on lui a fait écouter nos chansons et elle a craqué sur Communion, aux sonorités argentines”. Les deux femmes chantent une version “féminine” de ce titre.

Irène Jacob entend poursuivre sa double carrière: “J’ai deux projets cinéma en France, mais avec Francis, on pense déjà au deuxième album”. Le frère et la soeur se regardent, complices. Qu’on se le dise: pas question d’enfermer les Jacob dans des cases, ou des casiers de mer… ils savent nager.

“Je sais Nager”, sortie aux États-Unis le 8 mai 2012, Sunnyside.

Dates:

– Le 23 avril 2012 à 19h30 FIAF NY (Alliance Française) Tinker Hall  
– Le 24 avril 2012 à 18h30 Alliance Française de Woodbury et Oliver Wolcott Library de Litchfield, CT
– Le 25 avril 2012  à 17h30 Wagner College, Staten Island NYC
– Le 26 avril 2012 à 21h Zébulon, Williamsburg NYC
– Le 28 avril 2012 à 19h30 Alliance Française de Providence, RI
 – Le 29 avril 2012 à 19h Barbès, Park Slope NYC
 – Le 1er mai 2012 à  22h Shrine, Harlem NYC
 – Le 3 mai 2012 à 19h30 Joe’s Pub, NYC

Jamel Béribèche, le démonteur d'images

« Mon art, je le définirais comme improbable et sans contrôle, je ne veux pas d’étiquette ». Jamel Béribèche, connu aussi sous le pseudonyme de Serio, est graphiste, peintre, dessinateur. Sa spécialité: le détournement de publicités. Omniprésentes, il les manipule, les retouche, les colore, les découpe… et montre le résultat dans la rue, sa “galerie à ciel ouvert“. En octobre 2011, il a affiché ses oeuvres dans les “sucettes” publicitaires JC Decaux (en collaboration avec le groupe), place de la Réunion à Mulhouse. Le projet, “See Something Differently”, était destiné  à « ceux qui n’ont pas la culture d’aller dans une galerie ou un musée ».

Né à Mulhouse de parents d’origine algérienne, une enfance dans une banlieue difficile, Jamel Béribèche était bien loin de penser qu’il serait un jour peintre à New York. Les études n’ont jamais été son truc. « On passait notre temps à traîner dehors et je cherchais ma vocation ». Il s’engage tout de même à 15 ans dans un CAP de l’industrie vestimentaire, mais c’est la culture du graffiti qui le passionne réellement. Il se met alors à taguer les murs de la ville. Il finit par constituer un dossier de plus 300 dessins qu’il présente à l’Ecole des Beaux Arts, alors qu’il n’a pas le bac. En 2000, il est admis à la prestigieuse école, fera six ans d’études et en sort avec trois diplômes. « Mes parents avaient peur pour moi au départ. Le métier d’artiste n’est pas gage de stabilité. Le fait que je sois entré aux Beaux Arts les a rassurés »

Pour payer ses études et gagner sa vie, Jamel Béribèche a travaillé pour Peugeot ou la Lyonnaise des Eaux. Le grapheur a aussi donné des cours d’expression artistique en prison et à des handicapés mentaux. « J’ai l’impression que l’art peut éviter de retomber dans la délinquance. En prison, j’ai vraiment voulu que les détenus se libèrent, puissent s’exprimer à travers l’art. » Mais « une de mes meilleures expériences fut celle avec les handicapés mentaux, confie-t-il. Leurs dessins étaient d’une naïveté déconcertante car ils perdaient tout contrôle et dégageaient une émotion très puissante».

Installé à New York depuis deux ans, il assure que vivre aux Etats-Unis est « la réalisation d’un rêve de gamin ». Il est donc impatient de présenter « See Something Differently» au public new-yorkais dans le cadre de l‘Affordable Art Fair printemps 2012 .« Le but ce n’est pas du tout d’imposer un point de vue mais de créer une réaction, une émotion».

Infos pratiques:

Affordable Art Fair New York. Du 18 au 22 avril. 7 west 34th street. Le travail de Jamel Béribèche sera exposé au stand F-5. Pour plus d’informations sur Jamel Beribèche ici

Autofiction: son état actuel débattu en conférences

Le terme -et le concept- n’existent pas vraiment en anglais, mais il occupe la scène littéraire française. A l’initiative de l’Ambassade de France, auteurs et spécialistes français et américains se pencheront sur l’Autofiction, de ses racines chez Proust, Augustine, Joyce ou Hemingway, à ses formes contemporaines parfois extrêmes. Certains de ses plus éminents représentants seront là, et d’abord Catherine Millet, l’auteure du très controversé La vie sexuelle de Catherine M., vendu à 2,5 millions d’exemplaires.
Catherine Cusset (Le problème avec Jeanne; Un brillant avenir et éminente collaboratrice de French Morning) sera là également, comme notamment Camille Laurens (Dans ces bras là; Ni toi ni moi; Romance Nerveuse).
French Literature Today : Autofiction Conference at NYU. Du 19 au 21 avril. Pour voir le programme complet c’est ici. Toutes les conférences se tiendront à l’Hemmerdinger Hall à NYU, Silver Center, 100 Wahsington Square East. L’entrée se fait à Waverly Place. Pour les inscriptions c’est ici

Gap et Journelle en soldes

Avec les beaux jours, une robe s’impose. Gap offre une collection classique mais tendance, simple et coquet. Surtout elle propose 30% de réduction sur les robes pour femmes et filles et pour les garçons, 30% aussi sur les chemises de la collection homme et garçon. Gap. La date fin de fin de soldes n’a pas été annoncée mais celle-ci est limitée. Pour trouver le magasin le plus proche de chez vous et plus d’informations c’est ici
On a du mal à croire qu’une marque américaine propose une lingerie aussi chic et sobre que Journelle. La marque qui offre une collection sexy, souvent en dentelle, comblera vos envies de lingerie. Obtenez 20% sur la collection Eberjey de la marque. Journelle. Pas de date finale pour l’instant. Pour plus d’informations et la liste des magasins à New York c’est ici.
Pour faire la Dolce Vita en talons, la marque Dolce Vita solde la plupart de ses chaussures d’été et quelques vêtements. 70% sur tous les styles, talons, sandales, ou encore compensés. Dolce Vita. 255 Elizabeth Street. Ouvert du lundi au samedi de midi à 20h et le dimanche de midi à 19h. Les soldes n’ont pas de date de fin. Pour plus d’informations ici
Un peu de bons plans shopping pour les mamans. La marque The limited fait une opération promo sur ses sacs à mains. En vrais ou faux cuirs, avec ou sans paillettes, il y en a pour tous les gôuts. The Limited. Jusqu’au 22 avril 2012. Promo disponible en magasin et en ligne. Télécharger ici le Coupon promo. Pour plus d’informations ici

Les photos imparfaites de Daido Moriyama au LACMA

Le photographe japonais Daido Moriyama présente « Fracture » au LACMA. L’artiste, née en 1938 à Ikeda, est surtout connue pour ses photographies en noir et blanc, aux contrastes marqués. Ses photographies témoignent de l’évolution des mœurs dans le Japon de la seconde moitié du XXe siècle. Il utilise des angles de vue originaux (comme dans un miroir) et se plait à jouer avec les plans en intégrant dans ses photos des reflets de fenêtres par exemple. Ses photos sont volontairement « imparfaites » car floues ou surexposées.  Pour cette exposition, Daido Moriyama présente une gamme de photos en noir et blanc ainsi que des débuts de travaux en couleur pris à Tokyo.

Infos pratiques :

Fracture : Daido Moriyama. Los Angeles County Museum Of Art. 5905 Wilshire Boulevard. Pavilion for Japanese Art. Du 7 avril au 31 juillet 2012. Pour plus d’informations ici

 

"Summer camps": un été en français

Si vous parlez à votre enfant en français et qu’il vous répond en anglais ou qu’il rechigne sans arrêt à lire et écrire dans la langue de Molière, ne désespérez pas: il existe des summer camps francophones et bilingues pour remettre bout d’chou dans le droit chemin. Sorte de colonies de vacances, ces camps d’été se situent à mi-chemin entre le scoutisme et le centre aéré. French Morning vous propose sa sélection.

Bonjour New York Summer Camp: 

Avec ses deux camps d’été (l’un dans Upper West Side de Manhattan et l’autre à Carroll Gardens à Brooklyn), Bonjour New York propose d’immerger directement vos enfants dans la culture des pays de la francophonie grâce à des activités artistiques et sportives. Des cours d’initiation à la pétanque, à la peinture traditionnelle africaine sur tissus et à la musique créole sont au programme. Des excursions (au cirque, au Musée d’histoire naturelle, à l’aquarium de New York, etc) sont également prévues. Camp de Brooklyn: 330, Smith Street, Carroll Gardens. Camp de Manhattan : 32 92th Street, Upper West Side. Destiné aux enfants de 4 à 11 ans. De 9h à 16h30, extended hours 8h30-18h . De $365 à $425 par semaine. Consultez le site ici.

Le camp du Lycée Français de New York :

Ce summer camp est l’un des premiers à avoir vu le jour à New York. Cours intensifs de français et d’anglais sont au programme pour une remise à niveau dans les deux langues. Pas de panique cependant, les participants apprendront, à travers une multitude d’ateliers ludiques et culturels, français et américains, à devenir des “citoyens du monde”. Camp situé sur le campus du Lycée Français, 505 East 75th Street. Destiné aux enfants de 2 ans et demi à 11 ans, pas de niveau spécifique requis. De 9h à 15h. $1 300 pour une semaine, $3 300 pour cinq semaines. Site ici

Le camp du French Institute Alliance Française (FIAF):

Cuisine, théâtre, musique : durant deux semaines, enseignants et intervenants issus du monde de l’art ou du spectacle aideront les participants en culotte courte à s’immerger dans la langue française par le biais d’activités artistiques et ludiques. Les enfants sont regroupés par âges et niveaux. Camp situé dans les locaux du FIAF, 22 East 60th Street. Destiné aux enfants de 1 à 18 ans. Les sessions durent deux semaines. Consultez ici les horaires, tarifs et sessions. 

Le camp Tékakwitha dans le Maine : 

Ce camp en activité depuis plus de 65 ans accueille chaque année environ 120 enfants repartis en deux groupes : les campeurs de 8 à 13 ans et les ados de 14 à 17 ans. Situé autour d’un lac naturel au milieu des collines, ce camp d’été propose des activités en plein air comme le trekking sur la fameuse Piste Appalaches, du camping en forêt ou en montagne. Prix du séjour compris entre $1 100 et $2 200 en fonction de l’âge et de la durée (de 14 à 27 jours). Destiné aux enfants de 8 à 17 ans. Consultez le site web pour plus d’informations sur la localisation du camp et les sessions. 

Le camp Béebeuf, au Québec : 

Situé à Montréal, ce camp bilingue invite au dépaysement. En plus des quinze heures de cours d’anglais et de français par semaine, le programme propose des activités sportives (canoë, natation, courses d’orientation) et des excursions pour découvrir les merveilles du Canada. Des voyages à Ottawa, au Mont Tremblant et à Québec City sont prévus. Le camp est situé à Montréal et accueille des enfants de 5 à 17 ans. Tarifs compris entre $145 et $435 par semaine suivant le type de programme choisi. Consultez le site web pour plus d’informations sur la localisation du camp et les sessions. 

Le French Woods Festival Summer Camp: 

Si votre enfant a la fibre artistique et souhaite développer ses talents de danseur, chanteur, acteur ou peintre, le French Wood Summer Camp est pour lui. Véritable village de vacances, ce camp d’été permettra à votre enfant de s’épanouir artistiquement aux contacts de professionnels et des autres graines de stars. Le domaine est situé près de Hancock à 2h30 de New York et accueille les enfants de 7 à 17 ans. Tarifs compris entre $4 000 et $5 000 les trois semaines en fonction des dates. Plus d’informations sur le site web ici

Hands on World

Le centre culturel linguistique et artistique Hands on World propose son traditionnel summer camp francophone. Cette année, le programme se focalisera sur la découverte de la nature et des paysages de la région de New York. Les enfants auront ainsi l’occasion d’apprendre le fonctionnement de l’écosystème et de la chaîne alimentaire. Ils seront également sensibilisés à la protection de la planète à travers plusieurs activités écologiques et scientifiques. Le camp est situé dans les locaux de Hands on World, au 132 4th Place, Brooklyn. Pour en savoir plus sur les tarifs, les horaires et les sessions, rendez vous sur le site officiel. 

International School of Brooklyn

Les arts, la musique et les sciences seront à l’honneur au summer camp de l’International School of Brooklyn. Chaque semaine sera organisée autour d’un thème original comme “Mythes, légendes et contes de fées”, “L’aviation” ou les “Jeux Olympiques”. Un bon moyen pour apprendre de manière ludique ! Le camp est situé à L’International School of Brooklyn, 477 Court Street, Brooklyn. A partir de $450 par semaine. De 4 ans à 9 ans.

Lyceum Kennedy

L’établissement fondé en 1964 propose un summer camp pour les enfants ayant un niveau avancé, intermédiaire ou bilingue. L’objectif est de perfectionner son français à travers des activités théâtrales et des ateliers d’écriture, où les jeunes élèves créeront leur propre pièce de théâtre. Et cette fois, vos enfants ne se plaineront pas de la cantine puisque, une fois par semaine, ils apprendront à cuisiner leur déjeuner et leur dessert. Le camp est situé sur le campus du Lyceum Kennedy à Ardsley, 1 Cross Road, Ardsley. Plus d’informations sur les horaires, les sessions et les tarifs sur le site

Bleu, Blanc, Rouge for the Toddlers

Marchande d’art parisienne expatriée à New York, Brigitte Saint Ouen organise un camp d’éveil à la langue française spécialement pour les enfant en bas âge. Ils apprendront les bonnes manières, l’amour de la cuisine et des arts. Le camp est situé à l’EINY, 111 East 22th Street. De 3 à 5 ans. Pour plus d’informations, contacter Brigitte Saint Ouen par téléphone au (212) 780 0932 ou par e-mail : [email protected].

Summer Camp de la FASNY

La French American School of New York propose elle aussi son traditionnel camp d’été, sur son campus de Larchmont. Les petits bouts seront en immersion totale dans la culture des pays de la francophonie et toutes les activités (art, sport, musique…) seront supervisées par des moniteurs dont le français est la langue maternelle. Campus de Larchmont, 111 Larchmont Avenue, Larchmont NY 10538. De la maternelle petite section au CM2. Tarifs, sessions et horaires sur le site officiel.

NYFACS

La New York French American Charter School, à Harlem, proposera aussi son traditionnel camp d’été. Les détails du programme n’étaient pas annoncés à la publication de cette sélection. Ils le seront ici