Accueil Blog Page 1565

Pas vu dans le New Yorker

Il a fait des études sérieuses – Sciences Po, Berkeley et Columbia -; avait un métier sérieux -aux Nations Unies. Mais il aime se marrer, et si possible le crayon à la main. Emmanuel Letouzé, Manu de son nom d’artiste, fait des dessins humoristiques qui croquent la vie new-yorkaise, celle des Nations Unies ou encore la scène politique française sur le site d’information Rue 89. Et c’est comme ça que lui est venue une idée fixe: publier un dessin -pour commencer- dans le New Yorker, la bible du dessin d’humour.

Il y a quelques semaines il a donc pris son carton à dessin et son courage sous le bras et est allé voir Bob Mankoff, le rédacteur en chef “dessins” du prestigieux hebdomadaire. “J’étais déjà très surpris qu’il accepte de me recevoir“, dit-il. Dans le monde des dessinateurs de presse, Mankoff a le job de rêve: après avoir dessiné régulièrement pour le New Yorker pendant vingt ans, il est aujourd’hui celui qui sélectionne, chaque semaine, les dessins envoyés au directeur de l’hebdo, David Remnick, qui, lui, en retiendra une dizaine pour publication. Chaque semaine, quelque 1.000 vignettes arrivent sur son bureau, la moitié provenant de dessinateurs qui ont déjà publié dans le New Yorker. Mankoff lui-même a envoyé dix dessins chaque semaine pendant deux ans avant de commencer à publier. Depuis, 200 de ses planches sont parues dans l’hebdo. Bref, en ce jour de janvier, Manu est devant le Saint-Pierre du paradis des dessinateurs. Verdict: “Vos dessins sont bien, mais trop “européens” pour nous”. “Par là, il voulait dire que mes personnages sont trop caricaturaux, avec des visages tordus, des pieds bizarres, etc…”

Mais Manu est sorti du bureau avec des encouragements: il pouvait continuer à soumettre ses dessins lui a dit Mankoff, en essayant “d’américaniser son style“. Notre dessinateur est donc reparti à sa planche, décidé à envoyer chaque semaine dix dessins jusqu’à ce que la porte s’ouvre enfin. Voir les dessins de Manu sur la page 2.

[nggallery id=24]

Voir le site de Manu ici

Une "ombre chinoise" dans la lumière

L’exposition “La force silencieuse” de Liu Xia n’aurait jamais dû voir le jour. Les New Yorkais auront pourtant la possibilité de l’admirer pour la première fois aux Etats-Unis, à Columbia.

L’exposition consiste en une série de clichés pris par la photographe chinoise, femme du dissident chinois Liu Xiaobo. Réalisées sur une période de dix ans, ces photographies sont interdites en Chine et n’étaient visibles que sur internet ou en privé alors que Liu Xia est considérée par l’intelligentsia de son pays comme l’une des artistes contemporaines les plus influentes de sa génération.

Car Liu Xia est ce qu’on peut appeler une “ombre chinoise”. Elle s’est toujours volontairement effacée derrière son mari, condamné à onze ans de détention en 2009 pour “subversion du pouvoir d’Etat” et prix Nobel de la paix en 2010. Depuis plus d’un an et demi, elle réside à Pékin en résidence surveillée. Son crime : être une artiste dans un pays où la liberté d’expression est bafouée. Photographe et poète, Liu Xia n’est pourtant pas à proprement parler une artiste engagée.

Dans son travail, l’artiste s’attache tout simplement à montrer son quotidien de femme brisée par la perte de son mari, à travers des images métaphoriques. Utilisant uniquement le noir et blanc, son travail est avant tout inspiré par la calligraphie chinoise ancestrale et l’imaginaire. Elle se sert dans la majorité de ses oeuvres de ses “ugly babies”, sorte de poupons aux visages étrangement mélancoliques qu’elle collectionne et met en scène à l’intérieur de son appartement. Le résultat est fantomatique : on croit voir un instant les silhouettes des persécutés de Tiananmen, son mari représenté par une poupée ligotée devant un livre, le joug du gouvernement chinois évoqué par une main écrasant une poupée. Cet art qui dérange est cependant touchant, et laisse voir au spectateur une autre face de la Chine que celle de la réussite économique : celle de la répression de la renaissance intellectuelle.

Une précédente exposition des œuvres de la Chinoise avait été organisée à l’université de Boulogne-Billancourt par Guy Sorman, écrivain français et ancien adjoint au maire de la ville, à qui Lui Xia a donné une partie de ses photos. C’est d’ailleurs M. Sorman qui a organisé l’exposition à Columbia. « L’artiste n’a aucune connaissance de la renommée mondiale de son travail, et elle ne souhaite pas en savoir plus », souligne-t-il. Car si la police décide un jour de l’interroger à ce sujet, elle veut arriver innocente devant les autorités.

Infos pratiques : 

« La force silencieuse », par Liu Xia, jusqu’au 1er mars à l’Italian Academy de Columbia University, 1161 Amsterdam Avenue. Entrée gratuite.

Barneys moins cher

0

La fameuse chaine américaine de grands magasins de luxe, Barneys revient avec ses fameuses « Warehouse Sale » à New York. Barneys vend des marques comme Yves Saint Laurent, Christian Louboutin, Fendi, Givenchy, Marc Jacobs ou encore Prada…  Les prix sont baissés de 75%. Accessoires, chaussures, vêtements : vous trouverez de tout. Un conseil : venir tôt et motivé car on risque de se bousculer au portillon. Barneys Warehouse Sale. Du jeudi 16 février jusqu’au dimanche 26 février. Ouvert du jeudi 16 au vendredi 17 de 8h à 21h. Du samedi 18 au dimanche 19 de 10h à 20h, le lundi 20 de 9h à 21h. Du mardi 21 au jeudi 23 de 10h à 21h, le vendredi 24 de 9h à 21h, le samedi et dimanche 25 et 26 de 9h à 20h. 255 West 17th Street www.barneys.com

La boutique Hype de Williamsburg Jumelle propose des soldes alléchantes, de 80%, sur des marques comme Alewander Wang, Rachel Comey et la fameuse marque française au style « si Frenchie » Isabel Marant. Jumelle. Du jeudi 16 au lundi 20 février. Ouvert tous les jours de 11h30 à 19h30. 148 Bedford Avenue entre N8th et N9th Streets, Williamsburg. www.shopjumelle.com

De la couleur et un peu de hippie. La boutique Honey in the Rough solde ses articles à plus de 70%. On y trouve des marques hautes en couleurs comme Tsumori Chisato, Rodebjer Mocium, Samantha Pleet ou encore Thread Social dans cette boutique qui ne manque pas d’allure. Honey in the Rough. Du jeudi 16 février au dimanche 19 février. Ouvert du jeudi au samedi de 10h à 20h et le dimanche de midi à 19h. 161 Rivington Street entre Suffolk et Clinton Streets. www.honeyintherough.com

L’été approche à tout petit pas, de quoi se préparer et s’offrir des lunettes de soleil rétro de chez Morgenthal Frederics. La marque offre des lunettes vintage et originales à prix réduits. Morgenthal Frederics. Jusqu’au dimanche 26 février. Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 19h, le samedi de 11h à 19h et le dimanche de midi à 18h. 399 West Broadway à Spring Street. www.morgenthalfrederics.com

Le New York des "Fifties" vu par un banquier-artiste

Les vendeurs de rue, des joueurs d’échecs, le reflet solitaire du Chrysler Building dans une flaque d’eau. On est bien à New York, mais pas n’importe quand. Les photographies de Frank Oscar Larson, exposées au Queens Museum of Art (QMA) jusqu’au 20 mai, sont autant d’icônes d’une décennie mythique : les Fifties, qui voient s’imposer le rayonnement des Etats-Unis, grand vainqueur de la Seconde Guerre Mondiale.

Dans les rues de la capitale culturelle et économique, les femmes rivalisent d’élégance, des garçons en culotte courte font les quatre cent coups et les sans-abris allument des feux dans des tonneaux. C’est du moins ce que les 65 clichés exposés au QMA laissent deviner de la vie quotidienne à New York dans les années 50.

Pris avec l’appareil de référence Rolleiflex Automat Model 4 en noir et blanc, soigneusement composés et emprunts de mélancolie, ces clichés rappellent par leur honnêteté ceux des photographes Walker Evans et Helen Levitt, ou encore Brassaï. Mais les photographies de Larson sont restées inconnues du public pendant plus de cinquante ans. Ce n’est qu’en 2009 que son petit-fils Soren exhume les milliers de négatifs du carton où ils avaient été rangés à la mort du photographe, en 1964.

Né en 1896 à Brooklyn de parents suédois, Larson a passé la majeure partie de sa vie dans le Queens. Ce banquier épris de photographie passait ses week-ends à arpenter les rues de New York avec son appareil, de Chinatown au Bronx, en passant par Times Square, Williamsburg et Hell’s Kitchen. Perceptible dans le sourire de certains de ses sujets, le regard qu’il pose sur ses contemporains est à la fois curieux et empathique. Son témoignage n’en est que plus fort. Il laisse une impression de nostalgie et de tendresse.

Infos pratiques:

“Frank Oscar Larson: 1950s New York Street Stories” – du 5 février au 20 maiQueens Museum of Art, New York city Building, Flushing Meadows Corona Park, Queens 718-592 9700, www.queensmuseum.org

Crédit Photo: Frank Oscar Larson

Dans l'oeil de Juergen Teller

Le travail du photographe de mode Juergen Teller est exposé à la galerie Lehman Maupin. L’artiste allemand est installé à Londres depuis 1968. Il a suivi des études à la prestigieuse école de photographie Bayerische Staatslehranstalt für Photographie à Munich. Il est connu pour avoir photographié de nombreuses célébrités pour des magazines prestigieux comme Vogue, Purple ou Paradis.

Reconnu comme un des photographe contemporains de mode les plus doues de sa génération, il a également réalisé des pochettes de disques pour Björk, Elton John, Simply Red, Dj Shadow et conçu des campagnes publicitaires pour la marque Marc Jacobs et Yves Saint Laurent. Trois séries photographiques récentes sont mises en lumière dans le cadre de l’exposition. Elle met notamment en vedette les photographies controversées de Kristen McMenamy, capturées dans la maison de Carlo Mollino, les portraits-séduction de Vivienne Westwood ainsi que les clichés de la famille et des amis proches de l’artiste.

Infos pratiques :

Juergen Teller. Jusqu’au 17 mars. Lehman Maupin Gallery. 540 West 26th Street. Ouvert du mardi au samedi de 10h à 18h. Le lundi sur rendez-vous. 

 

"The Ungovernables": l'art rebelle au New Museum

Née entre le milieu des années 70 et celui des années 80, la cinquantaine d’artistes présentée dans l’édition 2012 de la triennale du New Museum appartient à la génération issue du mouvement des droits civiques et des indépendances. Beaucoup d’entre eux n’ont jamais exposé aux Etats-Unis.

L’exposition “The Ungovernables”, qui se déroule jusqu’au 22 avril, évoque l’anarchie et la résistance organisée issues des concepts de désobéissance civile et d’autodétermination, mais aussi les limites et le potentiel d’une génération. De nombreuses œuvres présentées sont éphémères, in situ, ou encore performatives. Parmi elles, les sculptures de l’Argentin Adrián Villar Rojas (photo ci-contre). Faits d’argile, ses travaux nous rappellent l’inévitable retour des idées et des objets à la poussière, mais que cette même poussière peut-être transformée à nouveau. Autre artiste exposée : la Canadienne Julia Dault fait des installations à base de formica et de plexiglas. Ces œuvres, soumises aux contraintes uniques du lieu d’exposition et des matériaux utilisés, ont vocation à être éphémères.

Infos pratiques: 

“The Ungovernables” – du 15 février au 22 avril au New Museum, étages 2, 3, 4, 5 et Lobby Gallery – 235 Bowery, New York, NY 10002 – 212.219.1222 – www.newmuseum.org


Le "cinéma noir" à l'affiche du BAM

Du 17 au 20 février, la cinémathèque du Brooklyn Academy of Music (BAM) met les cinéastes noirs à l’honneur avec la seconde édition du festival « New Voices in Black Cinema » («Nouvelles voix dans le cinéma noir»).

En partenariat avec la fondation ActNow qui promeut les talents issus de la diaspora africaine, le BAM présentera des fictions et des documentaires, mais aussi des courts-métrages, tentant de redéfinir l’expérience des personnes noires en Amérique et ailleurs. L’occasion aussi de rencontrer certains réalisateurs, acteurs et critiques.

Programme et tickets disponibles ici

Garance Doré met la Fashion Week en vidéo

La bloggeuse française Garance Doré emmène ses lecteurs à la Fashion Week au travers d’une série de vidéos baptisée « Pardon My French », en référence à cette expression désobligeante qu’ont parfois les anglophones lorsque leur échappe une grossièreté.

Publié mercredi, le premier épisode de la série n’a pourtant rien de grossier. Délicat et amusant, il donne un bref aperçu de l’ambiance, des personnages et des tendances de la Fashion Week. La vidéo (ci-dessous) est en anglais, mais avec un bel accent français – et sera bientôt sous-titrée à en croire le texte qui accompagne la vidéo. « J’ai trop envie de vous emmener avec moi, de vous faire rencontrer les gens que j’adore, parler des shows, partager des moments intimes, drôles, [et] parler de mode », explique l’illustratrice installée à New York, sur le blog qui l’a rendue célèbre dans le monde de la mode.

Le blog de Garance Doré ici 

Crédit Photo: Garance Doré

Le graffeur dont les boîtes aux lettres valaient $5.000

André Saraiva n’est pas seulement le baron de la nuit. Le jour, il est un artiste graffeur reconnu. Ami du mystérieux Banksy, il a tagué plus de 3.000 boîtes aux lettres jaunes de la poste française dans les années 90. Ce qui lui a valu des noises avec les autorités françaises, racontait Bill Powers le propriétaire de la Half Gallery, samedi dernier, lors du vernissage. Six de ces boîtes aux lettres y sont exposées. “Rien d’illégal“, assure Bill Powers qui ne précise pas comment il a fait venir les fameuses boîtes dont le prix varie entre $4.000 et $5.000.

André Saraiva n’a rien d’un sauvageon. Le vernissage de son exposition était l’événement le plus en vue de la Fashion Week. Olivier Zahm de Purple Magazine et la girlfriend d’André Saraiva Annabelle Dexter-Jones étaient de la partie.

Le Français a déjà exposé chez Colette et au Palais de Tokyo à Paris. Pour l’exposition “Art in the Streets” au MOCA, il avait recouvert les toilettes du musée de ses graffiti…Outre les tags sur les boîtes aux lettres jaunes, l’exposition intitulée “Love Letters” inclut des mots d’amour sur de la papeterie, qu’il tourne en dérision. L’une des toiles représente un billet de banque avec l’inscription “In pussy we trust” (prix : $1.250). On trouve aussi des toiles de Monsieur A, le fameux personnage rose qu’il a créé et dessiné sur les murs à travers le monde (avant de le décliner sur divers objets et T-shirts). Monsieur A est caractérisé par une asymétrie des yeux (un œil rond, l’autre en croix). Pour s’offrir une toile de Monsieur A en rose, il faut débourser $2.500.

Infos pratiques :

“Love Letters” Jusqu’au 1er mars – Half Gallery 208 Forsyth St. Lundi au vendredi,  10h- 18h. www.halfgallery.com

L'univers déjanté de Nicolas Touron

Des pingouins verts, des créatures gluantes, des farandoles de drapeaux triangulaires. Les motifs et les personnages colorés de Nicolas Touron sont exposés à la Virgil de Voldère Gallery du 16 février au 31 mars dans le cadre d’une nouvelle exposition, “What’s happening”.

Né en France, Nicolas Touron vit à New York depuis plus de 10 ans. Bien que son univers rappelle le Pop Art et la bande dessinée underground, il évoque aussi les scènes catastrophiques de Jérôme Bosch et paysannes de Pieter Bruegel. Autre source d’inspiration : la peinture japonaise des XVIIIème et XIXème siècles que l’artiste a étudiée pendant plusieurs semaines à Kyoto et à Tokyo. La catastrophe nucléaire qui a frappé le Japon en 2011 n’a pas non plus manqué d’influer sur ses nouvelles oeuvres.

Infos pratiques: 

“What’s happening” – Virgil de Voldère Gallery, 526 West 26th Street, Room 416 – Du 16 février au 31 mars . site ici

Sophie Théallet inspirée par les aristos

Anna Wintour n’était pas là. La rédactrice-en-chef du Vogue américain n’a pas assisté, comme à son habitude, au défilé de sa chouchoute. Mais la présentation de la collection automne 2012 de la styliste française Sophie Théallet au Milk Studio mardi soir a attiré le gratin : Lynn Yaeger, la fameuse éditrice de mode du New York Times, le diamantaire Chris Del Gatto, le consultant Jean-Jacques Picart, éminence grise du luxe…

Pour la collection, la lauréate 2009 du prestigieux prix CFDA/Vogue a imaginé une famille d’aristocrates déchus, dont le château serait en ruine. “Ils sont toujours élégants. La femme boit du champagne dans une coupe de crystal, elle veut continuer à mener la grande vie”, raconte Sophie Théallet. Son idée se traduit par un glamour chic, un brin vintage : un col roulé marron sous une robe de cocktail noire, des imprimés, allusion au papier-peint du château…Le tout sur  la musique du Mépris.

Dans les coulisses, une dream team de Français : le coiffeur Didier Malige, l’artiste-maquilleur Tom Pécheux, le sound designer Henri Scars Struck qui travaille avec Sophie Théallet depuis ses débuts.

A New York pour les défilés, l’impitoyable Jean-Jacques Picart n’a pas été convaincu: “La collection aurait pu être beaucoup mieux. Il y avait beaucoup d’idées, mais il y a quelque chose qui n’était pas au point. Par exemple, il manquait une ceinture par-ci, par-là. Elle a le sens de l’imprimé, j’aime la gamme de couleur, les chaussures étaient jolies mais l’ensemble manquait de dix minutes de cuisson.”  Malgré tout, la créatrice a eu le droit à une standing ovation à la fin.

Culture classique française à l’université de Santa Barbara

En février, la France sera à l’honneur à l’université de Santa Barbara. Trois rendez-vous liés à la culture hexagonale ont en effet été programmés, mettant en relief la richesse classique de notre pays.

Dimanche 12 février (14h) le Lobero Theatre accueillera ainsi un ensemble d’étudiants du «Department of Music and Voice Area». Il proposera «An afternoon of French opera and song». La représentation offrira un éventail assez large, passant du Grand opéra aux chansons dramatiques du début du XXe siècle, sans oublier quelques airs d’opérettes. Réservations au (805) 963-0761. Tarifs : $25 ($10 pour les étudiants).

Du 17 au 25 février, se tiendront également huit représentations du «Tartuffe» de Molière. Mise en scène par Tom Whitaker, professeur de l’«Institute for Research in the Art», la pièce sera jouée par les étudiants et se tiendra au«Performing Arts Center» de l’université. Pour en savoir plus sur les dates et les horaires, cliquer ici. Tarifs : $17 dollars ($13 pour les étudiants).

Pour finir, samedi 25 février (20h, au Karl Geiringer Hall), la pianiste lyonnaise Sophia Vaillant viendra offrir un récital d’œuvres de Messiaen, Franck, Ravel, Liszt, ainsi que ses propres interprétations des tangos de Piazzolla, Di Sarli ou Villoldo. Tarifs: $15 ($7 pour les étudiants).