Nous sommes à Mulberry Street, au cœur de Nolita, le Nord de la Petite Italie à Manhattan. Le restaurant Balaboosta connaît un succès indéniable depuis son ouverture en mars 2010. En juin dernier, le New York Times faisait l’éloge de son poulet, considéré comme le meilleur de Manhattan.
L’houmous arrive, servi dans le traditionnel mortier pilon en bois, pour écraser les pois chiches à sa convenance. De quoi éveiller les papilles avant de poursuivre avec des entrées, puis un plat, comme le poulet rôti sous la brique, qui vaut le détour avec ses abricots séchés et son couscous israélien.
Le Français Stéphane et l’Israélienne Einat sont aux commandes du Balaboosta. Ils se sont rencontrés à New York, s’y sont installés et ont misé sur leur passion de la cuisine. « C’est son restaurant », lance Stéphane, qui officie en tant que manager, puisant dans son expérience au restaurant Bouley. Il choisit les vins : méditerranéens, italiens, espagnols, grecs, libanais ou français. Des vins qui permettent d’apprécier pleinement les plats aux saveurs orientales, concoctés par Einat. Exigeante et passionnée, la jeune femme aux origines yéménites et iraniennes, s’inspire de ses expériences culinaires en Israël ou en Europe, et de sa tante, « la meilleure des cuisinières », dont le portrait trône sur le mur en briques du restaurant.
Chaque saison, Einat élabore de nouveaux menus avec son sous-chef, israélien comme elle. « Si la technique française est essentielle lorsqu’on veut faire de la bonne cuisine, moi j’ai besoin d’épices, de saveurs orientales », explique la jeune femme. A l’image du chou-fleur croustillant accompagné d’une vinaigrette de citron, miel, groseille et pignon. « Je vis une histoire d’amour avec la nourriture », conclut-elle.
Einat et Stéphane n’en sont pas à leur coup d’essai. Ils avaient déjà fondé Taïm, un restaurant de falafel dont la réputation n’est plus à faire depuis que le New York Magazine a élu l’endroit « meilleur falafel de New York » en 2006. Ils ne comptent pas s’arrêter là. Prochain projet : un restaurant dédié aux mezze.
Où : Balaboosta – 214 Mulberry Street, New York, NY 10012
Ouvert tous les soirs et du mardi au dimanche pour le lunch. Service de 17h30 à 23 h.
Entrées entre $3 et $9, plats entre $20 et $30. Comptez en moyenne $50 pour une bouteille de vin.
Réservations au 212-966-7366 ou sur le site internet du restaurant, ici.
Taïm – 222 Waverly Place (entre 11st Street et Perry Street), New York, NY 10014.
Ouvert de 11h30 à 22 h.
Faites vos réservations au 212 691-6101.
Le divin houmous de Balaboosta
« Le Roi Lear » revisité
Jouer l’une des plus grandes tragédies de Shakespeare en 90 minutes n’est pas une mince affaire. Autre challenge de taille : transformer cette œuvre, qui est l’une des plus violentes, en un spectacle adapté aux plus jeunes.
L’actrice britannique Susanna Hamnett et le metteur en scène Edith Tankus ont relevé le pari avec brio et humour avec « Nearly Lear », un charmant spectacle solo présenté au New Victory Theater, jusque dimanche 16 janvier.
Susanna Hamnett et Edith Tankus incluent seulement quelques bribes du dialogue de Shakespeare, mélangées à de l’argot contemporain. La moitié des personnages principaux de la pièce ont été mis de côté dans cette version. Au revoir Edmond et Edgar, les fils du Comte de Gloucester. Au revoir le Comte de Kent, fidèle au Roi Lear.
« Nearly Lear », une adaptation du « Roi Lear » de Shakespeare, par Susanna Hamnett et Edith Tankus.
Quand : Vendredi 14 janvier, à 19h / Samedi 15 janvier à 14h et 19h / Dimanche 16 janvier à 15h
Où : The Duke on 42nd Street – 229 West , 42nd Street, Manhattan.
Déco & co
L’éditeur de livres d’art Phaidon organise ses soldes annuelles dans sa boutique new-yorkaise. Des centaines de livres d’architecture, de mode, de cinéma ou encore de design (dont certains en français) jusqu’à moins 75%. Craquerez-vous pour un ouvrage sur François Truffaut ($34.98 au lieu de $69,95), sur les portraits d’Andy Warhol ($46.85 au lieu de $69,95) ou sur l’histoire de la mode ($24.75 au lieu de $45) ?
Jusqu’au lundi 17 Janvier
83 Wooster Street (entre Spring et Broome streets), Tél : 212-925-1900.
Après le rush des fêtes, le MoMA Design Store liquide son stock et offre même 10% supplémentaire sur les prix déjà soldés dans sa boutique en ligne. Les horloges aimantées Duncan Taylor & Kevin Champion à $25 au lieu de $35 ajouteront une touche fun à votre frigo, tandis que les photophores coquilles d’oeufs ($27 le lot de 6 au lieu de $42) créeront une ambiance tamisée dans votre chambre. Et pour affronter les températures négatives, investissez dans le bonnet à rayures Pop-Art Toshio Matsui ($25 au lieu de $35) et dans l’écharpe assortie ($35 au lieu de $48).
Jusqu’au vendredi 21 Janvier
44 W 53 St entre Fifth et Sixth Aves (212-767-1050) ; 81 Spring St at Crosby St (646-613-1367); momastore.org
Une fois par an, le paradis de la décoration d’intérieur Wolf Home propose coussins, linge de maison, rideaux et tissus en tout genre jusqu’à moins 70%. Offrez un lifting à votre intérieur avec des coussins en taffetas de soie ($24–$32 au lieu de $54–$65), des rideaux en soie et organdi ($183 au lieu de $405) ou des étoffes colorées en soie et organdi à seulement $23 (au lieu de $34).
Jusqu’au dimanche 23 Janvier
936 Broadway entre 21st et 22nd Sts, Tél : 212-358-8800, wolfhome-ny.com
Ralph Lauren, French Heritage et Tom Dixon : voici un aperçu des marques que vous pourrez trouver à des prix défiants toute concurrence chez ABC Carpet & Home. La suspension lumineuse passe de $305 à $199, la table en verre à rallonge de $3,995 à $2,699 et les bougies à la citronnelle de $35 à $20.
Jusqu’au dimanche 30 Janvier
888 Broadway (& 19th St), Tél : 212-473-3000, abchome.com
Dernière étape de cette virée shopping spéciale déco avec un détour par The Conran Shop, la Mecque du design, de la rue du Bac à la grosse pomme. Apportez une touche de lumière à votre home sweat home avec la lampe de chevet Yee-Ling Wan à $238 (au lieu de $475), accueillez jusqu’à huit convives grâce à la table en teck et métal peinte à $748 (au lieu de $1,495) et faites sensation pour seulement quelques dollars avec les services à thé d’inspiration asiatique à seulement $5–$8 (au lieu de $10–$15
Jusqu’au dimanche 30 Janvier
888 Broadway (et 19th St), Tél : 212-755-9079, conranusa.com
Mais si pour vous shopping rime indubitablement avec boutiques de fringues, suivez ces deux bons plans :
Jane Boutique officie depuis les années 80, proposant vêtements, bijoux, accessoires et antiquités dans le pur style Upper East Side. En ce moment, la plupart des pièces sont à moitié prix. Pour vous donner une idée, la robe en soie imprimée René Lezard passe de $995 à $498, le manteau écossais à capuche Orla Kiely de $645 à $387, le sac en flanelle à anses en cuir Hoss de $275 à $165 et la veste en lapin Ambre Babzoe de $310 à $217.
Jusqu’au lundi 17 Janvier
1025 Lexington Ave entre 73rd et 74th Sts, Tél : 212-772-7710, janeboutique.com
Direction enfin le Meatpacking District, où la collection automne/hiver du designer anglais Matthew Williamson est jusqu’à jusqu’à 40%, plus pour très longtemps. Petit florilège des meilleures affaires : pull en laine à épaules fantaisies à $270 (au lieu de $450), robe bustier en sequins à 2,100 (au lieu de$ $3,500), jupe en dentelle à $417 (au lieu de $695) et collier orné de pierres à $597 (au lieu de $995)
Jusqu’au dimanche 23 Janvier
415 W 14th St entre Ninth Ave et Tenth Aves, Tél : 212-255-9881, matthewwilliamson.com
Une soirée pour PS 84
L’association de parents et professeurs de Public School 84 – The Lillian Weber School for The Arts (située au 32 West 92nd Street) organise une soirée « Reading Writing & Cabaret » au Joan Weill Center for Dance dans Midtown Manhattan.
La soirée commencera à 19h avec un cocktail (vins et hors d’oeuvres) et une vente aux enchères silencieuse. Elle se poursuivra à 20h avec les performances d’artistes et une autre vente aux enchères, visant à rassembler des fonds pour l’école.
Sur les planches, on retrouvera Jane Krakowski, lauréate du Tony et du Olivier award et nominée à l’Emmy award pour la série de NBC “30 Rock”. Kerry Butler, Kate Baldwin and Graham Rowat, trois talentueux comédiens de Broadway, participeront aussi au show. Tous seront accompagnés d’un groupe mené par Michael Kosarin, directeur musical (“Beauty and the Beast”, “Tangled”) et parent d’élève de l’école.
Une soirée divertissante, mais surtout une occasion unique d’apporter son soutien à cette école publique, qui propose notamment des programmes bilingues dont un en français.
Où ? Ailey Citigroup Theatre, The Joan Weill Center for Dance, 405 West 55th Street (et 9th Avenue)
Quand ? Dimanche 23 Janvier à 19h
Combien ? $100, $250 pour le 1er rang, en vente ici.
« F**k you, I’m French! »
Les passagers du vol 83 de Delta Airlines ont été exposés, samedi, à des turbulences très françaises. Franck Lebrun, un “frenchie” de 34 ans est visé par une plainte du FBI après avoir malmené le personnel naviguant du vol, qui reliait Nice à New York, et donné un coup de pied à un policier de l’air quelque part au-dessus de l’Atlantique.
Selon la plainte, déposée lundi auprès d’un tribunal de New York, Mr Lebrun aurait fait plusieurs aller-retours entre son siège et les toilettes de l’appareil d’où se dégageait une odeur de tabac. Le personnel naviguant aurait ensuite rappelé à Mr Lebrun qu’il était interdit de fumer dans ces espaces. Lorsque le Français, manifestement ivre – il a acheté de l’alcool à bord et une bouteille d’un litre de Bailey’s presque vide a été découverte dans son bagage à main – a pris une fois de plus la direction des toilettes, le personnel s’est interposé. Mr Lebrun s’est énervé et a poussé “des deux mains” une hôtesse qu’il aurait ensuite suivie à travers l’appareil, en la couvrant d’insultes en Français et en Anglais.
Bien que menotté et amené à l’arrière de l’avion par la police de l’air fédérale, Mr Lebrun a persévéré dans les quolibets, « criant en substance : « F… you, I’m French » poursuit la plainte. En bouquet final, il a décoché un coup de pied contre l’un des trois « feds » qui tentait de le maitriser. Oups.
Nul doute que l’atterrissage fut douloureux pour le Français, qui devait gagner le Honduras : il a été entendu mardi par la cour fédérale de Brooklyn dans le cadre de l’affaire, nommée « United States vs Franck Lebrun ». La date du jugement n’a pas été fixée, précise un porte-parole de la cour contacté mercredi.
Le super-vilain masqué célèbre ses 100 ans
Le personnage de fiction français, créé début 1911 par Pierre Souvestre et Marcel Allain, est centenaire cette année. D’abord littéraire, l’œuvre est adaptée en 1913 au cinéma par Louis Feuillade, le maître du serial français, et devient mondialement célèbre. Pas moins de trente-deux romans et cinq films et été écrits et réalisés sur le personnage.
La société des amis des Fantômas incluait Cocteau, Max Jacob, Picasso, Apollinaire et Colette. Magritte et Juan Gris l’ont peint et Kurt Weill lui a composé une musique.
Pour célébrer les 100 ans du méchant masqué Fantômas, le musée Hammer à Los Angeles, organise ce jeudi 13 janvier à 19h, une projection du film muet Le Mort Qui Tue, de Louis Feuillade (sorti en 1913). C’est le troisième film (sur cinq) de la série « Fantômas ». Fantômas assassine Jacques Doillon, il arrache à son cadavre la peau des mains et s’en fait des gants qui laissent après ses crimes l’empreinte du disparu.
La projection sera suivie d’un débat, puis d’une fête d’anniversaire dans la cour du musée.
Fantômas Centenaire
Quand : Jeudi 13 janvier 2011, à 19h
Où : Hammer Museum – 10899 Wilshire Blvd, Westwood Blvd @ Wilshire, Los Angeles
Gratuit, mais tickets exigés. Vous pouvez vous les procurer au Billy Wilder Theater Box Office, une heure avant le début des festivités. Les tickets sont limités à un par personne.
Possibilité de se garer dans le parking situé sous le musée. $3 après 18h.
Photo L.A. fête ses 20 ans
“International Los Angeles Photographic Art Exposition” : derrière ce nom se cache Photo L.A., la foire artistiques californienne à laquelle 300 galeries et professionnels de l’art ont participé en l’espace de deux décennies.
Cette année, pour fêter ses vingt ans, pas moins de 70 galeries locales, nationales et internationales se joignent à l’évènement. Pour l’occasion, leurs propriétaires ont fait le déplacement jusqu’à Santa Monica pour présenter et vendre des photos signées par des artistes réputés ou prometteurs.
Vous pourrez acquérir une des ces oeuvres d’art, mais aussi ne rien acheter et simplement admirer les photos exposées, tout en assistant aux conférences tenues par les collectionneurs, artistes et éditeurs présents.
Où ? Santa Monica Civic Auditorium, 1855 Main Street, Santa Monica, CA 90401-3209 ; 310.458.8551
Quand ? Du jeudi 13 au lundi 17 Janvier. Vernissage jeudi 13 de 18h à 21h.
Combien ? $20 le pass 1 jour, $30 le pass 3 jours, $10-$80 pour les conférences et séminaires. En vente ici
Programme complet ici
Auguste Rodin et Camille Claudel, une relation passionnelle
Céline Glon tiendra une conférence consacrée à la relation entre Camille Claudel, soeur de l’académicien Paul Claudel, et Auguste Rodin, de vingt-quatre ans son aîné. Disciple, modèle, assistante et amante de Rodin, Camille Claudel a aussi influencé le sculpteur en tant qu’artiste. Une relation tumultueuse qui n’empêchera pas de faire sombrer la sculptrice dans la folie…
Une Galette des Rois sera servie après la conférence.
Où ? Inn at Woodbridge, 11 Osborn, Irvine, CA 92604
Quand ? Vendredi 21 Janvier de 19h à 21h
Combien ? $5 pour les membres, $10 pour les non-membres. RSVP avant le 19 Janvier au 949 251-1610 ou à [email protected]
Le monde en stéréo de Vanessa Atlan
Un numéro de Rolling Stones, les Beatles en photo, trois guitares sur leur trépied, et un piano : nous sommes à Hollywood, dans le salon de Vanessa Atlan, artiste de profession. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le musicien, c’est son mari. Son dada à elle, c’est la photographie, l’écriture, et le dessin. « J’ai commencé toute jeune, vers 12-13 ans, avec ma grand-mère, peintre», nous explique-t-elle. « Je faisais des dessins, que j’illustrais avec de la poésie. » La photographie, elle l’a découverte peu après, en partie grâce à son père, photographe, et sa mère styliste : « Je suis d’une famille d’artistes », nous dit elle en souriant.
La famille est justement l’un des sujets chers à Vanessa Atlan; cet attachement transparaît en particulier dans « la famiglia », nom donné à l’une des photos de sa toute première exposition, organisée en 2004, à Sète. Originaire de Paris, mais élevée en partie dans le Sud par sa grand-mère d’origine italienne, elle se définit comme une méditerranéenne de cœur : la plage et la mer, la famille omniprésente, l’animation des rues, le linge aux fenêtres, les rires, les engueulades que l’on oublie aussitôt… Ces souvenirs et sensations d’autrefois ont formé l’esthétique de ses premières séries photographiques, et la poussent à voyager, en Espagne et à Naples, en particulier : en 2007, elle publie un livre de photos consacré à la ville italienne et ses habitants.
Plus que tout, Vanessa est fascinée par les histoires et les secrets : dans les rues de Naples ou Paris, son œil est attiré par le mystère, et ses photos capturent des moments de vie et des personnages, réels ou imaginés. Sa série Lucie B., exposée à Barcelone en 2009, met en scène à la façon « roman-photo » le destin tragique d’une héroïne que l’on imagine actrice ou chanteuse de cabaret. Vanessa Atlan habille ses clichés et dessins de titres parfois énigmatiques, et agrémente toujours ses oeuvres d’une touche de poésie.
Arrivée à Los Angeles en 2009, elle continue de parcourir les rues, à la recherche d’histoires à capturer. La musique vient alors prendre une place prépondérante dans son art, comme si Vanessa voulait accompagner ses créations de bandes originales. Armée de son appareil photo Rolleiflex, l’artiste s’invente un univers de pochettes d’albums au style rétro que l’on pourrait croire pop-rock, soul ou électro. Ainsi naît sa série «Wonderland Stereo », nom aussi donné à sa première exposition hollywoodienne, et qui, selon Vanessa, traduit sa vision de l’Amérique et du rêve américain.
Inauguration: 20 janvier de 5:30 pm à 8:30 pm.
Pacific Design Center – 8687 Melrose Ave # G102- Blue Building, Second Floor, West Hollywood, CA 90069.
Plus d’informations sur l’expo Wonderland Stereo.
Plus d’informations sur Vanessa Atlan.
Tout ce que vous ne vouliez pas savoir sur la vie sexuelle des baby boomers
Le personnage central de cette comédie grinçante refuse d’abdiquer et va chercher à tout prix à satisfaire ses besoins sexuels « avant d’arriver à 67 ans » mais comment faire quand on est seule, entourée d’amies compatissantes mais pas du tout coopérantes ?
Elle va donc passer une petite annonce savoureuse dans un journal littéraire local et vous allez alors assister au défilé des prétendants. Inutile de vous dire que si l’approche de Jane Juska (auteur de la pièce) jouée d’une manière époustouflante par Sharon Gless, peut apparaitre un peu crue, les hommes qu’elle va rencontrer ne seront pas aussi glorieux qu’elle l’espère. La scène est divisée en 3 parties, une chambre qui sera la sienne ou une chambre d’hôtel, le café pour les premiers rendez vous, le parc où elle retrouve les fantômes de sa famille. Tous les thèmes seront évoqués, nous ramenant à la solitude de part et d’autre, aux conventions qui veulent empêcher les ainés de s’envoyer en l’air, à nos rapports avec nos parents et nos enfants. Notre héroïne trouvera le bonheur mais pas où elle l’attendait.
Les personnages masculins, campés par 3 magnifiques acteurs de composition, vous laisseront sans voix. Un spectacle à ne pas manquer quelque soit votre âge ou votre sexe. Vous y êtes ou vous y serez, alors allez y sans idées préconçues sur la vie sexuelle des “seniors”…
Gables Stage jusqu’au 30 Janvier. 1200 Anastasia Av, Coral Gables, FL.