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La Traviata au Met

Un vent nouveau souffle sur le Metropolitan Opera depuis le 31 Décembre, soir où La Traviata revue et corrigée par l’Allemand Willy Decker a été présentée.

Décor épuré et costumes modernes pour une tragédie intemporelle menée par la soprano russe Marina Poplavskaya (Violetta), accompagnée entre autres de Matthew Polenzani et Andrzej Dobber

Jusqu’au 29 Janvier, cette version minimaliste et dynamique ravira aussi bien les néophytes que les fervents admirateurs de l’opéra de Verdi.

Où ? Metropolitan Opera, Lincoln Center, New York City
Quand ? Mardi 4, vendredi 7, mercredi 12, samedi 15, mercredi 19, samedi 22, mercredi 26 et samedi 29 Janvier
Combien ? A partir de $54, en vente au 212-362-6000 ou ici
Durée : environ 2h35

Musique et gastronomie avec le New York Philharmonic

Le New York Philharmonic, le plus ancien orchestre symphonique américain, relance en 2011 les « musical suppers », ces diners haut de gamme réservés aux spectateurs.

Au programme, quatre rendez-vous gastronomiques en compagnie de quatre chefs cuisiniers, dont deux français : André Soltner, Alain Ducasse, Marcus Samuelsson et Michael White.

Animés par la critique culinaire Mimi Sheraton, qui présentera les chefs et leurs menus, les diners se feront en présence des musiciens du New York Philharmonic, du Président Zarin Mehta, du directeur musical Alan Gilbert et des chefs eux-mêmes.
La série commencera vendredi 7 Janvier à 22h avec André Soltner, de feu le prestigieux restaurant new-yorkais Lutèce.
Où ? Arpeggio Food and Wine, Avery Fisher Hall, Lincoln Center, NYC.
Quand ? Vendredi 7 Janvier, vendredi 28 Janvier, vendredi 6 Mai, vendredi 10 Juin.
Combien ? $225 par personne. Réservé aux spectateurs du concert du soir même et limité à 70 convives.
Billets en vente ici

Où acheter la galette des rois?

La galette de rois (Three Kings Cake) n’est pas vraiment une tradition pour les Américains. Mais grâce à une joyeuse colonie de pâtissiers, il est possible de tirer les rois en bonne et due forme à New York : savoureuse frangipane, fèves en porcelaine et couronnes importées de France. On s’y croirait. Et n’oubliez pas de la faire réchauffer au four dans son sac, conseille Jean-Jacques Bernat de Provence en boîte. Quelques bonnes adresses.
François Payard 116W Houston St. Tel: 212 995 0888; 714 Madison Avenue (4è étage), et www.payard.com.
Il est le roi de la galette. Au point que quand il a fermé sa célèbre pâtisserie dans l’Upper East en 2009,  à l’approche de l’épiphanie, l’inquiétude se lisait sur les visages : sera-t-on privé de galette de rois cette année? Mais le phoenix de la pâtisserie a refait surface sur Internet; ainsi dans le bas de la ville (Francois Payard Bakery) et sur Madison Avenue (au 4ème étage de la boutique Mauboussin). Autant d’endroits où l’on peut acheter la fameuse galette.  La royauté a un prix : 32$ pour 6 personnes, 42$ pour 8 et 55$ pour 10. Il faut compter 15$ supplémentaires pour la livraison à domicile. Disponible jusqu’au 25 janvier.
– Provence en Boîte, 263 Smith Street, Brooklyn. Tel: 718 797 0707.
Le restaurant français des Bernat propose la galette traditionnelle à la frangipane (19$ pour 4 à 6 personnes: 30$ pour 8 à 10 personnes). Les fèves en porcelaine sur le thème du cirque, les couronnes et le sac pour réchauffer ont été importées de France. Il faudra se passer de la galette provençale, une brioche aux fruits confits et au sucre en grains. Les autorités américaines n’autorisent plus l’importation de fruits confits à cause de leurs colorants. Pff….
– Ceci Cela, 55 Spring Street. Tel: 212 274 9179.
Galette des rois à la frangipane de Laurent Dupal à 30$ pour 8 à 10  (8 inches). Pour les amateurs d’animation, le restaurant le Cercle Rouge servira la galette du Ceci Cela samedi et dimanche avec un magicien présent au brunch de midi à 14h. Le Cercle Rouge – 241 West Broadway, Tribeca (212 226 6252). Tarif : Animation pour enfants et menu à prix fixe avec cocktail : $ 19,95
-Financier, 10 pâtisseries à New York. Pour les adresses http://www.financierpastries.com/
Financier propose la galette traditionnelle à 20,50$ (8 inches) et 25$ (10inches) et la galette à la pistache 22,50$ (8 inches) et 27$ (10 inches). Jusqu’au dimanche 23 janvier.
-Bergamote, 169 9th Ave, Tel : 212-627-9010, labergamotenyc.com/
Cette délicieuse pâtisserie de Chelsea propose la galette à  33$ pour 6 personnes et 39$ pour 8 personnes.
La Maison du macaron, 132 W 23rd St. Tel : 212-243-2757
40$ pour 8 personnes (10 inches). Mieux vaut commander à l’avance.
– Almondine bakery, 85 Water Street (Brooklyn). Tel: 718 797 5026
$20 pour 6 personnes. En espèces seulement. Mieux vaut la commander à l’avance.
-Benoit New York 60 West 55th Street, New York -tel :646-943-7373 $25 la pièce pour 6 à 8 personnes; pour chaque vente; $5 reversés au Lycée Français de New York.

Le passé qui ne passe pas

Pétain finalement rayé de la carte… Le New York Times est allé à Tremblois-les-Carignan, pour voir la dernière rue Pétain du pays, sur le point d’être renommée. Après la Première guerre mondiale, chaque ville et village français avait sa rue Pétain, (mais aussi, souligne le quotidien, plusieurs villages américains). Le correspondant a découvert une population locale pas plus choquée que ça d’être la der des der à honorer le maréchal mais qui a fini par s’incliner devant le scandale. Et visiblement pas réellement convaincu que la France a bel et bien mis son passé derrière elle, le journaliste a déniché une association pétainiste qui célèbre elle le Pétain de 1940, pas celui de Verdun…
De passé qui ne passe pas il est encore question dans le NYT à propos de cinéma et de l’Algérie avec un article qui choisit d’opposer « Hors la loi » de Rachid Bouchareb et « Des Hommes et des Dieux », sur les moines de Tibhérine. “Le premier met en scène des martyrs algériens, le second des martyrs français” souligne le Times pour qui l’affrontement des deux films dans la course aux Oscars (le premier pour l’Algérie, le second pour la France) semble être une continuation du drame colonial franco-algérien par d’autres moyens. “Les deux films sont remarquablement déséquilibrés” remarque le quotidien, et pourtant ils ont été choisis par leurs pays respectifs pour les représenter.
Dans le présent cette fois, la France ne s’en tire pas mieux. La Russie a choisi la France pour ses navires de guerre, et le gouvernement français s’en félicite, « à la manière d’une victoire de match de football », relate le New York Times. Le Washington Post choisit lui la métaphore commerciale en peignant Sarkozy en “représentant de commerce qui aurait réussi son plus beau coup”. Les commentateurs américains soulignent surtout les critiques des pays européens ex-soviétiques, Géorgiens, Estoniens, ou Lituaniens, qui sonnent l’alarme et signalent qu’avec ce contrat, la France aurait ouvert la voie aux autres pays occidentaux qui pourraient vendre ce que bon leur semble à la Russie.
« En France, la pauvreté voyage », lit-on dans le New York Times, qui se fait l’écho de l’écrivain français Tristan Garcia, auteur de « Hate : A Romance ». « Dans les stations du métro parisien, on peut facilement sentir l’irritation des passagers lorsqu’ils croisent une roumaine avec un bébé dans les bras ou tenant une petite fille dans la main, tout en faisant la manche d’une voix plaintive », raconte Tristan Garcia. Ambiance. Le gouvernement français, attaqué de toutes parts cet été par les scandales financiers et politiques, a « décidé de prendre un avantage cynique sur ce sentiment de honte » en déportant 1000 des 20 000 Roumains présents en France. Ces derniers, apprend-on dans le NYT, souvent pris pour des gypsies, sont devenus des citoyens européens de seconde classe.
Enfin, côté people, on apprend, toujours dans le New York Times que l’actrice new-yorkaise Stella Schnabel terminait 2010 en présentant la première de « You won’t miss me », dans lequel elle interprète une actrice instable, récemment libérée de l’hôpital psychiatrique. Celle à qui l’on prête une relation avec Olivier Sarkozy, le demi-frère franco-américain de Nicolas, assure qu’il s’agit d’une “fabrication médiatique”.

Eurochannel Tour, vingt courts-métrages européens

Cette année encore, la chaîne de télévision Eurochannel a sélectionné vingt court-métrages européens pour son Eurochannel Short Films Tour (Tour d’Europe Eurochannel en courts-métrages).

Cette fois-ci, elle a choisit d’élargir les frontières de l’Europe au-delà des pays membres de l’Union Européenne avec notamment l’Europe de l’Est, la Russie, les Balkans et la Turquie. Autant d’aperçus de la diversité culturelle de ces nombreux pays, pour une véritable plongée dans l’ambiance et l’âme du Vieux Continent

Gone Fishing de Chris Jones (Royaume-Uni)

L’occasion unique de faire connaître à une plus large audience une création artistique lointaine géographiquement mais proche à la fois.

Tous les films seront diffusés en version originale sous-titrés en anglais.
PROGRAMME
Mardi 11 Janvier à 18h
“Emotional Short Stories from childhood
Frankie (Irlande, 2007) de Darren Thornton / 12 minutes
The Afternoon Snack (Le Goûter, France, 2008) de Bruno Vaussenat / 15 minutes
Ryba (Russie, 2008) de Alexander Kott / 14 minutes
Missen (Pays-Bas, 2009) de Jochem de Vries / 12 minutes
Gone Fishing (Royaume-Uni, 2008) de Chris Jones / 13 minutes
Pilala (Grèce, 2004) de Theo Papadoulakis / 15 minutes
“European Comedies”
Phone Story (Belgique, 2005) de Berivan Binevsa / 15 minutes
Dentissimo (Allemagne, 2008) de Maurice Huesni / 10 minutes
The Substitute (Italie, 2007) de Andrea Jublin / 16 minutes
Sesils (Lettonie, 2009) de Robert Kulenko / 10 minutes
George (Suède, 2008) de Alain Darborg / 26 minutes
Au Café Romand (Suisse, 2008) de Richard Szotyori / 9 minutes
Mardi 25 Janvier à 18h
Spécial Europe de l’Est
Caviar (Roumanie, 2009) de Razvan Savescu / 20 minutes  
The Tunel (Albanie, 2008) de Gjergj Kalaja / 9 minutes
The Go Between (Bulgarie, 2008) de Dragomir Sholev / 25 minutes
The History of Aviation (Hongrie, 2009) de Balint Kenyeres / 15 minutes
Wayfarers (Ukraine, 2005) d’Igor Strembitsky / 10 minutes
The Boy and The Sea (Lituanie, 2006) de Tomas Donela /15 minutes
Baba (République Tchèque, 2008) de Zuzana Kirchnerová / 21 minutes
Premier Prix de la Cinéfondation du Festival de Cannes
It Wasn’t God’s Will (Deus Não Quis, Portugal, 2007) d’Antonio Ferreira/ 15 minutes
Prix : Algarve International Film Festival (2009), Bajadoz Short Film Festival (2008)

The Fly (Arménie, 2005) d’Areg Azatyan / 11 minutes
When the lights go out (Moldavie, 2005) d’Igor Cobileanski / 8 minutes
X=X+1 (Slovaquie, 2009) de Juraj Krasnohorsky / 15 minutes
Untouched by the Sun (Montenegro, 2002) d’Andro Martinovic / 10 minutes
C’est la vie (Georgie, 2007) de Rusudan Chkonia / 10 minutes
Mardi 1er Février à 18h
Alice and I (Belgique, 2004) de Micha Wald / 19 minutes
Baby! (Nene!, Catalogne, 2007) de Lluís Segura / 16 minutes
Roots (Turquie, 2008) d’Eileen Hofer / 18 minutes
My Mother learns cinema (Annem Sinema Ogreniyor, Turquie, 2007) de Nesimi Yetik / 3 minutes
At Daybreak (Macédoine, 2009) de Gjorce Stavreski / 15 minutes
Running Pains (Pays de Galles, 2008) de Anthony James / 12 minutes
With the Back to Qiblah (Azerbaïdjan, 2009) de Asif Rustamov / 12 minutes
Frank and Wendy: The Parade of Polar Bears (Estonie, 2009) de K. Jancis, U. Pikkov & P. Tender  / 10 minutes
Routine (Luxembourg, 2008) de Dragomir Sholev   / 25 minutes
Varde (Norvège, 2008) d’Hanne Larsen / 15 minutes
Hotel Earth (Islande, 2009) / Director: Baldvin  / Runtime: 8 minutes
Freud & Co (Espagne, 2009) de Xabier Marqués Solla / 7 minutes
Mardi 15 Février à 18h
PunschNoël (Autriche, 2008) de Marie Kreutzer / 10 minutes
Late Fragments (Finlande, 2009) d’Aku Louhimies / 15 minutes
Señor X (Espagne, 2009) de Julio Soto / 13 minutes
Who Guards the Guardians (Serbie, 2007) de Goran Stankovic / 15 minutes
Fanya (Biélorussie, 2009) de Vladimir Piskunovich / 15 minutes
Prix : Goethe Institut International Short Film Competition
Poste Restante (Pologne, 2008) de Marcel Łozioski / 14 minutes
Prix : EFA 2009

The Flyer (Ecosse, 2007) d’Andrea Harkin / 16 minutes
Auditorium de l’Alliance Française de Miami, 618 SW 8th Street – Miami, FL 33130
Donation de $5

Internationalement vôtre

Je suis installé à New York et travaille en français. Par définition, ma clientèle est donc mobile. De plus en plus, on me contacte de partout aux Etats-Unis et même en dehors. Skype et ses semblables ont aboli les frontières pour les life coach aussi… J’ai l’occasion maintenant de parler à des Français qui vivent partout dans le monde, qui ont des vies et des ambitions différentes, des souhaits et des soucis différents, mais qui en fin de compte, sans le savoir, se ressemblent beaucoup.
Cyril vit à Hong Kong. Il a accepté d’être muté par sa compagnie, un laboratoire pharmaceutique de renom, en échange d’une belle promotion. Le voilà seul pour six mois, éloigné de sa femme et de ses deux filles, restées à Toulouse. «Il fallait que je saisisse cette chance, mais j’ai dû partir en plein milieu de l’année scolaire de mes enfants. Je n’arrive plus à savoir si j’ai fait le bon choix. La culpabilité me ronge».
Frédérique travaille à Johannesburg pour une bijouterie spécialisée dans les diamants. Elle adore son métier qui est de faire d’une pierre à l’état brut un unique joyau. «J’ai toujours refusé de regarder en face l’exploitation cruelle des noirs dans les mines situées à quelques kilomètres seulement de mon bureau. Je suis autant dégoûtée par ce qu’il s’y passe, que par ma lâcheté de laisser faire et de ne pas prendre de décisions».
Dorothée a rencontré son mari, Américain, en fac de droit. Après avoir vécu dix ans à Paris, ils viennent de s’installer à Washington DC pour franchir un palier professionnellement, et ensuite démarrer une famille. «La France est atteinte de réunionite aiguë, ce qui nous est devenu insupportable. John et moi avons besoin d’action afin de satisfaire nos ambitions. Pourtant, je doute de mes capacités à vivre sans mes amis et à élever mes enfants dans cet univers souvent dur».
Chacun a son dilemme particulier. Pourtant la première question qui me vient à l’esprit est la même pour tous, pourquoi ne pas rentrer ? Je ne suis pas surpris du contenu de leurs réponses. Que cela soit « non », « pas question ! » ou « et puis quoi encore ? », tous font preuve de leurs désirs de persévérer dans leurs vies d’expats ou d’immigrés. Mon silence qui suit les étonne, pour mieux les faire réfléchir. Avant de parler d’un dilemme qui les torture jour après jour et dont ils ne se sortent pas, il faut que leurs cerveaux épuisés puissent se calmer, respirer, et prendre le temps de vivre et de penser. Qu’est ce qui fait que vous avez eu envie de partir ? «Je me suis toujours sentie différente des autres. Je ne veux plus vivre avec cette perpétuelle impression de m’excuser de qui je suis», me dit Frédérique, un peu remontée. Cyril rit de bon cœur, joyeux et insouciant, «je n’ai jamais été malheureux dans mon pays, mais j’aime l’aventure, l’inédit et l’exotique. Cela titille ma créativité que je n’ai pas le loisir d’exprimer dans mon job». Dorothée quant a elle, reste calme et posée, « je n’ai jamais ressenti l’envie de partir pour ne plus jamais revenir. Par contre, j’ai toujours eu en tête, un jour, de voir si j’avais les épaules assez larges pour me frotter au monde du travail américain».
Ils se retrouvent tous derrière un mot, un concept, partir. Au lieu d’appréhender leurs dilemmes sous l’angle de ce qu’ils ne sont plus, des Français vivants en France, j’ai envie qu’ils utilisent à la place ce nouveau regard qu’ils ont choisi, celui de quelqu’un qui s’installe dans une nouvelle existence, en mode découverte. Cyril fait trembler mon ordinateur tant il est enthousiaste, «mais oui ! Au lieu d’attendre passivement six mois que quelque chose tombe du ciel, c’est à moi de saisir l’opportunité de créer le cadre de vie qui conviendra à ma famille et que l’on espérait tous». Frédérique est songeuse, «je me rends compte que j’ai eu peur d’être moi-même alors que c’est pour cela que je suis partie. Je ne devrais même pas me poser de questions sur mon futur dans cette boîte qui pratique l’esclavage moderne», et Dorothée est déjà dans l’action «prête à bousculer tout ce que je croyais rigide, déterminée à profiter à fond des années que je vais passer ici, en nouant de nouvelles relations et en enrichissant mes enfants de deux cultures que je crois complémentaires».
Cette étape passée leur a permis non pas d’identifier immédiatement quelles étaient les solutions à leurs problèmes, ça serait trop simple, mais de se préparer à marcher vers leurs objectifs, plus sereinement, sans trimballer et secouer dans tous les sens le co-pilote que je suis. Cyril a goûté aux joies du célibat forcé sans pour autant tomber dans ses travers. Lorsque sa famille l’a rejoint, il s’est ému de les voir si heureux s’installer dans un appartement qu’il avait choisi et meublé avec son cœur. Dorothée a vite arrêté de travailler dans le droit international. Elle s’est lancée dans une boutique de meubles pour enfants avec la femme d’un collègue de son mari. Frédérique, après avoir essayé de faire changer la politique de sa compagnie, sans succès, travaille maintenant dans une société plus petite, moins réputée, mais en parfait accord avec son caractère et ses valeurs morales.
Trois histoires différentes dans trois endroits différents de la planète, mais un point commun. Celui de vouloir se sentir en phase avec soi-même et de faire les efforts nécessaires pour y parvenir. Se regarder dans la glace pour ce que l’on est aujourd’hui, pas pour ce que l’on a été, ou ce que l’on sera plus tard, est déjà faire un pas vers l’épanouissement. Partir, n’est-ce pas avant tout partir à l’aventure de soi ?
Pour en savoir plus sur ce qu’est le coaching avec Nicolas Serres-Cousiné, visitez www.monlifecoach.com

Un week-end Art Déco

Le quartier Art Déco de Miami Beach se replonge dans l’ambiance des années 20 et 30 le temps d’un week-end, du vendredi 14 au dimanche 16 janvier 2011. Jazz, voitures d’époque, affiches publicitaires… On s’y croirait ! Pendant trois jours donc, l’évènement rend hommage au style architectural dominant le quartier. Plus de 85 évènements sont prévus, comme une parade dans les rues, des spectacles de théâtre, de danse, des conférences, des projections de films et de séries, ou des visites guidées historiques.
Quand : Du vendredi 14 au dimanche 16 janvier 2011
Où : Ocean Drive, South Beach, Miami, Etats-Unis
Horaires : Vendredi 14 janvier, de midi à 23h / Samedi 15 janvier, de 10h à 23h / Dimanche 16 janvier, de 10h à 20h.
Pour plus d’informations concernant le week-end Art Deco de Miami ou pour avoir le programme complet, rendez-vous sur www.artdecoweekend.com ou appelez le 305-672-2014.

Débats sur les réseaux sociaux en entreprise

Les acteurs majeurs et les experts les plus pointus en réseaux sociaux d’entreprises et en intelligence économique seront réunis lors d’une conférence sur les réseaux sociaux d’entreprise, au centre de convention de Miami, du mercredi 19 au vendredi 21 janvier prochains.
Social Networking Conference
Quand : Les jeudi 20 et vendredi 21 janvier, avec une journée de pré-événement le mercredi 19 janvier.
Où : Miami Beach Convention Center – 1901 Convention Center Drive, Miami Beach
Retrouvez tous les tarifs ici.
A savoir : en réservant votre place avant le 7 janvier 2011, vous économiserez $600.
Retrouvez tout le programme de la conférence ici.
Si vous souhaitez intervenir lors de la convention, inscrivez-vous ici.

Bientôt le Art Show de L.A

Plus de 15 000 œuvres, 125 exposants mondialement connus feront du Art Show, cette année encore, un endroit prisé pour les acheteurs. Le Art Show de Los Angeles ouvrira ses portes le mercredi 19 janvier, jusqu’au dimanche 23. Un gala d’ouverture aura lieu le mercredi 19 janvier, de 19h à 22h.
LA Art Show
Où : Los Angeles Convention Center, 1201 S Figueroa Street 90015 LA
Quand : Du mercredi 19 au dimanche 23 janvier
Tarif : Tickets pour le gala d’ouverture $200 / ticket visiteur $20
Le salon sera ouvert 11h à 20h les jeudis 20, vendredi 21 et samedi 22 janvier. Il fermera à 17h le dimanche 23 janvier.
Pour contacter le Los Angeles Convention Center : [email protected] / +1 213 741 1151

Les nominés des Emmy font leur show

C’est LE spectacle de fin d’année à ne pas manquer. Pour la 51ème année consécutive, les nominés dans les catégories musique et danse des Emmy Awards se produisent au centre de musique de Los Angeles, le samedi 25 décembre. Il n’est pas nécessaire de réserver, mais les premiers arrivés seront les premiers assis ! Un spectacle gratuit, à voir en famille.
Où : Music Center, 135 N. Grand Avenue, Los Angeles, 90012
Quand : Samedi 25 décembre, de 15h à 16h
Plus d’informations sur le spectacle ici.

La nouvelle année à LA

Quoi de mieux que de célébrer le Nouvel an avec un repas de gala ? Voici notre sélection – non exhaustive – de quelques-unes des meilleures tables de Los Angeles, ouvertes le 31 au soir.
– La propriétaire de l’Akasha (9543 Culver Blvd, Culver City, CA 90232), Akasha Richmond, connue pour son livre de cuisine « Hollywood Dish » (Penguin Putnam/Avery, 2006), a enfin ouvert son propre restaurant. Elle a choisi l’historique Hull Building, qui fut le premier hôpital de la ville. Une coïncidence si sa cuisine est basée sur des produits bio et issus du commerce équitable ? Confortable et respectueux de l’environnement (les murs sont faits avec le bois d’une ancienne grange et le sol est carrelé avec du verre recyclé). Réservez ici.
– Avec sa cuisine ouverte, ses baies vitrées et son grand jardin, Fraîche (9411 Culver Boulevard, Culver City, CA 90232) est l’endroit idéal pour passer calme et conviviale. Le menu du Nouvel an a des accents français. Vous pourrez notamment déguster un tartare au saumon, une terrine de foie gras ou des huîtres. Retrouvez le menu complet ici, et faites une réservation .
– Vibrant et moderne, le Gyenari (9540 Washington Blvd, CUlver City, CA 90232) était auparavant un espace industriel. Il en a conservé l’aspect avec les briques au mur, la grande salle de restauration et sa salle à manger privée.  Si un nouvel an aux saveurs coréennes vous tente, réservez une table ici.
Retrouvez plus d’idées restau ICI !
Vous pouvez aussi passer directement par la case dancefloor, ce ne sont pas les idées qui manquent. La preuve…
– Passez un Nouvel an magique, rendez-vous dans un pays enchanté : Wonderland (1835 N Cahuenga Blvd, Los Angeles, CA 90028) propose une soirée  « Alice et le Chapelier fou », avec un open bar de 21h à 23h. « Alice and Mad Hatter’s », de 23h à 2h. Retrouvez le programme, les tarifs et toutes les infos pratiques ici.
– Célébrez le Nouvel an avec grâce, style et élégance dans l’extravagant théâtre égyptien de Los Angeles (1625 North Las Palmas, Los Angeles, CA 90028). Pour l’occasion, les meilleurs DJ de Hollywood viendront mixer. Au programme également : lâcher de ballons, explosion de confettis et open bar. Des Cléopâtre sexy, des reines égyptiennes et des pharaons vous serviront vos boissons préférées toute la nuit. De quoi commencer 2011 en beauté. Retrouvez le programme, les tarifs et toutes les infos pratiques ici.
– Soyez décalés, osez la soirée noir et blanc. Le MyHouse (7080 Hollywood Blvd, Los Angeles, CA 90028) avec sa soirée « A Timeless Affair : a Black and White celebration » propose, au choix, la table Charlie Chaplin pour 4 personnes ($1000 avec 2 bouteilles de vodka et une bouteille de champagne), la table Franck Sinatra pour 10 ($2000 avec 4 bouteilles de vodka et 2 bouteilles de champagne), ou la table Marylin Monroe pour 25 personnes ($5000 avec 8 bouteilles de vodka et 4 bouteilles de champagne). Retrouvez le programme, les tarifs et toutes les infos pratiques ici.
Plus d’infos sur les soirées du Nouvel an à ne pas manquer ICI.
– Vous pouvez aussi choisir de dire adieu à 2010 en beauté en plein cœur de Long Beach. Comme les années précédentes, le Queen Mary de Long Beach organise son propre nouvel an. Pour $100, vous aurez accès à tous les recoins de ce paquebot géant qui sera pour l’occasion animé par des DJs et de nombreux artistes, du jazz au piano bar. De 19h à 1h30. The Queen Mary, 1126 Queen’s Highway, Long Beach. Plus d’infos ici.
Et dans tout Downtown Long Beach, la fête battra son plein au grand air. Rendez-vous au Nautical Shell pour une soirée gratuite avec musique live, activités pour enfants et compte à rebours dès 21h pour célébrer la nouvelle année de la côte Atlantique Est. Puis direction le front de mer dans une ambiance encore plus animée et où vous aurez une place de choix pour admirer le feu d’artifice qui sera tiré à minuit depuis le Queen Mary. De 18 à 21h sur le Rainbow Harbor et de 21 à 1h sur Pine Avenue (et Broadway). Plus d’infos ici.

Le King Mango Strut à Coconut Grove

Le King Mango Strut à Coconut Grove est la façon la plus excentrique de prendre congé de l’année qui s’achève ! Une parade déjantée animera le centre ville de Coconut Grove, le dimanche 26 décembre. Un spectacle qui échappe à tous les clichés, et dont le seul but est de s’amuser avec un grand A.
Plus d’informations sur le site internet du King Mango Strut : ici.