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L’assurance vie, vecteur d’investissement sans équivalent

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D’année en année, l’assurance-vie conforte son statut de placement préféré des Français.
Cette enveloppe juridique et fiscale peut être définie comme un contrat par lequel une personne assure sa vie pour elle-même ou au profit d’un tiers désigné à la souscription.
Étant donné ses caractéristiques, elle s’inscrit parfaitement dans le cadre d’une approche globale car elle répond à de multiples objectifs : constitution d’une épargne visant à préparer un revenu complémentaire pour la retraite ou les études des enfants, transmission d’un capital au moment de la succession …
Généralement mise en avant pour ses nombreux avantages fiscaux, elle possède des atouts juridiques tout aussi importants.
UNE FISCALITÉ ENCORE PRIVILÉGIÉE
L’épargne investie se valorise au sein du contrat en franchise d’impôt, la fiscalité intervenant seulement lors d’un retrait partiel ou total et lors du décès.
Dans les deux cas, les modalités d’imposition ont subi un alourdissement progressif des prélèvements.
Fiscalité en cas de vie
Seule la plus-value réalisée au moment du retrait est soumise à l’impôt, soit selon le barème de l’impôt sur le revenu, soit selon le Prélèvement Forfaitaire Libératoire (PFL: 35 % avant 4 ans, 15 % entre 4 et 8 ans, 7,5 % après huit ans) et après un abattement annuel de 4 600 EUR pour une personne seule ou 9 200 EUR pour un couple marié ou pacsé.
Lorsque le souscripteur est non résident fiscal français au moment du retrait, l’option pour le PFL est obligatoire. Le taux pratiqué dépendra de l’existence ou non d’une convention entre la France et le pays de résidence du souscripteur.
Fiscalité en cas de décès
La fiscalité applicable aux bénéficiaires dépend de l’âge de l’assuré au moment de son versement sur le contrat :
-Sommes versées avant 70 ans : le capital transmis est exonéré de droits à hauteur de 152,500 EUR par bénéficiaire pour un même assuré. Au-delà, un prélèvement de 20 % est opéré.
-Sommes versées après 70 ans : la totalité des intérêts ainsi que les premiers 30 500 EUR de capital sont exonérés de droits de succession.
Depuis la loi TEPA de mai 2007, le prélèvement de 20 % ne s’applique pas aux personnes qui sont expressément exonérées de droit de succession (ex : le conjoint survivant).
Des règles fiscales spécifiques concernent les contrats souscrits par les non résidents fiscaux français : le prélèvement de 20 % est uniquement dû, en cas de décès, lorsque le souscripteur est une personne physique résidente en France au moment de la souscription, quelles que soient les modifications de résidence fiscale ultérieure.
UN CADRE JURIDIQUE SANS ÉQUIVALENT
Insaisissabilité par les créanciers
«Le capital (…) garanti au profit d’un bénéficiaire déterminé ne peut être réclamé par les créanciers du contractant». Ainsi, il est impossible pour le créancier d’un souscripteur de pratiquer une saisie sur un contrat d’assurance vie établi au profit d’un bénéficiaire (la clause bénéficiaire ne doit pas indiquer «mes ayants droits», car sont alors désignés bénéficiaires les héritiers et les créanciers) sauf si le contrat est requalifié au titre de primes manifestement exagérées.
UN OUTIL PATRIMONIAL INCONTOURNABLE
Étant donné ses nombreux avantages, cette enveloppe constitue un outil non contournable pour optimiser une organisation patrimoniale.
Au moment de la souscription, les aspects juridiques (rédaction de la clause bénéficiaire, démembrement, co-adhésion, …) pourront permettre au souscripteur de préparer la transmission de son patrimoine.
Ainsi, il pourra décider de favoriser une personne en particulier de sa famille ou non sous réserve de respecter les limites de la quotité disponible.
De plus, les avantages fiscaux sont sans équivalent en termes de retrait ou de décès et la mise en place d’une clause bénéficiaire démembrée ou la souscription en tant que non résident seront autant d’atouts qui renforceront les avantages acquis.
Enfin, il est important de noter que la pression fiscale de cette enveloppe s’est alourdie depuis 1983 mais sans effet rétroactif. Ainsi, les modifications d’une loi ne concernent pas l’épargne disponible sur des contrats déjà mis en place.
Il est donc primordial de souscrire un contrat le plus tôt possible pour prendre date fiscale.
LE CHARME DE L’ASSURANCE VIE AU LUXEMBOURG
En souscrivant un contrat de droit luxembourgeois, vous investissez dans un cadre fiscalement neutre et juridiquement stable.
-Premier centre international de Private banking de la zone euro, le Luxembourg apporte un savoir-faire sans équivalent dans la maîtrise de l’ingénierie patrimoniale.
-Les investisseurs bénéficient d’un respect total de la confidentialité (la violation du secret professionnel est sanctionnée par le Code Pénal).
-Les épargnants disposent d’un super privilège de premier rang qui couvre la valeur de leur contrat sans plafond (en France le plafond est de 70 000 EUR).
-Les investisseurs non résident luxembourgeois ne supportent aucune fiscalité au Luxembourg en cas de retrait ou de décès, seule la fiscalité de leur pays de résidence étant applicable.
CONCLUSION
Si vous êtes résident fiscal aux USA et que vous n’avez pas encore souscrit de contrat d’assurance-vie pendant votre période d’expatriation, n’hésitez pas à nous solliciter, et prendre rendez-vous afin d’évoquer avec vous plus en détail, le type de contrat adéquat à votre situation patrimoniale.
La procédure de mise en place étant simple et rapide.
Pour plus d’informations sur les solutions d’épargne programmée vous pouvez contacter :
New-York :    Eric THOBY             917-684-3599        [email protected]
New-York :    Jérôme KHASKI        516-477-0373         [email protected]

"Jean Genet in the USA"

Cette semaine, la Maison Française NYU consacre trois jours à l’écrivain français Jean Genet qui aurait fêté ses 100 ans en décembre prochain.
Programme :
Jeudi 11 Novembre de 19h à 21h :  (RSVP ici)
Projection de Jean Genet in Chicago de Frédéric Moffet (2006)
Table ronde “1968: Chicago Democratic Convention”, animée par Barney Rosset, Jeannette Seaver et Phil Watts
La soirée sera suivi d’un diner au Café Henri dans West Village (27 Bedford St entre Carmine St & Downing St).
Vendredi 12 Novembre de 14h30 à 16h :
Conférence de JoAnn Akalaitis et Jennifer Tipton sur Les Paravents (The Screens) au Guthrie Theater
Conférence de Richard Schechner sur Le Balcon (The Balcony) et Les Bonnes (The Maids)
de 16h30 à 18h :
Table ronde “The Blacks in 1961” (Les Nègres en 1961), animée par Edmund White, Christopher McElroen, André Gregory, Marianne de Pury, et Tom Bishop
de 19h30 à 21h :
Conférence de Ralph Heyndels : “Les Noirs sur la blancheur livide: ou le sens possible de l’Amérique”
Conférence de Véronique Lane : “Jean Genet et la Beat Generation”
Samedi 13 Novembre à 14h30 :
Lecture commentée d’Albert Dichy : “Notes inédites de Genet sur l’Amérique”
de 15h30 -à 17h30 :
Table ronde “1970: Genet and the Panthers” animée par Thomas Spear, Tom Bishop, Marianne de Pury, Robert Harvey et Judith Oringer
Tous les évènements (sauf si indiqué) ont lieu à la Maison Française de NYU
Maison Française NYU
16 Washington Mews
New York, NY 10003
Photo : Genet par Richard Avedon

Dégustation de vin au Jules Bistro

Dominique Drevet, sommelier depuis 1985, directeur du groupe Forgeois, qui regroupe cinq restaurants du type bistro français, propose une dégustation de vin au Jules Bistro. La première a lieu ce mardi 9 novembre, la seconde aura lieu le mardi 23 novembre.
Plusieurs grands vins français ont été sélectionnés, parmi eux du Sancerre blanc Montarlet, du Châteauneuf-du-Pape Juliette Avril, du Bordeaux sélection Château La Borne 2009 ou encore du Lalande de Pommerol 2009.
? Jules Bistro – 65 St Marks PI, 212-477-5560
Quand ? Les mardis 9 et 23 novembre de 18h30 à 20h30
Combien ? 10 $

Yelle: La Musique, in french

Leur popularité aux Etats-Unis n’a pas encore atteint celle de Daft Punk ou de Justice, mais Yelle a fait son trou ici. Le groupe d’électropop de St-Brieuc avait commencé à percer en 2007. Ils étaient de retour ces derniers jours pour une tournée américaine, avec quelques-uns des morceaux de leur futur album (le premier depuis Pop-up en 2007), dont la sortie est prévue au premier trimestre 2011. Un premier single, La Musique, est sorti en octobre.
Originalité par rapport à la quasi totalité des autres produits de la “french touch” électro: la chanteuse, Julie Budet, chante en français, pas en anglais. Les spectateurs du Highroom Ballroom, où le groupe a fait salle comble n’ont pas eu l’air de s’en plaindre. French Morning y était.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=-no5wfWOR_4]

Tempête de chocolat à New York

C’est un retour en force des Français. La rock star alsacienne Christine Ferber dédicacera ses pots de confiture de chocolat. François Pralus fera déguster des tablettes grands crus des pays producteurs, tandis que le chocolatier d’Annecy Bonnat servira son chocolat chaud avec copeaux de chocolat…  Il y a eu ces dernières années beaucoup de chocolatiers américains comme Christopher Norman, explique Sylvie Douce, créatrice du Salon du Chocolat qui compte désormais 15 éditions dans le monde. A la demande générale (et avec le soutien d’Ubifrance), les Français reviennent.  Au total, 15 exposants français sur les 60 exposants du salons. “Les Américains aiment beaucoup découvrir les produits et le packaging français” .

Les organisateurs attendent entre 20 000 et 30 000 visiteurs au salon qui se déroulera au Metropolitan Pavillon. Place au cacao couture. Un défilé de couture tout en chocolat ouvrira le salon : avec des robes signées Joëlle Mahoney de Chocolaterie Maya.  Jacques Torres fera son show le samedi 13 à 4pm: le chef pâtissier qui fête les dix ans de sa marque cette année est le maître des sculptures en chocolat. Au programme aussi, des ateliers pour les enfants par les instructeurs de la Young Chefs Academy : colliers de pâtes en chocolat, peintures en chocolat…
Les Français consomment 7kg de chocolat par an et par habitant contre 6kg pour les Américains. Selon Sylvie Douce, les goûts des New-yorkais se rapprochent de ceux des Français et deviennent plus “élagués”. Quelques différences culturelles subsistent : ” Les Américains aiment le chocolat enrichi : miel, canelle, amandes…” Aucun doute, il y en aura pour tous les goûts.
Plus d’infos : http://newyork.salon-du-chocolat.com/salon_intro.aspx
Metropolitan Pavilion
125 West 18th Street (between 6th and 7th Avenues)
New York, NY 10011
Jeudi 11 novembre au dimanche 14 novembre
Jeudi, vendredi, samedi : 10:00 am – 7:00 pm
Dimanche : 10:00 am – 6:00 pm
Adultes: $28 pré-vente / $30 sur place
Enfants : 5 et 12 ans : gratuit (2 enfants par adulte, ; $8 par enfant)
Enfants en dessous de 4 ans : gratuit

Quand Sarkozy se rapproche de la Chine…

L’escale du président chinois sur le territoire français la semaine dernière (photo) a fait du bruit outre-atlantique. En témoigne notamment Voice of America, qui a surtout constaté l’accueil plus que chaleureux réservé à Hu Jintao. « Cortège », dîner à l’Elysée, la France lui a « déroulé un tapis rouge ». Cela n’a pas non plus échappé au New York Times, dans lequel on peut lire que Nicolas Sarkozy a «accueilli comme il se doit son homologue chinois ». Selon le quotidien, deux ans après la controverse du passage de la flamme olympique par Paris qui avait provoqué « un froid » dans les relations franco-chinoises, « Paris et Beijing sont une nouvelle fois en bons termes ». Un projet d’accord d’une valeur estimée de 20 milliards d’euros, « le plus important jamais signé entre la Chine et un leader européen » a été annoncé. Un rapprochement qui n’est pas le fruit du hasard, puisque la France prend la présidence du G20 à la fin de cette semaine. Sarkozy, qui a pu évoquer avec Hu ses projets ambitieux notamment de « réforme du système monétaire » (voir revue de presse du 05/10), a affirmé que leurs réunions avaient abouties à une « réelle convergence de point de vue » rapporte le Wall Street Journal. Même si pour Bloomberg Sarkozy a précisé qu’il avait abordé la question des Droits de l’Homme, les chefs d’Etats ont volontairement exclus de l’ordre du jour les sujets controversés afin d’« éviter la confrontation ». La France, en se montrant silencieuse et donc conciliante vis-à-vis des droits de l’homme, a déchainé les foudres des défenseurs des droits de l’homme, souligne Voice of America.

Une fois n’est pas coutume, cette semaine la France n’est pas dénoncée pour ses expulsions, mais remarquée pour son hospitalité. Après la prise d’otage revendiquée par Al-Qaïda qui a fait des dizaines de morts dans une église de Bagdad le 31 Octobre dernier, les archevêques et hommes d’église ont encouragés les chrétiens d’Irak à fuir leur pays, rapporte CNN. Afin d’« échapper au nettoyage ethnique » qui les touche, ils ont sollicité l’asile en Europe. Des « douzaines d’irakiens blessés » dans cette attaque, ainsi que leurs familles se sont envolés pour Paris à bord d’un avion français qui devrait atterrir lundi, détaille Voice of America. Conformément au « droit d’asile » en vigueur en France, ils seront accueillis puis transférés dans les hôpitaux parisiens. Eric Besson a annoncé que d’autres réfugiés sont attendus dans les prochaines semaines, qui s’ajouteront aux 1300 chrétiens d’Irak réfugiés en France depuis 2007.
Littérature enfin, avec l’annonce lundi du lauréat du Prix Goncourt. « Le prix littéraire le plus prestigieux » de France a cette année été accordé à Michel Houellebecq pour son roman « La Carte et le Territoire » publié en Septembre dernier. Reconnu pour « Les Particules Elémentaires » (1998) et « La Possibilité d’une Ile » (2005), l’auteur reste surtout une figure « controversée » notamment pour ses propos « sur les femmes et l’Islam », rappelle l’agence The Associated Press. Le Los Angeles Times le qualifie même de « bad boy de la littérature française » et de « rock star littéraire ». Un choix audacieux, qui, précise Bloomberg, garantit un succès financier certain à ce nouveau roman et fait rentrer Houellebecq au Panthéon des prestigieux lauréats du Goncourt (Proust, Malraux, Beauvoir, Duras…). Aux Etats-Unis, « La Carte et Le Territoire » sera surement publié chez Knopf courant 2011 sous le titre « The Map and the Territory ».

Deux Normands en concert au Symphony Space

D’ « Absinthe » en 2001, de « J’ai jamais dit que ce serait facile mais je ne pensais pas que ce serait si dur » en 2005, jusqu’à son troisième opus « Le Danger » en 2009, le compositeur interprète bas-normand Nérac a su se forger une identité. Son troisième album « Le Danger », contient 12 titres folk-rock  en français. Douze titres, « 12 chansons laid-back et égocentriques, 12 bonnes raisons d’aimer la route », comme il aime à le rappeler.
Nérac puise son inspiration dans la musique folk américaine et les grands de la chanson française. Il raconte à l’européenne des histoires d’amour et de voyages. Celui qui fut lauréat du Trophée France Bleu a participé, à la fin des années 1990, aux Rencontres d’Astaffort aux côtés de Francis Cabrel. Le Normand a écrit par la suite pour de nombreux artistes dont le Blues man Paul Personne, qui a lui-même participé à son dernier album.
Nérac se produira avec Elisabeth A., jeune artiste aux accents pop, qui défend sur scène des mots acides et pointus avec grâce. Les deux artistes seront accompagnés pour ce concert par le réalisateur et compositeur de renom Eric Benzi.
Pour l’occasion French Morning vous offre quatre places gratuites : il vous suffit d’envoyer un mail à l’adresse [email protected] avant le vendredi 12 novembre.
Où ? Symphony Space – 2537 Broadway, New York, NY 10025
Quand ? Le vendredi 12 novembre
Combien ? 15 $ en pré-vente / 18 $ à l’entrée / 10 $ membres, étudiants, seniors, enfants

Brad Mehldau au Carnegie Hall

Premier jazzman à occuper une Chaire de composition au Carnegie Hall, Brad Mehldau se déclare influencé par François Rauber, orchestrateur de Jacques Brel. Spécialisé notamment dans les reprises de Radiohead, on lui doit notamment un Paranoid Android au piano absolument parfait. Improvisateur virtuose, il cultive le luxe de se produire en piano solo, sans battage médiatique. Highway Rider est sa dernière oeuvre, considérée comme la plus mature. Il l’interprétera avec The Saint Paul Chamber Orchestra.
Brad Mehldau’s Highway Rider
Mardi 9 novembre, à 20h30, au Carnegie Hall – 881 Seventh Avenue New York, NY 10019-3210
The Saint Paul Chamber Orchestra
Scott Yoo, Conductor
Brad Mehldau, Piano
Joshua Redman, Saxophone
Larry Grenadier, Bass
Jeff Ballard, Percussion
Matt Chamberlain, Percussion
Billets de 48$ à 56$

Angelique Kidjo, la world music à contre courant

Celle que le Time Magazine a surnommé « la diva africaine » se produira le jeudi 11 novembre  pour une session musicale intitulée « The Sound of the Drum ». L’objectif : explorer les sons de la batterie à travers les rythmes, les sons et les chansons originaires d’Afrique, des Caraïbes et d’Amérique. Elle sera accompagnée d’autres musiciens cultes, comme Youssou’n Dour, Dianne Reeves, Omara Portuondo, Romero Lubambo.
Angelique Kidjo – “The Sound of the drum”
Jeudi 11 novembre à 20h au Carnegie Hall – 881 Seventh Avenue New York, NY 10019-3210
Billets de 13,50$ à 74$

Des nouvelles de Ginette

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L’histoire de Ginette Bedard, que French Morning vous racontait en vidéo la semaine dernière a passionné les lecteurs de French Morning. Voici donc des nouvelles: Ginette a terminé première de sa catégorie (70-79 ans), soit à la 24 634e place au total (sur44 000 partants).
Ginette a couru “tranquillement” nous dit-elle. Du coup, elle est assez loin de son meilleur temps, mais à 4h27mns et 32 secondes quand même. C’est plus d’une heure-dix de mieux que l’autre star de la course, le mineur chilien Edison Peña (5h40’32). Mais évidemment, Ginette n’a pas passé 69 jours dans une mine. Seulement 77 ans à l’air libre…
Parmi les autres français en course:
-Christelle Daunay, 6ème du classement général en 2h29’29, et première française.
– 3ème place du classement “Handicycles” pour le français Joël Jeannot, en 1h22’23.
-Premier français au classement masculin : Stéphane Vautier, 55ème en 2h31’56.
-Amélie Mauresmo: l’ancienne championne de tennis termine en 3h40’20. Elle bat largement Yannick Noah, qui était aussi dans la course et finit en 4h01’38.

Elsa Berry prend la tête de la Chambre de Commerce

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“Je la joue à l’américaine; je suis ‘president-elect'” s’amuse Elsa Berry. Elue en octobre, elle ne prendra la tête de la Chambre de commerce franco-américaine (chapitre New York) qu’en début janvier. “Deux nouveaux jobs d’un coup, ça faisait beaucoup…”. Car fin octobre, Elsa Berry a aussi changé de “day job”, en prenant ses fonctions chez Houlihan Lokey, un spécialiste des fusions-acquisitions, où elle est désormais patronne du secteur “luxe et produits de consommation de marques”. Elle avait quitté au printemps BNP Paribas, où elle travaillait depuis 1989, après le rachat par la banque française de son cabinet en fusions et acquisitions, Vendôme & Company, qu’elle avait créé en 1983, trois ans seulement après sa sortie d’HEC.
A la BNP, elle a notamment orchestré la vente de Wild Turkey par Pernod Ricard à Campari, celle des Laboratoires Vendome à Johnson & Johnson ou encore de la partie cinema et télévision de Vivendi Universal à NBC. Elle se consacrera également aux transactions internationales chez Houlihan Lokey, qu’elle rejoint avec deux de ses anciens adjoints, Louis Fabregas et David Muson.
Contactée pour prendre la tête de la Chambre de commerce, Elsa Berry avoue avoir été d’abord reluctante. “J’étais membre, mais pas beaucoup impliquée. Pendant 13 ans, j’ai été très absorbée par le Lycée Français” (elle en a présidé le “board” pendant dix ans). Puis, dit-elle, elle s’est aperçue que l’organisme avait “une place très importante dans la vie des affaires franco-américaine. La Chambre n’a jamais eu autant de membres, plus de 700, et l’équipe en place est très compétente”.
La future nouvelle président a donc deux mois de répit avant de prendre la tête de l’institution qui fut menée pendant près de trente ans par Serge Bellanger, un autre banquier (CIC), décédé en décembre 2009 à l’âge de 76 ans. Omni-présent et grande figure de la communauté des affaires franco-newyorkaise, Serge Bellanger avait fini par incarner la Chambre à lui tout seul. Mais il en faut plus pour impressionner la banquière, qui s’est imposée dans un univers toujours connu pour son machisme…
Forte de sa double culture (née à New York de parents américains elle a été élevée en France), elle espère aider les entreprises françaises à “mieux comprendre l’Amérique” et entend aussi rassembler les petites entreprises et “devenir un vivier de personnes intéressantes pour les entreprises, par exemple en multipliant les liens avec des institutions comme le Lycée, les grandes écoles, etc”.
Le secret pour arriver à tout mener de front? “Ce n’est pas moi qui vais tout faire: j’ai un style de management collaboratif. J’ai un conseil d’administration et je vais le faire travailler!”.

Musique live et Happy Hour sont de retour chez Le District à Manhattan

[Agenda partenaire] Le marché, restaurant et bar français Le District vous accueille sur son patio couvert pour déguster ses plats et siroter ses boissons, dehors, mais au chaud !

Vous pourrez également écouter la musique live de Dennis Lichtman tous les vendredi de 6:30 à 8:30pm et les dimanche de 1 à 3pm.

Happy Hour

Tous les jours de 3pm à 6pm, profitez de prix avantageux au Liberty Bistro avec des bières pression à $5, des verres de vin à $7, des cocktails à $8, et des cornets de frite à $5 !

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