Comme vous avez pu me lire, je suis un inconditionnel du théâtre local où je pense que l’on peut trouver son bonheur à Miami, mais pour le cinéma jusqu’à ce jour, c’est pour moi le vide, sauf, mais le weekend seulement, à la cinémathèque de l’université de Miami qui présente des films récents n’ayant pas réussi à rentrer dans les circuits des grandes salles.
Peut être une question d’éducation ou d’âge mais les grandes chaines de cinéma me donne rarement envie de leur rendre visite, la programmation « fast food » pour adolescent attardé…
Voila donc sans doute la solution à portée d’écran dès le 15 Octobre prochain. Deux grands professionnels du cinéma Robert Rosenberg (Emmy Award winner pour Before Stonewall) et Steven Krams (President et CEO de Continental Film and Digital Labs) ont réussi à trouver les financements à la hauteur respectivement de leur talent et de leur rêve et vont accoucher d’un lieu magnifique qui sera ouvert 7 jours sur 7.
Située face a Book and Books sur Aragon avenue une magnifique salle de 144 places bénéficiant des technologies les plus moderne aussi bien en 16 mm qu’en 35 mm ou en digital.
La programmation va permettre aux amateurs de salles obscures de voir aussi bien le meilleur des films réalisés récemment par les producteurs indépendants américains et étrangers que des grands classiques. Ils nous proposerons des « premières » de film, des festivals à thème. Egalement une programmation le samedi midi pour les familles et les enfants en collaboration avec Books and Books, des projections tardives pour les insomniaques le samedi soir, un festival international du court métrage.
La salle offrira un espace café et un espace pour des expositions liées à l’histoire du cinéma ainsi qu’une bibliothèque.
L’ensemble des espaces peut également être loué pour des programmations privés mais aussi par des organisations sans buts lucratifs à un taux raisonnable.
Chacun y trouvera donc son compte, une superbe alternative aux grandes salles impersonnelles comme des halls de gare ou aux soirées vidéo a la maison. C’est donc bien le retour, non pas du cinéma ringard, mais bien du cinéma de quartier ou l’on sait qu’on peut au dernier moment aller « se faire une toile » de qualité.
Adresse. 260 Aragon Avenue Coral Gables, Fl 33134
Parking public meme adresse tel. 786 358 9689 www.coralgablescinematheque.org
Du Ciné Fast Food au Ciné Gastronomique
Chopin à Miami
La talentueuse pianiste Annemieka Spoelstra viendra partager sa passion pour Chopin à travers une série de concerts intitulés “An evening with Chopin”.
Toute cette semaine, la musicienne se produira dans plusieurs lieux de la ville, aussi bien dans une église que dans un concept store.
Elle jouera notamment à l’Alliance Française de Miami vendredi soir pour $10 ($20 avec son nouveau CD, « Toccare »)
Dates:
Jeudi 23 Septembre à 18h, CityLoftArt, Miami Design District 61, NE 40th Street, Miami
Vendredi 24 Septembre à 20h, Alliance Française de Miami, 618 SW 8th Street ‐ Miami
Samedi 25, Septembre à 20h, Corpus Christi Church, 3220 NW 7th Avenue Miami
Dimanche 26 Septembre à 18h, Steinway Piano Gallery , 4104 Ponce de Leon Blvd Coral Gables
Programme : Fréderic Chopin (1810‐1849)
Etude en la bémol major, opus 25 nr., Allegro sostenuto
Fantaisie‐Impromptu en do# mineur, opus 66, Allegro agitato
Waltz en do# mineur, opus 64 nr.2, Tempo giusto
Waltz en mi mineur, opus posthume, Vivace
Etude en do mineur, opus 10 nr.12, Allegro con fuoco
Polonaise en do mineur, opus 40 nr.2, Allegro maestoso
Polonaise en fa# mineur, opus 44, Moderato
Nocturne en do# mineur, opus posthume, Lento con gran espressione
Nocturne en do# mineur, opus 48 nr.2, Andantino
Nocturne en si bémol mineur, opus 9 nr.1, Larghetto
Ballade en sol mineur, opus 23, Largo
Thierry Henry s’offre un triplex à Soho
On se demandait où Thierry Henry allait déposer ses valises en arrivant à New York. Réponse : SoHo. Selon le site Curbed, spécialiste de l’immobilier à New York, le footballeur français s’est installé dans un triplex de Crosby Street, à quelques encablures de l’appartement d’Alicia Keys. Montant de la transaction : 14.85 millions de dollars.
« Il a adoré l’appartement tout de suite, précise Ivan Prochtov, l’heureux agent de City Connections qui a conclu le deal. L’appartement a une vue à 360 degrés sur SoHo, il est entièrement privé. C’est l’un des meilleurs appartements du quartier. »
La localisation du futur appartement du champion du monde faisait l’objet de spéculations depuis sa signature avec les New York Red Bulls le 14 juillet dernier. Lors de sa conférence de presse de présentation, Thierry Henry avait precisé qu’il souhaitait « habiter en ville ». « J’adore Downtown », avait-il répondu à une question de French Morning. Par la suite, il avait été « fréquemment » vu pendant l’été à SoHo et TriBeCa, rapporte le Wall Street Journal, citant des agents immobiliers locaux. « Il était vu comme la récompense à décrocher pour les agences immobilières d’élite ».
Le triplex du champion du monde est composé d’un penthouse de deux étages vendus pour neuf millions de dollars et d’un appartement à l’étage inferieur, vendu pour 5.85 millions de dollars et accessible par ascenseur. En plus d’imposantes fenêtres qui s’étirent du plancher au plafond, qui depuis le dernier étage lui donneront une vue imprenable sur Manhattan, le penthouse d’une superficie totale d’environ 521mètres carrés comporte deux chambres, plusieurs salles de bains et un patio. A l’étage inferieur, une kitchenette et une autre chambre sont disponibles. S’ajoutent à cela 418 pieds carrés d’espaces extérieurs, dont un jardin de bambous dans une cour intérieure. « L’appartement, souligne le site de City Connections, est parfait pour vivre et recevoir, et le bâtiment luxueux dans lequel il se trouve est à la hauteur de son élégance ». Avec ça, s’il ne marque pas de buts…
“L’étrange affaire” de Sodexo et de Saint-Gobain
Dans les rangs du patronat français, certains soupçonnent l’association Human Rights Watch d’avoir profité d’une rentrée sociale explosive dans l’Hexagone pour mettre de l’huile sur le feu. « Il n’y a absolument aucun lien entre la publication du rapport et les évènements en France. Nous voulions sortir le document avant notre Fête du Travail, le 6 septembre, et l’intégrer ainsi aux débats sur les questions sociales aux États-Unis » se défend l’auteur du rapport, Lance Compa.
Professeur à la prestigieuse université de Cornell et spécialiste du droit du travail, Lance Compa explique avoir passé 18 mois à recueillir des témoignages d’employés, à lire des documents de travail, à correspondre avec les entreprises et à rédiger son rapport. Résultat: 130 pages et un titre pour le moins intriguant: “Une affaire étrange: violations de la liberté d’association des travailleurs aux États-Unis par certaines multinationales européennes”. Une dizaine d’entreprises, dont les françaises Sodexo (100.000 salariés en Amérique du nord) et Saint-Gobain (20.000 employés aux États-Unis) se voient épinglées pour non respect du droit syndical dans certaines de leurs filiales américaines, allant à l’encontre de leur propres valeurs, violant même ponctuellement la loi américaine, pourtant moins stricte que la réglementation française et européenne. Des accusations que réfutent le géant de la restauration collective et le leader mondial des matériaux de construction.
Dans les deux cas, l’auteur dénonce, exemples à l’appui, ce qu’il estime être des flagrants délits de non respect des normes internationales: campagnes d’intimidation menées par la direction via des réunions (“captive-audience meetings”) ou des tête-à-tête (“one-on-one meetings”) au cours desquels les employeurs font part de leur déception aux employés adhérant ou soutenant un syndicat, voire adressent des menaces de licenciement. Des actions interdites par la convention sur le droit d’association des travailleurs de l’organisation internationale du travail (OIT), convention ratifiée par la France… mais pas par les États-Unis. La loi américaine n’interdit donc pas les discours anti-syndicaux et les menaces verbales (elle ne les encourage pas non plus!). Selon le rapport, un des cas les plus criants est celui de l’usine Saint-Gobain de Worcester, dans le Massachusetts. Les salariés ont fini par dissoudre leur syndicat. La porte-parole de la filiale américaine de Saint-Gobain, Karen Cawkwell, s’en défend, rappelant que « la situation était complexe et que ce sont les salariés eux même qui ont voté, en toute liberté, de ne plus être représentés par un syndicat. »
Autre point commun: la non reconnaissance de la représentation syndicale choisie par le personnel. Selon la loi américaine, si plus de 50% des employés votent en faveur d’un syndicat, ce dernier représente alors exclusivement l’ensemble du personnel de l’entreprise. Une loi contestée parfois par les entreprises visées – d’où l’accusation de violation du droit du travail américain. C’est notamment le cas de Sodexo, engagée depuis des années dans un bras de fer avec le Service employees international union (SEIU). « Nous entretenons un dialogue ouvert et positif avec tous les syndicats, excepté le SEIU, en raison de ses campagnes de dénigrement qui salissent la réputation de Sodexo », explique Alfred King, le directeur de la communication de Sodexo USA.
Le SEIU, dirigé pendant 16 ans par le très charismatique Andy Stern, est extrêmement actif. Le 16 avril dernier, une manifestation de salariés devant le siège américain de Sodexo, à Gaithersburg, dans le Maryland, avait été largement médiatisée du fait de la présence et de l’arrestation de l’acteur Dany Glover (célèbre pour son duo avec Mel Gibson dans l’Arme Fatale) aux côtés d’Andy Stern. Durant l’été, la fédération CGT des services a porté plainte auprès de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) pour non-respect des droits syndicaux par Sodexo aux États-Unis (et en Colombie). Le SEIU a fait de même. « Le seul but du SEIU est de devenir le syndicat dominant de notre industrie, aux détriments des autres syndicats » ajoute Alfred King. Le dialogue est donc rompu. Sodexo USA se targue d’avoir un taux de syndicalisation très élevé: 15%, soit le double de la moyenne nationale dans le secteur privé (secteurs privé et public confondus, le taux de syndicalisation aux États-Unis est de 12,3%… il est en dessous des 8% en France).
« Les employeurs aux États-Unis peuvent licencier des employés ayant participé à une manifestation, comme celle qui s’est déroulée en France le 7 septembre dernier », déplore Lance Compa. Ce que devrait interdire la reforme en cours, l’Employee Free Choice Act. Ce texte (auquel Andy Stern, l’ex-patron du SEIU, a largement contribué), actuellement bloqué au Congrès « par une minorité républicaine”, a le soutien de Barak Obama. Il comprend de nombreuses mesures pour protéger les salariés qui souhaitent se syndiquer. « Ce n’est pas un texte miracle. Il y aura toujours des pressions sur les employés pour qu’ils n’adhèrent pas à une organisation syndicale. Mais il devrait leur permettre de choisir librement leurs représentants”, estime Lance Compa (Sodexo et Saint-Gobain n’ont pas voulu s’exprimer sur la réforme). Avant de conclure: « Nous espérons que ce rapport aidera le vote du texte au Congrès”. L’Employee Free Choice Act n’est toujours pas à l’ordre du jour au Sénat.
Céleste Boursier-Mougenot à Glow, Santa Monica
Céleste Boursier-Mougenot est musicien de formation, il s’est tourné vers les arts plastiques et travaille à extraire le « potentiel musical » et acoustique des objets les plus divers. Il vit et travaille actuellement à Sète et tente de donner une forme autonome à sa musique en réalisant des installations en relation avec les données architecturales ou environnementales des lieux d’exposition. Il présentera sur la plage de Santa Monica une nouvelle oeuvre.
Glow se déroule de 7pm à 3h du matin. Les boissons alcoolisées sont servies jusqu’à 2 h, loi californienne oblige…
Où : Glow, Santa Monica Beach, Santa Monica, CA 90401
Quand : Samedi 25 septembre 2010, dusk-to-dawn art event
Pour plus de renseignements : www.glowsantamonica.org ou www.santamonica.com/glow
Entrée: Parking ($5 – $20) www.smgov.net/parkingspacenow
« Bouillon », Marie-Josée Lord
Marie-Josée Lord est née à Haïti et arrivée à Québec à l’âge de 5 ans. Elle fait ses débuts à l’Opéra de Vancouver en 2002 avec la Princesse Aida, puis à l’Opéra de Montréal en 2004 avec une magnifique interprétation de Mimi dans La Bohème. Elle sera aussi remarquée pour sa performance de Marie-Jeanne dans l’opéra-rock Starmania, cette même année à Montréal.
Avec “Bouillon” (pot-pourri en créole), la cantatrice veut “démystifier” l’art lyrique, le “désnobiser”, avec un répertoire où se mêlent grands classiques (Bizet, Verdi) et compositeurs plus populaires (Plamondon, Lama).
Où: Théâtre Raymond Kabbaz, 10361 W. Pico Blvd., Los Angeles, CA 90064. Tel. 310-286 0553
Quand : Vendredi 24 septembre 2010 à 20h00. Réception à 19h00
Pour plus de renseignements : http://www.theatreraymondkabbaz.com/
Entrée: $40, inclut un verre de champagne et toasts. ($25 pour étudiants, hors d’oeuvres compris)
Les photos du Café de Rentrée de LA Accueil
C’était la rentrée le 15 septembre dernier pour Los Angeles Accueil, une association dont la mission est de « permettre à ses membres de créer des liens et de favoriser une meilleure integration”*. Le « Café de Rentrée » 2010 de LA Accueil s’est tenu dans les jardins de l’Hôtel Sofitel de Beverly Hills. Etaient présents la nouvelle Présidente de l’association, Mme Marie-Carole Delacruz, le Consul de France à Los Angeles, M. David Martinon, ainsi que le Directeur des Opérations du Sofitel de Los Angeles, M. Sébastien Pfeiffer. Créé en 1992, l’association regroupe à présent environ 300 membres francophones de tout âge. Elle organise un « Café-rencontre » mensuel, ainsi que des activités sportives et culturelles tout au long de l’année.Bon à savoir : L’association organisera un Barbecue ouvert à tous le 26 septembre prochain.
Un voile terroriste sur la France
Les Français de New York doivent se sentir bien à l’abri loin de France. «La menace terroriste est réelle »: voilà les propos, pour le moins inquiétants, récemment tenus par le ministre de l’intérieur Brice Hortefeux et repris par le Wall Street Journal et le New York Times cette semaine. Si le seuil de vigilance a sensiblement augmenté, les quotidiens soulignent cependant que les mesures de sécurité restent identiques, notamment dans les transports parisiens. Même si l’évacuation de la Tour Eiffel et de la station de métro Saint Michel mardi soir s’est avérée une fausse alerte, une agence de contre-espionnage affirme dans le Washington Post que« le risque d’attaque terroriste sur le sol français n’a jamais été aussi élevé ». Comme le montre Bernard Squarcini dans le quotidien, la France est aujourd’hui « la cible prioritaire pour certains groupes islamistes radicaux » à la fois à cause de son histoire coloniale, de sa présence militaire en Afghanistan, et bien sur de la loi sur l’interdiction de la burqa.
«Premier pays européen à passer une telle loi», rappelle le Washington Post, la France a aussi fait les choux gras de la presse américaine avec l’adoption de ce texte. Après l’approbation de l’Assemblée Nationale en juillet, le Sénat a en effet voté la loi mardi dernier à 246 voix contre une seule. Si elle est validée par le Conseil Constitutionnel, la loi entrera en vigueur début 2011. Le Parti Socialiste, refusant de légiférer sur ce sujet a préféré s’abstenir, souligne le Wall Street Journal. Ce qui a surtout attiré l’attention des médias américains, c’est que le texte ne fait aucune allusion à la burqa. Si la loi interdit de cacher son visage en public, les mots « voile », « femme » et « musulman » ne sont jamais mentionnés, souligne le Washington Post. Pour ce dernier, même si la loi «affecte moins de 2000 femmes», elle reste un « symbole de la défense des valeurs françaises ». Le New York Times affirme aussi que la loi respecte les valeurs traditionnelles de la République comme la laïcité et le droit des femmes. Cependant l’article du Wall Street Journal met à jour la tension existante avec « la liberté de culte », qui fait aussi partie des valeurs républicaines. Il rappelle que le Conseil d’Etat a déjà émis un doute quant à l’adéquation entre cette loi et les « engagements internationaux pour les droits de l’homme » de la France. Le blog du quotidien, affirme que si cette loi peut apparaitre choquante aux Etats-Unis, elle risque d’« alimenter le courroux du monde islamique ».
Plus légèrement cette fois, les médias américains ont relayé les exploits sportifs français… mais sans grand enthousiasme. Après la victoire de la France sur l’Argentine samedi dernier, l’équipe de France de tennis se retrouve en finale de la Coupe Davis, et ce pour la première fois depuis 2002 rappelle le San Francisco Chronicles. Mais tout cela laisse un goût amer aux Américains, qui détenant le record de victoires au sein de la compétition internationale, peinent à y retrouver une place de choix ces dernières années. Pour sa part, CNN insiste sur la déception de l’équipe argentine après sa défaite cuisante en demi-finale. Le site de la chaine rappelle aussi que la grande finale de la Coupe Davis aura lieu en décembre prochain.
Se déhancher sur du Klezmer
Pour changer un peu de la house, de la pop, du hip-hop, de la chanson française, du jazz, de la soul, … rendez-vous au concert de Klezmer Juice. Ce groupe a décider d’embrasser la musique Yiddish du Klezmer, teintées d’autres musique du monde. Le tout crée un mélange sympathique en tradition musicale juive et musique d’aujourd’hui.
Klezmer Juice au Barbes
19h
376 9th St. (corner of 6th Ave.) Park Slope, Brooklyn 347 422 0248
Le fils de Coltrane en concert
C’est l’anniversaire de John Coltrane, le génie du jazz, le 23 septembre. Et il se trouve que son fils, le non moins talentueux saxophoniste Ravi Coltrane se produit au Village Vanguard pendant 6 jours avec trois autres musiciens. C’est que le petit s’est fait une place dans le milieu du jazz et que sa légitimité n’est plus à questionner. Ambiance guarantie.
Ravi Coltrane Quartet $35
Village Vanguard
178 Seventh Ave South (between Perry and W 11th Sts)
212-255-4037
Bertrand Bonello part en guerre
Le réalisateur Bertrand Bonello est présent au festival Crossing the Line, avec De la guerre, son dernier film. Le toujours étonnant Mathieu Amalric y incarne un réalisateur qui se fait par erreur enfermer dans un cercueil toute une nuit. L’expérience traumatisante va l’amener à reconsidérer sa vie entière. Il finira par suivre un intriguant jeune homme qui le mènera dans une sorte de royaume bucolique où une Italienne (Asia Argento) règne en maître.
Cinéaste underground, Bonello a vu ses trois précédents long-métrages sélectionnés par les plus grands festivals internationaux: Quelque chose d’organique (2003) au Festival de Berlin, Le Pornographe (2001) avec le mythique Jean-Pierre Léaud à la Semaine de la critique de Cannes et Tiresia, étrange histoire d’un transexuel, en Compétition officielle à Cannes en 2003. Le film sera présenté par Bertrand Bonello.
On War/De la guerre
Mardi 21 septembre à 7pm
FIAF, Florence Gould Hall
avec Mathieu Amalric, Asia Argento, Guillaume Depardieu.
Et 3 court-métrages le mercredi 22 septembre à 20h
Cindy, the Doll is Mine
Where the Boys Are
My New Picture
"iPhoneographers" de tous les pays…
“NYC Local Heroes”, une partie de l’exposition dédiée aux “iPhoneographers” locaux, sera aussi l’occasion de découvrir la ville sous un autre angle à travers des clichés originaux.
Le vernissage de l’exposition aura lieu lundi 27 à 18h.
Plus d’informations sur le mouvement iPhoneography et sur l’exposition
Photo: Jesse Wright