Si l’actualité sur les Roms évolue – Brice hortefeux s’est exprimé sur RTL le 25 août, Nicolas Sarkozy est rentré de vacances et s’est réuni avec ses ministres – l’analyse, elle, ne varie pas. Doreen Carvajal dans son article du NYT explique que Nicolas Sarkozy se trouve dans “une période critique qui va définir sa présidence et ses chances pour la ré-élection en 2012. La focalisation du gouvernement sur les Roms (…) a été critiquée comme étant une tactique politique de M. Sarkozy pour consolider le soutien de sa base à droite“. Rien de nouveau donc… Mais la journaliste soulève tout de même deux points intéressants: les médias bulgares ont rapporté que certains des Roms expulsés de France étaient Turcs: “Le problème fondamental des Roms dans une Europe sans frontière pourrait en fin de compte refroidir un peu plus l’enthousiasme d’une admission de la Turquie dans l’Union européenne“. Et enfin la journaliste explique que la communauté la plus nombreuse de Roms en Europe se trouve en Espagne et que le pays a “crée un programme en avril dernier de 107 millions d’euros sur trois ans pour financer l’éducation, la santé et le logement des femmes roms“. Une conclusion en forme de pied de nez à la politique française actuelle à l’égard de cette communauté.
Un article de Bloomberg fait lui état de l’avis de l’opposition, une opposition politique que l’on entend peu dans les médias américains, se limitant souvent aux organisations de défense des droits de l’homme. Dans cette article, on apprend ainsi que Maritine Aubry a vivement critiqué ces expulsions disant que “cet été était l’été de la honte” et que la gauche – sans surprise vu le contexte – a repris du poil de la bête.
Et le Wall Street Journal se fait le plus critique cette semaine à l’égard de la France, pointant du doigt les incohérences de sa politique économique et du discours de ses politiques: “La ministre des finances Christine Lagarde prédit que l’économie française enregistrera une croissance de 2% l’année prochaine et réduira son deficit budgétaire de 8% à 6% du PIB. Le fondement de cet optimisme n’est pas clair” fait remarquer de façon assez drôle Irwin Stelzer dans son article, intitulé “Le government français croit-il vraiment en ses propres previsions économiques?“. Et le journaliste s’étonne plus encore des propos de Nicolas Sarkozy: “M.Sarkozy vante constamment le modèle français d’intervention active de l’Etat comme une alternative au “néolibéralisme anglo-saxon“. Mais le journaliste se veut pédagogue. Il reprend méthodiquement chaque argument du gouvernement français pour le montrer sous son vrai jour. Conclusion sans appel: le discours économique de la majorité ne tient pas la route.
Le New York Times s’intéresse par ailleurs au vol d’oeuvres d’art. La journaliste s’interroge: qui a bien pu faire ça et comment? La “vulnérabilité” des musées et apartements de propriétaires privés est mise en cause et présenstée comme une “source d’inquiétude” dans l’héxagone. Surtout après le vol d’une oeuvre d’art au Musée d’Art moderne en mai, puis dans l’appartement d’une des petites-filles de Picasso. Cet article en trois parties fait intervenir des agents du FBI et d’Interpol et traite de façon intéressante la question de la sécurité des oeuvres d’art dans le monde et de l’organisation très élaborée de certaines bandes de voleurs de haut vol.
Photo par Philippe Leroyer – “Rom Demonstration”, 01Dec07, Paris (France)
La France, cette mal-aimée
Le Tableau
L’artiste et critique d’art Joe Fyfe a décidé de partir en guerre contre tous ceux qui, aux Etats-Unis, ont sous-estimé l’art français d’après-guerre. Il a donc décidé d’exposer des oeuvres à la fois françaises et américaines, histoire de montrer que la France peut tenir la comparaison. A vous de juger…
Galerie Cheim&Reid
Le Tableau: Curated by Joe Fyfe
jusqu’au 3 septembre
Ode à la fin de l'été
Misorena organise des soldes jusqu’au 29 août. On pourra y trouver vêtement et accessoires de chez Kenneth Cole, Miss 60, Energie et plus à moins 75% voire 95, pour hommes et femmes.
Misorena’s sample sale. 260 Fifth Ave., nr. 28th St. (212-725-5400); M–F (9–7), S–Su (11–7).
Uno fait des réductions jusqu’à 75% jusqu’au 31 août. Vous trouverez les cuirs de Marithé + Françoise Girbaud mais aussi les vêtements d’Annette Gortz, de chez Trippen.
A Uno’s sample sale. 123 W Broadway, nr Duane St. (212-227-6233); M–Su (11–7).
Et l’un des magasins vintage les plus intéressants de NYC rouvre ses portes dans le Lower East Side. Marmelade fera votre bonheur jusqu’au 31 octobre avec une configuration un peu étrange: un magasin dans un magasin, à TG-170, une boutique qui vend les stock de designers comme Mischen, Lauren Moffatt, and Sunshine and Shadow. Et chez Marmelade, vous trouverez des pièces vintage comme des bottes en cuir ($115–$195), des robes ($98–$125),sacs ($75) et ceintures en cuir des années 80 ($48–$68).
Marmelade at TG-170
170 Ludlow St between E Houston and Stanton Sts (212-995-8660, tg170.com). Daily noon–8pm. Thu 26–Oct 1.
Et histoire de prendre un peu l’air, on ira ensuite à Brooklyn au Shoe Market. Parce que les robes c’est bien mais sans chaussures assorties, on ne va nulle part. Le magasin organise des soldes jusqu’à moins 70%. Besoin de sandales avant l’automne? Les spartiates de Sam Edelman sont à $40 (au lieu de $110) par exemple.
Shoe Market’s Summer closeouts
North 6th St at Bedford Ave, Williamsburg, Brooklyn (718-388-8495, shoemarketnyc.com). Thu 26–Tue 31 11am–8pm.
Et pour la maison, Select home fait des réductions sur la déco et les meubles jusqu’à 60% à Armani/Casa jusqu’au 29 août.
97 Greene St., nr. Spring St. (212-334-1271); T–S (11–7), Su (noon–6)..
Et jusqu’au 31, Rafael Interiors offre 20% de réduction sur les marques Matouk, Sferra, and John Robshaw.
9 W. 19th St., nr. Sixth Ave. (212-337-3200); M–Th (10–6), F (10–4).
Photo Shoe Market à Williamsburg
Quand les masques tombent…
La réalisatrice et scénariste Danièle Thomson connue pour ses comédie de moeurs avec pour cadre la bourgeoisie parisienne rassemble dans son dernier film un casting appréciable: Karin Viard, Patrick Bruel, Dany Boon, Marina Fois, Emmanuelle Seigner… La réalisatrice s’essaie ici à la satire sociale: tout se passe lors d’un dîner entre amis, moment supposé de détente et d’amusement. Seulement voilà il n’y a finalement rien de plus fabriqué que cette soirée où l’on se montre sous son meilleur jour, où l’on cache ses peines et surtout où l’on respecte le code: paraître heureux et être aimable. Mais les faux-semblents ne durent qu’un temps…
Le Code a changé de Danièle Thompson
Au <a href=”http://www.lincolnplazacinema.com/ et à l’IFC Center.
Opéras en plein air
Les projections se feront sur l’esplanade du Lincoln Center Plaza chaque soir et gratuitement! 2800 sièges disponibles. Pour les gourmands qui auront réussi à obtenir l’un desun pique-nique composé de trois plats sera à disposition de 17h à 20h au Bar Boulud, de l’autre côté de la rue.
Voici le programme:
The Magic Flute – Sunday, August 29, 8pm
Der Rosenkavalier – Monday, August 30, 7:15pm
Doctor Atomic – Tuesday, August 31, 7:45pm
Les Contes d’Hoffmann – Wednesday, September 1, 7:45pm
La Bohème – Thursday, September 2, 8pm
Hansel and Gretel – Friday, September 3, 8pm
Turandot – Saturday, September 4, 8pm
Aida – Sunday, September 5, 8pm
Carmen – Monday, September 6, 7:45pm
Pour en savoir plus, cliquer ICI.
The Magic Flute
Sunday, August 29, 8pm
Approximate running time: 113 minutes
Pre-screening Met Guild lecture: Finding New Magic in The Magic Flute

Der Rosenkavalier
Monday, August 30, 7:15pm
Approximate running time: 195 minutes
Pre-screening Met Guild lecture: Der Rosenkavalier: Meeting the Marschallin

Doctor Atomic
Tuesday, August 31, 7:45pm
Approximate running time: 164 minutes
Pre-screening Met Guild lecture: The Energy of Doctor Atomic

Les Contes d’Hoffmann
Wednesday, September 1, 7:45pm
Approximate running time: 160 minutes
Pre-screening Met Guild lecture: Les Contes d’Hoffmann: Muses of Music

La Bohème
Thursday, September 2, 8pm
Approximate running time: 130 minutes
Pre-screening Met Guild lecture: Zoom in Zeffirelli with La Bohème

Hansel and Gretel
Friday, September 3, 8pm
Approximate running time: 112 minutes
Pre-screening Met Guild lecture: The Witch’s World of Hansel and Gretel

Turandot
Saturday, September 4, 8pm
Approximate running time: 120 minutes
Pre-screening Met Guild lecture Turandot: Calaf’s Cultural References

Aida
Sunday, September 5, 8pm
Approximate running time: 150 minutes
Pre-screening Met Guild lecture Aida: The Grandeur of Grand Opera

Carmen
Monday, September 6, 7:45pm
Approximate running time: 159 minutes
Pre-screening Met Guild lecture: Classic Carmens
Dans Paris
Dans Paris raconte l’histoire d’une famille et de ses blessures le temps d’un hiver à Paris. Déprimé Paul, le personnage de Romain Duris, emménage chez son père (Guy Marchand) avec son frère (Louis Garrel).
Dans Paris de Christophe Honoré
1er septembre, 4:30, 6:50, 9:15pm
BAM Rose Cinemas
General Admission: $12
BAM Cinema Club members: $8
Marianne Dissard au Barbès
On dit qu’elle fait partie de cette nouvelle scène de la chanson française, alors c’est l’occasion de le vérifier par soi-même. Si vous aviez raté la douce Marianne au MoMA (lire l’interview ICI), vous pouvez aller l’écouter à Barbès ce vendredi 27 août.
Barbès, Marianne Dissard à 20h
9thStreet and 6th Ave. in Park Slope, Brooklyn. (718) 9659177
L'US Open gratos
Pour les petits malins ou les budgets réduits, il reste un moyen d’assister aux match de l’US Open sans débourser un sou. Il s’agit de l’US Open Qualifying Tournament. Mais attention ce vendredi 27 est le dernier jour, donc courrez! Ce tournoi gratuit de quatre jours se tient sur les cours de l’USTA National Tennis Center (et pas au stade Arthur Ashe). Cependant, les meilleurs joueurs n’ont pas besoin de se qualifier, pas sûr donc que vous aperceviez Roddick ou Federer lors d’un de ces match gratuits, en revanche ils profitent souvent de ce temps libre pour s’entraîner, aussi à l’USTA…
US Open Qualifying Tournament
Du 24 au 27 août. Les portes de l’USTA ouvrent à 10h du matin.
Eataly débarque à New York
Imaginez la chocolaterie de Willy Wonka, version italienne : 4600m2 de paradis culinaire avec pizza, pasta, gelato…Le tout dans le Toy Building, un bâtiment historique face au Flatiron building qui fut une fabrique de jouets. Le projet herculéen a excité les papilles du maire de New York Michael Bloomberg. Il l’a soutenu depuis sa genèse et coupera le ruban mardi à 11 heures, avant l’ouverture au public à 16h.
Ce “Bloomingdale’s” de la cuisine italienne, comme certains le surnomment, est en fait une réplique d’Eataly à Turin ouvert il y a deux ans. Il est le fruit d’une collaboration entre le chef Mario Batali, Lidia Bastianich, la “Julia Child” italienne et son fils Joe Bastianich (actuellement juge dans “Master Chef” américain aux côtés de Gordon Ramsay). Les compères comptent déjà Del Posto, le restaurant étoilé près de Chelsea market à leur actif ainsi qu’une dizaine de restaurants. Ils se sont associés à Oscar Farinetti, le propriétaire d’Eataly à Turin et ont investi environ 20 millions de dollars.
Eataly ne compte pas moins de sept restaurants (Manzo (viande), Il Pesce (poisson), La Pasta, La Pizza, I Salumi e I Formaggi, Il Crudo, etc.), avec un total de 450 places assises et 400 employés. A partir d’octobre, il y aura aussi une Birreria (beer garden) sur le toit surplombant le Madison Square Park. Certains Cassandres disent que c’est trop grand compte tenu de la situation économique. “J’espère qu’ils ont tort”, répond simplement Joe Bastianich. Il table sur un chiffre d’affaires entre 40 et 60 millions pour la première année d’activités.
Eataly fait aussi office de centre italien avec sa librairie spécialisée en partenariat avec l’éditeur Rizzoli, son école de cuisine, des stands Alessi et Kartell pour les inconditionnels du design italien, et même une agence de voyage… Sans oublier une citation de Sophia Loren aux murs : “Tout ce que vous voyez, je le dois aux spaghetti”. A méditer…
Trois questions à Joe Bastianich autour d’une pizza margherita “made in Eataly”:
Qu’est-ce qu’il vous reste à faire avant l’ouverture?Nous allons faire la fête ici tous les soirs jusqu’à l’ouverture. Ensuite nous ouvrons. Et puis on ira se reposer.
Un de vos “péchés mignons” qu’on pourra trouver à Eataly? Le chocolat Venchi.
A quand une version française d’Eataly (“Gallistronomie”?)? Ce n’est pas à moi de le faire. Demandez à Jean-Georges [Vongerichten] ou Daniel [Boulud].
Et aussi : les meilleurs restaurants italiens de New York, LIRE ICI
Les meilleurs "foods trucks" de LA
Cela fait à peine deux ans qu’ils existent, mais les food trucks sont devenus incontournables à LA. Le succès de ces restaurants mobiles, selon Matthew Geller, le président de l’Association des vendeurs ambulant de Californie du Sud est en partie lié à la crise : “Les clients veulent de la qualité sans dépenser trop, et parallèlement, les coûts d’achat et d’opération d’un food truck sont largement inférieurs à ceux d’un restaurant.” Ce qui a poussé des chefs avec peu d’argent mais beaucoup d’idées à se lancer.
Une mise au point s’impose : “les cantines mobiles existent depuis au moins 40 ans, ce sont les camions traditionnels offrant de la nourriture mexicaine à une clientèle souvent exclusivement latino”, précise Matthew Geller. Ces camions – environ 4000 à Los Angeles et péjorativement surnommés “roach coaches” pour leur nourriture de mauvaise qualité – sont à différencier de la vague des nouveaux (sic) food trucks, selon l’appellation locale.
Tout commence avec Kogi BBQ, un pilier dans le milieu. Un trio de cuistots se rend compte qu’en matière de nourriture de qualité pour les clubbers et autres couche-tard, l’offre est limitée. Ils décident donc de faire converger leurs talents et lancent le premier camion proposant du barbecue coréen émincé sur des tacos : l’aigre doux de la cuisine coréenne allié à la sauce piquante de la cuisine mexicaine… Une combinaison pas si saugrenue pour Los Angeles, ville caractérisée par le foisonnement de cultures.
Le plus souvent, les camions mobiles ne sont pas affiliés à un restaurant “en dur”, mais c’est le cas de certains d’entre eux tel Border Grill, qui a pignon sur rue à Santa Monica. “La qualité de nos tacos est la même, qu’ils soient servis dans nos restaurants ou dans notre camion”, souligne la fondatrice de ce restaurant de cuisine mexicaine moderne, Susan Feniger.
La clef de voûte de ces camions-restaurants, c’est Twitter. Impossible de survivre dans la jungle urbaine de Los Angeles sans avoir son compte sur le réseau social afin de maintenir le contact avec sa clientèle. Les camions les plus actifs se rendent à trois endroits différents en une seule journée : déjeuner, début de soirée et fin de soirée. S’ils indiquent à l’avance où ils seront sur leur site Internet, personne n’est en permanence devant son ordinateur.
En revanche, Twitter est accessible depuis son téléphone et le geek affamé peut savoir en quelques secondes où se trouve son camion préféré grâce aux updates sur le site de réseau social. Kogi BBQ a adopté Twitter dès son lancement et compte aujourd’hui 70 000 “followers”. Il existe également des sites permettant de savoir où se trouvent tous les camions-restaurants branchés à LA, comme FindLAFoodTrucks.com
Mais ces nouveaux camions gourmets ne font pas que des heureux. Lors d’événements tels que les “First Fridays” sur Abbot Kinney à Venice ou le “Downtown Art Walk”, la circulation déjà paralysée est aggravée par plusieurs dizaines de camions qui monopolisent des places de parking, génèrent beaucoup de détritus et de surcroît, font de l’ombre aux restaurants sur place. “Archi faux”, rétorque Matthew Geller, qui représente les camions. Son association a mis en place un système pour nettoyer les rues des gobelets, assiettes et autres canettes qui débordent des poubelles après les festivités. Sur la question de la concurrence déloyale, il insiste : “la clientèle des food trucks n’est pas la même que celles des restaurants haut-de-gamme qui se trouvent sur Abbot Kinney, de toute façon complètement pleins ces soirs-là.”
Une chose est sûre, ces camions ne sont pas près de disparaître. “A LA, ces camions sont une bouffée d’air frais dans une ville qui manque cruellement d’espaces publics”, indique Matthew Geller, “autour des camions, les gens se mélangent, partagent leurs impressions sur la nourriture et au final se rencontrent. C’est devenu une institution.”
LIRE AUSSI : Les meilleurs food trucks de New York
La sélection French Morning :
Kogi BBQ : Barbecue coréen fusion mexicain.
Don Chow Tacos : fusion cuisine mexicaine et chinoise. Leur spécialité : les “chimales”, des chinese tamales.
Border Grill : tacos et cuisine mexicaine moderne.
Dosa Truck : cuisine indienne à base de curry, de pommes de terre, de masala et samoussas.
Comfort Truck : De bons hamburgers et des sandwichs de tortillas (wraps). Les chips sont légendaires.
Nom Nom Truck : cuisine vietnamienne. La spécialité : des sandwichs de demi-baguettes avec de la viande de porc grillée.
The Grilled Cheese Truck : comme son nom l’indique, chaque plat sera servi avec du fromage fondu. De la simple tranche de pain avec du cheddar ou du brie au sandwich avec des courgettes et du sirop balsamique.
Coolhaus : des glaces créées par des architectes reconvertis. Les parfums sont étonnants : bacon au beurre, mascarpone-balsamique-figue, rootbeer à la fraise ou encore foie gras! Les glaces se dégustent en sandwich entre deux cookies.
Crêpes Bonaparte : de bonnes crêpes préparées par Christian Murcia, un chef franco-américain.
Buttermilk Truck : pancakes, gaufres, avec tout ce qu’il faut de sirop d’érable, cannelle et de sauce au chocolat.
Ludo Fried chicken Truck : un menu de poulet frit très raffiné : mariné dans sauce soja ou au romarin. (7,5 $ pour trois morceaux et une sélection de deux sauces), le Sandwich de Ludo avec poulet croustillant, pain de campagne de Bread Bar et sauce tartare française. En dessert crème brûlée (4 $) ou cookies à la limonade glacée. L’article sur Ludovic Lefebvre, lire ICI.
Le site FindLAFoodTrucks.com pour savoir où se trouvent tous les camions-restaurants branchés à LA.
Burning Man : « Metropolis »
Un voyage initiatique unique à l’échelle de la planète pour “comprendre la place que chacun d’entre nous peut jouer dans un monde onirique, sans argent !” Tout un programme…
Où: Black Rock City, Black Rock Desert, Nevada, entre Carson City et Pahrump
Quand : Du lundi 30 août au lundi 6 septembre 2010
Pour plus de renseignements : http://www.burningman.com/
Entrée: $300
Beverly Hills Food & Wine Festival
« Food & Wine » accueille plus de cinquante chefs talentueux. Au programme, dégustations et démonstrations culinaires, séminaires de vins, performance musicales avec des artistes célèbres, compétitions de sommeliers, et autres. Le festival présentera des thèmes divers tels que « The Art of Mixing », « Secret from the Kitchen and Cellar », « Date Night », « Taste of Something Better », « The Art of Brunch » ou encore « BBQ in the Hills ».
Où: Beverly Hills, adjacent au Beverly Hilton, 9900 Wilshire Blvd., Beverly Hills, CA 90210. Tel : 877-434 8624
Quand : Du jeudi 2 septembre au dimanche 5 septembre 2010
Pour plus de renseignements : http://www.thetasteofbeverlyhills.com/
Entrée: ($125, $150, ou $500) http://www.thetasteofbeverlyhills.com/cart/index.php?p=catalog&parent=1&pg=1