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Océans, le nouveau Disney de Perrin et Cluzaud

Jacques Perrin poursuit son exploration du monde animal, commencée en tant que producteur avec Microcosmos, puis comme réalisateur avec Le Peuple migrateur. Avec Océans, il collabore pour la troisième fois avec Jacques Cluzaud, pour offrir une série d’images spectaculaires capturées grâce aux dernières technologies sous-marines.

Séances et billets ICI

Des voix francophones au PEN

Pour entamer le festival, l’auteur irlandais qui vit à New York Colum McCann sera fait Chevalier de l’Orde des Arts et des Lettres par le gouvernement français. Il est l’auteur de Danseur et Et que le vaste monde poursuive sa course folle. Parmi les autres écrivains présents figurent plusieurs francophones comme Philippe Djian, Atiq Rahimi, Jean-Phillipe Toussaint, Lila Azam Zanganeh, Alexandre Najjar et Monique Proulx.
Pour marquer le 50ème anniversaire des ses campagnes en faveur de la liberté d’expression, PEN placera une chaise vide sur scène à chaque événement, consacrée aux écrivains actuellement en prison.
Mercredi 28 avril à 8pm,  Atiq Rahimi au Unterberg Poetry Center, 1395 Lexington av., 20$
Pour célébrer l’ouverture officielle, un casting d’écrivains sera présent. Parmi eux, l’écrivain et réalisateur de documentaires et de longs métrages Atiq Rahimi. Né en Afghanistan, il s’enfuit en France en 1984. Réalisateur et écrivain, le film de son roman Terre et cendres a été en sélection officielle à Cannes en 2004 et a remporté de nombreux prix. Depuis 2001, Rahimi est retourné en Afghanistan pour mettre en place une Maison des écrivains à Kaboul et offrir un soutien aisi qu’une formation aux jeunes écrivains et de cinéastes afghans.
Mercredi 28 avril à 8pm Philippe Djian sera à la Maison Française, 16 Washington Mews, gratuit. 
Il a publié plus de 20 romans, dont Assassins, Les Frictions, Impuretés, et le best-seller 37 ° 2 le Matin, adapté au cinéma comme Betty Blue. En 2009, son roman Impardonnables est un best-seller et a reçu le Prix Jean Freustié.  Durant cette rencontre Philippe Djian parlera de ses voyages aux Etats-Unis, de Betty Blue et de son univers littéraire.
Jeudi 29 avril à 7pm Jean-Philippe Toussaint et Philipe Djian, au Skir Ball Center, 566 LaGuardia Place, 15$
Une discussion sur se qui se passe quand le cinéma adapte nos romans préférés. Avec Jean-Philippe Toussaint et Philipe Djian. Jean-Philippe Toussaint est l’auteur de sept romans et de plusieurs films. Son travail a souvent été comparé à Samuel Beckett. En 2005, il reçu le Prix Médicis pour Fuir.
Vendredi 30 avril  à 12.30pm, Monique Proulx, au Deutsches Haus de NYU, 42 Washington Mews, gratuit
 Dans le cadre magnifique de la cour du  du Deutsches Haus à NYU, plusieurs écrivains Monique Proulx des lectures en plein air sous les arbres. Monique Proulx a écrit le scénario du film Le Sexe des étoiles, meilleur film canadien au Festival international du film de Montréal.
Vendredi 30 avril à 4.30pm, Monique Proulx, Austrian Cultural Forum, 11 East 52nd Street, gratuit
Karl O. Knausgaard, Joris Luyendijk, Monique Proulx et Roman Senchin parleront technique, genre, structure, langage…
Samedi 1 mai à 12.30pm Atiq Rahimi au  Scandinavia House, 58 Park Avenue, gratuit.
 Pourquoi les romanciers ont si souvent été inspirés par la guerre ? Atiq Rahimi participera à cette conférence intitulée “La Guerre et le Roman.”
Samedi 1 mai  à 1pmJean-Philippe Toussaint au Poisson Rouge, 158 Bleecker Street, 10$.
La Nouvelle fiction européenne est le thème de ce débat avec la présence de Naja Marie Aidt, Aleksandar Hemon, Valter Hugo Mãe, Colum McCann, et Jean-Philippe Tousaint.
Samedi 1 mai Jean-Philippe Toussaint, à la Scandinavia House, 58 Park Avenue,  gratuit
Jean-Philippe Toussaint parlera avec deux autres romanciers Quim Monzó et Peter Schneider de l’essai : sa forme, son histoire, ses contraintes, ses défis…
Dimanche 2 mai à 4pm Atiq Rahimi et Lila Azam Zanganeh au FIAF, Tinker Auditorium, 55 East 59th Street, gratuit
D’origine iranienne, Lila Azam Zanganeh, normalienne s’est installée aux Etats-Unis depuis 1998 pour y enseigner la littérature, le cinéma, et les langues romanes à l’Université Harvard. Elle publiera un récit sur Vladimir Nabokov en 2011. Le FIAF organise une conversation entre ces deux auteurs francophones sur le thème l’immigration, l’Iran, l’exil, le cinéma…
Dimanche 2 mai à 5pm, Alexandre Najjar, au Skyroom, 22 East 60th Street, gratuit
Rencontrez Alexandre Najjar au FIAF. D’origine libanaise, il est le directeur de la revue française L’Orient littéraire, publiée à Beyrouth. Il a écrit huit romans,  dont deux ont été traduits en anglais: Le silence de mon père et L’école de la guerre. Il est le lauréat du Prix Méditerranée et le Grand Pirx de la Francophonie décerné par l’Académie française.
Du 26 avril au 2 mai
Plus d’infos: http://www.pen.org/page.php/prmID/1096

Les élèves de l'ESRA présentent leurs films à New York

Il s’agit peut-être des futurs grand noms de la réalisation audiovisuelle française: les élèves de l’ESRA projettent leur films, entièrement tournés à New York, aux Anthology Film Archives. Cinq films dont quatre courts métrages et une comédie musicale. Après la projection, Max Azoulay, fondateur de l’ESRA, remettra des prix à ses meilleurs élèves, et tout le monde se retrouvera autour d’un cocktail pour terminer la soirée en beauté.
Gratuit, ouvert au public: Lundi 19 avril à partir de 5:00pm
www.anthologyfilmarchives.org
32 2nd Avenue, (212) 505-5181

Un Français au coeur de l'enquête sur Goldman Sachs

La question que la blogosphère commence déjà à poser: Fabrice Tourre est-il un bouc émissaire? Le jeune Français est la seule personne physique citée dans la plainte de la SEC (Security Exchange Commission), alors que sa position dans la banque était relativement subalterne. Ni ses patrons directs, ni les patrons de la banque ne sont poursuivis. Ni même le principal bénéficiaire de la fraude alléguée, John Paulson, le célèbre manager de hedge fund, qui aurait, selon la SEC, gagné 1 milliard de dollars dans l’opération (au total, la crise des subprimes et un judicieux pari sur l’explosion de la bulle immobilière auraient rapporté à Paulson 4 milliards de dollars).
Employé de Goldman Sachs depuis 2001, Fabrice Tourre  est de ces jeunes matheux français très prisés de Wall Street pour leur habileté à concevoir les produits financiers complexes devenus indispensables à la finance mondialisée. Après la prestigieuse Ecole Centrale, il passe par Stanford avant d’entrer en 2001 à Goldman Sachs. Là, il devient spécialiste des produits dérivés. C’est là qu’il participera à la création de “CDOs” (Collateralized Debt Obligation), ces produits financiers exotiques qui furent au coeur de la crise des subprimes.
Ce que la SEC reproche à Tourre c’est d’avoir menti aux clients auxquels Goldman vendait ces produits financiers, en omettant de leur dire que ces CDOs avaient été conçus à la demande d’un gros client de la banque, John Paulson. C’est, selon la SEC, Paulson qui aurait dicté la composition du CDO en question, en choisissant lui-même les actifs auxquels ils étaient adossés. Or John Paulson avait sélectionné ces actifs car ils pensait que leur valeur allait s’effondrer. Et pendant que Goldman les vendait à ses clients, Paulson lui prenait des positions inverses, pariant sur cet effondrement.
La SEC ne reproche pas à Goldman Sachs d’avoir permis à Paulson de profiter de la crise des subprimes, mais d’avoir caché des informations à ses clients, en omettant de leur dire qu’un patron de hedge fund était derrière la constitution du portefeuille dans lequel ils investissaient.
Fabrice Tourre (qui n’a pu être joint par French Morning) est sans doute victime d’avoir oublié un principe élémentaire que connaît tout banquier: ne jamais rien révéler dans un email qui pourrait être retenu contre vous. La SEC produit en effet dans sa plainte un email envoyé par Tourre à un collègue en février 2007, dans lequel il prévoit la crise à venir: «Plus en plus de leverage. L’édifice tout entier est sur le point de s’effondrer à n’importe quel moment maintenant. Seul survivant potentiel, le fabuleux Fab, debout au milieu de toutes ces transactions complexes, à fort effet de levier, exotiques, qu’il a créées sans forcément comprendre toutes les implications de ces monstruosités!!!”
Mais le supérieur direct de Fabrice Tourre, Jonathan Egol, n’est lui pas mentionné dans la plainte de la SEC. Il était pourtant désigné comme le principal auteur du plan dans un article du New York Times de décembre dernier qui révélait l’affaire et a vraisemblablement déclenché l’action de la SEC. Depuis, Egol a été promu au titre de “managing director”. De son côté, Fabrice Tourre avait quitté New York il y a quelques mois pour travailler au bureau de Londres de Goldman Sachs.
Quant à John Paulson, le grand bénéficiaire de l’affaire, il n’est pas poursuivi car, selon la SEC, ce n’est pas lui qui a menti aux investisseurs. Il s’est contenté d’empocher un milliard de dollars en silence…

Quand Avril rime avec shopping

La boutique Elie Tahari offre entre moins 70 et 80% sur la collection homme, femme, les chaussures et les sacs. Pour l’été le maillot de bain noir perlé est à 129$ au lieu de 698$; la veste en cuir chocolat est à 279$ et les sandales en cuir à 99$. Tout le week-end. 510 Fifth Ave.
La marque Blumarine solde avec des robes à 200$, du leopard à 395$ au lieu de 2100$ ou encore de la lingerie très sexy à 290$! Jusqu’au 29 avril. 37 W 57th.
Pour se cacher un peu du soleil, la marque Selima Hats propose toutes sortes de chapeaux, style cowboys, cloches, capelines, feutrés… à moins 50%. Tout le week-end. 7 Bond St.
La marque BGN Paris prolonge ses soldes et offre de moins 30 à moins 70% sur les petites robes d’été, les vestes en cuir, ses hauts, pulls, vestes et beaucoup d’autres. Tout le week-end. 250 W. 39th St.
La boutique Rock& Republic offre entre moins 50 et 80%, sur sa collection, homme, femme, les jeans et surtout les accessoires! Tout le week-end. Metropolitan Pavilion, 123 W. 18th St.
La marque américaine de jeans Anomane continue ses soldes de printemps. Le denim boyfriend est à 77$ au lieu de 110$, le cigarette est aussi à 77$. Pour l’été, les shorts sont entre 50$ et 72$ ainsi que les bermudas. Jusqu’au 30 avril, en ligne: http://cutdrop.com/
Des vêtements et des accessoires des designers indiens Laura Dawson, Sumie Tachibana, Brooklyn Royalty sont en soldes. Entre moins 40 et 75% sur leurs collections. Jusqu’au 26 avril.  230 Grand St.
La marque French Connection à petits prix… Le Market Chelsea vous propose des articles French Connection, comme la robe en tricot à partir de 90$, les minirobes bustiers à 90$, ou des petits shorts à 30$. Tout le week-end. Chelsea Market, 75 Ninth.
Les vêtements et accessoires de designers Hayden-Harnett, Eskell et Sarah Yu sont soldés entre moins 25 et moins 80%. Tout est là pour refaire votre garde robe avant l’été. Jusqu’au 26 avril. 253 Elizabeth St.
Jane’s Closet est toujours un bon plan. Elle vous propose des articles et accessoires des marques Huit-Huit, Deborah Sweeny et bien plus encore à petits prix. 60 N.6th Whyte Ave, Williamsburg.
Des chaussures, encore des chaussures! La marque Moreschi offre moins 50% sur toute sa collection. Les Teatro sont 322$ au lieu de 654$, Les Stradas passent de 545$ à 272$. Pour aller avec vos nouvelles chaussures, craquez aussi pour les ceintures à 125$. Tout le week-end. 515 Madison Avenue.
La marque Steve Madden solde! Boots, bottes, chaussures à talons, baskets, ballerines rouges, bleues, noires, de quoi vous chausser avant l’été…Tout le week-end et dans toutes les boutiques ‪Steve Madden‬.
Et toujours le bon plan du mois: La Spa Week. Plus de 100 spas à travers la ville proposent soins de visage et du corps à prix réduits. Ne tardez pas à réserver. Voir la liste des spas: http://www.spaweek.com/ du 12 au 18 Avril.

Richard Descoings parle formation des élites au Consulat

MISE A JOUR: En raison des perturbations du trafic aérien suite à l’éruption du volcan islandais, la conférence est annulée.
Le directeur de Sciences Po Paris Richard Descoings sera accompagné lors de la conférence de John Coatsworth, doyen de l’École des affaires publiques et internationales de Columbia University depuis 2008. Richard Descoings aura l’occasion de revenir sur ses réformes ambitieuses, notamment celles qui visent à favoriser l’égalité des chances dans les admissions à Sciences Po, ainsi que l’internationalisation de l’Université.
Mercredi 21 avril à 6:30 pm
Consulat Général de France
934 Fifth Avenue
(Entre 74e et 75e St)
RSVP: [email protected] ou 212-606-3648

BE Film, un festival dédié à l'art du court métrage

Après les attentats du 11 septembre, Laurence Asseraf, ancienne avocate, a voulu elle aussi participer à la renaissance du quartier de TriBeCa en ouvrant la galerie A Taste Of Art. Quelques années plus tard, elle découvre l’art du court métrage grâce à des amis cinéastes et décide de créer son propre festival.
La première édition en 2004 est un franc succès, le Tribeca Underground se fait déjà un nom. A tel point que la Parisienne s’attire les foudres du Tribeca Film Festival, et se voit contrainte de changer de nom. Qu’à cela ne tienne, le festival est rebaptisé Be Film Festival et continue de faire son chemin et de marquer sa différence.
Ce festival ciblé n’est pas un événement commercial. Il faut dire que le court métrage manque toujours cruellement de moyens et de distribution. Mais Laurence Asseraf entend bien faire connaître les petits chefs d’œuvre de la discipline. « Le court métrage est un art à part entière, un mode d’expression en soi. Je ne pense pas que ce soit nécessairement un art qui amène vers le long métrage », explique-t-elle.
Cette année, le festival présentera 65 courts métrages venant de 21 pays différents. Pour l’ouverture, c’est le court métrage d’animation français Logorama, oscarisé en mars dernier qui a été sélectionné. Depuis l’année dernière, BE film est aussi le premier festival de court métrage à avoir ouvert une catégorie 3-D stéréoscopique, grâce au directeur des programmes du festival, Athos Dimitris, véritable gourou en la matière. Parmi les films projetés en 3-D, le court-métrage de Céline Tricard, Réminiscence, sera projeté au Disney Screening room. La française Jeanne Guillot viendra présenter en personne Le train où ça va… également projeté lors du festival du film français de Richmond le mois dernier.
Bel Ami 1Le 29 avril, Isabelle Colin Dufresne, alias Ultra Violet, viendra répondre aux questions du public après la projection du premier court métrage de David Henry Gerson, également présent pour l’occasion, qui lui est consacré. Ce film dure 16 minutes, et ce n’est pas un hasard : « Tout le monde connait l’expression de Warhol :«les 15 minutes de célébrité”. David m’a proposé cela au début, mais ce n’était pas assez original. Je voulais plus: 16 minutes de célébrité. », explique Ultra Violet à French Morning dans son atelier new-yorkais. A 75 ans, l’artiste française est toujours très demandée des deux côtés de l’Atlantique, mais préfère New York : « Il n’y a rien à faire en France », lâche-t-elle. Une personnalité forte et une vie fascinante, que Gerson capte parfaitement en 16 minutes. Après, le festival du film indépendant de Washington, c’est la deuxième fois que le film est présenté au public. Une sensation tout particulière pour le réalisateur d’à peine 24 ans, ravi de faire parti de la sélection de Laurence Asseraf pour ce festival : « Elle a une énergie particulière », dit-il.
C’est cette énergie qui permet également à Laurence d’apporter toujours plus au festival, avec pour la première fois cette année l’ouverture d’une chaîne BE Film sur le site internet BabelGum. Les amateurs de courts métrages pourront ainsi voir et revoir les films sur internet, certainement la solution pour prolonger la vie de ces petits chefs d’œuvre…
Du 27 avril au 1er mai.
Plus d’infos: www.befilm.net
Pour en savoir plus sur le film de David Henry Gerson, Ultra Violet for Sixteen Minutes: ICI

Joséphine Ancelle au Living Room

Joséphine Ancelle pose sa voix angélique sur des mélodies légères au style pop, folk. Bercée dans un univers musical depuis l’enfance, elle quitte Paris pour poursuivre son rêve outre-Atlantique. Après Montréal, elle s’installe à New York, où elle multiplie les rencontres artistiques. Joséphine s’est  déjà produit dans de nombreux clubs réputés à New York comme  The Bitter End, Crash Mansion, Sidewalk Café. Le FIAF fait même appel à ses talents en 2008 et 2009 pour le Bastille Day (le 14 juillet) organisé à New York. Elle sera en concert dimanche 25 au Living Room, dans le Lower East Side.
Dimanche 25 avril de 8h à 9h
Au Living Room: 154 Ludlow Street
Plus d’Infos: http://www.myspace.com/josephineancelle
http://www.livingroomny.com/

Chanteuse sans frontières

Razia Said est une globe trotteuse. Née à Madagascar, elle a vécu au Gabon, en Italie, à Ibiza, Bali, Grenoble pour sa faculté de médecine et Paris pour son expérience d’actrice. Elle a posé ses valises à New York, plus précisément à Harlem dans une grande maison chaleureuse.
Razia croit en un monde sans frontières et le transmet à travers sa musique, la World Music. C’est au Gabon, dans la chorale de l’église locale, que tout a commencé. Au début elle chante pour le plaisir mais très vite la passion prend le dessus. Ses influences sont diverses: le salegy, ces rythmes traditionnels malgaches, la pop anglaise, américaine, ou encore la variété française, elle fait feu de tout bois. Ses albums mêlent percussions africaines, R&B, soul, jazz, anglais et malgache.  Sa voix est douce, apaisante, envoûtante et chaleureuse.
Aujourd’hui, elle utilise sa musique pour sauver l’environnement de son pays natal avec son nouvel album “Zebu Nation“. Cet album est né lors d’un voyage avec son mari à Madagascar, en 2007.  Sur place, Razia est choquée par l’état de désolation de la biodiversité de son pays. «La savane était dévastée, la forêt fumait, les feux de brousses détruisent les richesses du pays et  la coupe des arbres qui est sans limite. Il ne reste aujourd’hui que 10% de l’emblème de Madagascar, la forêt», déplore Razia.
La vente de l’ album permettra de récolter des fonds pour planter des arbres fruitiers avec les enfants du village et mener beaucoup d’autre actions. “Ceux sont des petits défis au sein d’ un grand qui est de réunir £300 000”, explique t-elle. Les textes sont principalement en malgache, une seule chanson est en anglais « Lash and Burn ». Après une tournée promotionnelle en Europe et pour la première fois à New York, Razia présentera Zebu Nation lors d’un concert au SOB’s.
Si “Zebu Nation” est une condamnation directe de la négligence et du libre-échange de l’agriculture,  mais c’est aussi un cri d’espoir et d’amour pour sensibiliser la population mondiale à son pays natal. « C’est un véritable retour aux racines pour moi ».
Jeudi 22 avril à 9.00pm
SOB’s: 204 Varick Street New York 10014
Tickets: 15$  http://www.sobs.com/node/112
Plus d’infos:
http://www.raziasaid.com/
http://www.sobs.com/node/112

Chanel et sa collection Printemps à Resurrection

Venez admirer la Spring Collection de Chanel à Resurrection Vintage.
De nombreux sacs, accessoires et autres robes Vintages de la célèbre marque française créée par Coco Chanel seront mis en vente à des prix très avantageux !
Où ? Resurrection
8006 Melrose Ave. – Los Angeles, CA 90046
Heures d’ouverture : Lundi – Samedi 11h – 19h
Pour plus d’information sur la boutique et les produits : http://www.resurrectionvintage.com/

Festival du livre Los Angeles Times à UCLA

A Los Angeles, dans un océan de festivals de cinéma, il est finalement assez rare de pouvoir profiter d’un festival de livre. Grâce au Los Angeles Times et à UCLA (University of California in Los Angeles), c’est chose faite !
Les Samedi 24 et Dimanche 25 Avril sur le campus de UCLA à Westwood, venez au Los Angeles Times Festival of Books rencontrer de nombreux auteurs reconnus, dont Mary Higgins Clark or James Ellroy. De nombreux panels et séances de dédicaces seront par ailleurs organisés au cours du week-end.
Quand ? Samedi 24 et Dimanche 25 Avril
Où ? UCLA Campus
405 Hilgard Avenue
Los Angeles, CA 90024
Tarif : Gratuit (avec réservation préalable sur TicketMaster à partir du 18 Avril à midi)
Pour plus d’information et pour réserver : http://events.latimes.com/festivalofbooks/

Le Baôli débarque à Miami

Les propriétaires de Vita Lounge Christophe Caucino et son associé Pierre Antoine Navarro attendent le feu vert de la mairie. Ils commenceront ensuite les travaux, pour transformer Vita, acquis il y a deux ans en Baôli. L’ouverture est prévue pour l’automne. Baôli comptera environ 300 places, dont 160 dans le jardin. A la carte,  une cuisine méditerranéene et des accents asiatiques.
Baôli est le repère des stars à Cannes. C’est là qu’ont lieu les plus grandes soirées du festival. Martin Scorsese et Leonardo DiCaprio, Brad Pitt et Angelina Jolie, tous ont fait leurs soirées là-bas. Les jet-setteurs se déplaçant, tels les oiseaux migrateurs, au gré des événements, Christophe Caucino a jugé bon de leur donner un nouveau “nid” à Miami. Vita, situé face au Shore Club et à Setai sur Collins Avenue a déjà son lot de stars : Naomi Campbell y a organisé une “afterparty” pendant d’ Art Basel. U2 sera en concert à Miami le 9 Juillet et Christophe espère bien que son ami Bono ira faire un tour à Vita.
A 42 ans, Christophe Caucino originaire d’un petit village près de Corte en Corse avait une stratégie en deux temps : l’acquisition de Vita puis la transformation en Baôli. « Il ne fallait pas que j’arrive à Miami en pays conquis», explique-t-il. Il dirige les affaires depuis la France, en faisant une dizaine d’aller-retour par an et en s’appuyant sur son directeur des opérations de 28 ans Michael Ridard. Mais ce n’est pas toujours évident. “Il ne faut pas se méprendre. Le marché à Miami est constitué de locaux. Ils ont leus repères comme Joe’s Stone Crab et Prime 112. Ils sont très difficiles à toucher.”
Cela n’empêche pas Christophe Caucino de voir grand : il veut développer la marque « Baôli » aux Etats-Unis. La prochaine étape sera New York. Il cherche à Soho et dans le Meatpacking District, les quartiers de prédilection de la jetset.