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Les types d’entreprises utilisés aux États-Unis

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Que vous vous lanciez dans une nouvelle entreprise commerciale ou que vous planifiez d’investir dans une entreprise existante, vous devrez inévitablement, en structurant votre investissement, prendre une décision en termes de structure légale la plus appropriée à vos intérêts commerciaux, à vos objectifs et à vos besoins.
Cette décision est importante puisqu’elle influence, entre autres, le montant des impôts que vous devrez payer sur le revenu généré par l’activité, le niveau de contrôle que vous pourrez exercer sur les opérations de l’entreprise et, dernier élément mais le plus important, la part de protection de vos biens personnels face aux créditeurs en cas de faillite ou de poursuite de l’entreprise suite à une négligence et/ou à des actes illégaux de certains responsables et cadres de l’entreprise.
Le présent article a pour objectif de vous fournir un sommaire des formes d’entreprises les plus communes aux États-Unis et de vous informer sur les caractéristiques importantes et/ou distinctives de chacune de ces structures légales.
Faire des affaires aux États-Unis :
Dans l’ensemble, les formes d’entreprises les plus communes aux États-Unis incluent :
1.     Les « entreprises individuelles  ou unipersonnelles» ou les entreprises non constituées – lesdites entreprises sont généralement possédées et exploités par un fondateur et parfois nommées « entreprises familiales » [mom and pop shops] ; et
2.     Les entreprises constituées qui incluent (a.) les sociétés anonymes ou « C Corp. ou general Corporations», (b.) les sociétés « S ou S Corporations» qui sont aussi des sociétés anonymes mais qui bénéficiant d’un régime fiscal spécifique grâce à leur statut de société « S »; et (c.)les sociétés à responsabilité limitée « LLC ou Limited Liability Company» qui sont des hybrides des entités intermédiaires qui proposent des protections en termes de responsabilité limitée pour une société, associées aux caractéristiques fiscales d’un partenariat.
Au cours de ces dernières années, les sociétés « LLC » et « S » sont devenues très populaires aux États-Unis bien que les sociétés « C » sont elles-mêmes encore très nombreuses. Ci-après se trouve un résumé des caractéristiques, avantages et inconvénients les plus importants de chacun de ces types d’entités :

L’Entreprise individuelle ou Unipersonnelle

L’entreprise individuelle (sole proprietorship) est la forme la plus simple de monter une entreprise aux États-Unis – il est très facile d’établir ce genre d’entreprise qui nécessite très peu de démarches administratives. Un atout positif de ce type d’entreprise : il existe un seul niveau d’imposition sur les revenus générés. Ceci étant, tous les revenus et toutes les dépenses de l’entreprise sont indiqués sur la déclaration d’impôt sur le revenu du propriétaire et taxe au taux d’imposition applicable sur les revenus personnels de ce dit propriétaire.
Un des inconvénients majeurs de ce type d’entreprise : le propriétaire a une responsabilité illimitée en termes vis-à-vis les dettes et obligations de l’entreprise. Ainsi, les biens personnels (c.-à-d. domicile personnel, économies, etc.) du propriétaire peuvent être hypothéqués pour étancher les dettes de l’entreprise en cas de banqueroute ou de litige.
Une entreprise individuelle possède également un caractère rigide puisqu’elle ne permet pas l’admission de partenaires ou la vente partielle de capitaux de l’entreprise à un investisseur extérieur.
 

La Société anonyme – Société « Inc. » ou « C Corp.» ou « General Corporation »

 
Très similaire à une « SA » en France, cette forme d’entreprise offre de nombreux avantages importants. Plus particulièrement, une société « C » apporte une responsabilité limitée à ses actionnaires. En d’autres termes, la perte maximale qu’un actionnaire peut potentiellement connaître en investissant dans une société de ce type, est limité au montant de son investissement dans le capital d’une telle société.
Les sociétés « C » proposent également une structure de propriété et de capital flexible où des individus et/ou des sociétés, entre autres entités, peuvent détenir des actions de l’entreprise. Vous pouvez également avoir différentes classes d’actions dans la même société (c.-à-d. stock préféré par rapport à stock commun), ce qui permet aux actionnaires de chaque classe d’avoir des droits différents (c.-à-d. droit de vote). Enfin, les sociétés « C » vous permettent généralement de transférer librement vos titres en vendant simplement vos actions lorsque vous le souhaitez.
Le côté négatif pour un actionnaire, c’est que les revenus générés par l’activité de la société « C » sont assujettis à deux niveaux d’imposition qui provoquent généralement des charges fiscales plus lourdes. La société « C » doit payer des impôts sur ses bénéfices nets (impôt niveau société). En outre, un actionnaire doit également payer des impôts sur ces mêmes revenus lorsqu’ils sont distribues par la société sous forme de dividende ou autre (impôt niveau actionnaire). C’est pour cette raison que l’utilisation des sociétés « S » et/ou à responsabilité limitée (LLC) a gagné du terrain en termes de popularité au cours de ces dernières années – elles éliminent les taxes (Impôts sur le bénéfice) au niveau de l’entreprise.

La Société « S »

Une société « S » (“S” Corp), maintenant utilisée depuis plusieurs années aux États-Unis, est une entité hybride qui regroupe les caractéristiques d’une société anonyme type « C Corp.», tout en combinant les caractéristiques d’un partenariat du point de vu fiscal.
Une société « S » est en effet une société anonyme « C Corp. » qui, selon certaines exigences d’admissibilité, choisit d’être imposée selon le régime fiscal d’un partenariat en conformité avec les dispositions du paragraphe « S » du Code fiscal fédéral des États-Unis (Internal Revenue Code). Ainsi, la société « S » préserve les mêmes protections en termes de responsabilité limitée à ses actionnaires mais élimine l’impôt sur le bénéfice applicable à toutes les sociétés anonymes de type général ou « C Corp.».
Comme avec un partenariat, une société « S » est transparente fiscalement. Tous les éléments de revenus et de dépenses sont transférés aux actionnaires de la société, proportionnellement à leurs titres investis dans la société. Sous ce régime, les actionnaires de la société payent des impôts sur le revenu en fonction de leur part de revenu ou de perte générée par l’entité.
Pour qu’une entreprise puisse être de type « S », elle doit répondre à certaines exigences. La société doit notamment, conformément à la loi en vigueur, avoir un maximum de 100 actionnaires. De même, la société ne peut avoir qu’une classe d’actionnaires et que des résidents et ou citoyens américains en tant qu’actionnaires. Les actionnaires de la société doivent être soit des particuliers, certains types de fiduciaires (trusts & estates) et/ou des organismes caritatifs.
Bien qu’offrant des avantages considérables à ses actionnaires en éliminant l’impôt sur les bénéfices imposables aux sociétés type « C », une société « S » n’est pas aussi flexible qu’un partenariat et/ou une société à responsabilité limitée [Limited Liability Company (LLC)]. Plus particulièrement, les exigences obligatoires en termes d’admissibilité d’une société « S » sont quelque peu limitatives puisqu’il n’existe qu’un certain type et qu’un certain nombre d’actionnaires pouvant investir dans ce genre d’entreprise.

La Société à responsabilité limitée [Limited Liability Company (LLC)]

Comme son nom l’indique, une LLC propose les mêmes protections en termes de responsabilité limitée qu’une société « S »  ou d’une société anonyme « C Corp. » à ses membres (propriétaires/actionnaires). Compare a une « S », une LLC élimine toutes les contraintes imposes aux sociétés « S » en termes de type et de nombre d’actionnaires admissibles. Du point de vu fiscal, une LLC, comme une « S », propose une transparence fiscal a ses membres et suit le régime fiscal d’un partenariat.
Cependant, outre ces caractéristiques importantes, elle propose également des options et avantages considérables qui ne sont pas disponibles dans les formes d’entreprises susmentionnées (sociétés « S » et/ou « C »). Contrairement aux sociétés « S » ou « C », une LLC, imposée comme un partenariat, apporte à ses membres une flexibilité totale en termes de la répartition des intérêts des actionnaires de la société. Par exemple, une LLC peut offrir a un investisseur potentiel un intérêt seulement and le capital de la société et/ou seulement dans les pertes et profits ou les deux (c.-à-d. 50% des pertes et profits à l’actionnaire A/50% des pertes et profits à l’actionnaire B/100% des intérêts sur le capital à l’actionnaire B/0% a A). Une telle répartition des actions d’une société peut uniquement être effectué dans un partenariat ou dans une LLC qui est imposée comme un partenariat.
Afin de limiter vos risques et de contrôler ce que vous aurez à payer comme impôts aux États-Unis, il est important et prudent de bien connaitre les aspects légaux et fiscaux pour chaque type de société et de bien choisir la forme d’entreprise le plus adapté à vos besoins prenant compte, entre autres, des éléments suivants : votre activité commerciale, ou se trouvent vos clients, vos plans d’expansion, les actionnaires et ou investisseurs actuels et potentiels de la société etc..
William J BLANCHET, CPA MS TAX
757 Third Avenue, Suite 2026
New York, NY 10017
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f. 212-376-4981
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Le français menacé par la crise budgétaire californienne

L’heure est grave de l’Université d’Etat de Fullerton (CSU Fullerton). Au Département de Langues Modernes, la directrice, Janet Eyring sonne l’alarme. «Notre Département de Littératures et Langues Modernes date de plus de 50 ans, et est composé de 23 professeurs à plein temps, ainsi que de 8 professeurs à temps partiel», explique-t-elle.  «Nous sommes situés sur le plus grand campus du réseau CSU (California State University). Nous sommes à l’image du monde d’aujourd’hui, avec un corps enseignant composé de diverses nationalités et origines ethniques, de langues différentes, et de formations académiques variées. Nous offrons 4 programmes de Bachelors , 4 Masters, et 5 programmes de Mention (Minor). Les coupures budgétaires proposées réduiraient cette offre de moitié.»
À compter de Septembre 2010, les suspensions annoncées par le rapport de la Doyenne Angela Della Volpe se traduiraient par un refus d’admission de tout étudiant désireux de s’inscrire aux programmes de français, d’allemand, et de portugais. Janet Eyring s’empresse de rajouter : «Ce que l’administration n’indique pas dans ses communiqués est que par défaut, les spécialisations de Commerce International en français, allemand, et portugais seraient également supprimées, parce que ces cours dépendent fondamentalement des autres programmes. »
Coordinatrice des Programmes de français, Hélène Domon déplore également cette décision qui éliminerait plus de 50 ans de travail académique dans les langues, la littérature, les civilisations, et les cultures modernes. «Nous n’enseignons pas simplement une langue étrangère aux étudiants. Nous leur apprenons à comprendre certains contextes, les valeurs, l’Histoire et les cultures de la langue qu’ils étudient. »
Janet Eyring et ses professeurs contestent donc vivement les arguments du Bureau du Doyen, en dénonçant des coupures budgétaires qu’ils jugent «prématurées» et «inutiles». « Chaque département dispose en effet d’un budget et d’un taux d’inscriptions cibles», explique Dr. Eyring, « un département réussit  son année quand il atteint son nombre d’inscriptions tout en restant dans le budget. Grâce à la popularité grandissante de nos programmes espagnols, japonais, et chinois, nous sommes confiants de pouvoir maintenir de plus petites classes en français, en allemand, et en portugais. Notre taux d’inscription pour ces trois programmes est tout à fait semblable à celui d’autres départements du réseau CSU, mais nous sommes actuellement le seul campus où ces trois langues sont menacées. »
Voyant se rapprocher à grands pas une réunion décisive courant avril et une décision finale par le Président de l’Université le 14 mai prochain,  Janet Eyrin et son équipe tentent de sensibiliser et de mobiliser largement.  «Nous nous demandons réellement pourquoi notre département a été choisi comme cible par l’université, mais cela ne règlera pas leur déficit budgétaire, et nous ne nous laisserons pas faire», conclut Janet Eyring, prête à se battre pour sauver ce qui peut être sauvé.
Pour participer :
1. Joindre le groupe Facebook Save French/ German/ Portuguese at CSUF !
2. Contacter Dr. Janet eyring [[email protected]] ou Dr. Helene Domon [[email protected]].

Café des Sciences du Consulat Général de France

La prochaine édition du Café des Sciences se tiendra le 25 mars prochain à partir de 17h30 au Consulat Général de France à Los Angeles.
Julien Emile-Geay, Assistant Professeur au sein du Département de Sciences de la Terre à USC, donnera une présentation intitulée « Du Climat et des Hommes » et qui traitera de l’impact de l’activité humaine sur le climat.
Cette présentation en Français sera suivie par une discussion autour d’un verre de vin.
Quand ? Jeudi 25 Mars à 17h30
Où ? Au Consulat Général de France
10390 Santa Monica Blvd, suite 410 (4e étage)
Los Angeles, CA 90025
Entrée libre et gratuite
Pour plus d’information et pour RSVP (avant le 24 mars), contactez :
Thomas Biedermann
[email protected]
Cell : (310) 922-0407

Le Québécois Sugar Sammy en spectacle à Hollywood

Le 20 Mars, l’humoriste québécois Sugar Sammy, lauréat du prix de la Révélation de l’année au dernier Festival Juste Pour Rire, sera sur scène au café-théâtre Hollywood Improv.
Quand ? Samedi 20 Mars, à 19h30 et 21h30.
Où ? Hollywood Improv
8162 Melrose Avenue, Los Angeles, CA 90046
(323) 651-2583‎
Pour plus d’information : http://www.improv.com/

Soirée Dîner et Film au Chalet Edelweiss

Le 7 Avril, venez au Chalet Edelweiss, déguster un repas traditionnel et voir un film suisse. Christophe Vauthey, en charge des affaires culturelles pour le Consulat Général de Suisse, introduira la projection du film “Jeune Homme”, réalisé par Christoph Schaub, et qui conte l’histoire existentielle et amoureuse d’un garçon suisse-allemand de 18 ans qui va travailler comme «jeune homme au pair» en Suisse romande.
Quand ? Mercredi 7 Avril à 19h
Où ? Au Chalet Edelweiss
8740 Sepulveda Blvd. Westchester/LAX, CA 90045
Pour réserver (fortement recommandé) et pour plus d’information : (310) 645-8740

Roy Teeluck, la fierté de l'artisan-coiffeur

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Le salon est situé à l’étage, avec d’immenses baies vitrées donnant sur la 57ème rue, entre Park et Madison. Bienvenue chez Roy Teeluck un salon cosy où l’on se fait coiffer et manucurer en musique, un verre à la main.
Depuis le mythe de Samson, tout le monde connait l’importance de la chevelure chez les humains. Roy, un grand sourire aux lèvres confirme: “Les cheveux, c’est le seul accessoire que nous portons tous les jours. C’est la force de la première impression, la personnalité, la confiance, la perception de soi… Pour les clientes qui viennent nous voir la première chose que l’on fait, c’est d’être à leur écoute et de les satisfaire”.
Né en Angleterre, Roy est venu à la coiffure un peu par hasard. Sans vraiment d’ambition, ‘just pay the bills’ comme disent tous les anglo-saxons. Le jeune homme a du talent, se fait vite repérer et se retrouve en France. Marié à une française, Roy porte un regard clair sur la France, pays souvent décrit comme la Mecque de la coiffure: ‘Les écoles ne sont pas meilleures qu’ailleurs et d’ailleurs, personne ne donne des lecons de talent, seulement de la technique. Et c’est là que les francais excellent car ils apprennent que ce metier demande une rigueur extrême. Pour ma part, j’ai été formé comme un artisan puis j’ai developpé le côté artistique.’
Apres Londres et Paris, Roy fait le grand saut et s’installe aux USA. “Venir ici sans s’adapter, c’est la mort. Il faut construire un univers en même temps que se bâtir une clientèle. C’est le secret. J’ai mis sept ans à construire mon équipe et je ne me considère pas comme le point central du salon, plutôt comme un parapluie. Quand il pleut on partage le parapluie, les gens qui viennent ici ne désirent pas forcément etre coiffés par Roy. Non, ils viennent au salon car je privilégie l’esprit d’équipe, une vision commune de notre métier”.
Une équipe de professionnels
Pour constituer son ‘team’ Roy emploie la même technique: “Je vois toutes les personnes qui désirent me rencontrer. Je suis toujours intéressé par ceux qui partagent la même passion que moi, dans l’industrie de la beauté, que je pratique depuis 25 ans”. Roy en a vu des apprentis, des artistes… Mais le jeu en vaut la chandelle car la patience et la persévérance a fait qu’il a maintenant une equipe de professionnels qui travaillent dans le même état d’esprit, où la cliente est prioritaire, en delivrant un service de qualité, dans une ambiance amicale
Un nouveau salon à Miami
Roy rentre de Los Angeles où il a coiffé de nombreuses stars que l’on a vu sur le tapis rouge des Oscars. Lesquelles? Des noms? Au moins une? Il reste discret. ‘Je ne parle jamais des gens que je coiffe, jamais de mes relations avec le monde de la mode, du cinema ni des personnes du milieu politique américain… Parfois, je lis des articles sur des so-called stars de ma profession qui me font bondir. On oublie encore qu’un coiffeur, même connu, est une personne qui manie le peigne et les ciseaux. Je ne me vante pas, je ne vends pas le salon en citant des noms de clients, les connus comme les inconnus. La seule manière de réussir, c’est le travail’.

Dernier point: le prix des coupes. “Je pense que les gens, même argentés, ne veulent plus dépenser des centaines de dollars pour une coupe de cheveux. Cette époque est révolue. Depuis que j’ai ouvert New York, j’ai toujours voulu que les clients trouvent une grande qualité sans se ruiner. J’aurai pu, peut-être, gagner plus d’argent mais je préfère durer. Je vais appliquer la même politique à Miami où j’ai decidé de construire un deuxième salon après avoir été convaincu par des relations de travail de venir en Floride”.
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Avertissement: Cet article est une publicité financée par l’annonceur. Il ne saurait engager French Morning ni impliquer un quelconque soutien de la rédaction de French Morning aux produits ou services présentés.

Norah Jones au Madison Square Garden

Chanteuse, musicienne et actrice Norah Jones, New-Yorkaise d’origine, a vendu depuis le début de sa carrière plus de 39 millions de disques et a remporté 8 Grammys. Elle fait partie des artistes jazz soul les plus populaires.
Au cours de ce concert Norah Jones interprétera son dernier album the Renaissance ainsi que ses nombreux succès.
Le 27 mars 2010
Madison Square Garden
Réservation: http://www.thegarden.com

Shopping Printanier

Parce que le soleil commence à taper sur New-York ne sortez pas sans votre chapeau!  Still Life vous propose toutes les formes et couleurs en promotion! Les casquettes à carreaux sont à partir de 100$ et les chapeaux melons à 70$. Les chapeaux peuvent se porter pour toutes les occasions, le soir, la journée…  Jusqu’au 31 Mars  77 Orchard street entre Broome et Grand.
Des chaussures, encore des chaussures et toujours des chaussures mais cette fois à petit prix. La marque Moreschi brade ses prix et vous offre moins 50% sur toute sa collection. Les Teatro sont 322$ au lieu de 654$, Les Stradas passent de 545$ à 272$. Pour aller avec vos nouvelles chaussures craquez aussi pour les ceintures à 125$. Jusqu’au 30 Mars. 515 Madison Avenue.
La marque DSW ( designer shoe warehouse ) vous offre 15$ sur toutes les paires de chaussures. Ballerines, tennis, talons tout pour vous chausser cet été. Jusqu’au 14 Avril. 40 East 14th Street.
Vous avez remisé vos manteaux au placard et vous voulez vous refaire une garde-robe sans culpabiliser? La boutique Jane’s Closet vous propose des articles et accessoires des marques Huit-Huit, Deborah Sweeny et bien plus encore à petits prix. Jusqu’au 4 Avril. 60 N.6th Whyte Ave, Williamsburg.
Tout doit disparaître! C’est le nouveau mot d’ordre de la marque Kenneth Jay Lane au Plaza. Pendant tout le mois de Mars, la marque solde ses collections passées, les prix varient entre 50 et 1000$! Jusqu’au 31 Mars. 1 W. 58th St., at Fifth Ave.
Pour fêter ses 35 ans, Tumi la marque spécialisée dans les valises et accessoires de voyage vous offre 100$ pour tout achat au-dessus de 300$. Jusqu’au 4 Avril. Dans toutes les boutiques.
Vêtements et accessoires d’Orla Kiely, Erickson Beamon, Kova & Te et bien plus à moins 90% au Showroom Seven. Plus aucune excuse pour ne pas craquer sur un sac en cuir à 104$, un collier tigre à 372$ au lieu de 930$. Jusqu’au 30 Mars. 263 Eleventh Av.
Les stars raffolent toutes des sacs Lauren Merkin. Pour fêter l’arrivée du printemps la boutique affiche moins 80%, sacs, accessoires, vêtements tout est à petits prix. Le sac serpent Louise est à 100$ au lieu de 200$, le sac en raphia Tatum perd 175$ et est donc à 100$.  Et les boites de maquillage sont à 5$! Jusqu’au 20 Mars. 231 W 29th street.
Pour se couvrir de bijoux la marque Wendy Mink solde. Vous trouverez des colliers de 50$ à 150$, des boucles d’oreille avec des pierres vertes de 40$ à 120$, tous plus raffinés les uns que les autres. Tout le week-end. 72 Orchard.
Le beau temps est arrivé et l’heure d’exposer vos jambes aussi. Pour ne pas avoir l’air ridiculement pâle le Eve Salon vous propose des séances d’UV pour faire bronzer vos gambettes à petits prix 20$ au lieu de 40$. Jusqu’au 30 Mars. 55 W 8th street.

Faire son vin à Soho

Apiculture sur les toits, potagers urbains, cours de boucherie : les activités manuelles et rustiques ont la cote à New York. Jusqu’ici, ce mouvement Do It Yourself était plutôt l’apanage des jeunes barbus tatoués de Brooklyn, mais pour le rustique chic, il y a maintenant la City Winery de Soho, où plus de 200 amateurs ont déjà créé leur propre cuvée, sans trop se salir les mains.
Votre nom sera sur toutes les bouteilles (environ 250), mais c’est l’œnologue français David Lecomte qui aura fait presque tout le travail. Certains participants aident à trier les raisins, viennent régulièrement goûter le jus en fermentation, puis faire des assemblages de vins avant la mise en bouteille. Mais il s’agit surtout d’«observer sans participer », explique-t-il. « Il y a des pompes 220 volts, du CO2 qui se dégage dans les cuves. Il faut une bonne connaissance de l’équipement, et les réglages sont très minutieux.»
Suivre le processus de vinification, même de loin, permet de comprendre comment le breuvage évolue. C’est ce qui attire les passionnés de la vigne, prêts à payer entre 6 000 et 9 000 dollars pour l’expérience. Et puis il y a aussi ceux qui veulent leur nom sur des bouteilles pour impressionner leurs amis ou leurs clients. Plusieurs cabinets d’avocats, hedge funds et agences immobilières, ainsi que le « New York Daily News » et NBC ont déjà leurs tonneaux en cave. Le catalogue propose des Syrahs, Pinot Noirs, Cabernets et Rieslings, et vous pouvez composer votre étiquette comme il vous plaît. Les grappes font le voyage depuis la Californie et l’Oregon en camion réfrigéré, d’Argentine en bateau et bientôt de France.
C’est donc sur Varick Street, loin du terroir, que David Lecomte presse le raisin, bercé par des concerts de rock alternatif. A la City Winery, l’espace de vinification côtoie en effet une salle de concert qui fait aussi bar-restaurant. Michael Dorf, le fondateur de la Knitting Factory  (où Sonic Youth a fait ses débuts) est à l’origine de ce lieu multifonctionnel. Le triage, la fermentation et le pressage, tout a lieu ici, et les passants peuvent tout observer depuis le trottoir. Le « winemaker » rhodanien fait aussi ses propres créations (environ 20 pourcent de la production), dont le Spring Street Pinot Noir et le Varick and Vine Chardonnay. Ils sont déjà en bouteille et servis au bar à la tireuse (directement à partir du baril), un système qu’il voudrait introduire à Paris.
Bernard Esquenet, un des membres new-yorkais, s’apprête à embouteiller son Cabernet Sauvignon de Napa Valley. Ce chimiste originaire d’Epernay est très fier de son Domaine Esquenet 2008 (« je trouve que c’est le meilleur », assure-t-il). Sa femme a peint l’étiquette, qui représente toute la famille, en habits 17eme siècle. Pour ceux qui se lassent de leurs créations, il y a la possibilité de troquer quelques caisses avec d’autres membres, mais la revente est illégale. Il est donc recommandé de bien écouter David Lecomte (et ses 15 ans d’expérience) : « Il y a 21 caisses chacun…Il vaut mieux que le vin soit bon, alors les membres me font confiance ».

Simon Hantaï à la galerie Paul Kasmin

Simon Hantaï n’avait pas exposé depuis 2001 aux Etats-Unis. Peintre français d’origine hongroise, il s’installe à Paris en 1949 et intègre le groupe  surréaliste mené par André Breton.  Il devient alors immédiatement connu en Europe pour ces toiles abstraites et saturées de couleurs. Tout au long de sa carrière il expérimente plusieurs techniques comme le collage, le frottage ou encore le pliage.
Très attiré par Pollock, il rompt avec André Breton et s’intéresse aux peintres expressionnistes américains. Sa peinture évolue alors vers un style plus abstrait et plus lyrique, il développe une gestuelle redéfinissant le rôle de l’artiste et restructurant les plans du tableau.
Simon Hantaï a exposé dans les plus grands musées comme la galerie Kléber Centre Georges Pompidou en 1976,  la Biennale de Venise 1982 et se trouve dans les collections permanentes du Centre Georges Pompidou et du Musée national d’Art Moderne. Admiré par les artistes comme Buren, Parmentier, Viallat et Buraglio, il  continue d’influencer l’art abstrait.
Du 19 Mars au 24 Avril
Paul Kasmin Gallery : 293 10th Avenue New York
Plus d’infos: http://www.paulkasmingallery.com

Focus on French Cinema

Le cinéma français continue d’être à l’honneur grâce à Focus on French Cinema, le festival du film français de Greenwich. Situé à une heure au Nord de Manhattan, ce festival a pour volonté de faire connaitre les films français récemment sortis en France, et de permettre une rencontre entre le public et les acteurs et réalisateurs des films sélectionnés. Cette année, l’invitée d’honneur du festival est la talentueuse actrice et romancière Sylvie Testud, à l’affiche de Gamines, l’histoire de son enfance adaptée du roman éponyme. La réalisatrice Léa Fazer sera également au rendez-vous pour présenter Ensemble c’est trop, le dernier film de Jocelyn Quirvin, avec également Nathalie Baye et Eric Cantona. Enfin, les frères Malandrin amèneront de leur Belgique natale leur premier film, Où est la main de l’homme sans tête ?, avec Cécile de France dans le rôle principal.
Programme détaillé et réservations : http://www.focusonfrenchcinema.com/

Angélique Kidjo au Town Hall

Originaire du Bénin, Angélique Kidjo fut découverte il y a 20 ans à Paris par le fondateur jamaicain d’Island records, Chris Blackwell. Elle chante dans ses 4 langues natales, le français, l’anglais, le fon, langue du Bénin, et le yoruba, langue nigéro-congolaise. Elle sera au Town Hall le 26 mars à 8:00pm pour présenter son nouvel album, Õÿö, sorti en février.
Réservations: Ticketmaster.com ou 800-982-2787