Parmi les comédiens qui se produiront au festival, les artistes du « Daily Show » au Jackie Gleason Theater Samedi 23 Janvier à 9 pm. Prix des places $ 37,50.
Vous pouvez consulter le programme :
http://www.southbeachcomedyfestival.com/
The South Beach Comedy Festival
« godonAmerica », un nouveau venu dans le Design district
Le concept de la galerie “godonAmerica” est original : l’espace est dédié à un seul artiste Alain Godon. A la fois une galerie et un show room destiné à la vente « wholesale » de reproduction des œuvres sur le territoire américain et en Amérique Latine. Le but est de créer un réseau de revendeurs à travers le pays, cela peut-être des boutiques cadeaux, des décorateurs , des chaînes de magasins, etc.
À l’initiative de cette nouvelle façon de vendre de l’art, Bernard Markowicz qui n’en est pas à son premier essai puisqu’il a été longtemps directeur associé de l’« Opera Gallery » à Bal Harbour. Le concept de cette galerie a été conçu comme un véritable produit avec un plan marketing , les œuvres sont commercialisées selon 3 éditions : godonPrestige, godonEntoilés et godonBildoReliefo déclinées sur différents supports et éditées de un à 350 exemplaires.
Alain Godon est une valeur sûre du moment, qui expose déjà à Paris, et New York. Ses tableaux aux formes enfantines sont très colorés et plein d’humour. Son chien est par exemple dissimulé dans toutes ses œuvres. Ses thèmes favoris sont Paris et New York dont il peint les lieux connus avec beaucoup de rythme et d’originalité. Son prochain thème sera Miami.
N’hésitez pas à rentrer dans cette galerie, vous serez reçu par Arielle Biscayart qui vous expliquera avec passion, les différentes matières et formats sur lesquels sont reproduites les œuvres.
Galerie “godonAmerica”
1st NE 40 street, Miami, FL 33137
Tel: 305 303 1218
Photos: Georges- Felix Cohen
International Chocolat Festival
23 et 24 Janvier de 9:30am à 5:30pm
Prix : gratuit pour les membres, non membre $20 et enfants $10.
Fairchild Tropical Botanic Garden
10901 Old Cutler Rd
Pinecrest, FL
305-667-1651
http://fairchildgarden.org
Exposition José Gurvich au Frost Museum
Ce peintre né en 1927 en Lituanie s’est installé à New York en 1970 où il mourut 4 années plus tard. À découvrir au Frost Museum.
Mercredi 20 Janvier à 6 pm, jusqu’au 11 Avril
http://thefrost.fiu.edu/newsletter.html
The Patricia & Phillip Frost Art Museum
Florida International University, University Park
10975 SW 17th Street
Miami, FL 33199
Tel: 305.348.2890
Alain Altinoglu dirige Carmen au Metropolitan Opera
Alain Altinoglu dirigera cette nouvelle production de Carmen mise en scène par le britannique Richard Eyre pour 8 représentations au Met, puis dès octobre au Chicago Lyric Opera.
Le Français a commencé en tant que pianiste au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il a enseigné pendant plus de dix ans. Son répertoire symphonique étendu l’a mené aussi à diriger de nombreuses créations mondiales. Parmi ses projets, on peut noter Salomé à l’Opéra de Paris, La Flûte Enchantée à l’Opéra de Munich, ainsi que Roméo et Juliette au Staatsoper de Vienne.
Carmen, Mercredi 27 et Samedi 30 janvier, Lundi 1, vendredi 5, mardi 9, samedi 13 février, Mercredi 28 avril et Samedi 1er mai à 8pm
Metropolitan Opera Lincoln, 50 Lincoln Center Plaza, 212- 362-6000
Prix : à partir de $15
Plus d’infos: www.metoperafamily.org
Séance de psy au Lycée Français
Serge Tisseron est un psychiatre et psychanalyste français auteur d’une trentaine d’ouvrages. Il travaille essentiellement sur deux thèmes : les secrets de famille et les relations que nous établissons avec les images.
Il présentera une conférence intitulée “Tintin et les secrets de famille”. Issu d’un milieu modeste, Serge Tisseron s’intéresse à la « sous culture », comme la bande dessinée, les graffitis ou les séries télé. A partir de l’étude de l’œuvre de Hergé, il propose une vision d’ensemble des questions posées par l’existence des secrets de famille et leur impact sur plusieurs générations.
Le mercredi 3 février au Lycée Français de New York, 505 East 75th Street, (212) 369-1400
Plus d’infos sur le blog de Serge Tisseron: http://squiggle.be/tisseron
Et sur : http://www.alliance-us.org
Hugues de Montalembert au FIAF
Ancien peintre, Hugues de Montalembert est devenu aveugle après s’être fait agressé par deux hommes entrés par effraction dans son appartement new yorkais en 1978. Dans ce documentaire, le réalisateur Gary Tarn étudie comment Hugues de Montalembert a su mettre son handicap au service de la création ainsi que la poésie et la sagesse qui émanent de son oeuvre. Aujourd’hui écrivain-journaliste, l’auteur d’Invisible s’interroge sur ses trente années passées sans la vue, sur sa rééducation, ses voyages en solitaire autour du monde et sa façon d’apprendre “à voir”.
La projection du film sera suivie d’une discussion et dédicace d’ Hugues de Montalembert.
Jeudi 28 Janvier 2010 à 6:30pm
FIAF – Le Skyroom; 22 East 60th Street, NYC (between Park and Madison Avenues)
Prix $20 Membre FIAF; $25 Non-Membre
Plus d’Infos : www.fiaf.org 212 355 6160
Mariah Carey en concert
La diva est en concert le Jeudi 21 Janvier à 8 pm au Hard Rock Live à Hollywood
Prix : de $50 à $130
1 Seminole Way
Hollywood, FL
954-327-7625
Dans les pas de Django Reinhardt
Django Reinhardt n’aurait pas gardé un très bon souvenir de son passage aux Etats-Unis. Certes, le guitariste de génie, qui jouait avec trois doigts dont son pouce après une grave brûlure, était respecté de ce côté-ci de l’Atlantique. Mais quand il s’est posé aux Etats-Unis un beau jour de 1946 pour une tournée avec Duke Ellington, il a reçu un accueil plutôt froid. Motif : il est arrivé sans guitare, pensant qu’on allait lui en donner une comme il est de coutume en France, et plus grave, sans son groupe de musique, le Hot Club de France, qu’il a volontairement exclu du voyage. Embarras des organisateurs. « C’est de sa faute » juge aujourd’hui Stéphane Wrembel, star du jazz manouche à New York et accessoirement l’un de ses plus grands fans. « Ici, tu n’arrives pas en terrain conquis. »
Comme Django, Stéphane Wrembel est tombé dans le jazz tout petit. Il est né là où Django s’est éteint : dans une ville de la banlieue de Fontainebleau, où il passe son enfance avec la musique de son idole en fond. A 17 ans, étudiant le jazz à l’American School of Modern Music à Paris, il prend le géant du jazz pour modèle, rien que ca, adoptant non seulement son style musical mais aussi son mode de vie nomade. A plusieurs reprises pendant ses études, Wrembel « jamme » avec des artistes gitans au Nord de Paris. Peu importe les préjugés contre ceux que l’on appelle « les gens du voyage ». « Chacun est dans ce système de pensée, Français comme Gitans, souligne-t-il. Ce sont des philosophies de vie très différentes : tu ne peux pas être manouche et vivre en nomade, et vivre comme un occidental avec un travail, un loyer à payer tous les mois. »
Sitôt son diplôme en poche, le nomade met le cap sur les Etats-Unis. « Un rêve d’enfance » selon lui. Il se forme à Berklee, l’école de musique réputée de Boston. « Tu entends du jazz, de la funk comme tu en as jamais entendu, s’émerveille-t-il. Pendant les deux premières semaines, j’ai eu un blocage. Je me suis senti petit et écrasé. Un choc culturel et musical.»
C’était néanmoins un passage obligé pour passer à la vitesse supérieure. Deux ans plus tard, il arrive à New York, une ville qui a contribué à l’épanouissement du jazz sous toutes ses formes mais où, paradoxalement, sa variante manouche était sous-représentée. « A Boston je faisais 300 dollars par jour dans la rue. Ici non seulement personne n’écoutait mais les policiers m’ont demandé de remballer mes affaires.» Un coup de pouce du destin ? Wrembel part frapper aux portes de restaurants français, Jules Bistrot notamment. « Alors que je jouais un morceau pour le manager, des passants ont commencé à entrer dans le restaurant. Le manager m’a dit qu’il allait décommander le groupe du dimanche matin pour me donner la tranche !»
Alors que le jazz manouche explose à New York, comme en témoigne le succès du New York Gypsy festival qui fêtait en septembre ses cinq années d’existence, Wrembel continue à écrire sa success story. Bien aidé en cela par Woody Allen, qui a utilisé l’un de ses morceaux dans son film « Vicky Cristina Barcelona » sorti en 2008. Son calendrier pour les prochains mois affiche complet. Prochaine étape : le festival Django à Gogo. « De sérieux guitaristes seront là », promet-il. Bon anniversaire Django !
Pour plus d’infos sur Stéphane Wrembel http://www.stephanewrembel.com/
Sur Django à Gogo – Joe’s Pub : http://www.joespub.com/
Gagnez 2 places pour un wine tasting
Gagnez 2 paires de places pour le prochain évènement de Sud de France: dégustation de vins du Languedoc- Roussillon, le mercredi 27 janvier à partir de 7.00pm.
Pour participer, envoyer un email avec nom, prénom et adresse à [email protected].
Tirage au sort Lundi 25 Janvier 2010.
Jonathan Zrihen: décontracter la beauté américaine
Qui a dit qu’il fallait souffrir pour être belle? Sûrement pas Jonathan Zrihen, le PDG de Clarins pour l’Amérique du Nord : « Pour les Américaines, la beauté est un régime, presque au sens militaire, ce n’est pas un moment de relaxation. Ce que j’essaie d’apporter c’est cette notion de moment pour soi, de plaisir. » Clarins détient 5% de part de marché aux Etats-Unis, une part en constante croissance. Les Etats-Unis sont le deuxième plus grand marché pour la marque, après la France.
Fraîchement diplômé, Jonathan Zrihen frappe à la porte du groupe Clarins après avoir entendu son fondateur Jacques Courtin Clarins lors d’une conférence. Il entre pour un stage en 1993. L’ascension est rapide et les déplacements s’enchaînent : Espagne, Australie, Afrique du Sud… En 1999, Christian Courtin, le fils lui confie les rennes du bureau régional de l’Asie basé à Singapour. Il sillonne alors l’Asie (la définition de la région pour le groupe comprend l’Inde, le Japon, l’Australie, la Nouvelle-Zélande). Il est comme un poisson dans l’eau à l’international et aime la dimension culturelle. « Je parle avec les vendeuses, j’observe les rituels de beauté, le rapport à la beauté. ». Un entraînement qui l’a immunisé contre le décalage horaire : à peine débarqué de l’avion de retour de Paris, il va jouer au tennis dans la soirée. Depuis qu’il est aux Etats-Unis, il continue à voyager beaucoup, non seulement au siège à Paris donc mais aussi dans les malls et grands magasins où sont vendus ses produits. « J’ai la chance de poser beaucoup de questions et la plupart des réponses me sont données sur le terrain. »
La particularité du marché américain? “Des concurrents très forts”, répond Jonathan Zrihen, sans hésiter. Il est un peu le Némo dans un océan peuplé de gros poissons, les Estée Lauder, Elizabeth Arden, L’Oreal… Pour continuer dans la métaphore aquatique, l’un de ses livres de business favoris s’intitule The Blue Ocean strategy. Le postulat est simple : on crée de la valeur en se différenciant de la concurrence. Il faut éviter la concurrence acharnée qui mène au bain de sang : quand on trouve une idée différente, on navigue dans un océan bleu. « Il est rare de trouver cette idée a priori, on se rend compte que l’on a eu une telle idée a posteriori » concède-t-il.
Clarins a récemment ouvert 14 “skin spas” dans ses points de vente les plus stratégiques dont Bloomingdale’s. Cela consiste en une ou deux cabines au milieu d’un magasin, où l’on peut se faire faire un soin du visage en toute intimité; en ligne avec la beauté par le plaisir. Comment peut-on appliquer cette philosophie de moment pour soi quand on est CEO ? « J’ai des soupapes de décompression” : la famille, le sport et le cinéma. Féru du septième art, il est d’ailleurs abonné à la formule Netflix cinq DVD (en général il en garde 3 pour lui, en prend 2 pour les enfants). L’un des derniers films qu’il ait vu ? Inglorious Basterds de Quentin Tarantino. « Les 15 premières minutes sont dignes d’Il était une fois dans l’ouest de Sergio Leone. Un suspens de fou. »
Concert à Opia au profit de Save The Children
-Concert à Opia au profit de Save The Children: lundi 18 janvier à 7pm & 9:30pm (avec Antoine Bleck, Francis Jocky, Vanessa et Alex Jacquemin). Donations suggérées à l’entrée. Opia: 130 East 57th St., New York, NY 10022. Tel: 212-688-3939. Soutenu par le Consulat de France, French Tuesdays, Help Haïti 2010 et French Morning.