La question de l’autorisation de travail pour les conjoints d’expatriés est une source de préoccupation assez fréquente chez les couples qui envisagent de s’expatrier temporairement. Il s’agit en tout état de cause d’un sujet important qu’il convient de prendre en considération lors l’examen de votre projet.
La législation américaine permet généralement aux époux d’expatriés d’accompagner ces derniers pour la durée de leur séjour. Cette possibilité d’accompagnement n’est en revanche pas offerte aux concubins et couples homosexuels, même pacsés. S’agissant de vos enfants, ceux-ci doivent avoir moins de 21 ans et ne pas être mariés si vous souhaitez qu’ils puissent vous suivre avec un visa dérivé. Dans le cas contraire, il faudrait alors explorer la possibilité pour eux d’obtenir un visa indépendant.
En règle générale, la législation américaine ne permet pas à l’épouse ou à l’époux d’un expatrié de travailler aux Etats-Unis si son admission sur le territoire s’est faite au moyen d’un visa dépendant de celui de son mari ou de sa femme. Il existe toutefois quelques exceptions à cela.
La première concerne les époux entrant aux Etats-Unis sous un visa J-2. Ces personnes peuvent effectuer une demande de permission de travail auprès des services de l’US Citizenship and Immigration Services (USCIS) après leur arrivée. Pour qu’une carte de travail (Employment Authorization Document ou EAD) leur soit délivrée, il faut démontrer que le salaire correspondant ne serait qu’un salaire d’appoint (permettant de couvrir les frais liés par exemple aux activités récréatives ou culturelles de la famille) et qu’il ne servirait pas à subvenir aux besoins de l’époux entré sous un visa J-1. Il convient de signaler qu’il n’est pas permis de commencer à travailler avant de recevoir cette EAD, faute de quoi le bénéficiaire du visa J-2 violerait les termes de son visa et pourrait faire l’objet d’une procédure de déportation.
La seconde exception concerne les époux qui suivent leur conjoint sous un visa E-1 ou E-2 dérivé ou sous un visa L-2. Ici aussi une demande d’autorisation de travail peut être déposée après leur entrée sur le territoire. Il existe toutefois une certaine ambiguité entre la position de l’administration de la Sécurité Sociale, qui vous permet d’obtenir un numéro de sécurité sociale sans EAD, et l’USCIS pour laquelle une autorisation doit avoir été obtenue afin de pouvoir commencer à travailler. Cette divergence qui ne nous semble en réalité qu’apparente. En pratique, une carte de travail est bien nécessaire et votre employeur devra s’assurer que vous en possédez une s’il ne veut pas se retrouver en porte-à-faux au regard de la réglementation portant sur les I-9 (c’est à dire de la procédure de vérification de votre éligibilité à occuper un emploi).
Enfin, il convient de noter qu’il existe des règles spécifiques pour les familles de diplomates étrangers et des membres d’organisations internationales. Les époux et épouses de personnes présentes aux Etats-Unis notamment sous un visa A-1, A-2, G-1, G-3 ou G-4 peuvent être autorisés à travailler s’ils obtiennent au préalable une autorisation de travail (travailler sans cette dernière constituerait une violation de leur statut).
En cas d’interdiction d’accepter un emploi du fait de son statut, l’époux qui le souhaite conserve la possibilité d’engager une procédure d’immigration propre si un employeur accepte de le sponsoriser et s’il remplit les conditions d’éligibilité spécifiques au visa demandé.
Comme pour les demandes de visas, les demandes d’autorisations de travail ne sont pas de « simples formalités administratives ». Un rejet est ainsi toujours possible et il vous faut savoir que le droit américain ne vous permettrait alors pas de faire appel devant une autre autorité administrative. Dans l’hypothèse où vous vous retrouveriez confrontée à une telle situation, il resterait possible de déposer devant la même autorité une « demande de réouverture de dossier » en établissant l’existence de faits nouveaux ou une « demande de reconsideration » afin de démontrer qu’il y a eu une mauvaise interprétation de la loi ou des règles propres à l’USCIS. Reste donc qu’il est important pour vous que votre dossier soit présenté correctement dès la première fois. N’oubliez pas qu’en plus des déconvenues évidentes que ceci pourrait engendrer, une demande de carte de travail ou de ré-examen de votre situation n’est pas gratuite et est sujette au payment d’un droit forfaitaire versé au profit de l’administration (filing fee).
Nicolas Puygrenier est avocat auprès du barreau de New York. Il est membre du cabinet <a href=”http://puygrenierlaw.com/french/visas-pour-les-etats-unis”><font color=#0000CC>Puygrenier & Law LLP</font></a>. Il peut être contacté à <a href=”http://puygrenierlaw.com/contact-us”><font color=#0000CC>[email protected]</font></a>.
Disclaimer: Les informations contenues dans cet article sont présentées à des fins éducatives et d’information générale du public afin de l’aider à reconnaître ses besoins en matière juridique. Celles-ci ne sauraient être interprétées comme fournissant une solution générale applicable à toutes situations individuelles proches ou similaires. Ainsi, un changement même mineur des faits peut se traduire par un changement matériel de la solution apportée. Il est également déconseillé de chercher à résoudre des problèmes individuels sur la base des informations qui y sont contenues. Cet article ne saurait être considéré comme une prestation de service de nature juridique et il ne saurait se substituer à une consultation juridique avec un avocat. Sa publication et sa communication ne saurait faire naître de relation avocat-client.
Peut-on travailler quand on est conjoint d'expat?
L'Amérique repart pour le Bocuse d'Or
L’Amérique au Bocuse d’Or, c’est un peu l’histoire de l’équipe jamaïcaine de bobsleigh aux Jeux Olympiques : elle n’a jamais gagné. Cette analogie, signée Gavin Kaysen, le chef de Café Boulud et candidat du Bocuse d’Or 2007 n’est plus valable, selon lui. Daniel Boulud, qui préside la Fondation du Bocuse d’Or USA, est déterminé à ce qu’elle se rapproche du podium. “L’année dernière, nous étions pressés par le temps et Timothy [Hollingsworth, arrivé sixième] n’avait que peu de temps pour se préparer. Cette année, nous avons de l’avance .”
Sur 17 candidatures, douze ont été sélectionnées par le conseil d’administration de la Fondation Bocuse d’Or USA composé de Daniel Boulud, Thomas Keller de Per Se et Jérôme Bocuse. Les douze équipes (un chef et un commis) semi-finalistes s’affronteront le samedi 6 Fevrier 2010 au Culinary Institute of America (CIA) à Hyde Park, dans la vallée de l’Hudson près de New York. La competition ouverte au public et gratuite aura lieu dans le stade de l’école. L’ambiance promet d’être au rendez-vous : 2000 places dans les gradins et un casting de juges dignes de Top Chefs: David Chang, Tom Colicchio, Eric Ripert, Alain Sailhac, Laurent Tourondel. Les équipes auront cinq heures pour préparer un saumon, un agneau, les deux thèmes au programme de la finale qui aura lieu les 25-26 Janvier 2011 à Lyon.
L’histoire de l’Amérique pourrait alors devenir celle de Rasta Rockett. Le film retrace les exploits de l’équipe jamaïcaine qui a finalement distinguée aux Jeux Olympiques d’hiver de 1988 à Calgary au Canada.
Les douze semi-finalistes :
1. Luke Bergman, The Modern, New York, NY
2. Danny Cerqueda, Carolina Country Club, Raleigh, NC
3. Michael Clauss, Daily Planet , Burlington, VT
4. Kevin Gillespie, Woodfire Grill, Atlanta, GA
5. James Kent, Eleven Madison Park, New York, NY
6. Mark Liberman, Roxy’s Black Sheep, West Palm Beach, FL
7. Christopher Parsons, Catch, Winchester, MA
8. Jennifer Petrusky, Charlie Trotter’s, Chicago, IL
9. John Rellah, New York Yacht Club, New York, NY
10. Jeremie Tomczak, French Culinary Institute, New York, NY
11. Andrew Weiss, The Chef’s Workshop, Las Vegas, NV
12. Percy Whatley, The Ahwahnee, Yosemite, CA
Michel Cluizel sur la Cinquième
Pour celui qui se décrit comme ‘l’orfèvre en chocolat’, quel meilleur emplacement que le diamond district? Michel Cluizel a ouvert officiellement sa première boutique américaine sur la Cinquième Avenue entre la 47ème et 48ème rue le jour de Black Friday. Le lendemain de Thanksgiving sera-t-il rebaptisé de ce fait “Chocolate Friday” ?
La boutique de 75m2 a un coin dégustation avec six places assises. On peut y goûter les demi rondelles d’orange au chocolat ($2.50), les macarons ($5 les 2), les truffes à la crème ($2) ou y boire un chocolat chaud. A partir de la semaine prochaine, on pourra les aussi les acheter en ligne. Tous les chocolats sont fabriqués dans les ateliers de Michel Cluizel en Normandie. Noble Ingredients, la filiale américaine de Michel Cluizel réalise un chiffre d’affaires annuel d’environ cinq millions de dollars, avec environ 500 points de vente dont Dean & Deluca et Zabar. Mais si ces épiceries fines vendent plutôt le “prêt-à-porter”, Jacques Dahan, le président de la filiale, explique que la boutique en propre offre la “haute couture”, ou plutôt devrait-on dire “haute chocolaterie”.
Les grands classiques de Noël
The Rockettes est sans doute le spectacle le plus célèbre de Noël. Depuis 75 ans, cette compagnie de danse se produit tout le mois décembre au Radio City Music Hall de Manhattan. Vous avez sans doute déjà aperçu le célèbre lever de jambe parfaitement symétrique à la fin de chaque spectacle. Avec 5 représentations par jour, The Rockettes est devenu le show incontournable de Noël à New York.
Tickets encore disponibles selon horaire 45 à 250 $ jusqu’au 3 Janvier. Radio City Music Hall:1260 Avenue of the Americas.
http://www.radiocitychristmas.com
The Nutcracker (Casse-noisette) est un show magique qui vous transporte dans un monde merveilleux rempli d’adorables enfants, de soldats de plomb, et de souris espiègles. L’histoire est inspirée de la version d’Alexandre Dumas du conte d’Hoffmann. Avec sa musique de Tchaïkovski, Casse-Noisette est l’ un des plus beaux spectacles de Noël avoir en famille.
Places disponibles jusqu’au 3 janvier de 50 à 280$. Au David H.Koch Theater ou Florence Gould Hall Theater
http://www.broadwayticketscenter.com
Hansel & Gretel au Metropolitan Opera. Le Met s’ouvre aux familles avec cette reprise d’une création de 2007 de l’oeuvre de Engelbert Humperdinck. Un mise en scène à grand spectacle et accessible aux enfants (à partir de 8 ans). Une bonne occasion de découvrir l’opéra en famille. Jusqu’au 2 janvier. metopera.org.
[ad#Article-Defaut]Wintuk, Cirque du soleil. Tout le talent du célèbre Cirque québecois dans un spectacle conçu pour les familles, qui revient pour la troisième année consécutive au Madison Square Garden. Moins d’émotion sans doute que dans les productions ‘pour adultes’ de la multinationale du cirque, mais le grand spectacle est au rendez-vous et l’art du cirque à son plus haut dégré de maîtrise. Jusqu’au 3 janvier, au WaMu Theater, Madison Square Garden; (800) 745-3000. CirqueduSoleil.com.
Plus traditionnel (et nettement plus abordable!), le Big Apple Circus est un autre incontournable de la saison de Noël. La tente plantée à deux pas du Lincoln Center accueil la meilleure tradition du cirque “à l’européenne”. Big Apple Circus.
Jackie Beat’s show. Jackie Beat est un drag queen à l’esprit tordu et avec une “grande gueule”. Ce nouveau show est en train de devenir aussi célèbre que Casse Noisette et the Rockettes. Entre humour décadent sur les différents actes sexuels et parodies de chansons, Jackie Beat est un spectacle hilarant, qui fonctionne à merveille. Laurie Beechman Theater, 407 W 42nd St between Ninth and Tenth Aves,Dec 18, 7:30pm; Dec 19, 7:30pm, 9:30pm; Dec 20, 7pm, 9pm.
Vous êtes à la recherche de sérénade saisonnière? Nous avons plusieurs options. Le 12 Décembre, le Chœur de la cathédrale et l’American Classical Orchestra se réunissent dans la cathédrale de Saint-Jean, pour un Concert annuel de la Divine (7:30 pm). Dans le West Village la Chorale’s Messiah chante avec originalité. En effet, si vous désirez chanter, il suffit de vous asseoir dans la section de timbre de votre voix. Des rafraîchissements seront servis à l’entracte 14 Dec, 7:30 pm, 12 $; étudiants et aînés 10 $. C’est un programme semblable à celui de la Chorale ‘s Messiah, où près de 3.000 personnes seront dirigés par quatre solistes de haut vol et les 17 de meilleurs conducteurs de la ville au Avery Fisher Hall du Lincoln Center, 1941 Broadway at 65th St 22 Dec, 8pm, 31 $ – 101 $. Et enfin le Choeur du New York City Gay Men’s célèbre son 30e anniversaire avec sa gagnante du Tony Award, Victoria Clark (20 déc at 3pm, 8pm)
Le sapin du Rockfeller Center fait 20m de hauteur et surpasse avec ces lumières tous les buildings new-yorkais pendant le mois Décembre. Ce célèbre sapin est décoré et allumé le 3 Décembre et squatte le Rockfeller Center jusqu’au 7 Janvier. Il est ensuite enlevé et recyclé, par exemple en 2007, après avoir été démonté, l’arbre avait été utilisé pour fournir du bois à l’association Habitat for Humanity House Construction.
49th street between 5th and 6th Ave.
Le Grand Central Terminal Light Show. C’est l’heure de pointe, Grand Central est envahi, vous êtes irrité, puis tout à coup la musique résonne, sur les murs, les lumières dansent. Soudain vous êtes entouré par des flocons de neige géant tourbillonnant au dessus de vos têtes, des étoiles scintillantes et des carrousels. Cette féerie hivernale apparaît à chaque demi-heure, au Grand Central rendant alors les voyageurs de très bonne humeur pendant quelques minutes. Grand Central Terminal, 42e rue et Lexington Ave. Daily 11am-9pm; gratuit. Jusqu’au 15 Janvier.
Depuis 12 ans, le Musée d’Histoire Naturelle re-créé un environnement forestier tropical rempli de plus de 500 papillons vivants. Avec une température qui monte à plus de 80 degrés, le depaysement en ce mois si glacial est garanti!American Museum of Natural History/ Central Park West (at 79th St) $24, seniors and students $18, children 2–12 $14).
La patinoire du Rockefeller Center. Evadez vous de la foule le temps d’un instant: en pleine semaine, la patinoire est moins prise d’assaut, vous pourrez alors patiner en toute liberté la tête dans les buildings. Si vous ne pouvez pas vous échapper du travail la patinoire reste ouverte tout le week end. A partir de 8h. 30 Rockefeller Plaza entre les 49e et Sts 50e
Santaland Macy’s and Puppet Theatre
. Parce que Noël n’existe pas sans Père Noël, Macy’ s and thé Puppet Theater vous propose de laisser vos enfants se confier au vieux barbu au 8ème étage de Macy’s. Attendez-vous quand même à une queue de 90 minutes ou plus pendant un après-midi de week-end. Photo 25$ de 9h à 22h. Pendant que vous y êtes, visitez le théâtre de marionnettes au neuvième étage, cette année, une version de 30 minutes de Miracle on 34th Street-avec sept chansons originales. 5 $, a partir de 9.30h. Macy’s 151 West 34th Street, New York.
Soldes de luxe contre hiver glacial
Pour ne pas attraper froid…
Pour vivre un automne chic Wendy Mullin est là. En plus de vous couvrir et elle vous offre 30% sur toute la boutique Built by Wendy. Manteaux de laine à capuchon de 220$ à 315$ , les tops Plaid à 109$ au lieu de 156 $, et enfin vous pourrez trouver les fameux Slim-Fit blanchie en denim gris de113 $ à 162 $. Samedi de minuit à 19h jusqu’au 3 Décembre, 7 Centre Market Pl (at Grand St)
Zero + Maria Cornejo réduit tout ses articles jusqu’à moins 40%. La première dame des Etats-Unis, Michelle Obama, en est déjà fan. Entre les bottines à $349 au lieu de $495, les célèbres robes à $629 au lieu de $897 et les jodhpurs à $319 au lieu de $458… Dimanche de minuit à 6.00pm Jusqu’au 5 Janvier 33 Bleecker St entre Bowery et Lafayette St, Lower East Side.
Attention l’hiver est arrivé, il n’y a alors qu’un moyen pour résister au froid: foncer dans la boutique Alaska House. Cette marque est une organisation à but non lucratif et reverse tout ses bénéfices aux artistes d’Alaska. Cette année, pour c’est un an d’anniversaire Alaska House brade tout ses produit comme les gants, bottes , parkas, bijoux… Vous pouvez trouver des colliers en ivoire de 300 à 400$. des gants à 187$ au lieu de 250$, et des mocassins à 225$. Samedi de 11h à 18h jusqu’au 31 Décembre, 109 Mercer St (between Prince and Spring Sts)
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Un peu de luxe…
Ce n’est pas parce qu’il fait -15 dehors qu’on ne peut pas être sexy ! THE boutique of New-York Victoria’s Secret solde. Entre ensemble coquin, pyjama en cachemire ou produit de beauté sexy tout est en promotion! Un article acheté, 50% de réduction sur l’autre, enfin vous pourrez vous glisser dans la peau d’Heidi Klum ou autres célèbres mannequins. Tout le week end, dans toutes les boutiques Victoria’s secret.
Issey Miyake est connu pour ses magnifiques sculptures design mais aussi pour ses prix très élevés, mais jusqu’à la fin décembre la collection homme et femme 2009 est à moins 40%. Les sweaters pur laine sont à 624$ au lieu de 1040$, les pantalons d’hommes passent de 815$ à 489$, les combinaisons rouges sont à 969$ plutôt que 1615$. Samedi de 10h à 18h jusqu’au 31 Décembre,802 Madison Ave (between 67th and 68th Sts)
Cette “London Lady” et grande designer Stella McCartney est la superstar, surtout quand il s’agit de ses tenues. Entre les robes, les robes-pulls, les chaussures et les sacs, tous est glamour. Entrez dans sa boutique de Manhattan car pour une fois tout est en promotion, les vestes de motards pourpre à boucle, à 989 $, les robes en dentelle et laine à 2279 $, ou encore les combinaisons-pantalons en cachemire à 719 $ (au lieu de $ 1,195).A partir de Samedi jusqu’au 15 janvier de 11- 7.00pm/ 429 W 14th St (between Ninth and Tenth Ave)
Ancienne d’Allure, Eugenia Kim est connu pour le “go-to source”, que ce soit avec les chapeaux chics, bandeaux ou les foulards. Enfin, vous pouvez vous les procurer à moins 60 et 80%. Eugenia Kim Showroom, 347 $ W 36th St (entre les Huitième et Neuvième Aves, bureau 502)
Les robes de soirées…
Pour etre belle et chic le temps des fêtes, Rachel Roy, célèbre pour ses robes de soirées solde sa boutique tout le week end . Les robes sont entre 58$ et 99$, les chaussures 65$ au lieu de 99$, et les vestes 100$ au lieu de 169$. Tout le week-end 148 West 37th Street
Forever21 est le H&M américain: des vêtements et accessoires tendances et toujours à petits prix. Ce week-end, le magasin est en promotion ce qui fait dégringoler les prix, les tee-shirts sont à 5$, les hauts à 15$, les robes entre 7 a 25$ et enfin les vestes de 10 à 30$. Tout le week- end dans toutes les boutiques Forever21
Le Vintage…
Si vous en avez marre d’être habillée comme tout le monde ou des tenues trop classique, venez découvrir La boutique du vintage: Vintage Thrift Shop. Ici tout est une trouvaille, entre les chaussures, les accessoires… Fouillez un peu et vous trouverez une blouse Yves Saint Laurent à 12 $, des cravates rayés étroites à 6 $ et une paire de chaussures classiques Salvatore Ferragamo à 10 $. Convaincu ? Ouvert tout le week-end, 286 Third Ave between 22nd and 23rd Sts
Les chaussures…
A quoi ca sert de s’acheter une tenue si vous n’avez de chaussures qui vont avec.. La célèbre boutique New-Yorkaise Steve Madden solde toutes ses chaussures. Au porte de chaque boutiques, une vendeuse vous tendra généreusement une carte à grater pour connaitre votre propre remise sur le magasin. -20, 25, 40% ou pour les plus chanceuses – 50% ou une paire acheter une paire offerte. Venez vous ruer sur les boots, bottes, chaussures à talons, baskets…Tout le week-end et dans toutes les boutiques Steve Madden
Pour la déco…
En tant que parfaites Housewives, votre sapin doit être original et surpassé celui de votre voisine… Grâce à Jonathan Adler est ses petits caniches en porcelaine à 24$ disponible chez Bloomingdale’s, 1000 Third Ave at 59th St, ou les boules d’Urban Outfitters plus modernes à 6$, dans toutes les boutiques Urban Outfitters, ou encore les boules chinoises et multi-color du Pearl River à 10$ 77 Broadway entre Broome et Greene, votre décoration est imbattable.
Un peu d’art…
Le semaine dernière French Morning vous présentait la boutique Invisible Dog, dans le même building Shop Art, fête ses un an d’existence en vous proposant un “holiday show”. Une trentaine d’artistes vendent leurs oeuvres de $50 a $500. 51 Bergen Street, Brooklyn, NY 11201
10% off sur la Boutique online de la FIAF
Avoir un Picasso chez soi ou offrir un Matisse pour Noël ? Jusqu’au 15 Décembre, la FIAF offre 10% de remise sur une lithographie de son exposition de fin d’année Great Masters of Lithography. Ces posters vintage -imprimés du vivant de l’artiste- sont l’occasion de cadeaux uniques pour les fêtes de fin d’année.
Les prix vont de $150 à $4000 et un encadrement est proposé pour $300. Rendez-vous sur la Boutique online et entrer le code de promotion “Holidays” pour bénéficier de la réduction.
Conversation autour d'un piano à Larchmont les 11 et 12 décembre
Le peintre Jean Mehdi Grangeon organise un concert de musique classique suivi d’une exposition de peinture vendredi 11 et samedi 12 décembre. Une réception est prévue au cours des deux événements.
La soprano Katherine Giaquinto, le pianiste Christopher Allen et Jean Mehdi Grangeon vous invitent à partager ce moment chez Jacky Dufour Blaser.
118 Park Avenue à Larchmont, entrée au 9 Beach Ave, 914 833 8610 – Exposition de 11am à 5pm vendredi 11 et de 10am à 6pm samedi 12 – Concerts (sur réservation) vendredi à 7pm et samedi à 2pm – Evénement gratuit – Mél : www.jmgrangeon.com
Antoine Bleck en live à Opia lundi 14 décembre
Le crooner français Antoine Bleck sera en concert à Opia avec le bassiste Itaiguara Brandao, Kevien Hunter à la guitare et David David Siliman aux percussions.
Opia Restaurant 130 E 57St (corner de Lexington Ave) partir de 9.30pm, RSVP au 212 688 3939.
Site officiel d’Antoine Bleck.
Les livres de B2D2 en vente dans l’Upperwest Side
La librairie francophone B2D2 organise une vente de Noël vendredi 11 décembre de 9am à 5pm : Des livres bilingues, des livres d’images, des livres d’histoires, des imagiers colorés, des bandes dessinées et même des classiques pour les plus grands… !
Adresse de la vente : 233W 83rd St Apt 6E (83rd st & Broadway) Upper East Side.
B2D2 – 646.824.7787 114 east 84th #7C (between Park and Lexington Avenues) New York.
Marc-André Dalbavie en concert
Le célèbre compositeur français, Marc-André Dalbavie, nommé en 1998 par le USA Today’s “Meilleur Jeune Compositeur de l’année”, a composé pour CONTACT! un orchestre original intitulé Mélodia.
Cette nouvelle composition est le symbole de l’évolution. La pièce débute avec le bruit et la couleur et évolue progressivement vers la mélodie sans aucune explosion. Ce morceau est basé sur l’harmonie. “Probablement qu’avec l’âge, je recherche la paix” confie Marc-André. A travers sa musique, il ne veut transmettre aucun message, aucune idée. Il compose pour le plaisir de son auditoire. Pour ce compositeur de génie, chaque personne a sa propre façon d’écouter, “la clé de la compréhension, dit-il c’est d’écouter comme on veut, il faut juste se sentir libre”.
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Marc-André Dalbavie est un passionné. A 20 ans, il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, où il apprend à composer et écrire. Il débute très jeune comme pianiste et se tourne vite vers la composition ; “c’était une évidence, ce qui m’intéresse le plus dans l’art, c’est la création” explique-t-il. Il obtient par la suite de nombreuses récompenses comme le prix de Rome en 1994. A la fin de ses études, Marc-André Dalbavie travaille avec Pierre Boulez, pour apprendre à composer et diriger un orchestre. En 1985, le compositeur intègre le département de Recherche musicale de l’Irma où il s’initie à la composition assistée par ordinateur, il explore alors les couleurs et les timbres.
Avec la technologie, il introduit dans ses compositions la couleur et le son, et progressivement s’intéresse à l’espace : “pour moi ne pas travailler l’espace du son et de la couleur sur scène était une grande erreur”. Aujourd’hui, le compositeur se penche sur le timbre et l’évolution de la mélodie. Marc-André Dalbavie résume ses influences simplement “tout ce que j’ai aimé plus jeune, les chants grégoriens et la technique”.
Jeudi 17 Décembre 8.00pm
Reserver: http://nyphil.org
Symphony Space
95th and Broadway, New York, NY
Samedi 19 Décembre 7.00pm
1000 5th Avenue, New York, NY
Metropolitan Museum concert of Art, call 212-570-3949.
La Rue Française de l’East Village, par Miss China
« Rue Française » était l’adresse de sa boutique parisienne, située dans cette petite ruelle du quartier Montorgueil coincée entre les rues Turbigo et Etienne Marcel. Aujourd’hui, Miss China en reprend l’intitulé pour le concept store qu’elle a imaginé dans une galerie de Bleecker Street. Douze artistes sensibles au savoir-faire français se joignent à elle pour une exposition de pièces uniques et d’objets en tout genre, dont le métissage va bien plus loin que le New York parisien.
Le travail de A la Cour (Arlette est son prénom) n’est autre qu’une élégante collection de bibelots du siècle raffiné de Marie Antoinette et du Marquis de Lafayette –éventail, houppette et plume d’oie. La forêt d’arbres en céramique de Stéphanie Bouvier est d’une taille discrète mais ses sacs à l’effigie de grandes marques du luxe français (Hédiard comme Chanel) lancent une piste de réflexion. Les goutes et lignes pures des bijoux de Taher Chemirik rappellent la finesse de ce designer franco-algérien des Arts Déco. Les illustrations du dessinateur français Jean-Philippe Delhomme (New Yorker, New York Times Magazine) font des réalités de notre vie moderne des chroniques drôles et attachantes de vérité. Miss China n’a pas omis de convier la bouche pulpeuse de Nicolas Sarkozy et les astres de Barack Obama…
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« Nous voulons établir un pont entre Paris et New York » explique Gwenolee Zürcher qui a ouvert le Studio en mars dernier. Elle et son mari Bernard Zürcher, propriétaires d’une galerie à Paris depuis 1992, espèrent que leur percée new yorkaise redonnera une visibilité aux artistes français d’aujourd’hui, injustement oubliés du marché de l’art international. «Il y a un sérieux manque de confiance de la France dans ses propres artistes» remarque Bernard. Avant d’ajouter «d’ailleurs les Américains pensent qu’il n’y a plus de peintres en France».
Se définissant comme une « Chinoise outre-mer » Miss China s’est alors lancé ce défi : offrir une vision de l’art contemporain français en s’entourant de designers et créateurs qui apportent chacun une pierre à l’édifice. Sa propre contribution au concept store est des plus étonnantes : une collection bleu blanc rouge de vêtements d’ouvrier inspirés des tenues chinoises traditionnelles : une robe de travailleuse asiatique rembourrée de mousse aux niveaux de la poitrine et du postérieur ; un bleu de travail très bling bling, portant l’inscription en lettre chinoises « 100% ouvrier professionnel ». Elle dédie ce travail au « Travailler plus pour gagner plus » d’un certain président français : « Il m’a fallu 474 minutes pour broder ce col bleu à la main et je n’ai pas gagné plus d’argent ». Miss China, styliste politique ? « Je ferai connaître cette collection au président… oui je suis presque une artiste engagée ! ».
Rue Française by Miss China- Du 12 Décembre au 3 Janvier au Zürcher Studio, 33 Bleecker Street à New York.
Vadrouille d'une gaufre belge à New York
Renouer avec son pays d’origine, et travailler avec des clients « plus relax ». Voilà ce qui a motivé Thomas de Geest, alors consultant chez IBM, à remplacer ses voyages en classe Affaires par un Van jaune ambulant pour devenir… vendeur de rue !
En Flamand, cela donne « Wafels & Dinges ». De quoi en intriguer plus d’un qui sait que « gaufre » en anglais s’écrit «waffle ». « C’est plus communiquant » assure Thomas de Geest, qui se désole pourtant de n’avoir pu recruter de Belges dans son équipe de vendeurs. En octobre 2007, ce Flamand de 37 ans qui a fait ses études en Wallonie, se met à vendre la spécialité de son pays aux quatre coins de New York. Un pari risqué, quand on sait que les rues de Manhattan et des boroughs voisins grouillent de marchands volants et autres bicoques sucrées-salées.
A cela, Thomas de Geest répond franchement « Pourquoi choisir plus compliqué ? ». Les bagels, egg creams et cheesecakes à tous les coins de rue ne lui font pas peur, pas plus que ce vendeur de gaufres liégeoises qu’il a repéré sur la 14e. Lui dit avoir inventé un « concept complet », soit la gaufre de Bruxelles et la gaufre de Liège, agrémentées selon les goûts par un large choix de « trucs » (« Dinges » en Flamand, entendu « toppings » ici pour le nappage) : fraise, banane ou chocolat, saupoudrages de spéculos ou de noix, beurre ou sirop d’érable. Selon lui, le risque aurait été d’ouvrir tout de suite pignon sur rue. En plus d’attirer les curieux, son mobil home itinérant lui a permis de cibler les quartiers prometteurs de New York, son projet étant un jour de créer un magasin. Il imagine déjà le thème de sa future boutique : « Je suis un fan de cyclisme belge ! » confie t-il. Son idée ? Y retrouver l’ambiance des kermesses de son pays, où l’on encourage les coureurs du coin « avec une bière dans une main et une gaufre dans l’autre ! ».
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Ce projet, Thomas de Geest ne l’aurait sans doute pas eu si Wafels & Dinges ne connaissait pas un tel succès. Avec une seule camionnette, les vendeurs de gaufres se déplacent deux fois par jours et sept jours sur sept dans 14 points de vente différents. Et du New Jersey jusqu’aux Hamptons, à l’appel de particuliers et professionnels, ils sortent les gaufriers pour un anniversaire, une garden party ou un petit déjeuner d’affaires. « Un vrai succès » se félicite Thomas, qui ne manque pas de rappeler les nombreux messages de fan postés sur son blog et les 4000 followers de Wafels & Dinges sur Twitter… De quoi faire pâlir les incontournables cupcakes new yorkais devancés cette année par la gaufre belge, vainqueur du Vendy Award 2009 dans la catégorie des meilleurs desserts.
Pour Sonia Heidel qui travaille au sein de la petite entreprise, Wafels & Dinges propose ce que beaucoup de gens cherchent à New York : de bons produits cuisinés comme à la maison, à un prix raisonnable. Dans son Van jaune sur Broadway, elle tourne la crème chantilly et discute du beau temps avec les clients. « Nous avons des touristes bien sûr, mais selon les quartiers beaucoup de résidents et de personnes des bureaux ». A l’entendre, les gaufres belges étaient LA douceur qu’il manquait à New York. Peut-être, il faudrait sonder… Pour sa part, French Morning se déclare comblé.
« Mon petit ami n’aime pas le Nutella, donc c’est ici que je viens tous les jours acheter mon dessert » : devant Madison Square, cette New Yorkaise tient son mini wafel à deux mains et assure jeter un œil quotidiennement sur la page Twitter de Wafels & Dinges. Chaque jour, un mot de passe y est dévoilé, permettant aux followers de gagner un « dinges ». Récemment, passer une commande avec son meilleur accent français était le prix à payer pour un nappage offert ! Alors soyez attentifs aux chemins que vous empruntez, le Van de Wafels & Dinges croisera peut être votre route…
Site de Wafels & Dinges pour les emplacements du Van et plus d’informations.