Accueil Blog Page 1807

Nuit blanche

Miami Beach fait sa Nuit Blanche (Sleepless Night) le 7 novembre de 18h à 7h Plus de 130 manifestations gratuites dans 80 lieux à travers la ville seront proposées par une multitude de pays, les artistes venant d’Angleterre, d’Espagne, du Japon, d’Islande … Le monde artistique sera représenté sous différentes formes : l’art, la danse, le théâtre, la comédie, la musique, les films…

Miami Beach se consacre totalement à l’événement qui fête sa deuxième édition. La ville sera divisée en 4 zones de la 71st street, jusqu’à South Beach, avec shuttle gratuit.

Le Bass Museum of Art (2121 Park Ave) ouvre ses portes gratuitement a partir de 6:00 pm, c’est un bel endroit et a partir de 7:00 pm dans les jardins du musée vous pourrez écouter «  the Miami International Piano Festival Concerts », des concerts d’une demi heure (jusqu’à 1:00am), juste en face the Miami City Ballet propose deux shows réalisés par les étudiants (7:00 pm et 8:30 pm) et a partir de 10:00 pm un spectacle de flamenco.

Les frenchies du programme (dans le cadre de la French Week):

Juanita Marie Franklin, chanteuse de jazz (Hair and Jacques Brel is Alive and Well…). (Riviera South Beach, 2000 Liberty Avenue, Miami Beach).

Truth in 24 : 7pm: Documentaire sur les 24 heures du Mans. (Miami Beach Cinematheque, 512 Española Way, Miami Beach).

Julie Dossavi: 8pm: danse.  http://www.miamilightproject.com/. (Colony Theater,1040 Lincoln Road, Miami Beach).

“Remnants and Umbrellas 8-12”, 9pm: film sur le travail de Jacques Demy and Agnes Varda.  http://www.mbcinema.com/. (Plaza España Stage, Española Way, Miami Beach).

Next Generation 2010 Short Film Festival. 11pm. See http://www.romanceinacan.com/. (Byron Carlyle Theater, 500 71st street, Miami Beach ).

Le programme complet

Trouver les magazines français

0

Van Dyke Café (l’entrée de la boutique se trouve sur le côté, près de la cabine téléphonique from London): 846 Lincoln Rd. Miami Beach, FL 33139. Tel: (305) 534-3600
Down Town Book Center: 247 SE 1st street. Miami FL 33131/ (305) 377-9939
Mindy’s News and Gifts: 209, 71st street (off Collins av, à côté du Mc Donald). Miami Beach, FL 33141. 305 866 8518
Pierre Books: la librairie bilingue du Sud de la Floride. Très bons choix de magazines et de livres francais. 2340 Hollywood Blvd
Hollywood, Fl 33020. Tel: 1-800 702 0766. http://www.pierrebooks.com

Vous pouvez également vous abonner à tous vos magazines préférés à  partir du Canada. Les prix sont raisonnables. Contactez sans frais : Express Mag au 1 800 363-1310.

"Ce n'est pas le moment de perdre notre élan"

0

French Morning : Comment se profile le gala cette année ?
Marie-Monique Steckel : Extrêmement bien. Il y a une crise, c’est clair, mais notre soutien est indéfectible. Nous avons la chance d’avoir d’avoir des amis très fidèles parmi la communauté française et américaine. Même ceux qui ne peuvent pas venir nous ont envoyé leur contribution. Nous pensons réunir environ 425 personnes. [NDLR : Il reste encore des places à 350 dollars pour les moins de 35 ans et 1000 dollars pour les autres. Pour plus d’informations, cliquez ici ].
A quoi sert cet événement ?
Il sert à financer plus d’un quart de notre programme culturel, et notamment nos deux festivals, Crossing the Lines et World Nomads qui sera consacré au Liban en 2010. Comme toutes les autres Alliances Françaises dans le monde, nous sommes une structure privée, une sorte de PME à but non-lucratif. Le gouvernement ne contribue qu’à hauteur de 2% à nos dépenses. La partie « enseignement du francais » s’autofinance grâce aux contributions des élèves, mais notre programme culturel dépend entièrement des donations. Autrement dit, plus le gala sera généreux, plus notre agenda sera ambitieux.
[ad#article]
Est-ce difficile de lever des fonds en ce moment ?
Globalement, notre gala devrait rapporter entre 10 et 15% de revenus en moins que l’année derniere, sachant de 2008 était déjà en baisse de 10% par rapport à 2007, notre meilleure édition. Mais nous tablons tout de même sur une marge nette comprise entre 400 000 et 500 000 dollars, et nous n’avons pas réduit notre programmation culturelle. Ce n’est pas le moment de perdre notre élan, bien au contraire. Il faut avoir le courage de continuer.
Considérez-vous le FIAF comme un centre culturel, ou un centre linguistique ?
Francoise Giroud disait : « Il faut avoir deux jambes, l’une professionnelle, l’une personnelle, pour garder l’équilibre ». C’est aussi notre philosophie. Notre rôle est tout à la fois d’enseigner le français et de faire partager notre culture dans sa diversité, quitte à ce que de nombreux événements se déroulent en anglais.
Vous allez décorer deux personnalités pendant ce gala, l’une issue du monde de l’art, l’autre de l’entreprise.
Oui, Isabelle Huppert va remettre le Trophée des Arts à Bob Wilson, un homme de théatre exceptionnel qu’elle retrouvera à BAM à partir du 5 novembre dans un adaptation scénique des « Liaisons dangereuses ». Le Pilier d’Or ira quant à lui à Bernard Poussot, PDG de la société bio-médicale Wyeth, que j’aurais envie de comparer à Jacques Maisonrouge, l’ancien PDG d’IBM. Il vient d’orchestrer une méga-fusion avec les laboratoires Pfizer pour un montant de 68 milliards de dollars. C’est un Français de 2 mètres, taillé pour l’Amérique, d’une grande ouverture d’esprit. Il est désormais à un tourant dans son extraordinaire carrière puisqu’il a choisi de ne pas rejoindre le nouveau groupe.
Entre 6000 et 7000 élèves étudient le français au FIAF de New York, et leur nombre augmente chaque année. Comment expliquez vous cet engouement ?
La France est un pays magnifique avec un charme fou. Dans la tête des Américains, elle évoque Amélie Poulain, les fêtes du 14 juillet, Edith Piaf, les cafés… Ce n’est pas par snobisme qu’ils étudient notre langue, mais pour partager cette espèce de joie de vivre que nous projetons.

Coût de la vie: le match Paris-New York

« Mais c’est donné, ici !!» s’exclament parfois les touristes français en s’extasiant devant le prix des jeans Levi’s sur Broadway. Désormais, vous aurez un argument béton à leur opposer : comme le démontre une étude du cabinet Mercer menée en mars 2009, New York est plus cher que Paris… la faute à l’immobilier. Jugez plutôt : pour louer un appartement de deux chambres non meublé, vous devrez vous acquitter de 4 300 dollars par mois à New York, contre 2819 dollars à Paris.
[ad#Article-Defaut]
Pour le reste, en revanche, il n’y a pas de quoi se plaindre. La plupart des neuf articles retenus par Mercer dans la version finale de l’étude communiquée ces jours-ci à la presse sont meilleur marché à New York. Ainsi, une tasse de café, service compris, y coûte en moyenne 4,40 dollars, contre 5,89 dollars à Paris (l’enquête ne dit pas pas elle est en carton ou en porcelaine, et si vient accompagnée d’une amande enrobée de chocolat). Un litre de lait s’achète 1,58 dollars, contre 1,86 à Paris. L’essence, taxes oblige, coûte plus du double dans la capitale française. Le hamburger y est près de 25% plus cher. Idem pour un ticket de métro, un CD, ou un quotidien international : vous êtes gagnant à New York. Hélas ! Les prix de l’immobilier sont tels qu’ils suffisent à plomber la Grosse Pomme.
Publié chaque année, le palmarès de Mercer a pour objectif d’aider les sociétés internationales à définir le salaire de leurs cadres expatriés. Pour l’établir, l’institut a comparé les prix en dollars américains de plus de 150 postes de dépenses dans 143 villes. New York a servi d’étalon, soit d’indice 100. A titre de comparaison, Paris cumule 95,1 points. Devant New York, on trouve Tokyo, Osaka ou encore Moscou.
Reste un bémol : l’enquête a été réalisée en mars 2009, à l’époque où le dollar connaissait une embellie, ce qui explique que New York soit passé de la 22ème à la 8ème place entre 2008 et 2009. Depuis, le billet vert a perdu de sa vigueur. Il vaut deux tiers de l’euro aujourd’hui… Il faut donc relativiser ces résultats à l’aune du taux de change. « Si on refaisait cette étude aujourd’hui, il y aurait de fortes chances pour que New York repasse derrière Paris » affirme ainsi Stecy Bronstein, chargée d’étude à Mercer.
Autre limite de l’enquête : elle se base sur des biens de consommation courante et ne prend pas en compte le pouvoir d’achat des citoyens, pays par pays. Selon le site payscale.com, le salaire médian des cadres parisiens et new-yorkais serait sensiblement le même, aux alentours de 65 000 dollars. Mais quand on connaît les avantages dont bénéficient les Français en termes d’assurance-maladie, de plans épargne-retraite ou encore d’éducation, cela fournit de nouveaux arguments à opposer à ceux qui soutiennent que la vie est moins chère à New York qu’à Paris. Envoyez-les chez le médecin ou inscrire leur enfant à la crèche… Ils risquent de faire gloups en avalant leur café.

Art circuit

Tous les mois les galeries ouvrent leurs portes, c’est une bonne occasion de découvrir des artistes, des lieux parfois insolites, de se promener et de passer une bonne très soirée.
Coral Gables :  le 1er Vendredi de chaque mois.
Design District et Wynwood : le 2ème samedi de chaque mois
Programmes et itinéraires

Louer une cabana à la plage

0

C’est possible a Key Biscayne au Crandon Park (entrée South)
Vous pouvez louer une petite cabine privée avec douche pour $37.45 la journée.
Cela vous permet de passer une belle journée a la plage, vous abriter du vent et du soleil, les cabines ferment a clés et ont une capacité de 8 personnes maximum, c’est vraiment très pratique avec des enfants. En plus vous aurez une place de parking attribuée et également une table réservée pour votre pic nic.
Pour plus d’information contacter Jose Hoyos : [email protected]
Adresse : 400 Crandon Park a Key Biscayne – Tel 305 361 54 21 ou presentez vous le jour même (first come, first serve) au Crandon Park Office située sur la « South Beach » entrance.

Vous (les Français) vous êtes tous hyper-sexy

0

« [Nous les Américains] On a ce mythe que vous êtes tous hyper sexy », explique Debra Ollivier, l’auteure de What French Women know, about love, sex and other matter of the heart and mind. Depuis le bestseller de Mireille Guiliano, les “French Women” ont le vent en poupe. Elles ont du moins le mérite d’inspirer les maisons d’éditions : French Women don’t sleep alone, etc.
Le dernier livre en date donc est celui de Debra Ollivier, une Américaine qui a vécu dix ans en France, où elle a suivi son mari français. Elle entend révéler à ses consoeurs américaines le secret des femmes françaises : si les femmes françaises ont ce « je ne sais quoi quoi » qui les rendent si attirantes, ce n’est pas lié à la lingerie, leurs toilettes, leurs rouge à lèvres, ni même à ce qu’elles mangent mais à leur culture.
[ad#Article-Defaut]
« Vous avez beaucoup moins de règles et de dogmes que nous, de « do’s and don’t », explique Debra Ollivier qui vit aujourd’hui à Los Angeles. « Vous n’êtes pas dans l’amour total ou le rejet absolu. Les choses ne sont pas blanches ou noires. » Quand il s’agit de passion, les Françaises composeraient donc avec une gamme de sentiments. L’incarnation de cette différence, selon Debra Ollivier ? Lorsque les petites filles françaises égrennent « il m’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie », les petites Américaines se cantonnent à « He loves me, he loves me not ».
Ces règles sont en partie véhiculées par la flopée de livres « How to », aux Etats-Unis, selon Debra Ollivier. Tandis qu’ils prétendent offrir un mode d’emploi des relations amoureuses, ils enferment les femmes américaines dans un carcan. Debra Ollivier concède que c’est une contradition de son livre : What French Women know vient s’ajouter à la longue liste de ces livres “mode d’emploi”. Mais l’auteure assure que son intention première était de tordre le dos aux clichés sur les femmes françaises. En voici quelques uns :
Les Françaises flirtent, contrairement à leurs consoeurs américaines VRAI Cette différence découle du mouvement féministe, qui fut beaucoup plus radical aux Etats-Unis, explique Debra Ollivier. Parachutée dans les dîners parisiens, l’auteure a été frappée par le plan de table savamment concocté par l’hôtesse : une femme, un homme, une femme. Une incitation au flirt, selon elle.
Les femmes françaises sont des pros de l’adultère FAUX Debra Ollivier est allée pêcher une étude comparative du sociologue à l’INSERM Alain Giami. Résultat des courses, explique Debra Ollivier : “Tout le monde a des aventures. Aux Etats-Unis, on a plus d’amants, d’aventures d’un soir. En France, on a moins d’amants mais ils durent plus longtemps.”
Les femmes françaises ne grossissent pas FAUX Au passage, Debra Ollivier épingle le postulat de Mireille Guiliano. “On pense maintenant [depuis le livre FWDGF] aux Etats-Unis que les femmes françaises sont minces parce qu’elles mangent avec modération, tout en se faisant plaisir. Ce n’est pas la vraie raison. C’est parce qu’en France, il politiquement incorrect d’être gros, que les femmes sont minces. Aux Etats-Unis, on est un peu dans l’hypocrisie, on ne va pas être direct, on va vous dire « You look great ». En France, les gens n’hésitent pas à vous dire « Vous avez pris trop de poids. Attention ! »
Les femmes françaises sont réalistes VRAI « Elles sont libérées des codes et sont plus dans l’éxpérience. Elles n’ont pas cette notion de “Happily ever after” qu’ont les Américaines. Si une relation ne marche pas, ce n’est pas la fin du monde, ça aide à voir la vie d’une autre manière.”
Debra Ollivier, What French Women know, about love, sex and other matters of the heart and mind. Putnam Adult, $24,95

Quinze ans de Café Noir

0

En quinze ans, Café Noir, au coin de Thompson et Grand, est devenu un des grands classiques de Soho. Lundi soir, le restaurant fêtait l’extension de son bail pour dix ans de plus.
Café Noir remercie tous ceux qui ont bien voulu être au rendez-vous. Vous avez apporté une énergie fantastique et avez fait de cette soirée un moment unique. Nous tenons aussi à remercier nos partenaires Manhattan Beer, African Starr Rum, Baron Francois and Peroni pour leur générosité. Vous trouverez ci-dessous quelques photos souvenir ; une plus large sélection vous attend sur Facebook. Si vous n’avez pu vous rendre a la soirée du 19 Octobre, ne vous faites aucun souci, Café Noir prépare une soirée a thème ‘Industry Night on Monday Nights’ pleine de surprises. Donc, restez à l’écoute et a très bientôt.’
Voir le diaporama de la soirée:

Photos: Ania Gruca

La mode aussi pour les hommes, les enfants et l'intérieur

0

– Une valeur sûre pour les p’tits bouts ? Bonpoint bien sûr, surtout quand pour fille et garçon de zéro à 12ans, les prix descendent à -75% ! Des manteaux de bébés de $70 à $180 au lieu de $180-450, mais aussi des chaussures du 16 au 34 entre $35-80 au lieu de $150-260… et bien d’autres choses craquantes pour que les tout petits affrontent l’hiver. Du 28 au 29 octobre de 8am à 7pm et de 8am à 3pm, au Metropolitan Pavilion, 123 W 18th St entre 6th et 7th Ave, 5th floor.
Hommes
– Soldes à -80% chez Duckie Brown, où ces messieurs trouveront des pantalons à $120 au lieu de $450, des chemises à $100 au lieu de $350 et les indispensables « runway one-of-a kind » à 300-$600 au lieu de $1200-5000. Samedi 24 octobre de midi à 5pm au Morgans Hotel, 237 Mad 37th/38th.
– Un rendez vous de boulot ou autre entretien en tout genre ? Vous avez besoin d’un nouveau costume pour être au top ! Profitez des costumes Hickey Freeman à $500-600 au lieu de $1300-1800 et des pulls à côtes à $70 au lieu de $210. Mais aussi des blazers en laine Bobby Jones à $300 au lieu de $795. A partir de dimanche 25 octobre de 9am à 6pm, du 26 au 28 de 9am à 6.30pm jusqu’au vendredi 29 octobre de 9am à 5pm. Soiffer Haskin, 317 W 33rd St, Midtown West, tel 718 747 1656.
Accessoires
– Deux journées de soldes chez BO Concept. Au menu, des vêtements, accessoires et bijoux des créateurs Zang Toi, The Brungers, Wendy Brandes et Caroline Cameron à moins de 80%. Vendredi 23 de 5 à 8pm et samedi 24 octobre de midi à 6pm, au 105 Mad 30th, tel 212 686 8188.
– Pour les puristes du détail choc, pas besoin d’aller en Italie pour acheter ses sacs et accessoires. Il suffit d’aller faire un tour chez Tusk qui solde la collection de Paul Iwao jusqu’à -$70. Les portes feuilles accordéon passent de $110 à $50, et les bandoulières en cuir pas de $450 à $125. Du 23 au 31 octobre de 11am à 7pm au 242 W 26th St Chelseau, 212 212 8485.
– Les sacs à mains de Carlos Falchi’s sont connus comme étant parmi les imités des sacs de créateurs. Au lieu de s’acheter une imitation, pourquoi ne pas profiter des -$70 de soldes sur ces pythons à $325 au lieu de $1060, ces grands cabas à $1200 au lieu de $2875 et ces incontournables cuirs à $1300 au lieu de $2900. Les 28 et 29 octobre de 10am à 7pm. 260 W 39th Midtown West. Tel 212 921 2935.
Home
– Que se soit pour un diner assis ou une pizza party, la table de la salle à manger a bien le droit d’être tendance. Pour ce faire, Clothingline solde ses sets de tables à $13, $18 ou $5. D’autres accessoires de déco sont bien sûr envisageables comme ces sacs et gros paniers de rangement à $35 au lieu de $70. A partir du 27 au 29 octobre, mardi de 10am à 7pm, mercredi de 10am à 6pm et jeudi de 10am à 7pm. 261 W 36th St à Midtown. Tel 212 947 8748.
Oui mesdames, French Morning ne vous oublie pas !
– Affaires à faire sur les manteaux de la boutique Kisan : Sonia, Tsumori, Chisato, Vanessa Bruno, Joseph etc… à -30%. A partir du 23 octobre jusqu’au 31. Kisan, 125 Green Street, info sur KISANSTORE.
– Tenues de soirées, fourures et prêt à porter soldés à -75% chez Robert Cavalli Class. Du 25 au 27 octobre de 10am à 6pm – 135 W 52nd St, suite A. – Tel 212 920 1211.

Où passer Halloween

Après l’immanquable parade de Greenwich Village, samedi soir de 7 à 10pm, des soirées vous attendent par centaines. Petit guide succinct et totalement subjectif:

Purgatorio
Horreur et érotisme : Le secret mal gardé d’Halloween est d’être une usine à fantasmes. Le héros de cet Halloween 2009 joue le jeu à fond: Purgatorio (par les propriétaires de Box, la boîte du Lower East Side célèbre pour ses performances “burlesques”) accueille les plus trendy des soirées Halloween de l’année, dans un lieu provisoire. Ouvert le 15 octobre, le Purgatorio fermera ses portes après la soirée d’Halloween. On promet “de l’érotisme, de l’horreur et du fantasque”.
Sur Times Square: 268 W 47th St (between Broadway and Eighth Ave).
Moins sophistiquée, mais tout aussi sexy, la Color Party: les serveuses (et serveurs) sont tout de peinture vêtu(e)s. La Venue at Terminal Stores, 608 W 28th St & Eleventh Ave.
En français: les French Tuesdays sont à Russian Tea Room. L’évènement est déjà presque complet, mais 100 tickets seront vendus le 30 octobre.


En mer D’Halloween on the Hudson (vendredi soir 30 oct; tel: 212-987-9200) à Masquerade on the Hudson (Tel: 212-662-2006), en passant par Celebrity VIP midnight cruise costumes obligatoires pour embarquer pour ces croisières généralement très arrosées et dansantes.
En touristes: Madame Tussaud organise des visites dans l’obscurité des visites à faire peur… De 9 pm à 1 am. $20. 234 W 42nd St entre 7th et 8eme. Tel: 800-246-8872.
Moins touristique, Midnight Madness Ghost Walk: une visite à la recherche des fantômes de la ville… Rendez-vous à St. Mark’s Church in-the-Bowery, 131 E 10th St at Second Ave. Le 31 octobre à 10pm. $20.
Pour des guides plus complets: Time Out; New York Mag; Going.

Une Pomme pour tout petits

Pour leur premier magasin à Manhattan, les propriétaires de Pomme ont vu… petit. Une boutique de poche, idéalement située à Tribeca, qu’elles ont décidé de consacrer aux tout petits. Elles n’y vendront que des vêtements (et jouets) destinés aux nouveaux-nés, au contraire de leur “grande” Pomme, le magasin qu’elles ont lancé il y a quatre ans à Dumbo (Brooklyn).
Les deux fondatrices, Stéphanie Chayet et Samantha Adams, respectivement française et belge, avaient créé Pomme, en 2005, pour faire découvrir aux américains une mode enfantine différente, plus inventive que les quelques marques qui dominaient alors le marché. Depuis, le secteur a explosé aux Etats-Unis, les “designers” pour enfants sont légion.
Cette fois, avec leur Petite Pomme, elles créent la boutique réservée aux moins de 18 mois, un concept répandu à Paris mais qui n’existe guère à New York. Avec en vue un marché qui est, lui, typiquement américain: celui des “baby showers”.
Petite Pomme
186 Duane Street (Btw Hudson & Greenwich).
Tel: 212 219 1449.

Aux proviseurs francophiles, la Patrie reconnaissante

0

Ah, si Napoléon pouvait voir ça! Lorsqu’il créa la distinction des Palmes académiques – ou plutôt leur ancêtre, le titre d’Officier d’Académie – en 1808, l’Empereur des Français était loin de s’imaginer qu’elle serait un jour épinglée à la veste de quatre proviseurs d’écoles publiques new-yorkaises. Mercredi dernier, pourtant, en présence du patron du Department of Education (DoE) new-yorkais Joel Klein et de la communauté éducative franco-américaine, l’Ambassadeur Pierre Vimont a remis les insignes de chevalier de cette prestigieuse distinction à Giselle Gault-McGee de PS 58(Brooklyn), Jean Mirvil de PS 73 (Bronx), Robin Sundick de PS 84 (Manhattan) et Shimon Waronker, ex-CIS 22 (Bronx). Tous récompensés d’une belle couronne de laurier suspendue à un ruban violet pour avoir ouvert un programme bilingue français-anglais dans leur établissement.
Giselle Gault-McGee et Pierre Vimont
Lorsqu’ils ont appris leur distinction par email ou téléphone il y a quelques mois, nos nouveaux chevaliers américains, peu coutumier de cette tradition bien française, se sont montrés quelques peu… circonspects. «Honnêtement, on ne savait pas trop quoi faire. Nous ne sommes pas habitués aux décorations dans ce pays », sourit Robin Sundick de PS 84. « J’ai du faire des recherches, confie Giselle Gault-McGee de PS 58. J’ai appris que Napoléon l’avait créée. C’est très impressionnant! » Jean Mirvil de PS 73, qui a étudié à la Sorbonne, reste premier de la classe en la matière. Encore que… « Je savais ce que c’était mais je pensais qu’elles étaient pour les ministres de l’Education (…) C’est une vraie joie d’être distingué dans la lignée de ces personnes prestigieuses! »
Ce n’est qu’en 1955, au terme d’un long processus d’assouplissement des conditions d’attribution, que le gouvernement décide de l’ouvrir aux personnalités étrangères ou françaises expatriées œuvrant pour la promotion de la culture française. Aux Etats-Unis, entre 25 et 30 personnes la reçoivent chaque année, mais, précise l’Ambassade, c’est la première fois qu’elle est remise à des proviseurs.
Joel Klein, Shimon Waronker, Robin Sundick, Giselle Gault-McGee, Jean Mirvil
«Je vais montrer la palme à mes élèves et parler de ce qu’elle représente, promet Robin Sundick. Une manière de plus de connecter les élèves à l’autre rive de l’Atlantique. » Chose que Shimon Waronker, qui a quitté son école du Bronx et travaille désormais au bureau de Joel Klein, ne pourra faire. « Je vais la mettre dans un coffre-fort, sourit-il. J’ai peur que mes enfants s’en servent comme jouet! »