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En 2023, direction la France pour les élèves de la Silicon Valley International School

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[Article partenaire] Après trois années d’interruption due à la pandémie, la Silicon Valley International School est ravie de pouvoir organiser de nouveau des voyages scolaires internationaux, une tradition de longue date pour l’école située à Menlo Park et Palo Alto, en Californie.

Dans le cadre de l’un de ces voyages, les élèves de CM1 et CM2 vont ainsi pouvoir faire un séjour à Fumel, une petite bourgade du sud-ouest de la France.

S’immerger dans la culture française

Cette expérience unique offre aux élèves une précieuse opportunité, non seulement pour renforcer leurs capacités langagières en français, mais aussi pour s’immerger dans la culture française. Les élèves séjournent dans des familles d’accueil, fréquentent l’école locale et visitent des sites culturels importants, en lien avec leur programme d’histoire.

Lors du dernier voyage de la Silicon Valley International School, les élèves ont même pu visiter la cathédrale Notre-Dame de Paris, juste avant son incendie dévastateur. Ils ont eu la chance d’en admirer la beauté et de se familiariser avec l’histoire de cette magnifique structure, avant qu’elle ne soit à jamais altérée.

Vivre avec une famille d’accueil

L’un des aspects les plus riches de ce voyage est le séjour dans la famille d’accueil. Cette expérience permet aux élèves de mieux comprendre la vie quotidienne et les coutumes d’une famille française. Ils découvrent que les repas sont des moments importants pendant lesquels on passe plus de temps à table, à savourer la nourriture et à discuter en famille ou entre amis, qu’aux États-Unis. Les élèves apprennent ainsi à connaître la culture du pays de façon authentique et personnelle. Ils sont amenés à mieux apprécier la complexité du monde dans lequel ils vivent, à réfléchir de façon critique et à être exposés à de multiples perspectives.

Voyager pour grandir

Ce voyage est donc l’occasion pour les élèves de la Silicon Valley International School de s’épanouir sur le plan linguistique et personnel. Ils développent leur indépendance et leur autonomie, en naviguant dans un nouvel environnement.

Bien qu’ils soient supervisés par leurs enseignants lors de cette période passée loin de leur famille, les élèves ont maintes opportunités de développer leur confiance en eux et leur résilience. Par exemple, faire en sorte que les élèves gèrent leur propre argent de poche pendant les excursions est un bon moyen de leur enseigner la responsabilité financière. Cela leur permet de découvrir la valeur de l’argent et de prendre des décisions en matière de dépenses, les aidant ainsi à développer d’importantes compétences de vie.

Une telle immersion culturelle authentique, alliant la pratique de la langue, le développement de compétences interculturelles et la promotion de l’indépendance est une expérience inoubliable que la Silicon Valley International School offre à ses élèves et qui contribue à faire d’eux des individus équilibrés, ouverts d’esprit et conscients de la réalité du monde.

En savoir plus

La Silicon Valley International School articule tous ses projets et programmes autour du bilinguisme, de l’innovation pédagogique et de l’excellence académique. L’école est implantée sur deux campus à Palo Alto et Menlo Park et compte 680 élèves de la petite section de maternelle au lycée.

Pour plus d’informations sur la Silicon Valley International School, rendez-vous sur le site internet de l’école.

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Théâtre: «Frénésies» de voyages pour la francophonie à Miami

Afin de célébrer la journée internationale de la francophonie, le Koubek Center, en partenariat avec l’Alliance Française Miami Metro, accueille la pièce de théâtre musicale « Frénésies », le lundi 20 mars à 8pm. L’entrée est gratuite.

Première production de la troupe de théâtre réunionnaise La Compagnie Tilawcis, cette création se veut une véritable ode aux voyages et aux grands espaces. Mis en scène par Florient Jousse, qui sera également sur les planches aux côtés notamment du saxophoniste lorientais Philippe de Lacroix-Herpin, ce spectacle musical teinté de jazz emmène ses spectateurs de La Nouvelle-Orléans au Japon, en passant par San Francisco et l’île de La Réunion, bien entendu.

Déjà présentée à Philadelphie et Minneapolis, cette pièce de théâtre musicale poursuit donc sa tournée aux États-Unis et sera également jouée le jeudi 9 mars au Teatro Bertita y Guillermo L. Martínez de Porto Rico, le lundi 13 mars au Performing Arts Studio d’Atlanta, le vendredi 17 mars à la Tulane School of Liberal Arts de La Nouvelle-Orléans, et enfin le samedi 25 mars au Marjorie S. Deane Little Theater de New York.

[Vidéo] Calcul de la retraite franco-américaine

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Lors d’un webinaire organisé le 7 mars 2023, nous avons abordé avec trois experts les sujets suivant :
– Règles de calculs des retraites françaises et américaines
– Réforme des retraites en France : quel impact sur une carrière internationale ?
– Intérêt de la convention de sécurité sociale
– Les stratégies patrimoniales de retraite aux États-Unis

Visionnez le replay sur notre chaine YouTube

Contactez les intervenants
Philippe Plantadi de Novelvy Retraite
[email protected] / +33 (0) 141 379 130

Alexandre Quantin, Wealth Management Advisor & Partner chez USAFrance Financials
[email protected] / 610-996-8933
Ou réservez un rendez-vous gratuit avec Alexandre en quelques clics

Olivier Sureau, co-fondateur de JADE FIDUCIAL, société de comptabilité et fiscalité pour les entreprises et particuliers français et américains basés notamment aux États-Unis
[email protected]

Rugby: Où regarder les matches des Six Nations à New York?

Les passionnés de rugby se retrouvent ce week-end pour le quatrième round du tournoi des Six Nations avec l’une des rencontres les plus attendues  : le Crunch. Angleterre-France se joue ce samedi 11 mars à 11:45am, à Twickenham. Les Bleus ne se sont pas imposés en Angleterre – dans le Tournoi -, depuis le 13 février 2005.

Voici quelques adresses de restaurants et bars qui diffusent la rencontre et les autres matches, à New York (le programme à la fin de l’article).

À Manhattan

Felix

Le bistro français de SoHo vibrera avec les hommes de Fabien Galthié et retransmettra les matches « mais seulement ceux qui commenceront à la mi-journée », nous précise l’établissement. Dommage, plusieurs rencontres des Bleus sont à 9:15am ou 10am… Mais pour voir les autres, dès 11:45am, Felix est l’endroit idéal pour partager amour du rugby et bons petits plats français. 340 W Broadway, (212) 431-0021.

The Winslow

Ici, le rugby, c’est une religion. Ce bar, situé près de Gramercy Park, n’hésite d’ailleurs pas à se décrire comme « The Best Rugby Sports Bar » de NYC. Il prévoit d’ouvrir une demi-heure avant le début de chaque match, y compris ceux de 8:30am et de 9:15am. Ambiance garantie avec brunch spécial Six Nations mais attention, le Winslow ne prend jamais de réservation durant le tournoi. Les premiers arrivés seront donc les premiers servis. 243 E 14th St, (212) 777-7717.

The Grafton

Dans East Village, The Grafton est également un temple du rugby (et du foot). « Nous diffusons tous les matches live des Six Nations depuis 15 ans », nous assure le pub. Toutes les rencontres seront donc retransmises, même les plus matinales comme le confirme le site, avec de quoi passer une journée de champion – bières, chicken wings et fish & chips, entre autres. 126 1st Ave, (212) 228-8580.

The Hairy Lemon Pub

Toujours dans East Village, le Hairy Lemon a su s’imposer, en 5 ans d’existence seulement, comme le (petit) bar irlandais de tous les sports pro ou universitaires, du football au MMA, en passant évidemment par le rugby. Évidemment, ça risque d’être un peu chaud le samedi 11 février pour Irlande-France… 28 Avenue B, (646) 869-2151.

Stout

Tous les matches seront diffusés dans les différents pubs de l’enseigne à Manhattan (Grand Central, Penn State, Bryant Park et Financial district), avec des brunches spéciaux prévus, notamment à celui de Penn Station. Table à réserver ici.

À Brooklyn

Bar Tabac

Après la coupe du monde de foot, place au tournoi des Six Nations. Le restaurant français de Cobble Hill ne manque évidemment aucune occasion ne soutenir les Bleus. Rendez-vous tous les week-ends de matches à l’heure du brunch tricolore. 128 Smith Street, (212) 923-0918. 

The Kent Ale House

Ce bar se qualifie lui même de « best bar to watch 6 Nations Rugby in Williamsburg » et donne rendez-vous aux amoureux brooklynites du ballon oval pour voir les matches, y compris ceux du XV de France. Allez les Bleus ! 51 Kent Ave., (347) 227-8624

Le programme du 4 février au 18 mars :

1ère journée

  • Samedi 4 février à 9:15 am : Pays de Galles – Irlande
  • Samedi 4 février à 11:45am : Angleterre – Ecosse
  • Dimanche 5 février à 10am : Italie – France

2e journée

  • Samedi 11 février à 9:15am : Irlande – France
  • Samedi 11 février à 11:45am : Ecosse – Pays de Galles
  • Dimanche 12 février à 10am : Angleterre – Italie

3e journée

  • Samedi 25 février à 9:15am : Italie – Irlande
  • Samedi 25 février à 11:45am : Pays de Galles – Angleterre
  • Dimanche 26 février à 10am : France – Ecosse

4e journée

  • Samedi 11 mars à 9:15am : Italie – Pays de Galles
  • Samedi 11 mars à 11:45am : Angleterre – France
  • Dimanche 12 mars à 11am : Ecosse – Irlande

5e journée

  • Samedi 18 mars à 8:30am : Ecosse – Italie
  • Samedi 18 mars à 10:45am : France – Pays de Galles
  • Samedi 18 mars à 1pm : Irlande – Angleterre

Aux États-Unis, les chaînes CNBC et NBC Sports retransmettront les matches en direct.

Concerts: Printemps américain pour David Guetta

Onze dates dans trois villes des États-Unis : c’est à une mini-tournée américaine que David Guetta effectuera ce printemps. Dès le dimanche 26 mars, le DJ français se produira à l’Ultra Music Festival de Miami, dont il sera, comme l’an dernier, l’une des têtes d’affiche, dans le cadre paradisiaque de Bayfront Park, avec vue sur l’océan et palmiers en prime. Un lieu de carte postale où David Guetta pourra presque se rendre à pied, puisqu’il possède un magnifique penthouse dans le quartier tout proche d’Edgewater. Avec vue sur l’océan bien sûr.

Il s’envolera ensuite pour une longue période à Las Vegas. Comme il l’avait déjà fait dans le passé, il va enchaîner une série de 8 concerts (tous les samedis du 1er avril au 20 mai) à l’Encore Beach Club qui, contrairement à ce que son nom semble indiquer, possède une vue un peu moins enchanteresse que les plages de Floride. C’est au beau milieu du désert, au cœur de la métropole du Nevada, que ce club s’est posé. Mais l’ambiance y est très chaude et une… piscine, occupant la moitié de l’espace, fait office de piste de danse les jours de concert.

https://www.instagram.com/p/CivLzzsvfNw/?hl=en

David Guetta rejoindra ensuite à nouveau la Côte Est pour participer au début de la saison d’été du Brooklyn Mirage, cet immense complexe situé dans le quartier d’East Williamsburg à New York qui peut réunir jusqu’à 6000 personnes. Il s’y produira les mercredi 24 mai et jeudi 25 mai, en compagnie du DJ danois Morten, pour un événement intitulé « Future Rave ». Il clôturera son aventure américaine par un dernier concert à Las Vegas, toujours à l’Encore Beach Club, le dimanche 28 mai.

David Guetta jouera certainement ses plus gros succès mais aussi son dernier morceau, « I’m good (Blue) », un remix du titre de 1998 du groupe Eiffel 65, qu’il a élaboré en compagnie de Bebe Rexha. Peut-être aussi utilisera-t-il à nouveau l’intelligence artificielle pour insérer dans son concert des voix d’autres artistes, comme il l’a récemment fait avec Eminem en créant de toutes pièces des mots que le rappeur n’a jamais prononcés, faisant même dire au DJ que « le futur de la musique est dans l’intelligence artificielle ».

Estelle Bagur, de retour en France: «Je connais la langue mais plus les codes»

Alors qu’Estelle Bagur prépare son départ de France, ceux qui la coachent pour suivre son mari lui présentent son futur rôle, un rôle qui lui semble à des années-lumière de sa vision de l’aventure américaine dans laquelle elle a accepté de s’engager. On l’encourage à se dévouer uniquement à son rôle d’épouse et de mère. Sauf que si cette jeune francilienne doit mettre sa carrière entre parenthèse quelques temps, elle est bien déterminée à vivre cette expatriation à fond, pour sa famille, son couple mais aussi pour elle : elle souhaite apprendre l’anglais, rencontrer des locaux, reprendre ses études, et même vivre une aventure professionnelle dans laquelle elle pourrait se permettre un pas de côté pour explorer ses passions.

Trois ans et demi plus tard, je la rencontre quelques jours après son retour définitif en France. Force est de constater que ces envies correspondent exactement à ce qu’elle est parvenue à réaliser, avec une humilité et un sens de l’humour terriblement inspirants.

Dans ce nouvel épisode de French Expat, Estelle Bagur revient sur son expatriation et sur quelques recettes qui lui ont permis d’atteindre ses objectifs. Un retour en France avec « sa bonne humeur américaine » comme elle le dit, une bonne humeur communicative qui fait du bien !

Direction La Loupe en Eure-et-Loir pour cette rencontre hors du temps !

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

Le funambule français Philippe Petit à 15 mètres de hauteur à DC

Célèbre pour sa promenade entre les tours jumelles du World Trade Center en 1974, l’artiste français de 73 ans, Philippe Petit, traversa le Great Hall du Musée national du bâtiment le jeudi 23 mars. Sa performance « Wonder on the Wire » sera accompagnée du clarinettiste de jazz Anat Cohen et du guitariste Tal Mashiach. Une première dans la capitale américaine ! « Je rêve de me produire au Musée national du bâtiment depuis que j’ai vu pour la première fois une photo de la Grande Salle il y a une douzaine d’années », a confié Philippe Petit à la télévision locale WUSA9.

La soirée débutera par un cocktail au deuxième étage du Musée où les invités pourront visionner des photographies et des vidéos de certaines des performances passées de Philippe Petit sur les monuments du monde entier. Le dîner sera servi dans la cour centrale de la Grande Salle, d’où les invités assisteront à sa traversée depuis les balcons du troisième étage, à 15 mètres de hauteur. À cette occasion, il sera également possible de le rencontrer et d’échanger avec lui.

Le lendemain, le vendredi 24 mars, l’artiste traversera une nouvelle fois le musée mais seuls des écoliers de DC y sont invités. Les fonds récoltés lors de l’événement vont servir à soutenir la prochaine exposition du Musée : « Building Stories » (ouverture prévue en novembre prochain).

Pourquoi les Américains écrivent la date différemment?

Combien de formulaires jetés à la poubelle pour avoir écrit, pendant une malheureuse seconde d'inattention, le mois à la place du jour et le jour à la place du mois ? Normal. Vous êtes français. Et en bon Français, vous écrivez la date en format « jj/mm/aaaa ». Problème : les Américains l'écrivent « mm-dd-yyyy ». Pourquoi ? C'est notre question bête de la semaine.
Le modèle « mm-dd-yyyy », dit middle-endian (à la différence du format little endian utilisé en France) était employé dans les colonies britanniques au XVIIe siècle, dont les États-Unis. La lecture de la date était plus facile pour tout le monde. À l'époque, le mois était écrit en toutes lettres, ce qui évitait ces satanées ambiguïtés qui font réfléchir un Français à deux fois quand il remplit sa déclaration d'impôts américaine.
Ce système a perduré au Royaume-Uni jusqu'au début du XXe siècle. Mais avec la numérotation croissante des dates liée à la montée en puissance de l'informatique, et sa proximité avec l'Europe continentale, le pays a progressivement fait la transition vers le format « jj/mm/aaaa » en vigueur dans le reste de l’Europe. Les États-Unis, eux, sont restés au même dispositif, au grand dam des expatriés e...

Comment choisir son agent immobilier à Los Angeles ?

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[Article partenaire] Depuis plus de trente-huit ans, Marc de Longeville est un expert incontournable en investissement immobilier à Los Angeles. Il aide les investisseurs à naviguer dans le marché résidentiel et de biens à revenus en déterminant la valeur intrinsèque de chaque produit et en analysant l’historique des dernières ventes dans le quartier grâce à l’accès à la banque de données centrale des agents immobiliers (MLS).

En choisissant les bonnes affaires, ses clients ont souvent doublé leur investissement en bénéficiant de l’appréciation du marché immobilier ainsi que de l’augmentation relativement robuste des loyers. Le marché immobilier de la Californie du Sud, et particulièrement de Los Angeles, est très attractif pour les Français·e·s qui souhaitent acquérir une propriété.  

Pour les lecteurs de French Morning, Marc de Longeville a identifié les dix critères d’excellence d’un agent immobilier à Los Angeles.

1. Une connaissance approfondie du marché

Votre agent immobilier doit avoir une connaissance approfondie du marché immobilier de Los Angeles, y compris les tendances actuelles du marché, les prix, les quartiers en croissance et les propriétés les plus recherchées. 

2. D’excellentes compétences en communication

Communiquer efficacement avec les clients, les vendeurs et les autres agents immobiliers est primordial pour assurer une bonne expérience. Cela inclut une excellente capacité d’écoute afin de comprendre les besoins de chaque partie et communiquer clairement les détails de la transaction. 

3. Réactivité et disponibilité

Votre agent immobilier doit être disponible pour ses clients et répondre rapidement à leurs besoins. Les clients attendent des réponses rapides et des mises à jour fréquentes sur l’état de leur transaction. 

4. Une connaissance approfondie de la documentation

Comprendre tous les aspects de la documentation de la transaction immobilière, y compris les contrats de vente, les accords de location, les accords d’achat et les formulaires juridiques pertinents permet à votre agent de vous garantir une transaction efficace, à votre avantage, et surtout légale.

5. Persévérance

Les transactions immobilières peuvent être compliquées et difficiles à conclure, ce qui exige de l’agent immobilier une grande persévérance pour atteindre les objectifs de ses clients et ne pas les laisser tomber.

© Marc de Longeville, mars 2023

6. Bonne présentation professionnelle et soignée

Parce que votre agent immobilier vous représente lors d’un achat ou d’une vente immobilière, il est important qu’il tienne une posture professionnelle.

7. Capacité à établir des relations

Votre agent immobilier doit également être capable d’établir des relations de confiance avec ses clients, ce qui est essentiel pour bâtir une base de clientèle solide et générer des références. 

8. Expertise en marketing

Une expertise en marketing permettra à votre agent de commercialiser efficacement les propriétés de ses clients et les faire connaître auprès d’un public plus large.

9. Flexibilité

Votre agent doit être prêt à s’adapter aux besoins de ses clients, même si cela signifie de travailler en dehors des heures de travail « normales », ou encore faire face à des imprévus de dernière minute.

10. Compétences en négociation

Enfin, votre agent doit être en capacité de négocier efficacement les prix, les termes et les conditions de la transaction pour le compte de ses clients. Il est en mesure de défendre les intérêts de ses clients et de trouver des solutions qui répondent aux besoins de toutes les parties impliquées.

En somme, votre agent immobilier à Los Angeles doit être professionnel, persévérant, bien informé et avoir d’excellentes compétences en communication et en marketing pour réussir dans ce marché immobilier très compétitif.

Marc de Longeville, grâce à ses plus de trente années d’expérience, connaît extrêmement bien le marché immobilier à Los Angeles et sera capable de vous accompagner et de défendre vos intérêts lors de votre transaction immobilière.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur son site internet ou contactez-le directement pour discuter de votre projet.

Marc de Longeville a également rédigé un guide de l’acheteur. Cliquez ici pour le recevoir.

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Laurent Girard-Claudon: «Le recrutement des Français ne doit pas avoir de frontières»

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L’itinéraire de Laurent Girard-Claudon, entrepreneur chef d’entreprise quadra, s’explique en quelques traits de caractère qu’il possédait enfant, ou qu’il a acquis un peu plus tard. Envie d’aller voir ailleurs si c’était aussi bien qu’en France, coup de foudre pour la capitale irlandaise Dublin, et volonté de voler professionnellement de ses propres ailes le plus vite possible. Cela l’a conduit à diriger le cabinet de recrutement qu’il a lui-même fondé, Approach People Recruitment, qui gère aujourd’hui cinq bureaux – en Europe et au Moyen Orient – dans lesquels il emploie cinquante personnes (des amis), avec, au bout du compte, un chiffre d’affaires de cinq millions d’euros (2022).

Mais au-delà d’une histoire entrepreneuriale encore en devenir, c’est l’originalité de son créateur qui interpelle. Celle-ci transpire de chacune des idées mises en avant au cours de cet entretien. Ce côté « start-up » qui a présidé à la naissance de sa société et qu’il s’efforce, vingt-trois ans plus tard, de faire survivre. Cette croyance ensuite dans le pouvoir du collectif et les vertus de la cohésion humaine. Cette envie d’extension enfin, cette diversification géographique, moins basées sur les perspectives de croissance des marchés que sur les envies d’expatriation de ses employés. Des certitudes qui, toutes, sont révélatrices de ses méthodes de management. Ces dernières reposent en grande partie sur l’homme.

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L’artiste Jaouad Bentama expose son Darth Vador au Peninsula Hotel

Il nous attend devant le somptueux Peninsula Hotel, appareil photo à la main, en train de capturer des instants de vie new-yorkaise. L’artiste français Jaouad Bentama n’est pas peu fier de nous montrer, en avant-première, les œuvres d’art qu’il expose, pour plusieurs mois, au 26ème étage du mythique cinq étoiles. Passé le hall d’entrée et le Gotham Lounge où figurent des œuvres de l’immense Keith Haring, nous prenons l’ascenseur jusqu’au 23ème étage.

À la sortie, le regard se pose directement sur les œuvres de Jaouad Bentama : une statue de Darth Vador en nylon chromé et réalisé en laser 3D, intitulée « After the storm ». Au-dessus, deux peintures qui représentent un horizon et l’absence de frontières. Dans le couloir, avant d’accéder au très sélect Salon de Ning et au bar rooftop, des dessins de personnages au feutre noir, réalisés en un seul trait, et qui donnent à voir un visage, un animal ou un immeuble.

Oeuvres de Jaouad Bentama au Peninsula Hotel.

Le «Mickey guy»

Une réalisation incroyable pour cet artiste, qui a grandi à Paris à déambuler dans les puces de Clignancourt et Saint-Ouen. « J’ai beaucoup de souvenirs de ces endroits, des bruits et des odeurs. C’est là que ma fibre artistique est née ». D’origine marocaine, sa mère crée des tapis à la main. Mais en 2012, c’est à New York, où il n’a pourtant jamais mis les pieds, qu’il décide de venir s’installer pour se réaliser en tant qu’artiste.

« C’était très difficile, je ne parlais pas anglais et menais une vie d’artiste bohémien sans le sou, à vendre mes dessins pour quelques dollars à Washington Square Park. Mais je suis aussi nostalgique de cette période car cela a été une grande découverte de moi ». Il rentre dans un collectif d’artistes à Brooklyn, puis à Con Artist Collective et à Bowery Union, tous deux dans le Lower East Side.

Rapidement, une œuvre le fait connaître au grand public : une peluche Mickey, rachetée à une vieille dame dans la rue, qu’il peint et réinterprète à sa manière. « Un mentor m’avait donné ce conseil : ‘Sache qui tu es et sois unique’. Cela m’a incité à utiliser des choses qui ont du sens pour moi ». Cette série de Mickey, et sa façon de se réapproprier une icône de l’enfance, lui a valu un succès international, et des clients VIP, comme les Kardashians ou Tony Parker. « Il (Mickey) m’a donné une belle visibilité mais cela s’est retourné contre moi, j’étais devenu le ‘Mickey guy’. Il reste dans ma vie mais je suis passé à autre chose ».

Oeuvre Mickey par Jaouad Bentama.

La renaissance après l’accident

En 2021, il s’associe avec la marque de sport Umbro pour dessiner 80 maillots uniques, représentant un puzzle coloré évolutif. Mais c’est lors d’un déplacement à Tulum, fin 2021, que le pire a failli arriver. Un accident de scooter plonge Jaouad Bentama dans le coma et se solde par 47 fractures et une plaque de métal dans le bras droit. « Je me suis raccroché à la vie et aux gens que j’aime. Cela a été un long combat. Aujourd’hui, je veux utiliser ce moment difficile pour faire quelque chose qui me dépasse ».

En novembre dernier, il tente un coup et installe incognito deux statues Darth Vador à taille humaine près du World Trade Center. Il suscite la curiosité des touristes et surtout, l’œuvre et son auteur sont repris sur les réseaux sociaux du monument. Mission accomplie, le buzz est fait. L’artiste s’est aussi mis à la photo, qui permet de capturer « le mouvement du monde et la vie ». Son ambition : réaliser une toile de photos, sur lesquelles les gens pourront peindre ou écrire, pour montrer que l’on peut se reconstruire. Puis ils pourront en arracher un morceau pour emporter une partie de l’artiste avec eux. Enfin, il est en train de monter une galerie 3D en ligne avec deux associés, qui aura pour vocation de mettre en avant des artistes en ligne. « La vie est un voyage, il ne faut pas rester figé », conclut Jaouad Bentama en souriant, qui nous invite à le suivre dans son périple.

Frédéric Chereau: sa biotech vendue 68 millions $ à AstraZeneca

L’œil bleu vif, Frédéric Chereau a le sourire. Entrepreneur aguerri, il vient de céder sa biotech de thérapie génique, Logicbio Therapeutics, au groupe anglo-suédois AstraZeneca pour 68 millions de dollars. Une bonne opération pour le Français qui, pour l’instant, continue d’accompagner la croissance de Logicbio au sein de la filiale du géant pharmaceutique dédiée aux maladies rares. 

De San Diego à Boston

C’est à San Diego que l’entrepreneur originaire d’Albi a fondé sa biotech en 2015 avec des chercheurs de Stanford qui ont mis au point une nouvelle façon d’éditer le génome humain. « Nous sommes les seuls à avoir inséré une séquence de gène dans l’être humain aux États-Unis malgré une environnement réglementaire contraint », explique fièrement le Français. En 2017, il déménage de Californie pour la Nouvelle-Angleterre afin de profiter à plein de l’écosystème de Boston.

Pour son entreprise, entrée sur le marché du Nasdaq courant 2018, tout semble rouler jusqu’au retournement du marché. Comme de nombreuses start-up de la biotech, Logicbio, qui est sur une niche d’avant-garde, peine alors à attirer les investisseurs dans un contexte d’aversion au risque. Puis en février 2022, la Food and Drug Administration (FDA) américaine ordonne l’arrêt de son essai clinique, pour des raisons de safety, durant trois mois, ce qui finira de plomber le cours de la start-up. Face aux vents contraires, Frédéric Chereau, qui a depuis 20 ans un ancrage à La Rochelle, tient la barre et part à la recherche de partenaires industriels qui aboutit à la reprise de la biotech. 

Découverte de la biotech

« Je suis tombé dans la biotech un peu par hasard », se rappelle le Francais, qui possède un double bagage scientifique et commercial. « À l’époque, les biotechnologies, on n’en parlait pas tant que ça. C’était un nouveau créneau. J’ai rencontré des dirigeants de Genzyme qui me parlaient de maladies que je ne connaissais pas du tout, avec des pathologies qu’on n’était pas habitué à voir, et qui m’ont présenté le concept des maladies rares. Et comme, souvent dans ma vie, j’ai pris ma décision sur le fit avec les personnes que j’ai rencontrées. » 

L’entrepreneur se souvient avec émotion de cette période d’effervescence. « Entré à Genzyme France en 1999, je suis parti en août 2005 pour Boston. Cela a été une période fondatrice pour moi. Genzyme à l’époque était une entreprise incroyable. C’était des vrais pionniers dans les maladies rares et il y avait un concentration impressionnante de talents comme son patron Henri Termeer, qui est devenu mon mentor. » Genzyme a, en effet, développé un nouveau business model rentable autour des maladies orphelines, jusqu’alors délaissées par l’industrie. Ouvrir de nouveaux espoirs de traitement aux patients atteints de maladies rares à même de changer leurs vies, cela reste, aujourd’hui encore, le moteur principal de Frédéric Chereau. 

L’entrepreneuriat, l’école de la persévérance

Mais le virus de l’entrepreneuriat le titille. « Mon père m’a toujours dit qu’il regrettait de ne pas avoir monté sa boîte, je me suis dis que j’allais bientôt avoir 40 ans. C’était pour moi le moment ou jamais de partir », raconte l’Albigeois. Il reprend alors une entreprise dans l’insuffisance rénale, Pervasis Therapeutics, avec une technologie de thérapie cellulaire issue du MIT en 2008, juste une semaine avant la faillite de Lehman Brothers. « Le timing était loin d’être idéal. Je me suis retrouvé dans cette boîte quasiment sans cash. À l’époque, c’était vraiment la bérézina à Boston, beaucoup de lab fermaient, c’était bien pire que maintenant », explique-t-il. L’expérience sera rude mais formatrice. Il parvient in extremis à lancer un essai clinique en France et à lever 17 millions de dollars avant de vendre sa jeune pousse – à quelques jours de mettre la clé sous la porte – à Shire, fin avril 2012. 

Une expérience qui l’a sans aucun doute servi pour mieux naviguer dans les eaux troubles actuelles et qui lui a permis, une décennie plus tard, de vendre Logicbio Therapeutics à AstraZeneca – via Alexion –  pour 2,07$ par action, soit une prime de 660 % qui valorise l’acquisition totale à 68 millions de dollars. « Le maître-mot quand on est entrepreneur aujourd’hui, résume ce grand amateur de voile, c’est la persévérance. »