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Moi Impat : rentrer et être déçu par la France

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Toutes les impatriations ne sont pas toujours synonymes de réussite et d’épanouissement. Ce dernier numéro de « Moi Impat », grâce à Frédéric Fuseau, en apporte un témoignage rare et néanmoins amer.

Avec pas loin de 30 années d’expatriation au compteur et après avoir sillonné la planète d’ouest en est, de Manchester à Saint-Martin et de Tahiti à la Chine, Frédéric ne découvre pas l’impatriation. Pourtant, à chaque fois qu’un retour vers l’Hexagone se profile, il est toujours redouté. La faute à un pessimisme ambiant et à une arrogance française qu’il ressent fortement. L’impression aussi de ne pas être reconnu pour son expérience passée et ses capacités linguistiques.

Mais tout n’est pas noir dans ce tableau. La lumière perce clairement dans les yeux de ses filles. Et Bordeaux, qui les accueille tous les 3 depuis un peu plus d’un an, en adoucit le ressenti.

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Au Mexique, le fleuve Colorado espère revoir la mer

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Que se passe-t-il quand l’un des plus grands cours d’eau des États-Unis disparaît ? Quelles sont les conséquences économiques, sociales, environnementales et politiques de cet assèchement ? Est-il possible de sauver un fleuve de cette envergure ? C’est à ces questions qu’a voulu répondre « Colorado, le fleuve qui refuse de mourir », un nouveau podcast en huit épisodes réalisé par Alexis Buisson pour le quotidien français La Croix et French Morning, en partenariat avec le programme Alliance-Columbia.

Dernier épisode de « Colorado, le fleuve qui refuse de mourir ». En raison des barrages qui le jalonnent et de son assèchement, le Colorado fait partie des fleuves dans le monde qui n’atteignent plus la mer ou l’océan, en l’occurrence le golfe de Californie (ou la mer de Cortés). Mais est-il condamné à ne jamais revoir la mer ?

Pour cet ultime épisode, direction l’embouchure du Colorado, au Mexique, en compagnie d’une association locale qui, avec ses partenaires, est parvenue en 2014 à reconnecter le fleuve à la mer, pour la première fois en plus de vingt ans. Un signe d’espoir pour tous les fleuves en danger.

Combien ça coûte de louer un camping-car aux États-Unis ?

Vous rêvez de partir en voyage sur les routes de l’Ouest des États-unis en camping-car ? Même si vous n’avez jamais conduit de RV (Recreational Véhicule), il est tout à fait possible de connaître l’expérience des routes du Grand Ouest. French Morning vous livre quelques conseils pour que votre roadtrip soit un succès.

Location : 900$/semaine en moyenne

Vous êtes loin d’être les seuls à imaginer un voyage dans un camping-car. Né aux États-Unis dans les années 1950, le concept du voyage en RV sur les routes de l’Ouest est devenu un idéal de voyage, symbole d’aventure. Pourtant, partir sur les routes demande de l’organisation. En moyenne, il faut prévoir entre 6 mois et un an pour avoir un choix suffisant et ne pas se retrouver avec les camping-cars les plus chers. Si les prix varient largement en fonction de la taille du véhicule et du nombre de couchages, il faut compter environ 900$ pour une semaine de location. La plupart des prix varient entre 50$ et 275$ par nuit.

Il existe de nombreux sites de location traditionnels en ligne comme Cruise America, ou El Monte RV. Ces derniers fonctionnent comme des sites de location de voitures. Depuis plusieurs années, certains moteurs de recherche proposent de mettre directement en relation avec des particuliers qui souhaitent louer leur camping-car. C’est le cas de Outdoorsy ou RV Share. Cette formule coûte moins cher que les sites de location traditionnels et vous pouvez parfois trouver des bons plans.

Les différents types de camping-car

Classe B, Classe A, truck camper, trailer... Il existe plusieurs types de location possible et peut-être vous faut-il vous pencher sur la meilleure option pour votre périple. Le camping-car (ou RV) le plus populaire est le Classe C. Proche de celui que l’on voit en Europe, il est de taille intermédiaire et sa longueur peut varier de 19 pieds à 30 pieds (6 à 9 mètres). Les plus longs peuvent abriter jusqu’à 7 personnes. Le camping-car classe A est plus long et plus haut, il ressemble à un bus. Attention, ce dernier ne possède pas toujours davantage de couchages que le Classe B, mais propose plus de confort. Petit conseil : vérifier bien que la longueur de votre camping-car est acceptée dans les campings. Certains endroits n’acceptent pas les véhicules de plus de 30 pieds de long (9 mètres). Aussi appelé van, le classe B est un véhicule grand public reconverti en camping-car. Souvent composé d’un couchage, c’est l’option parfaite pour les couples.

Les truck campers, trailers et Fifth weel trailers sont aussi des options à regarder si vous avez une voiture. Celà dit, ils ne sont pas considérés comme des camping-cars, car ils faut les tracter. Ils sont souvent moins chers et peuvent être pratiques si vous souhaitez faire des randonnées dans des endroits où les camping-cars ne peuvent pas accéder. Vous pouvez ainsi les détacher dans un camping et utiliser votre voiture pour vous déplacer.

Attention au nombre de miles autorisés

Que vous choisissez la formule traditionnelle ou que vous louiez un RV d’un particulier, il faudra que vous pensiez à vérifier combien de miles (ou de kilomètres) vous êtes autorisés à rouler sans payer de frais supplémentaires. Certaines locations sont proposées avec zéro limite, mais la plupart propose 150 à 200 miles par jour (240 à 321 kilomètres). Si vous dépassez le quota du nombre de miles autorisés, le propriétaire ou la compagnie de location ajoutera des frais : en moyenne, 40 à 50 centimes par mile selon les sites. Lors de la location, essayez d’avoir une idée de votre périple et du nombre de miles que cela vous prendra, pour éviter les mauvaises surprises. Il est généralement possible d’acheter des packages de 500 miles supplémentaires pour environ 150 à 170 dollars.

Assurance : 300 à 700$/semaine

Comme lors d’une location de voiture, il vous faut une assurance. Dans la plupart des cas, elle est obligatoire et le locataire peut vous proposer plusieurs solutions. En moyenne, il faut rajouter entre 300 et 700 dollars d’assurance. Bonne nouvelle : les permis français sont acceptés aux États-Unis et le permis véhicule suffit pour louer un camping-car. Vérifiez toutefois auprès de votre assurance française que vous êtes couvert en cas d’accident.

Les sites pour dormir : 30$ à 100$/nuit

Il est interdit de garer son RV pour y dormir sur le bord de la route ou sur un parking. Pour respecter la loi, il faut vous assurer d’être dans un camping ou dans un emplacement prévu pour camping-car. Deux solutions s’offrent à vous : réserver un emplacement dans un camping pour RV, ou dormir sur une aire de repos d’autoroute ou sur un parking de grande surface qui autorise les RV (Walmart par exemple). Pour des souvenirs inoubliables, dormir dans un camping d’un parc national américain est le top du top.

Très appréciés des Américains, les campings américains sont souvent propres, fournis de douches, toilettes, tables de pique-nique et d’un emplacement pour faire un feu. Si vous restez dans un parc national, certains emplacements sont uniques. Problème : la plupart accepte des réservations six mois à l’avance et pour certains parcs nationaux, et sont pris d’assaut en moins d’une journée. Pour réserver un emplacement, rendez-vous ici. En moyenne, il faut compter entre 30 et 50 dollars par nuit. Certains sites prisés sont plus chers et peuvent aller jusqu’à 100$ par nuit. Pensez à bien vérifier que le site propose de quoi brancher le RV à l’électricité (electrical hookup) et des stations pour vider vos toilettes.

Rhonda Broussard, une Lousianaise qui pose une bonne question

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Rhonda Broussard est la fondatrice de Beloved Community, une organisation engagée pour l’équité dans les secteurs de l’éducation, de l’emploi et du logement. Experte sur les questions de pédagogie, qu’elle croise avec celles de l’injustice raciale, Rhonda est une éducatrice reconnue et primée pour avoir fondé et dirigé un réseau d’écoles d’immersion en français aux États-Unis. Elle vit dans sa Louisiane natale d’où elle vient de sortir un livre intitulé « One Good Question » qui propose de penser autrement les problèmes éducatifs et sociaux auxquels nos sociétés sont aujourd’hui confrontées.

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Pourquoi sert-on automatiquement un verre d’eau dans les restaurants aux États-Unis?

Aux États-Unis, les sorties au restaurant commencent presque toujours par le même rituel : tout juste êtes-vous assis que, déjà, le serveur se précipite pour vous offrir un verre d’eau glacée. Pourquoi ? C’est la question bête de la semaine.

Une habitude de 180 ans

Pour trouver l’origine de cette coutume, il faut remonter au début du XIXe siècle, lorsque eau gazeuse, eau minérale et sodas commencent à se commercialiser dans les cafés américains. Jusqu’alors, il ne s’agissait uniquement d’eau en bouteille, celle du robinet n’étant pas consommable. D’après Jan Whitaker, chercheuse sur l’histoire des commerces et des restaurants aux États-Unis, « ce n’est vraiment qu’en 1842 que l’habitude de fournir un verre d’eau gratuit s’est généralisée à l’ensemble des établissements. Cette pratique intervient au moment où l’approvisionnement en eau potable des villes de Boston et de New York débute. »

À New York, c’est grâce à l’Old Croton Aqueduct que l’eau peut être acheminée du nord de l’Etat vers les habitations. Jan Whitaker raconte qu’à cette période, un journaliste new-yorkais s’est mis à enquêter pour trouver un endroit où les clients pourraient se procurer une tasse d’eau du réservoir de Croton, bien fraîche, pour accompagner leur part de tarte à la citrouille à 4 cents.

Pour les restaurateurs, mettre à disposition de l’eau potable devient un argument commercial. De plus en plus de cafés et restaurants s’y mettent. Le phénomène dépasse New York. Le Wall Drugstore, fameux centre commercial dans le Dakota du Sud, excentré du centre-ville de Wall, se met à proposer des verres d’eau gratuits pour attirer la clientèle.

Boisson «morale» de la Prohibition

En 1919, cette coutume s’inscrit plus profondément encore pendant la période de la Prohibition. Les protestants américains de la classe moyenne issus du « mouvement de la tempérance » considèrent l’eau comme le seul breuvage « moral », parce qu’issu de la nature. « Ces derniers, ayant échoué à interdire la vente de bière et de vin dans les restaurants de style européen, ont installé une fontaine d’eau glacée et gratuite à l’entrée de chaque établissement, précise Jan Whitaker. Dans l’opinion publique, la consommation excessive d’alcool en public était considérée comme l’apanage des immigrants et un signe de faiblesse de caractère. »

Si les restaurants n’ont donc jamais été soumis à l’obligation formelle de fournir un verre d’eau gratuit, cette pratique fait encore partie des mœurs. « Tout comme apporter une corbeille de pain à table, il s’agit avant tout d’une marque d’hospitalité », estime la spécialiste.

Une première version de cette Question bête a été publiée le 6 août 2017.

« A scar is born », le nouveau spectacle de Lorelei Zarifian à SF

L’artiste française Lorelei Zarifian remonte sur les planches avec son nouveau spectacle « A Scar is Born ». Du jeudi 08 septembre au dimanche 11 septembre 2022, elle interprètera ce troisième one-woman show tout en anglais devant le public du SF Fringe Festival.

Chanteuse d’opérette, l’autrice-metteur en scène-comédienne dispose également d’une formation en littérature française. Elle place ainsi la langue et la poésie au coeur de son travail. Jeux de mots et humour en prime. Pour cette nouvelle pièce – qu’elle présente en avant-première à San Francisco – elle intègre en outre la chanson. 

L’histoire ? Celle d’une comédienne marginale qui passe une audition. Devant le directeur de casting, elle revient en musique sur des moments clés de sa vie. La fiction s’inspire ici de la réalité puisque les morceaux relatent un périple de la France aux États-Unis. Ils permettent de voyager à Paris, Marseille, New York et en Floride. Autant d’endroits où Lorelei Zarifian a vécu.

Entre les chansons, l’artiste alterne des sketches sur l’absurdité de nos vies modernes. Et derrière ses traits d’humour et les maux du personnage qu’elle incarne, elle délivre un message plein d’espoir, empreint de passion et de mélodies.

Lorelei Zarifian offre 4 places à gagner pour les lecteurs de French Morning. Pour participer au tirage au sort, il suffit de remplir le formulaire ici :


Dolly Llama, une gaufre glacée franco-américaine à la conquête de l’Amérique

Avec trois boutiques en nom propre à Los Angeles, deux magasins franchisés sur le point d’ouvrir et une trentaine d’autres signées, l’aventure franco-américaine Dolly Llama, le nouveau spécialiste de la gaufre glacée, semble être partie pour durer.

La bubble waffle, reine des gaufres

Tout commence en 2017. Amis dans la vie, Eric Shomof, spécialiste de l’immobilier, prend contact avec Samuel Baroux, restaurateur dans la région de Toulon, et notamment à la tête du restaurant La Piazza et du Rives d’Or Hôtel à la Seyne-sur-Mer, pour lui proposer une affaire à Los Angeles.

« J’ai été restaurateur toute ma vie, j’ai commencé avec un camion à pizza, raconte Samuel Baroux. Et à la suite de la vente d’une de mes affaires, j’ai eu envie de nouveaux challenges. Le coup de fil d’Eric est arrivé au bon moment. J’ai pris l’avion pour Los Angeles le lendemain et suis allé découvrir le local qu’il venait de trouver à Downtown. »

Samuel Baroux, le co-fondateur de Dolly Llama
Samuel Baroux, le co-fondateur de Dolly Llama.

Sur South Spring Street, proche du célèbre restaurant et lieu de divertissements Clifton’s Republic, le duo récupère un ancien restaurant spécialiste des desserts, réfléchit à un nouveau concept et à un marketing fort. « Nous avons fait le tour des restaurants sucrés, testé les enseignes à churros, celles spécialisées dans les gaufres japonaises ou les donuts. Et c’est finalement la bubble waffle, une gaufre sphérique et à bulles très populaire à Londres, et que l’on peut consommer dans un cornet, qui l’a emportée. »

Glace, caramel et Nutella

Pour se démarquer, Samuel Baroux choisit de travailler la « vraie » recette de gaufre. « La meilleure, c’est la version liégeoise, explique-t-il. La gaufre de mon enfance, parfaite à marier avec une boule de glace, un peu de caramel et de Nutella. Celle dont l’odeur est unique, la gaufre que l’on peut dévorer à toutes les saisons, proposée dans un cornet pour être mangée debout, sans cuillère et à partager. »

En collaboration avec un artisan spécialiste de la gaufre en Belgique, les premiers gaufriers signés Dolly Llama sont fabriqués et envoyés à Los Angeles. « Des machines qui devaient respecter les normes américaines, équipées de plaques en fonte, précise Samuel, sur laquelle se pose notre recette de pâte made in Belgique, la même utilisée dans toutes nos boutiques, avant la pose de la glace et des toppings. »

Le restaurant Dolly Llama à Downtown LA
Le restaurant Dolly Llama à Downtown LA.

Ouverte en 2017, la première adresse Dolly Llama, « un nom tout droit venu d’une ferme à lamas dans la région toulonnaise tenue par un de mes amis, et inspirée par un animal sympathique et qui m’est cher », est inaugurée. « Rapidement, nous avons compris que notre concept allait plaire, poursuit Samuel Baroux. La bonne odeur de la gaufre une fois la porte franchie, le sourire des enfants comme des parents, l’effet de surprise et la variété de recettes, soit huit au total, avec une offre sur-mesure, des déclinaisons en cône, ou encore une version « box » à partager, tout cela a immédiatement séduit les clients. »

Des franchises aux États-Unis

L’enthousiasme des Angelenos pour l’enseigne convainc les propriétaires de dupliquer leur concept dans le quartier de Koreatown en 2020, puis à Sherman Oaks dans la vallée de San Fernando. « Le principe de franchise s’est ensuite imposé à nous, ajoute Samuel Baroux, avec l’ouverture cette année d’une adresse à Dallas (au 2817 sur Howell Street) et prochainement une autre à Jacksonville en Floride. Suivront Las Vegas dans quelques semaines, la Pennsylvanie et la Caroline du Nord. »

Partageant l’organisation et le développement de la société avec son partenaire américain, Eric Shomof, Samuel Baroux rêve de voir Dolly Llama s’inviter dans chaque grande ville américaine. « Notre concept rend les gens heureux, et c’est la clé de notre succès. Je partage mon temps entre le Sud de la France et Los Angeles, compte sur l’efficacité de notre équipe. En travaillant d’arrache-pied, mon rêve américain devrait se réaliser. »

Prêts pour un défi au cœur d’un des plus vieux parcs d’attraction ?

Pour ce nouveau défi, Family Way vous donne rendez-vous à l’extrême sud de Brooklyn, à Coney Island (arrêt de métro Coney Island Stillwell Ave., lignes D, F, N, Q et bientôt un accès en ferry).

Composé de plusieurs parcs d’attraction, d’un aquarium, et d’un accès à la plage, Coney Island est l’endroit parfait pour s’évader pendant les beaux jours et s’amuser en famille à New York. Ce grand lieu de divertissement, très prisé de la fin du XIXème siècle jusqu’à la seconde guerre mondiale, dégage aujourd’hui une ambiance un peu vintage et pleine de charme. Mais ne vous y trompez pas, les vieux manèges sont toujours très sensationnels à l’exemple de l’attraction Cyclone, des montagnes russes inaugurées en 1927. 

Un défi pour découvrir un lieu symbolique de Coney Island 

Créé en 1916, cette marque à l’origine d’un fameux Hot Dog doit son succès à sa recette mais surtout à son prix de 5 cents au moment de son lancement. Elle est aussi célèbre pour organiser chaque année un concours du plus gros mangeur de hot-dogs. Sachez que le dernier vainqueur en 2022 a réussi à en avaler 76 en 10 minutes.

À vous de retrouver cette marque emblématique des hot-dogs en vous baladant sur les planches (Riegelmann Boardwalk) le long de la plage, juste devant les parcs d’attraction.

Si vous avez un doute, rendez-vous sur www.family-way.com.

Quelques adresses à ne pas manquer 

Voici quelques adresses à ne pas manquer une fois que vous êtes à Coney Island. 

  • Commencez par tester les attractions emblématiques de Coney Island. Ainsi, vous pouvez profiter d’attractions classées comme les montagnes russes en bois et métal du Cyclone. Vous pouvez aussi vous amuser avec la grande roue du Deno’s Wonder Wheel. Renseignez-vous bien avant d’acheter un pass. En effet, les attractions se trouvent au sein de différents parcs (Luna Park, Deno’s Wonder Wheel Amusement Park). Rassurez-vous, il y en a pour tous les âges.
  • Coney Island, c’est aussi l’aquarium de New York, installé ici en 1957 après avoir quitté Battery Park. Lourdement endommagé après l’ouragan Sandy en 2012, il vient de rouvrir ses portes. Requins, poulpe, raie, pingouin ou expérience du cinéma 4D, tout est là pour vous faire passer un bon moment.
  • Pour le défilé des sirènes de Coney Island, ou Mermaid Parade, il faudra revenir au mois de juin.
  • À Coney Island, il y a évidemment la plage. Située juste devant les attractions, cette plage de sable fin s’étend sur plusieurs kilomètres.
  • Enfin, un arrêt chez le célèbre marchand de hot dogs s’impose. Difficile de ne pas le trouver. Il a plusieurs adresses à Coney Island dont celle en bordure de plage.

Tennis : tout savoir sur l’US Open 2022 à New York

Après deux années perturbées à cause du Covid, l’US Open va à nouveau faire le plein de visiteurs à New York. Voici tout ce qu’il faut savoir sur ce quatrième tournoi du Grand Chelem.

Dates importantes 

L’US Open vous donne rendez-vous du lundi 29 août au dimanche 11 septembre à l’USTA Billie Jean King National Tennis Center de Flushing à Queens. Les qualifications pour le célèbre tournoi américain ont lieu en ce moment et jusqu’au vendredi 26 août. La finale femmes se tiendra le samedi 10 septembre à 12pm, la finale hommes le dimanche 11 à 1pm.

Favoris en lice

Chez les hommes, le numéro 1 mondial russe et vainqueur du tournoi l’année dernière Daniil Medvedev remettra son titre en jeu. Il aura fort à faire face à des concurrents de poids comme l’Espagnol Rafael Nadal (3), quadruple vainqueur du tournoi, et le Grec Stefanos Tsitsipas (5) finaliste de Rolland-Garros l’année dernière. Le Serbe Novak Djokovic (6) ne participe pas à l’US Open car il n’est pas vacciné contre le Covid. Chez les dames, la numéro 1 mondiale polonaise Iga Swiatek espérera remporter son premier US Open. Elle retrouvera notamment la Britannique Emma Raducanu (11), vainqueure l’année dernière, et la Tunisienne Ons Jabeur (5), gagnante de trois tournois WTA cette année.

Prix des places 

Comptez 109$ minimum la place pour assister à la première journée le 29 août, avec une place attitrée dans le Arthur Ashe Stadium et un accès aux autres stades et terrains pendant la journée (premier arrivé, premier servi). La place la moins chère pour assister à la finale hommes est actuellement de 329$, la place la moins chère pour la finale femmes coûte 184$. Pour le détail des prix par jour et offres spéciales, cliquez ici.

Monfils blessé, Garcia et Cornet en forme

Chez les Bleus, Gael Monfils (22ème mondial) ne participera malheureusement pas au tournoi après s’être blessé au pied droit à Montréal. Les représentants tricolores masculins seront au nombre de sept : Benjamin Bonzi (50), Arthur Rinderknech (58), Adrian Mannarino (65), Hugo Gaston (71), Quentin Halys (76), Richard Gasquet (91) et Benoit Paire (164). Chez les dames, Caroline Garcia (17), récente gagnante du tournoi de Cincinnati, peut espérer avancer loin dans le tournoi, tout comme Alizé Cornet (37), vainqueure à Cleveland pour son 500ème match en carrière. Diane Parry (81) et Oceane Dodin (99) sont également qualifiées directement pour le tournoi.

Gilles Simon, 37 ans, fait partie des 11 Français en lice dans les qualifications dans le tableau masculin. Huitième de finaliste en 2011 et 2014, le vétéran tricolore vise une dernière participation au Grand Chelem américain avant de prendre sa retraite à la fin de l’année. Elles sont neuf françaises dans les qualifications féminines dont Kristina Mladenovic (26ème mondiale) et Fiona Ferro (236).

Le dernier tournoi de Serena Williams

L’US Open sera également la dernière occasion de voir Serena Williams sur un cours de tennis. L’Américaine de 40 ans, ancienne numéro 1 mondiale, a annoncé le 9 août qu’elle allait prendre sa retraite sportive après ce tournoi. Considérée comme l’une des meilleures joueuses de tous les temps, elle a remporté 39 titres dans sa carrière dont sept Open d’Australie, trois Roland-Garros, sept Wimbledon et six US Open.

Elise Bultez : Choisir de rester au Canada sans lui

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Au début de sa vie d’adulte, Elise Bultez rencontre deux Canadiennes, par le biais de son meilleur ami. Un coup de foudre amical aussi évident que réciproque. Rapidement, l’idée de partir vivre au Canada s’impose.

Quelques mois plus tard, la voilà qui s’envole avec son ami et son petit copain en direction de Vancouver, sur la côte Ouest canadienne. L’objectif affiché était alors d’y passer un an en PVT (Permis Vacances Travail). Les retrouvailles sont belles, la ville accueillante… Cependant, dès les premiers jours, il y a un truc qui cloche. Son meilleur ami n’est plus lui-même. Et très rapidement, Elise se retrouve avec une crise majeure à gérer au sein du trio d’amis. Elle fait face à l’angoisse de ne pas connaître le système de santé non plus. Au bout de quelques semaines, son ami repart en France, et la voilà qui reste avec son petit copain à vivre une aventure qu’elle avait pourtant rêvé à 3.

Dans cet épisode, Elise Bultez raconte la schizophrénie de son meilleur ami, découverte et exacerbée par l’expatriation à l’autre bout du monde.

Réalisation : Anne-Fleur Andrle
Habillage & Mixage : Alice Krief

Où acheter des maillots, shorts et chaussures de football à Miami ?

Avis aux amateurs de ballon rond. Dans une ville qui ne vit que pour le basket, le baseball, ou encore le football américain, voici quelques rares adresses à Miami où dénicher des articles de soccer, comme on dit ici.

© Mad About Soccer

Se targuant d’être la plus importante boutique de football à Miami, Mad About Soccer dispose de trois points de vente dans la ville, dont une enseigne implantée au cœur du centre commercial à ciel ouvert Bayside Marketplace à Downtown. Cette institution regorge de maillots de tous les pays, à l’image de la France avec celui de Kylian Mbappé, tous étant disponibles pour adulte et enfant. Vous y trouverez également une vaste sélection de chaussures, des shorts, quelques chaussettes et autres accessoires, ainsi que de nombreux ballons. Les amateurs du genre pourront par ailleurs faire floquer un maillot du numéro et du nom de leur footballeur préféré. 401 Biscayne Blvd, Miami – (305) 371-2111 – Infos ici

© Soccer Locker

Nichée à South Miami, l’enseigne Soccer Locker, très prisée des sportifs, offre elle aussi un choix énorme à tous les rayons. C’est l’endroit idéal pour se procurer le maillot du Paris Saint-Germain, de Manchester United, du Borussia Dortmund, du Real Madrid et de l’Atlético, son rival historique, ou encore celui de l’équipe de Colombie, d’Argentine et d’Uruguay. Vous pourrez également choisir des chaussures, des t-shirts, des gants de gardien, ainsi que des t-shirts et autres produits à l’effigie de votre club de cœur ou de votre équipe nationale favorite. Comme la tentation est grande, prenez garde à ne pas mettre votre portefeuille en position de hors-jeu. 9601 S Dixie Hwy, Miami – (305) 670-9100 – Infos ici

© Pelé Soccer

Arborant fièrement le nom de la légende brésilienne du ballon rond, l’enseigne Pelé Soccer renferme quantité de références qui devraient contenter les passionnés de football. Qu’il s’agisse d’un maillot pour adulte ou pour enfant, toutes les tailles sont disponibles dans cet établissement de Lincoln Road à Miami Beach. Orlando City SC, LA Galaxy, FC Dallas, ou encore New York Red Bulls, aucun club de la MLS ne manque à l’appel. Cette chaîne de magasins vend aussi une multitude de maillots d’équipes européennes, à l’image de l’Olympique de Marseille, et de sélections nationales comme la Belgique, le Canada ou encore le Portugal. Les supporters de l’Inter Miami CF, la franchise locale de David Beckham, y trouveront également leur bonheur. 532 Lincoln Rd, Miami Beach – (786) 238-7448 – Infos ici

© Nike

Équipementier de plusieurs équipes de football, Nike propose de nombreux maillots de clubs nationaux et internationaux dans sa boutique ouverte sur Lincoln Road à Miami Beach. On y retrouve notamment celui de Chelsea, de Liverpool, ou encore de Barcelone, sans oublier le maillot auréolé de deux étoiles de l’équipe de France. T-shirts d’entraînement, shorts, chaussettes et protège-tibias s’alignent par ailleurs sur les présentoirs de la marque à la virgule. 1035 Lincoln Rd, Miami Beach – (305) 674-0352 – Infos ici

© DICK’S Sporting Goods

À Midtown, le grand magasin DICK’S Sporting Goods, qui s’adresse à toutes les catégories de sportifs, offre notamment à sa clientèle une poignée d’articles de football de différentes marques. Vous y trouverez des chaussures, des shorts, quelques vestes ou encore des protège-tibias. 3401 N Miami Ave, Miami – (786) 221-0650 – Infos ici

© Urban Indoor Futbol

Habillés de la tête aux pieds, les fans de Lionel Messi et de Cristiano Ronaldo pourront alors s’adonner à leur sport favori au complexe sportif Urban Indoor Futbol, géré par le Français Michael Athea. On s’y rassemble aussi pour regarder les matchs des principales compétitions de football, telle la Coupe du monde, dont l’édition 2022 approche à grands pas. 1125 NW 71st St, Miami – (786) 253-2888 – Infos ici

[Vidéo] Immobilier : acheter à Los Angeles en 2022/2023

Lors d’un webinaire dédié au marché immobilier californien, Marc de Longeville, agent immobilier francophone à Los Angeles, vous a divulgué ses conseils sur la meilleure méthode pour acquérir un bien immobilier à Los Angeles et alentour.

Il a également fait le point sur la santé du marché immobilier en Californie du Sud et sur les opportunités à saisir, ainsi qu’un rappel général sur la fonction de l’agent immobilier aux États-Unis, assez différente de celle que l’on peut connaître en France.

Visionner le replay sur YouTube

Contacter Marc de Longeville, agent immobilier à Los Angeles : [email protected] / +1 (213) 675 0197