Accueil Blog Page 244

Moi Impat: le choix de rentrer vivre dans un petit village français

0

Gindou, dans le Lot, 366 habitants, a vu subitement sa population grimper avec l’arrivée, il y a presque trois mois, de Anne Luong et sa famille. Après un périple d’expatriée de 16 ans, la 96ème invitée de Moi Impat a choisi de poser ses valises dans sa maison de vacances.

Et si ses précédentes destinations – Turkménistan, Qatar, Vietnam, Hong Kong et Egypte – font la curiosité du voisinage, l’installation dans ce village rural est en train de lui réserver quelques petites surprises. Loin de tout, mais surtout du corps médical et de ses praticiens, Anne Luong compte sur sa faculté d’adaptation, toute zénitude dehors ! Elle a donc choisi de se tourner vers une activité professionnelle qu’elle qualifie elle-même de « portable » pour mieux appréhender ce changement à 360°.

https://www.spreaker.com/user/frenchmorning/pad_73

Bourses scolaires 2022-2023 : le consulat de SF collecte les demandes

Pour les familles françaises récemment installées dans la circonscription de San Francisco ou pour celles dont la situation financière a brutalement changé depuis la clôture de la première campagne boursière, c’est le moment de déposer une demande de bourse scolaire. Le consulat général de France à SF a lancé la seconde campagne pour 2022-2023 : il acceptera les dossiers jusqu’au vendredi 16 septembre inclus. Cette campagne est également ouverte aux parents qui, pour une raison majeure telle une maladie, n’ont pas pu présenter leur dossier lors de la première campagne boursière et à ceux qui souhaitent solliciter un réexamen de leur dossier.

Pour rappel, peuvent bénéficier d’une bourse, dans le cadre d’une scolarisation dans un établissement relevant de l’AEFE, les enfants qui remplissent les critères suivants :

  • être de nationalité française 
  • résider avec leur famille (père et/ou mère, tuteur légal) 
  • être inscrits au registre des Français établis hors de France, tout comme la personne qui effectue la demande de bourse (père, mère, tuteur) 
  • pour ceux inscrits dans une école maternelle, être âgés d’au moins trois ans au cours de l’année civile de la rentrée scolaire
  • fréquenter un établissement homologué par le ministère de l’Éducation nationale ou, à titre dérogatoire, en cas d’absence, d’éloignement ou de capacité d’accueil insuffisante d’un établissement homologué, un établissement dispensant au moins 50% d’enseignement en français
  • fréquenter régulièrement les cours
  • au-delà de l’âge de scolarisation obligatoire (16 ans), ne pas avoir un retard scolaire de plus de 2 ans (excepté ce cas, l’attribution d’une bourse n’est pas subordonnée aux résultats scolaires).

Pour déposer un dossier au Consulat, il faut prendre rendez-vous auprès du service des Affaires sociales du Consulat. Les demandes de renouvellement doivent également se faire sur rendez-vous ou être transmises par voie postale à l’adresse suivante :
Consulat Général de France à San Francisco, Bourses scolaires, 88 Kearny Street – Suite 600, San Francisco CA 94108.

La suite de la procédure : le Conseil consulaire des bourses se réunira début novembre, puis la seconde Commission nationale des bourses se réunira à Paris en décembre et avisera les familles de ses décisions fin décembre.

Bourses scolaires 2022-2023 : le consulat de LA collecte les dossiers

Pour les familles françaises récemment installées dans la circonscription de Los Angeles ou pour celles dont la situation financière a brutalement changé depuis la clôture de la première campagne boursière le 16 février dernier, c’est le moment de déposer une demande de bourse scolaire. Le consulat de France à LA a lancé la seconde campagne pour 2022-2023 : il acceptera les dossiers jusqu’au vendredi 16 septembre. Cette campagne est également ouverte aux parents qui, pour une raison majeure telle une maladie, n’ont pas pu présenter leur dossier lors de la première campagne en janvier-février et à ceux qui souhaitent une révision de la décision prise à l’issue de la première campagne boursière.

Pour rappel, peuvent bénéficier d’une bourse, dans le cadre d’une scolarisation dans un établissement relevant de l’AEFE, les enfants qui remplissent les critères suivants :

  • être de nationalité française
  • résider avec leur famille (père et/ou mère, tuteur légal)
  • être inscrits au registre des Français établis hors de France, tout comme la personne qui effectue la demande de bourse (père, mère, tuteur)
  • pour ceux inscrits dans une école maternelle, être âgés d’au moins trois ans au cours de l’année civile de la rentrée scolaire
  • fréquenter un établissement homologué par le ministère de l’Éducation nationale ou, à titre dérogatoire, en cas d’absence, d’éloignement ou de capacité d’accueil insuffisante d’un établissement homologué, un établissement dispensant au moins 50% d’enseignement en français
  • fréquenter régulièrement les cours
  • au-delà de l’âge de scolarisation obligatoire (16 ans), ne pas avoir un retard scolaire de plus de 2 ans (excepté ce cas, l’attribution d’une bourse n’est pas subordonnée aux résultats scolaires).

Pour déposer un dossier au Consulat, il faut prendre rendez-vous. La suite de la procédure : le Conseil consulaire des bourses se réunira début novembre, puis la seconde Commission nationale des bourses se réunira à Paris en décembre et avisera les familles de ses décisions fin décembre.

Nos bons plans pour s’amuser sans rien payer cet été à Miami

À Miami cet été avec un petit budget ? Voici une sélection d’activités gratuites pour passer de bons moments en famille ou entre amis sans débourser un dollar.

Écouter de la musique en plein air

© New World Center

Bâtiment destiné à l’école de musique de Miami Beach, le New World Center (500 17th St, Miami Beach) organise régulièrement des « Wallcast Concerts » durant lesquels les représentations de musique classique qui se déroulent à l’intérieur sont retransmises sur un écran géant installé sur le mur de l’établissement. Prévoyez une couverture et un pique-nique afin de profiter du concert, confortablement installé sur l’herbe du SoundScape Park avoisinant. Ce mur permet par ailleurs la projection d’une sélection de films chaque mercredi soir durant les mois d’octobre à mai.

Ouvrir ses chakras

Si les termes ananda, chitta ou encore dhyana semblent vous échapper, c’est que vous n’avez pas encore essayé le yoga. N’attendez plus et foncez découvrir cette pratique au Bayfront Park de Miami (301 Biscayne Blvd, Miami) où des cours d’une heure sont dispensés gratuitement les lundis et mercredis soirs à 6pm. 

Chaque samedi matin à 9am, les débutants et yogis confirmés sont invités à venir renforcer leur corps et améliorer leur respiration tout en réduisant leur stress au Brickell Backyard Sound Stage de l’Underline (SW 1st Ave & SW 8th St, Miami), la nouvelle promenade végétale de la ville. Les donations sont encouragées.

Frétiller sur des airs créoles

En plein cœur du quartier de Little Haiti, véritable bastion de la communauté créole, le Little Haiti Cultural Complex (212 NE 59th Terrace, Miami) programme chaque troisième vendredi du mois « Sounds of Little Haiti », un concert gratuit en plein air. C’est l’occasion de se déhancher au rythme du kompa, la musique populaire haïtienne. 

© Grégory Durieu

Les novices pourront d’ailleurs s’y initier en participant à une Konpa Danse Class organisée chaque samedi à 1pm au Caribbean Marketplace (5925 NE 2nd Ave, Miami), la réplique moderne du célèbre Marché en Fer de Port-au-Prince en Haïti.

Mouiller le maillot

Les amateurs de la petite reine pourront participer au Critical Mass. Organisé le dernier vendredi de chaque mois en début de soirée, cet événement sportif, dont le coup d’envoi est donné au Government Center (111 NW 1st St, Miami) rassemble plusieurs centaines de cyclistes en herbe ou aguerris venus parcourir les rues de la ville, le tout dans une ambiance conviviale. 

© Virginia Key Bicycle Club

Si vous êtes adepte de VTT, vous ne manquerez pas de vous rendre sur Virginia Key afin de prendre plaisir à pédaler sur les nombreux sentiers de niveaux différents des North Point Trails (Arthur Lamb Jr Rd, Miami), entretenus depuis plus d’une décennie par le Virginia Key Bicycle Club.

S’imprégner de la culture latine

Tous les troisièmes vendredis de chaque mois dès 7pm se déroulent les « Viernes Culturales » durant lesquels la célèbre Calle Ocho (SW 8th St, Miami), l’artère principale de Little Havana, s’anime au gré de nombreuses activités proposées par les différents établissements du quartier cubain de Miami. Au programme : expositions, concerts en plein air et danses permettant de promouvoir de nombreux artistes locaux.

Étancher sa soif de connaissance

Miami compte bon nombre d’institutions culturelles et artistiques et certaines sont ouvertes gratuitement aux visiteurs, à l’image de l’Institute of Contemporary Art à Design District (61 NE 41st St, Miami) qui dispose notamment d’un vaste jardin de sculptures. 

© Bass Museum of Art

Les muséophiles apprécieront également d’accéder sans frais au Bass Museum of Art (2100 Collins Ave, Miami Beach) le dernier dimanche de chaque mois de 2pm à 4pm. Sa collection permanente joue sur différentes périodes, exposant aussi bien des œuvres religieuses européennes de la Renaissance que certains artefacts typiques de l’Antiquité égyptienne. 

En poussant la porte du Wolfsonian-FIU à South Beach (1001 Washington Ave, Miami Beach) les vendredis entre 6pm et 9pm, vous accéderez gracieusement à une importante collection d’art américain et européen datant de la fin du XIXème et du début du XXème siècle.

© Museum of Art and Design

La politique de la free admission est aussi appliquée tous les jeudis de 4pm à 8pm au sein du Museum of Art and Design qui est logé dans la Freedom Tower (600 Biscayne Blvd, Miami). Cet établissement met entre autres l’accent sur l’art contemporain sud-américain.

Votre portefeuille ne fera pas non plus grise mine si vous arpentez les allées du Pérez Art Museum (1103 Biscayne Blvd, Miami) le second samedi de chaque mois. Cette institution renferme plusieurs centaines d’œuvres modernes et contemporaines venues du monde entier, avec une petite préférence pour l’art local, sud-américain ainsi que caribéen.

4 endroits où prendre des cours de boxe à New York

Excellent moyen d’éliminer les excès de l’été et de se bâtir un corps d’athlète pour la rentrée, la boxe a le vent en poupe dans la Big Apple. Voici quatre endroits où prendre des cours selon les budgets.

Rumble Boxing

Let’s get ready to rumbleeee! Cette chaîne qui dispose de quatre salles à Manhattan et une à Downtown Brooklyn s’inspire de la boxe pour préparer des séances de sports ultra-intenses. Compartimentés en cycles de quelques minutes pour un total de 45min, les cours vous apprennent à la fois les différents coups et techniques de base de la boxe, alliés à des exercices de cardio et renforcement musculaire. Le tout sur une playlist de sons rap et RnB crachés à pleine puissance. De quoi trouver la motivation chaque semaine en groupe de 15 à 30 personnes. Comptez 36$ pour deux cours d’essai, ou 640$ pour 20 classes. Possibilité de cours particuliers. Flatiron/ Chelsea (146 W. 23rd St), NoHo (700 Broadway), Upper East Side (1495 3rd Avenue), Tribeca (142 West Street), Downtown Brooklyn (415 Red Hook Ln).

BTL Boxing

French Morning vous dressait en mars 2020 le portrait de Simon Bakindé, ancien boxeur franco-camerounais reconverti en coach à New York. Entraîneur de combattants établis comme Fred Julan et Romain Tomas, deux Français professionnels aux États-Unis, Simon Bakindé a lancé sa propre structure pendant la pandémie, BTL Boxing. Celui qui a commencé dans la boxe à 19 ans ne propose que des séances individuelles, personnalisées selon vos objectifs. Ouvert à tous les niveaux. Comptez 180$ la session, ou 140$ pour 10, 125$ pour 25. Séances sur Manhattan, plus d’informations: [email protected]

Krush Boxing

Krush Boxing a été créé pendant la pandémie par un groupe de boxeurs qui proposent des cours orignaux en extérieur du côté de McCarren Park à Williamsburg. Comme Rumble Boxing, les classes allient technique de boxe et cardio sur une heure et sont ouverts à tous les niveaux. Krush Boxing offre également des cours pour les enfants pour apprendre tous les fondamentaux de la boxe (30min). 35$ le cours. Ouvert 7j/7, programme complet ici.

City Pro Fitness

Pour les portefeuilles moins garnis, City Pro Fitness à Flatiron propose une offre spéciale découverte de la boxe à 29$ sur Groupon avec un entraîneur en tête à tête pendant 45 minutes. Du côté de Chelsea, Empire Martial Arts Center propose trois cours de kickboxing en groupe pour 21$, ou cinq pour 35$ sur Groupon. Vous n’avez plus d’excuses.

10 aires de jeux à tester à Washington DC

Tous les playgrounds ne se ressemblent pas. C’est particulièrement vrai à DC. French Morning en a sélectionnés dix qui valent le détour dans la capitale américaine, même pour les parents !

Le terrain de jeux de Rosedale (Carver/Langston)

C’est l’un des terrains de jeux les plus uniques de DC avec une mini-version du National Mall comprenant le Capitole, la Maison Blanche, le monument MLK, Hirshhorn et quelques musées. ⁣Stationnement dans la rue (gratuit pendant 2 heures). Rendez-vous au 1701, rue Gales NE.

Guy Mason Community Center (Glover Park)

Les enfants et les baby-sitters adorent cette aire de jeux située dans le nord-ouest de Washington. Vous y trouverez tout ce qu’il faut pour occuper vos bambins pour une heure ou deux : bac à sable pour les petits et cordes à grimper pour les plus grands. Bonus : le parking (gratuit) borde la résidence de la vice-présidente. Rendez-vous au 3600 Calvert St NW.

L’aire de jeux Beauvoir (Cathedral Heights)

Unique et inspiré de la nature, la terrasse qui accueille les familles est immense et spacieuse. La spécialité de cette aire : des rochers et des cordes à grimper. L’adresse fait partie de l’école primaire de la Cathédrale nationale et est donc seulement ouverte au public après 6pm et les week-ends. Côte parking, il y a environ 25 places de stationnement juste à côté. Rendez-vous au 3500 Woodley Rd NW.

Centre de récréations des Palissades

Niché dans les quartiers des Palissades, ce magnifique terrain de jeu sur le thème du Potomac est vraiment amusant pour les enfants. À noter que cette aire comprend une zone pour les plus petits. Les enfants peuvent grimper dans des cabanes perchées, glisser sur le fleuve du Potomac et tester un toboggan en forme de canoë. Le parking est gratuit. Rendez-vous au 5200 Sherier Pl NW.

Centre de jeux de Chavy Chase

Avec sa pataugeoire immense et ses jets d’eau qui sortent de partout, cette adresse est l’une des aires les plus agréables pendant les journées caniculaires comme on en connaît à DC en ce moment. Le stationnement se fait directement dans la rue. Rendez-vous au 5500 41st NW.

L’aire de jeux Macomb (Cathedrale Heights)

En plus d’être l’une des aires de jeux préférées des parents de DC, on y trouve assez d’ombre pour organiser un pique-nique. Les toboggans sont très hauts pour les grands enfants, mais on y trouve aussi un manège et des balançoires pour les plus petits. Seuls les stationnements dans la rue du quartier sont disponibles. Rendez-vous au 3409 Macomb St NW.

L’aire de jeux de Takoma

Avec des structures boisées sur le thème de la nature, l’aire a des zones clôturées et séparées pour les grands et les petits enfants et de nombreuses activités à tester. Sa caractéristique unique : on y trouve une balançoire à bascule pour 4 personnes, une immense cabane de jeu et un toboggan triple, idéal pour les courses entre enfants. Le stationnement gratuit dans la rue est facile à trouver. Rendez-vous au 301 Van Buren St NW.

Park Stead (Downtown)

C’est un parc agréable à découvrir avec les enfants lors d’une visite du centre-ville, à une centaine de mètres de la Maison Blanche. Deux murs d’escalade différents pour petits et grands enfants font la particularité de ce lieu. Stationnement payant uniquement dans la rue. Rendez-vous au 1625 P St NW.

Le centre de loisirs Turkey Thicket (Brookland)

C’est un joli parc de quartier avec une grande aire de jeux. Le plus ? Juste en bas de la rue, un monastère franciscain ouvre ses portes de 9am à 4pm. Il y a un grand parking devant l’aire. Rendez-vous au 401 Oklahoma Ave NE.

Le parc du pirate (Anacostia)

Le Pirate Ship Playground, juste à côté du fleuve, est un endroit unique avec un bateau pirate aménagé en terrain de jeux. Écrivez « Pirate Ship Playground at Anacostia Park » dans Google Maps pour trouver le bon parking (gratuit).

Chaussures, maillots, ballons: où acheter des articles de foot à New York?

Dans la ville du basket et du baseball, pas toujours évident de trouver de quoi s’équiper. Voici six adresses où trouver des articles de foot à New York.

À Manhattan

Pelé Soccer : Cette chaîne de magasins qui porte le nom du meilleur joueur brésilien de tous les temps a ouvert à Times Square en novembre 2019. Il faut traverser un couloir original avec un lustre et des boiseries anciennes pour entrer dans cette boutique aux nombreuses références. Vous y trouverez plus d’une centaine de maillots de clubs dont la MLS, les principaux championnats européens et sélections nationales comme la France. Le choix de chaussures est également important avec les derniers modèles des marques Nike, Adidas et New Balance. Cerise sur le gateau, le magasin dispose d’un écran géant pour regarder les matches pendant votre shopping. 1560 Broadway, +1 646-666-0025.

https://www.instagram.com/p/CfZT7BpLdSK/

Upper 90 Soccer : Upper 90 dispose de trois magasins à New York dont un dans l’Upper West Side. La boutique n’est pas très grande mais bien fournie avec une trentaine de références de maillots de clubs et une 15aine de sélections nationales. Vous trouverez également des t-shirts d’entraînement tout simple Nike et Adidas pour 20-25$, ainsi que tout l’équipement nécessaire (short, chaussettes, protèges tibias, ballon, etc). Tailles homme, femme et enfant. Choix de chaussures limité. 250 W 86th St, 646-661-3951

Paragon Sports : À deux pas d’Union Square, ce grand magasin multisport dispose d’articles dans beaucoup de disciplines individuelles et collectives. C’est l’endroit idéal pour acheter un équipement de foot (short et maillot) à un prix accessible (environ 50$ l’ensemble chez Nike et Adidas). Vous trouverez aussi des protèges tibias, ballons, sac à dos ou encore gants de gardien. En revanche, Paragon Sports ne dispose pas d’un grand catalogue de maillots de clubs ni de chaussures. 867 Broadway, (800) 961-3030.

Euromex Soccer : Cette petite boutique située à East Harlem ne paie pas de mine de l’extérieur. Il s’agit en fait de la caverne d’Ali Baba pour les amoureux de football mexicain. Cruz Azul, Monterrey, Tigres, Pachuca… Le patron de l’établissement dispose de nombreux maillots du championnat de Liga MX. Vous y trouverez également le maillot du NYC FC en MLS, et celui de Pelé à l’époque où il a joué pour le New York Cosmos. Large choix de chaussures pour enfant et adulte. 867 Broadway, (800) 961-3030.

À Brooklyn

Upper 90 Soccer : La deuxième adresse d’Upper 90 se trouve à Boerum Hill à Brooklyn. La boutique est joliment décorée de l’extérieur avec des joueuses représentées en graffiti sur les murs en brique. À l’intérieur, le magasin ressemble à celui de Manhattan avec à la fois des équipements de club connus et des tenues toutes simples de marque (Nike, Adidas, etc). Tailles homme, femme et enfant. Choix de chaussures limité. La boutique passe régulièrement des matches sur place. 359 Atlantic Ave, (646) 389-0943.

https://www.instagram.com/p/CfetV0PP65g/

Adidas Store : Non loin d’Upper 90 se trouve le magasin Adidas de Downtown Brooklyn. Vous y trouverez quelques références foot de la marque allemande, dont leurs nouveaux modèles de crampons et chaussures, quelques maillots de grands clubs européens et de sélections nationales. On vous conseille d’appeler avant pour être sur de ce qu’ils ont en stock. 454 Fulton St, (718) 243-2413.

Golazo Sport : Du côté de Bushwick, ce petit magasin de quartier peut être utile pour dépanner. Vous y trouverez surtout des répliques (plus ou moins bien réalisées) de maillots de clubs connus. L’établissement dispose d’un bon choix de ballons et de quelques produits dérivés comme des survêtements, casquettes… Prix abordables. 1042 Flushing Ave, (347) 351-2506.

À Queens

Upper 90 Soccer : C’est le troisième établissement de la chaîne Upper 90. Celui-ci se trouve dans le quartier d’Astoria à Queens. Au delà de proposer les mêmes références que ses homologues, Upper 90 Soccer Queens dispose d’un bar pour regarder les matches et de quatre terrains 5vs5 (deux indoor, deux sur le rooftop). Pour organiser un match, cliquez ici. 34-22 Steinway St, (646) 416-9821.

Myrtille C.: «Je suis partie malgré la maladie de ma maman»

0

Vivre loin d’un parent malade. Myrtille est étudiante en fin d’études lorsque sa maman, alors âgée de 60 ans, est diagnostiquée de la maladie d’Alzheimer. À l’époque, cette fille unique vit le début d’une grande histoire d’amour avec Derek, un Américain rencontré en Allemagne. C’était il y a dix ans.

Aujourd’hui Myrtille vit à Houston, au Texas, avec Derek, devenu son mari, et leurs deux petites filles. Elle vit loin de sa maman, qu’elle aime pourtant tendrement. Dans cet épisode, Myrtille revient avec beaucoup de recul et de transparence sur les dix dernières années de sa vie. Comment est-on l’enfant d’un parent malade ? Comment accepter de vivre sa vie, que la vie continue ? Comment parvient-on à partir ? Comment vivre la distance quand on ne peut plus s’appeler, échanger, s’entendre, se voir, se toucher, se sentir ? Touchée par le travel ban lors de la pandémie de Covid, Myrtille n’a pas vu sa maman depuis quelques années. Voici un épisode fort en émotions sur le lien parent-enfant.

Réalisation : Anne-Fleur Andrle
Habillage et mixage : Alice Krief

Fleuve et migrations à Yuma, ville frontière entre les États-Unis et le Mexique

0

Que se passe-t-il quand l’un des plus grands cours d’eau des États-Unis disparaît ? Quelles sont les conséquences économiques, sociales, environnementales et politiques de cet assèchement ? Est-il possible de sauver un fleuve de cette envergure ? C’est à ces questions qu’a voulu répondre « Colorado, le fleuve qui refuse de mourir », un nouveau podcast en huit épisodes réalisé par Alexis Buisson pour le quotidien français La Croix et French Morning, en partenariat avec le programme Alliance.

Municipalité de 100 000 habitants, Yuma est connue pour sa production de salades et son ensoleillement record qui fait le bonheur de nombreux touristes canadiens fuyant l’hiver rigoureux dans leur pays. C’est aussi la ville frontière par excellence : le Colorado y forme une barrière naturelle entre le Mexique et les États-Unis, mais aussi entre la Californie et l’Arizona. Depuis quelques années, Yuma se retrouve au cœur d’un débat qui la dépasse : l’immigration – et le Colorado River n’y est pas pour rien. La baisse du niveau du fleuve et la construction d’un barrage aux portes de la ville ont facilité les traversées de migrants. Entre le « mur de Donald Trump », à la frontière mexicaine, et le grand parc au bord du fleuve, cet épisode nous plonge dans une ville où le Colorado a agi à la fois comme un creuset et une barricade.

Les desserts de Clément Le Déoré font fureur en Californie

Breton d’origine, le pâtissier Clément Le Déoré, aujourd’hui à la tête de son entreprise Desserts by Clément à San Diego, est devenu le spécialiste des mini pâtisseries créatives, déclinées au chocolat, aux fruits de saison, et depuis peu dans leur déclinaison vegan.

Originaire de Quéven, dans le département du Morbihan, le garçon quitte le circuit classique scolaire pour entrer, à l’âge de 15 ans, en apprentissage en boulangerie. « Je n’avais qu’une idée en tête : travailler, explique-t-il. Alors, j’ai commencé par suivre un apprentissage en boulangerie à Lorient. La découverte d’une allergie à la farine m’a fait bifurquer sur la pâtisserie. C’est là que j’ai eu le déclic. »

Voyageur dans l’âme, le garçon part se former en Corse où il est embauché comme apprenti à la pâtisserie Davoli, à Ajaccio. Il y restera deux années avant d’embarquer pour l’Australie, où il fait son entrée au Café Le Parisien, à Sydney. « Mon grand rêve, depuis mon plus jeune âge, était d’aller aux Etats-Unis, poursuit-il. Alors, j’ai commencé par envoyer une cinquantaine de CV dans toutes les grandes villes du pays. Une pâtisserie de San Diego, Le Parfait Paris, spécialiste des gâteaux français, m’a gentiment répondu et proposé de venir faire un essai. J’ai foncé sans me poser de questions. »

Arrivé en 2017, Clément Le Déoré est, en quelques semaines, nommé, à 25 ans, Chef Exécutif. Pour la première fois de sa jeune carrière, il dirige une équipe de 6 personnes, manage l’ouverture de nouvelles boutiques à San Diego et donne le La des créations. « Le macaron est rapidement devenue la star de l’enseigne. Les Américains l’adorent et s’imaginent, en le croquant, être à Paris. »

Les “mini cakes” selon Clément Le Déoré

Après avoir lutté pour obtenir sa green card – « deux années de calvaire, où après deux premiers refus, j’ai finalement obtenu le précieux sésame » -, le chef pâtissier décide d’ouvrir sa propre affaire. « Les débuts ont été très compliqués, avoue-t-il, mais ma confiance en la qualité de mes gâteaux m’a donné envie de continuer. Avec un peu de chance, j’ai trouvé un labo à partager où j’étais exonéré de loyer en échange de cours de pâtisseries donnés. Seul à la manœuvre, je devais gérer la partie administrative, créer de nouvelles recettes, assurer mes livraisons. 6 premiers mois éreintants. Puis les choses sont progressivement rentrées dans l’ordre et j’ai pu embaucher mes deux premiers employés. »

Pour dynamiser son business, Clément Le Déoré entame la tournée des hôtels de San Diego. A force de persuasion, il convainc ses deux premiers clients, le prestigieux Hôtel del Coronado, connu de tous les habitants de San Diego, puis The West Gate Hotel San Diego. Suivra la pâtisserie phare, Le Figaro Dessert Café. « Je n’ai rien lâché, me suis battu et même pendant la période de la Covid19, j’ai contacté tous les wedding planners de la région pour leur faire goûter mes gâteaux. Et c’est comme cela que tout a commencé ! ».

Spécialiste des « mini cakes », « ces gâteaux miniatures bons et créatifs » comme il le résume, le pâtissier séduit grâce à ses recettes mousseuses, crémeuses et confectionnées à partir de ganaches. Dans ses best-sellers, le Choconuts réinterprète le fameux Ferrero Rocher, la Pink Lady s’orne de pétales de fleurs subtils, The Mango met à l’honneur la mangue, le Petit Choux revisite le traditionnel chou au yuzu et au marshmallow. Aussitôt sortie, sa version vegan du mini-cake, « une recette à base de crémeux à la pêche, de gelée de framboise et d’un biscuit à la vanille », fait le bonheur d’une nouvelle clientèle attentive à la dimension bien-être des desserts.

Stakhanoviste de la pâtisserie, créatif sans limites, inspiré par le travail de son idole, le chef pâtissier Grégory Doyen, Clément Le Déoré pourrait, dans quelques mois, connaître une nouvelle consécration. Appelé pour participer au tournage d’une émission de télévision américaine dédiée à la pâtisserie, il se frottera cet été pendant 3 semaines aux as du sucré. Le chef vient également de terminer son business-plan en vue de l’ouverture d’une première boutique à San Diego. « Aussi loin que je m’en souvienne, ouvrir une pâtisserie aux Etats-Unis a toujours faire partie de mes rêves. Si certains ne me prenaient guère au sérieux à mes débuts, je suis entrain de réussir mon pari. Ne jamais abandonner ses rêves, voilà ma philosophie. »

Podcast : Lydie Vissoh est libre comme l’air

Cette semaine, French Expat nous embarque pour un tour du monde entre Paris, Madagascar, l’Inde, l’Espagne et la Côte d’Ivoire en compagnie de Lydie Vissoh, pilote de ligne chez Air France.
En mars 1921, Ross Smith écrivait dans le magazine National Geographic « Les pilotes comptent leur vie au nombre d’heures passées dans les airs, comme si les autres ne comptaient pas. » Depuis son plus jeune age, Lydie rêve de voler dans les airs. Si le metier de son papa, lui aussi pilote de carrière a certainement influencé sa vie actuelle, ce sont en fait ses expatriations en famille en Afrique puis en Inde, et seule en Espagne et en Côte d’Ivoire qui ont convaincue notre invitée de passer sa vie dans les airs.
Dans ce nouvel épisode, French Expat vous invite aux voyages, au travers de l’expatriation et du métier de Lydie ainsi que de son engagement auprès des communautés dans lesquelles elle évolue.

Production :

  • Enregistrement et réalisation par Anne-Fleur Andrle
  • Habillage sonore et mixage par Alice Krief (Les Belles Fréquences)

Moi Impat: Un passeport canadien pour garder le lien

0

A son retour, c’est Rennes qui va accueillir Gaëlle Audrain, notre 95ème invitée et sa famille. Et pourtant personne ne les y attend, ni famille, ni amis, seul un vieux souvenir d’étudiants. Comment faire dans une ville qui ne coche pas toutes les cases de Gaëlle ?

On prend son mal en patience. Fini le bilinguisme, les saisons et les couleurs de la Belle Province, il faut s’adapter à cet environnement étranger et pas cosmopolite. Le constat : six mois plus tard, la page Montréal est enfin tournée, un cercle d’amis s’est constitué et le bout du tunnel est apparu. La seule exigence de Gaëlle à son retour était d’obtenir la citoyenneté Canadienne. A ses yeux, le sésame qui lui permettait de dire : « un jour je reviendrai ! »

https://www.spreaker.com/user/10781102/pad_72